Aventures D'Ados ( 14 )
14 Mon impatience grandit chaque jour. Je ne pense plus quà ça, je suis perturbée, distraite pendant les cours, mon bas ventre réclame. Le mercredi matin je dis que je ne suis pas bien, je pousse même la vraisemblance jusquà me rendre à linfirmerie. Je me plains dun mal au ventre, linfirmière me fait allonger, relève ma jupe, me palpe le ventre. Rien de grave me dit-elle, prenez ça, ça va passer, retournez en cours. Si elle savait que cest plus bas que ça se passe !
Après le déjeuner je me rends aux toilettes, enlève ma culotte, la met dans mon sac. Je sèche les cours, prends les transports en commun. Il y a deux changements, jarrive non loin de lhôtel, descends à larrêt, massoie sur le banc, attends. À 3 h moins dix, sac à dos en bandoulière, je traverse la rue, me rapproche doucement de lentrée. Le voilà, il se gare, descend de voiture, prend sa mallette. Il regarde autour de lui, maperçoit, vient vers moi, me serre la main, ne dit rien, pas même bonjour. Laccueil est plutôt froid de la part de quelquun qui vient uniquement pour me sauter. Comme la première fois je suis intimidée, subjuguée, marche à côté de lui, on se dirige vers la porte de lhôtel. Arrivé devant, il sarrête, jette un regard circulaire sur la rue, ouvre la porte, entre. Je le suis, file directement vers lascenseur. Ouf, il ny a personne à la réception. Il actionne la sonnette, le réceptionniste lui remet une clé, on a la même chambre que la dernière fois. Elle doit être réservée aux clients de passage. Il ouvre la porte, jentre, massoie au bord du lit. Il pose sa mallette sur le porte valise, enlève sa veste Je mattends à ce quil me culbute tout de suite, (cest pour ça que jai enlevé ma culotte avant de le rejoindre ). Eh bien non, il va vers le téléphone, demande une ligne, compose un N°, appelle son bureau, dit quil a un imprévu et ne repassera pas ce soir. Il écoute un moment, très bien, à demain matin, raccroche. On est là depuis 10 minutes, jattends, figée, quil daigne sintéresser à moi, je me demande pourquoi il nest pas déjà dans moi.
Il matt par la taille, me colle contre lui, applique ses mains sur mes fesses. Cest parti ! Je sens son sexe durcir contre mon ventre, il me roule un patin terrible, fouille ma bouche, entortille sa langue avec la mienne. Ses mains palpent mon corps, mes seins, mes fesses, remontent ma jupe. Il saperçoit que je nai pas de culotte, je relève une jambe pour lui favoriser laccès à mon sexe. Il menfile deux doigts direct dans le vagin, titille mon clito. En un tour de main je me retrouve à poil, je nai rien vu venir. Il est là, debout devant moi, encore habillé, me regarde, suce mes tétons, sa main est plaquée sur ma vulve, jécarte les cuisses, ses doigts sont dans moi, sactivent. Je suis trempée, mouvre à lui. Il mappuie sur les épaules, jai comprit ce quil veut. Je maccroupis, ouvre sa braguette, sors sa queue, ses couilles. Elle est encore plus imposante que dans mes souvenirs, le gland est dun rouge violet, la tige raide et dure. Il me prend la tête, la guide, je lai dans la bouche. Force est de la sucer, mais elle est trop longue, le gland trop gros, je ne peux pas labsorber en entier. Je salive dur, elle coulisse, entre et ressort. Pourvu quil néjacule pas ! Je me glisse sous lui, prends une couille velue dans ma bouche, fais de même avec lautre, les suce, les caresse. Il me relève, se baisse, matt aux hanches et entre les jambes, me soulève, me jette sur le lit. Je me retrouve à plat ventre, cul en lair, embrochée par son pieu qui me pénètre jusquà la garde. Lassaut est fulgurant, je pousse un cri, nai pas eu le temps de lui mettre une capote. Il me défonce, élargit ma gaine, létire, va au plus profond de moi. Il va tellement loin dans moi que jai limpression quil va me transpercer.
Ca a été un coup génial, il ma défoncé terrible, jai joui plus que jamais, depuis le temps que jaie envie de sa bite, de sentir son foutre en moi.
