Aventures D'Ados (13)
13 Bien sûr, je suis terriblement en retard, tous les élèves sont là, sauf moi qui entre, mexcuse auprès du prof, problèmes féminins, minstalle à côté de ma copine. Il y a à peine vingt minutes que je suis là quand un mec de ladministration vient me chercher. Mademoiselle Ge
. (moi ) vous êtes demandée au bureau, veuillez me suivre. Et me voilà dans un bureau à attendre, je me demande ce qui se passe et ce quon me veut ? Est-ce à cause de mon retard en cours ? Une femme que je ne connais pas entre, sinstalle derrière le bureau, me fait asseoir en face delle.
- Vous savez pourquoi je vous ai convoqué ?
- Non, quest ce quil se passe ?
- Hier soir vous avez été vue sortant de la salle de physique en courant. On a trouvé M. St
. recroquevillé, par terre, sans connaissances, pantalon et slip en bas des pieds, sexe encore en érection, se tenant les parties génitales. On a fait appel aux pompiers qui lont réanimé et transporté à lhôpital. Pouvez vous me dire ce qui cest passé ?
Je lui raconte lagression dont jai été victime de sa part, et comment je men suis sortie.
- Avant que les pompiers lemmènent, il ma fait un récit qui diffère du vôtre. Il prétend que cest vous qui lavez attiré dans la salle. Vous lui avez baissé son pantalon, sorti son sexe, commencé à le branler. Vous lui avez dit : baise-moi ! Il a refusé, vous a repoussé, alors furieuse, vous lui avez attrapé les testicules et serré si fort quil en est tombé dans les pommes. Votre forfait accompli, vous êtes partie en courant !
- Mais cest faux. Il est beaucoup plus grand et plus fort que moi. Regardez-moi, je ne fais pas le poids, je ne suis pas assez forte pour violer ce mec. Comment pourrais-je lui foutre le cul à lair sil me repousse ? Et le faire bander ? Il faut que je saisisse sa queue ! Je ne lai pas branlé. Je ne lui ai même pas touché le sexe. Par contre, après avoir mis lui même sa bite à lair, il sest plaqué contre moi, a ouvert mon jean, passé sa main dans ma culotte et fourré deux doigts dans mon vagin ! Cest pour me défendre que je lui ai écrasé les couilles !
- Il veut porter plainte contre vous car il risque davoir des séquelles.
- Et moi, sil mavait violé, le risque de me retrouver enceinte, ce ne sont pas des séquelles ? Je ne prends pas la pilule !
- Pour lui ça risque dêtre irréversible, alors que pour vous lavortement est toujours possible !
- Il tente de me violer, je me défends, et cest moi qui suis en tort, un comble ! Et cest une femme qui me dit ça !
- Sil porte plainte, vous serrez sûrement convoquée au commissariat. Si cest le cas, nhésitez pas, de votre côté, à porter plainte pour tentative de viol. Faites le dès aujourdhui, prenez les devants, cest un conseil.
- Ce que vous ne savez pas, cest que déjà la veille, en cours, il mavait dit daller dans les « chiottes », de ne pas vérrouiller la porte, quil allait my rejoindre pour me baiser. Jai refusé bien sûr, je ne suis pas une pute ! Interrogez dès maintenant Mlle A
.., il lui a fait la même proposition ! Vous verrez que je ne mens pas !
- Bien mademoiselle, je ne sais lequel des deux croire, sa version est aussi plausible que la vôtre. Dès quil sera de retour, vous serez tous deux convoqués en conseil de discipline. Jorganiserai une confrontation. Pour la suite, on verra. Retournez en cours.
- Un comble, je suis victime dune agression sexuelle et je risque de me faire virer parce que je ne veux pas que ce salaud touche à mon cul !
Décidément mon cul ne mattire que des emmerdes. Je ne croyais pas quil allait tomber dans les pommes, ce con, encore moins lenvoyer à lhôsto. Ses couilles sont petites, je les ai eu bien en main dès que je les ai attrapées. Si ça vient aux oreilles de mes parents !!!
Ce nest pas mon jour car, en plus, en rentrant à la maison, je vais devoir affronter ma mère.
