Le Coup De La Panne De Voiture

Voici un texte co-écrit avec la complicité d’un membre de la communauté. Pour être honnête je dois avouer qu’il a écrit 80% du texte. Cela a été un vrai bonheur de partager ce moment-là avec cet homme qui se reconnaitra. Je le remercie mille fois de son élégance et de sa complicité. Ces faits sont fortement inspirés d’envies réciproques et de moments vécus


Je suis un quinqua chef d'entreprise, plutôt bien conservé selon mes amies, sportif et toujours prêt à voyager dans le monde. Là, je devais rentrer de Genève un vendredi en passant par le Jura Suisse. Ma fille m'avait demandé si je pouvais ramener avec moi Elodie, une de ses amies d'enfance, qui se trouvait alors être alors proche de Genève. Ayant fréquentée la même classe que ma fille elle devait avoir dans les vingt-cinq ans.

J'acceptais du bout des lèvres, car cela me faisait faire un détour pour la récupérer et la déposer. De ce que je m’en rappelais elle était super timide et n’avait pas de conversation. Elle avait un joli visage de blonde, était de petite taille et toute mince. Mais elle était mal coiffée, très peu maquillée, ne se mettait jamais en valeur et s'habillait toujours sans goût, comme un sac. Enfin, selon moi. Les goûts et les couleurs...

Et c'est ainsi que nous sommes partis en fin d'après-midi. Elle ne disait rien comme d’habitude et je mis donc un CD pour me tenir compagnie.

En plein milieu des montagnes Suisse, catastrophe, le voyant rouge de ma BMW s'alluma...

Sans paniquer, j'ai dit à Elodie que nous nous arrêterions dans le garage le plus proche. C’est là que l’on se rend compte à quel point un GPS peut être utile. Le garage se trouvait un peu loin de l’autoroute à vingt kilomètres dans un petit village éloigné de tout. J’appelais le garagiste depuis la voiture. Il allait fermer mais s’engea à nous attendre. Il fut rapide et très clair à poser le diagnostic. C'était le joint de culasse et si je continuais à rouler je coulerais rapidement le moteur.

..

Gulpsssss...Renseignements pris, il me dit qu'il pouvait commander la pièce détachée ce soir de chez lui, mais ne la recevrait que le lundi suivant. Pas de station de train à proximité, ni de bus, pas de taxi dans les villages autours ni de locations de voiture et voilà que la neige qui tombait depuis des heures s’accumulait. Cas de force majeure. J'expliquais à ma voyageuse qu'il nous faudrait passer la soirée à proximité de ce petit village typique mais au combien isolé.

Elle se résigna comme moi à ce concours de circonstances. Nous verrions bien demain comment gérer la crise. La nuit était tombée et l’urgence était à se loger. Quand je demandais au garagiste s'il y avait un hôtel dans le coin pour la nuit il me répondit que le seul établissement était à la sortie du village, un peu isolé. En se penchant à part pour qu'Elodie n'entende pas, il a tenu à me prévenir que cet hôtel était réservé pour des soirées un peu spéciales.

- Des soirées libertines à destination des couples de Genève venant s'encanailler, si vous voyez ce que je veux dire", ajouta-t-il en me faisant un grand clin d'œil...

Hôtel libertin ou non, nous n'avions pas le choix. Le garagiste nous y déposa gentiment. Il me fit un petit signe de complicité avec un grand sourire en nous souhaitant bonne nuit.

Aucune pancarte n’indiquait que ce lieu était un hôtel et encore moins un lieu libertin. La discrétion Suisse par excellence. J’avais déjà fréquenté ce type d’endroit dans le passé mais pas dans ce pays. Cela ressemblait à une grande demeure qui avait dû être un restaurant par le passé. En effet le parking était trop grand pour une maison. Le patron nous accueilli très froidement, nous disant que tout était réservé de longue date pour tout le week-end. Nous lui expliquâmes toutefois les circonstances de notre arrivée. Devant notre grande déception, et en regardant d'un seul coup Elodie, il ajouta :

- Il y a peut-être une solution, si la petite est prête à nous donner un coup de main au bar pour la soirée.