Le temps passe, il est 4 h, je me redresse sur un coude, le regarde somnoler. Quil est beau.! Sa bite à la tête en bas, entre ses jambes, je la relève, dégage doucement le gland, tire sur la peau. Je me glisse à genoux devant elle, la prend dans ma bouche, elle a un drôle de goût. Je suce, pourtant je naime pas, mais là cest différent. Jen veux encore, il faut quelle reprenne vigueur, quil me la remette ! Je suis satisfaite, mais pas comblée ! Miracle, elle gonfle, durcit, se redresse, le gland change de couleur, devient violacé. Il se réveille, se frotte les yeux, sétire, me regarde, relève les bras, met les mains derrière sa tête. Je passe une jambe au-dessus de lui, prends sa verge en main, la guide en moi, descends, elle senfonce, ça y est jy suis, cest bon ! Me voilà à cheval sur lui, je commence une chevauchée éfreinée, le grand galop. Sa bite coulisse facilement tellement ma gaine est lubrifiée, élargie, profonde. Il se laisse faire, je sens sa queue grossir en moi, elle me remplit le ventre. Je ne sais pas si à ce rythme il va tenir longtemps, mais moi je sens que je vais jouir, ouiiiiiiiiii, je suis partie, je lâche la bride, mécroule sur lui, haletante. Il ma regardé jouir, souris, ne dit rien, silence. Tout dun coup il me bascule, passe derrière moi, il est à genoux, mécarte les jambes terrible, les remonte, les prend aux mollets. Je me retrouve les pattes en lair, écartelée, le sexe offert, à porté de sa bouche. Il passe sa langue dans la fente, mordille mon clito, aspire mes nymphes, colle ses lèvres à mon trou, boit ma mouille, entre sa langue. Oh là là, que cest bon ce quil me fait !
Il bande toujours, je vois sa queue dressée, ses couilles velues. Il lâche mes jambes, se met sur moi, menfile brusquement.
Je me lève, le foutre coule le long de mes cuisses, je cours aux toilettes, pisse, vide le trop plein de foutre. Il est là, me regarde, cette fois je me sens gênée. Jai besoin dune bonne douche, je suis sous leau, il maide, me savonne. Il entre avec moi, il ny a pas place pour deux. Alors il se colle à moi, ses mains en profitent pour sattarder sur mes seins, les malaxer, sa bouche les dévore, aspire mes tétons, ils durcissent. Il saccroupit, me broute le gazon. Jécarte les cuisses, il fouille mon antre, glisse doucement ses doigts à lintérieur, les ressort enduits de nos jus, ça me fait du bien. Il se redresse, je le savonne à mon tour. Je ferme leau. On sort de la douche, il prend une serviette, messuie. À mon tour je lessuie, mattarde sur sa queue, ses couilles, jen profite pour le branler un peu. Sa bite ne réagit pas, je crois quil nen peut plus ! Elle est molle, je maccroupis, la prend dans la bouche, je peux labsorber en entier, lavale jusquaux couilles, manque de m, jy mets tout mon savoir. Il apprécie. Oh là, là, elle se redresse, gonfle, durcit. Stop, jen ai eu assez pour aujourdhui, je me relève. Jai joué avec le feu, je me retrouve les mains appuyées sur le lavabo. Il mécarte les cuisses, passe la main sur ma moule, ouvre la fente, y place sa pine. Un coup de rein, et han, elle est au fond, je nai pas eu le temps de réagir ! Il me prend à la taille, me soulève, sa bite reste encastrée dans moi, il me transporte dans la chambre, sassoie sur la chaise Je me retrouve assise sur lui, embrochée, prête pour une autre baise. Je ne refuse pas la situation, au contraire je madapte. Je mincline vers lavant, passe la main entre mes jambes, ses couilles sont là, reposent sur la chaise, je les caresse, joue avec les testicules.
- Ten as encore à me donner ? Elles sont pas vides ?
- Il est 5 h va falloir y aller !
- Pourquoi tu mas encore enfilé si on a plus le temps ?
Je remonte mes jambes, pose les pieds sur ses genoux, il me prend aux hanches et maide à monter et descendre sur son pieu. Je le sens, il me comble comme pas possible, va profond, me ramone.
- Défonce-moi ! Je ne suis pas rassasiée !
Il se lève, me retourne face à la chaise, me plie, je mappuie dessus, je serre les jambes. Il écarte mes lèvres, place sa queue dans la fente, me pénètre. Il me burine sec, ses coups de queue sont rudes, il entre en entier, accélère, butte au fond. Je sens que je vais venir, couine, ouiiiiiiiiiii, il se bloque, soubresauts, râle, décharge. Pas croyable, il en avait encore.
- Tas eu cque tu voulais ?
- Oui, tu mas encore fait jouir, je nen peux plus !
Je file me vider, y a pas grand chose, ce nest plus aussi laiteux, je me rince, lui lave la queue, elle retombe. Je me peigne, me regarde dans le miroir, jai les traits tirés, des cernes sous les yeux, bref vraiment une sale tête. Il me roule un dernier patin, menfile un doigt, on se rhabille.