Bon je retourne en cours. Ce matin jai pratiquement tout manqué. Je demande à ma copine de me passer ses notes. En sortant, elle me parle de ma convocation à la direction. Je lui raconte lhistoire.
La journée est terminée, je rentre chez moi, monte direct dans ma chambre. Ma mère prépare le dîner, me voit passer, abandonne tout, crapahute derrière moi ! Oh là là ! Ca va être ma fête. Je nai pas le temps de fermer la porte, je me prends une gifle !
- Et maintenant à nous deux. Où as-tu passé la nuit, tas vu ta tête ?
- Un ami ma invité au resto dans une auberge, jai dormi là bas !
- Dans son lit, à voir ta tête tas baisé toute la nuit !
- Tas eu mon âge, tu ndevais pas ten priver, rappelle-toi ! Et puis je suis majeure, je nai plus de comptes à te rendre!
- Tu te comportes comme une moins que rien, ça ne me plait pas.
- Oui, mais toi tu mas eu à 18 ans, jen ai 19, je suis comme toi au même âge, je prends du plaisir à me faire sauter ! Et pan dans les dents !
Elle redescend dans sa cuisine, furieuse, je mallonge sur mon lit, je suis crevée, je mendors. Demain sera un autre jour !
Une semaine passe, la vie continue, la Fac, la gueule à la maison, aucune nouvelle de Marc. Il mappellera, jattends, rien, sa queue me manque.
Jai mes règles, ça me permet dattendre ses prochains coups de bite. Je pense constamment à lui et à ses différentes façons de me la mettre !
Mon violeur na pas réapparu à la Fac. Jai vraiment dû les lui briser. Pas de convocation, il na pas dû porter plainte.
À la Fac, certains mecs me regardent dun drôle doeil, je men fous, je suis là pour étudier, la baise sur place ne minteresse pas.
Encore une semaine passée, pas de nouvelles de Marc. Le téléphone est en bas, et si ma mère faisait barrage ? Je ne sais pas comment le joindre, cest long dattendre un coup d fil qui ne vient pas !
Tiens, jai rencontré Mélanie et son mec.
Jai donc décidé de répondre à son invitation. Il faut que je me change les idées. Jarrive à 7 h du soir, comme convenu.
Tout est prêt, ils mattendent. Pas de boissons alcoolisées pour moi, cest prévu, elle na pas oublié ça. On discute, passe à table, je ne la savais pas aussi bonne cuisinière. Son mec est charmant, jai limpression quil me fait un peu de » rentre dedans », mais Mélanie, du coin de lil, veille au grain. Je raconte la tentative de viol dont jai été victime, et la façon dont je men suis sortie. Bravo me dit-elle, tu nas pas perdu la main ! Mais je ne parle pas de mon aventure avec Marc. De toute manière, comme je nai aucune nouvelle, je ne sais pas si elle va durer. Il est 10 h, je demande à Jack de me raccompagner. On arrive devant chez moi, je lembrasse sur la joue.
- Je te remercie pour la soirée.
Il pose une main sur ma cuisse, la remonte sous ma jupe, elle dévie direct dans mon entrejambes, enserre ma vulve, la pétrit, il me fait mouiller.
- Quand tu veux !
- Avec ou sans Mélanie ?
- Tout de suite, ça sera sans !.
Sa main se fait de plus en plus exigeante, ses doigts écartent ma culotte, entrent dans mon intimité. Jouvre largement les cuisses, le laisse me fouiller, remue sur mon siège, jai de plus en plus chaud. Nos regards se croisent, après tout pourquoi pas ?
Jenlève sa main, me penche sur lui, ouvre sa braguette, sort sa bite.
- Diable, quelle est raide, quel beau morceau !
- Pompe-moi.
Je le prends en bouche, il me tient la tête, me force à absorber la hampe en entier, coulisse, seules les couilles dépassent. Je glisse ma main dessous.
- Ah non, pas ça !
- De quoi as-tu peur ?
- Ahaaaaaaaaa, je viens !
Jessaye de me dégager, mais il me bloque la tête, enfonce sa bite jusquau au fond de ma gorge, jétouffe.
