Enfin Femme
Putin jaurai jamais pensé que cétait aussi bandant que de voir des mecs faire lamour
Il pivota, sa main vint se plaquer sur mon sexe, il me chuchota à loreille, jai vraiment envie de toi
et toi aussi la preuve tu bandes
suis moi.
Il se dirigea vers les toilettes. Quelques secondes dhésitation puis je me décidai à le rejoindre.
A peine entré, il referme la porte, me plaque contre elle et me roule une pelle denfer. Ses mains écartent ma chemise et se saisissent de mes tétons quil pince, tiraille, marrachant des soupirs de contentement. Sa bouche vient les remplacer tandis quelles glissent vers mon pantalon. Rapidement je suis nu devant lui. Ses lèvres me caressent, sa langue goûte la moindre parcelle de mon ventre puis sa bouche souvre autour de mon sexe, je retrouve le plaisir dhier, de tout à lheure, lhumidité, la douceur le mouvement qui agace mon gland. Je bande comme jamais. Joublie que des doigts ont pris possession de mon trou (et oui avec le traitement précédent il est maintenant bien ouvert.
Le mec se redresse ( on navait pas échangé nos prénoms) et mappuyant sur les épaules me fait comprendre que je dis mintéresser à lui.
Comme lui, je lui ouvre la chemise, aucun poil, la peau est douce, si douce que je ne peux que la lécher mattardant sur les tétons qui se dressent. Mes mains descendent prendre possession de ce sexe que je mattends à être énorme. Dès le nombril le gland simpose, large, ma main sen saisit on dirait un citron. Je mempresse de descendre plus bas, me battant avec la fermeture éclair car le pantalon est maintenant trop petit. Cest une véritable batterie qui sort du slip blanc. Il avait raison, celles de mes voisins de compartiments faisaient maintenant pâle figure par rapport à cette colonne débène. Je cherche à la mesurer en prenant mon corps comme unités de mesure, mes deux mains juxtaposées ne la couvre pas entièrement, je pose le gland sur le haut de mon front les couilles arrive bien en dessous du menton et elle nest pas encore complètement bandée.
Jai peur de la suite car ses doigts écartent largement ma corolle. Mon cul ne pourra jamais accueillir ce mât de chair
Il me redresse, pose mes mains sur la paroi, att une de mes jambes quil pose sur la cuvette des WC, il mappuie sur les reins de façon à ce que mes fesses pointent vers le haut. Je sens un, deux puis trois doigts qui me fouille un quatrième se présente. Mille petites aiguilles titillent ma corolle, la main senfonce doucement, tandis que les doigts me massent.
« tu es prêt maintenant, je vais y aller très doucement »
Son gland force lentrée, y pénètre, je ne ressens aucune douleur si ce nest un sentiment dabandon total, je me donne à lui, je suis à lui, confiant. Je ne sais combien de temps dure la pénétration, mon corps semplit de son mât. Il est maintenant bien profond, complètement en moi, je sens ses couilles toucher mes fesses. Il recule, et au fur et à mesure, je sens le vide se faire en moi, il revient à la charge marrachant des soupirs de jouissance, le rythme saccélère, il entre il sort plus brusque maintenant, je suis aux anges je vais maintenant au devant des coups de boutoir. Puis cest la jouissance, lextase, jai limpression que ne ne vais jamais marrêter déjaculer, je suis à lunisson avec lui, son sperme se déverse au fond de moi quel bonheur, je suis femme maintenant. Que de plaisirs je vais avoir au milieu de tous ces jeunes appelés du service militaire
mais ça cest une autre histoire.
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