- On a baisé sans capote !
- Jai pas eu le temps de te la mettre, tu mas embroché trop vite. Heureusement je prends la pilule.
- Javais trop envie de toi pour encore attendre.
- Moi aussi, tas traîné en arrivant, tu mas tellement manqué.
- Alors, si jtai manqué, pourquoi tas pas répondu au téléphone ?
- Tu nmas pas appelé, après 6 h je suis toujours à la maison, je potasse mes cours.
- Si ! Cest ta mère qui ma répondu, elle ma dit qutu nes pas là ! Jai rappelé une autre fois. Elle ma demandé de la part de qui ? Jai dit Marc. Répondu: Elle ne veut pas vous voir !
- Quelle toupet, je vais lengueuler, elle na pas à soccuper de mes affaires, je suis majeure ! Cest vrai, elle na pas apprécié que je passe la nuit avec toi ! Alors, si elle sait quaujourdhui on a passé laprès midi à baiser, je vais en entendre !
- Bon, on y va, tu mas crevé.
On descend, il règle en liquide. On va jusquà la voiture, il inspecte les environs, mouvre, me fait monter. Pourquoi est-il méfiant ?
- Si ma mère fait barrage, comment je peux te joindre ? Chaque jour jai traîné dans le centre commercial dans lespoir de ty rencontrer.
- Je te donne mon N° au bureau. Nappelle pas avant 5 h 30, ni après 6 h, à cette heure là il na plus que moi. Si quelquun dautre répond, tu raccroches. OK, pas de blagues surtout.
- Je pense toujours à toi. Je suis accroc à ta bite. Jaimerais lavoir plus souvent dans moi.
- Je nai pas trop de moments libres. Pas la semaine prochaine. À mon prochain voyage en province, je temmène avec moi !
Je pose la main sur sa cuisse, la glisse entre ses jambes, serre ses couilles, ouvre sa braguette.
- Laisse moi conduire !
- Je veux encore la toucher. Je la lui sors, astique un peu le gland, il réagit, enfle, rougit.
- Du calme, on peut nous voir, tu me gènes pour conduire, attends les feux rouges, touche la discrètement !
- Je nai pas remis ma culotte, profites-en ! Jai envie de tes doigts !
- Tu es vraiment insupportable !
On arrive, il sarrête 100 m avant le café tabac, membrasse, glisse deux doigts dans ma cheminée, la ramone, me les donne à sucer ! Il reste du foutre mélangé à ma cyprine. Je me penche, absorbe le gland, ses doigts continent de me fouiller. Bon, je me redresse, il ferme son porte-monnaie, jouvre la portière, prends mon sac à dos, descends.
- Je tappelle demain du bureau !
Je rentre à la maison, monte direct dans ma chambre, mécroule sur le lit, anéantie. Je repense à cet après midi. Il me la mise à crû, cest quand même mieux que couverte. Jai senti la chaleur de sa pine, le contact direct entre les muqueuses lubrifiées de mon vagin et son gland nu est sublime. Cest surtout les jets de foutre qui ont rempli mon antre qui font la différence. À chaque fois il ma fait perdre la tête, je me sentais envahie par ces jets chauds qui se répandait au fond de moi, tapissaient les parois de ma gaine quand il ressortait sa queue! Encore une fois, je ne crois pas quil baisera sa femme ce soir, il a les couilles vides !
Jai roupillé un peu, il faut que je récupère. Jai faim, je descends. Ma mère est à la cuisine, mon père au comptoir, le bistrot ferme à 10 h. En me voyant, ma mère me dit :
- - Doù tu sorts ?
- Jétais dans ma chambre !
- Tas vu ta tête ? Tas encore baisé avec ce Marc !
- Pourquoi tu me dis ça ? Et puis après tout, je ne vois pas en quoi ça te regarde !
- Ce mec te ruine la santé, quand il a téléphoné je lai éconduit !
- Tu nas pas à te mêler de mes affaires, je suis assez grande pour ça !
- Et comment tas fais pour le retrouver ? Je lui ai dit de ne plus timportuner ! Je te croyais à la Fac et tétais en train de te faire sauter !
- Et alors, je ne te demande pas ce que tu fais les après midi où tu nes pas là !
- Ca suffit ! Quest que tu insinues ? Je suis ta mère, ne loublie pas !
- Toi aussi tu baises. Ma chambre est à côté de la tienne. Jentends quand vous baisez et que tu jouis, tu nes pas très discrète ! Je regarde dans le frigo pour trouver quelque chose à me mettre sous la dent. Il faut que je compense les calories perdues.
- Mets la table, on va manger, pour linstant il ny a pas de clients.
Patience, l'aventure continue!
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