Jaurais préféré quil memmanche, bien sûr, quil décharge dans moi, jai eu tort de commencer par le sucer. Je ne croyais pas quil allait gicler aussi vite. Jai dû avaler son foutre, cest dégueulasse, je naime vraiment pas, ça me fait gerber ! Cest pour ça que jévite de sucer. Les mecs ne savent pas se retenir, ils croient quon aime ça. Jétais prête à léquiper pour lavoir en moi, je mouillais terrible, il ma ouverte avec ses doigts, il serait entré sans mal. Reste à savoir quelle position jaurais dû prendre pour quil me lintroduise. À lavant dune voiture, ce nest pas évident. Il a une belle bite qui ferait bien mon affaire, surtout parce que je suis en manque en ce moment. Je vais demander à Mélanie de la partager avec moi ! Je crois que lui ne serait pas contre, mais elle je ne sais pas ! On verra ça plus tard.
Toujours pas de nouvelles de Marc depuis plus de 3 semaines. Pas le moindre petit ramonage pendant tout ce temps, ça me manque. Lorsque jai du temps libre je vais traîner dans le centre commercial. Comme on arrive aux grandes vacances, je vais en profiter pour demander à rencontrer le chef de service qui ma proposé de memployer. Mais cétait lannée dernière, il ne doit plus se souvenir de moi. Enfin je vais tenter, 3 mois pendant les vacances ça peut lintéresser, sinon je tenterais dobtenir un emploi de caissière.
Ce samedi a été fructueux. À force de traîner dans le centre commercial, jai aperçu Marc. Il est en compagnie dune belle jeune femme de ma taille et dune fillette dune dizaine dannées. Il est en pantalon, chemisette, sac banane cuir en ceinture, allure sportive. Je ne sais pas comment lui signaler ma présence. Je passe derrière lui, le bouscule un peu, dit « pardon », prends un article dans un rayon, méloigne. Il semble ne pas mavoir reconnu. Je le surveille à distance. Alors que sa femme sest un peu éloignée et fait ses emplettes, je le vois fouiller dans son sac, en sortir une sorte de ticket, griffonner quelque chose. Il le laisse tomber, mine de rien le repousse du pied le long dun rayon et rejoint sa femme. Ils séloignent, changent dallée, continuent les achats. Je ne les vois plus, je vais ramasser le papier. Je lis : me 3h m otl. Il ny a pas de doute, il ma vu, me file rancard pour mercredi. Mon cur bat la chamade, sa bite, oh sa bite, il va de nouveau me la rentrer, jen mouille davance !
Au grand étonnement de ma mère, me voilà de retour en plein après midi, monte dans ma chambre. Depuis la visite dAudrey je nai pas utilisé mon gode, je le prends dans larmoire, mallonge sur mon lit, ouvre mes cuisses, écarte ma culotte, lenfonce au plus profond de moi. Je lactive en pensant à Marc, jai chaud, mouille, me sens partir, oh, je jouis, quel bonheur, un avant goût de sa trique ! Je suis calmée, vais dans la salle de bain me rafraîchir, laver le gode. Je le range, prends mon sac, sorts, je dois me réapprovisionner en préservatifs. Je reprends la pilule, cest plus prudent. Je vais peut être lui proposer de me monter à crû, cest tellement meilleur!
Lorsquil my a emmené, en sortant jai eu la présence desprit de repérer le nom de lhôtel et la rue. Il aurait pu choisir un autre endroit. Ca mennuie de retourner dans cet hôtel, après tout ce quon a laissé comme témoins de notre intense activité sexuelle ! Lorsque je le verrais, je lui demanderais daller ailleurs, jai honte, je me souviens encore du regard réprobateur du réceptionniste.
Cest loin mercredi, et en plus jai cours cet après midi là. Il va falloir trouver une excuse !
Heureusement quil ne ma pas donné ses coordonnées, je suis tellement accroc à sa queue que je me sens capable de faire des bêtises. Je ne peux pas risquer de briser son ménage. Dieu seul sait ce quune femme sexuellement amoureuse peut inventer pour sapproprier lhomme qui la fait jouir ! On est deux sur le coup, il ne me la pas caché puisque je lai aidé à choisir des dessous pour sa femme, il faut que je madapte à cette situation, partager.
Lisez la suite !
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