Et il nous expliqua que sa serveuse venait de lui annoncer qu'elle était malade, et qu'il cherchait à la remplacer "au pied levé". La chambre de service où elle couchait habituellement était donc libre. Et si Elodie pouvait la remplacer au service nous pourrions loger dans cette chambre, sachant qu'il n'y avait qu'un lit deux places.

En bon gentleman je proposais tout simplement de payer cette chambre mais comme il était en position de force il refusa.

- Un service en vaut un autre, ou vous d’acceptez et vous vous débrouillez, où vous refusez mon offre. Chambre gratuite contre service du soir !

J’expliquais qu’Elodie était une amie de ma fille et qu’il serait mal venu de partager la même chambre.

- Il y a un canapé dans la chambre mais vous pouvez dormir sur la moquette de la chambre ou sur les banquettes du bar, à vous de voir.

Elodie accepta de bon cœur de rendre ce service voyant que cela était la seule solution. J’étais allé la chercher à Genève pour lui économiser des frais de voyage, elle voyait bien que c’était à son tour de m’aider

- Pas de soucis Monsieur, nous acceptons votre offre. Je faisais le service au bar de la kermesse de l’église de notre village. J’ai donc un peu d’expérience.

- Vous avez beaucoup d’humour mademoiselle, cela plaira à nos clients.

Je souris intérieurement en voyant qu’elle acceptait cette offre de bon cœur. Elle n'avait visiblement pas tout compris des impacts de sa décision. Ni l’endroit où nous étions.

- Jess, ma femme, viendra vers 19h30 pour récupérer la jeune fille. Elle vous habillera en tenue de service et vous expliquera quoi faire et comment le bar fonctionne.

Le patron me pris à part

- Elle a compris ou elle est tombée ?

Je lui fis non de la tête, tout en rattrapant Elodie dans le couloir Elle n’avait qu'une demie heure pour se préparer.


La chambre n’était pas bien grande mais propre et convenable. Pas comme on imagine les chambres de service. Elodie fonça sous la douche tandis que j’organisais mon couchage sur le canapé. Un peu lâchement, je pensais que Jess serait mieux à même de lui expliquer le profil de poste de la soirée sur lequel elle s'était engagée... Je filais donc au bar lui expliquant que je la retrouverai plus tard et que je lui donnerai un bon pourboire.


- - - - -


Elodie était contente de se retrouver seule dans la chambre. Eric était un vrai gentlemen, très gentil avec elle. Elle avait le béguin pour lui depuis son adolescence. Il l’impressionnait tant physiquement que moralement. Il était fort et stable, bosseur, intelligent. A côté de lui elle se sentait comme une petite sotte. Il avait un effet sur elle immense qu’elle ne pouvait pas vraiment contrôler. Elle ne voulait pas le laisser paraître, et qu’il devine ses pensées. Alors elle se refermait dans un mur de silence en sa présence.

Elle avait demandé à son amie si son père pouvait la ramener chez elle et ce stratagème avait fonctionné. Elle cherchait par tous les moyens de se rapprocher de lui. Mais depuis qu’elle savait qu’il venait la chercher elle ne dormait plus beaucoup. Ses pensées hantaient ses nuits. Elle rêvait qu’il l’embrassait et plein d’autre choses plus intimes encore. Alors, exactement comme elle en avait rêvé, juste avant qu’il ne la récupère, elle avait enlevé son petit shorty pour être nue sous sa robe longue d’hivers. Elle avait mis son gros pull fétiche qu’elle portait sur un tee-shirt sans soutien-gorge. Ses petits seins nus étaient aussi cachés par sa grande écharpe qu’elle enroulait autours de son cou au-dessus du pull. Elle se sentait bien ainsi et heureuse de vivre ce grand moment à côté de son chauffeur privé.

Et c’est recroquevillé dans le fauteuil de la grosse BMW qu’elle laissait ses doigts frôler les zones des plus sensibles de sa peau.
Entre le gros pull et l’écharpe il lui était facile de se donner du plaisir tandis qu’il avait les yeux fixés sur la route. Faire cela tout super discrètement à côté de lui était la plus belle des sensations qu’elle vécue depuis longtemps. Elle rêvait qu’en changeant une vitesse sa main dé du boitier pour se poser sur son genou qui n’était qu’à cinq centimètre d’elle. La musique qu’il avait mise était sublime et ce silence entre eux magnifique. Alors quand le problème technique arriva et qu’ils se retrouvèrent dans cet hôtel un peu bizarre, Elodie remercia que ses prières furent exhaussées.

Alors qu’elle rangeait ses affaires, elle vit dans un tiroir une publicité sur l’établissement. Elodie compris alors l’endroit où ils étaient tombés. Et c’est alors qu’elle réalisait à peine cela qu’on frappa à la porte. Jess entra un peu comme un ouragan. Une grande brune sublime et élancée, maquillée, habillée d’une petite robe noire et de hauts talons. Sa poitrine opulente avait visiblement été refaite, et ses jambes étaient sans fin.

- Alors il parait que vous allez nous donner un coup de main au bar ce soir ?

Elodie resta sur le lit en peignoir.

- Ah je vois que vous avez trouvé notre brochure. Excellent, mon mari m’avait dit que vous ne saviez pas que vous étiez tombé dans notre établissement échangiste.

Elodie rougit et en une seconde se retrouva écarlate. Elle admirait ce tourbillon électrique que dégageait cette femme. Deux femmes avec qui elle avait eu des relations par le passé avaient ce genre de profil.

- Levez-vous ma petite que je vois quelle taille vous faite.

Elodie se leva sans dire mot

- Retirez moi donc ce peignoir mon que je choisisse la bonne tenue

Elodie laissa le peignoir tomber à ses pieds. Elle était nue face à elle, penaude.

- Vous avez un corps adorable Mademoiselle. Mais il faudra me relever ces cheveux pour dévoiler ce petit cou magnifique.

Elodie adorait son cou et son port de tête. Elle savait à quel point il était beau. Cette femme l’avait vu immédiatement.

- Restez la ma petite je reviens dans deux minutes.

Elodie repris ses esprits, n’en revenant toujours pas de s’être mise à nue devant cette femme et de se retrouver coincée dans cet endroit avec cet homme tant désiré. Jess revint avec une petite robe noire parfaitement à sa taille. Elodie fut ravie de l’enfiler au plus vite pour cacher son corps. Mais le tissu de la robe était si fin qu’il moulait ses petits seins tout excités dont les tétons pointaient. Jess s’approcha et les caressa doucement.

- C’est exactement ce que notre clientèle trouve craquant et tout mignon

Puis elle passa derrière elle et lui attacha les cheveux dans une sorte de mini chignon, effleurant son cou si sensible, ce qui la fit frissonner.

- Mais qui donc vous met dans cet état mon ange, est ce moi ou bien ce bel homme qui vous accompagne ?

Trop ravie d’éloigner la lumière sur elle et avec une grande envie de parler d’Eric pour casser ces moments trop sensuels Elodie déballa toutes les circonstances qui l’avaient amenée ici. Jess écouta le flot de paroles qui sortaient mais laissa ses mains glisser vers les épaules d’Elodie et posa ses lèvres sur son cou si sensible. Des épaules, les mains glissèrent vers les seins aux tétons dressés. Et la pointe de sa petite langue experte parcourut le cou d’Elodie dont les jambes tremblaient.



* * * * *

Tranquillement installé dans la salle qui servait de lieu de festivité, je sirotais un ti punch que m'avait préparé le patron, un homme de ma génération que je découvrais plutôt sympa. D'un côté de la salle était disposé le buffet froid, de l'autre le bar. Et au milieu une piste de danse avec une petite partie surélevée pour une sorte de scène... où était installée une croix de Saint André.

Il s’était bien passé une heure depuis mon départ de la chambre. Mais qu’aient-elles bien pu faire pendant tout ce temps toutes les deux. C’est alors que j’aperçu Jess au bout du couloir habillée d'une petite robe noire ultra moulante, avec un décolleté qui permettait une vue plongeante sur ses seins lourds et magnifiques. Ses talons hauts, ses cheveux foncés coupe au carré, ses yeux maquillés très noir, son rouge à lèvres brillant... une dominatrice incontestablement.

Mais là où je fus le plus surpris, c'était de découvrir Elodie qui l'accompagnait. Elle était juchée sur les talons aussi haut que des échasses dans une toute petite robe noire. On voyait ses petits seins aux pointes dressées, et surtout maquillage sophistiqué avec yeux ténébreux et des lèvres ultra sexy. Elle avait attaché ses cheveux, dévoilant un magnifique cou fin et gracile... Whaou ! J'ai failli en tomber de ma chaise... ! Transformée par Jess, c'était une vraie femme sensuelle qui passa devant moi. Et de dos, la hauteur de ses talons surréaliste lui faisait un petit cul de rêve. Sans ses robes sacs habituelles je voyais le rebondi de ses superbes fesses et distinguais même sa fine raie. Elle retourna d'un seul coup la tête et me surpris le regard scotché sur elle. Elle me sourit alors yeux baissés et joue roses, visiblement fière de la surprise qu’elle venait de l’offrir.

Alors là, j'ai bien mis 5mm à m'en remettre ! S'affrontaient en moi l'image plutôt revêche de la copine de ma fille et la femme terriblement sexy de ce soir... J'en repris un ti punch, ce qui fit rire le patron. Il me félicita pour avoir bien joué notre jeu, m’avouant avoir cru qu’elle était une catholique pratiquante prude. Jess et le patron la prirent en charge lui expliquant le fonctionnement du bar et de la caisse électronique de dernière génération.

Et durant deux heures, de l'arrivée des premiers clients jusqu'à la fin du buffet, je vis la sublime patronne Jess aller et venir avec son plateau, prendre les commandes de boissons, et les ramener au clients ravis qui tentaient de glisser parfois leurs mains sur ses cuisses, voire carrément sous sa robe, ce qui me permis de constater qu'elle n'avait pas de culotte... Habilement, à chaque fois elle souriait en se mettant de côté pour les empêcher d'aller trop loin. Il n'y avait que ceux qui commandaient une bouteille de champagne qui avaient certains privilèges. Le temps qu'elle ouvre la bouteille et qu'elle remplisse les flûtes, Jess restait debout les jambes écartées les laissant profiter du spectacle...

Jess donnait les commandes à Elodie qui était derrière le bar. Elle semblait s’approcher trop de son oreille à mon gout et souvent lui poser ses doigts dans le cou. Dieu que cette chrysalide était devenue papillon. Et souvent à ce moment-là, Elodie relevait la tête dans ma direction avec un très léger petit sourire... Quelle provoc ! Mais bon, c'était moi qui l’avais voulu.... Et il me fallait bien reconnaître que j'avais de plus en plus de mal à penser à la petite gamine de l'après-midi face à cette Elo de rêve...


Puis, sur fond de musique plutôt cabaret, Jess annonça le début du spectacle. J’en profitait pour aller au bar face à Elo qui se retrouva seule dans son coin. Elle me confirma que tout allait bien. Son regard était brillant et ses petits tétons pointaient toujours autant une fois mes yeux posés sur eux. Elle me chuchota à l’oreille

- Tout ce qui se passe ici, reste ici.

J’étais ravi que nous soyons dans le même état d’esprit. Je lui donnai mon accord et ses yeux brillèrent de plus belle.

Jess fit venir une belle rousse qui m’avait souvent regardée dans la soirée. Elle était arrivée seule et m’avait visiblement dans son collimateur. J’avais fait comme si je ne l’avais pas vu, souhaitant qu’Elo ne me voit pas en belle compagnie. Une fois sur la scène Jess l'attacha à la croix, bras et jambes largement écartés. Elle releva sa robe en haut des fesses, ainsi que le petit tee-shirt en haut des épaules. Elle était quasiment nue devant nous... Puis ayant saisi un gros martinet noir, elle commença à la fouetter d'abord doucement sur les épaules, le dos, les cuisses. La rousse sursautait à chaque coup, avalant ses cris si ça cinglait trop fort.

Elo avait sa main sur le comptoir, yeux rivés sur le spectacle. Je posai ma main sur la sienne. Je la sentie frissonner et elle ne bougea plus.

Plus la rousse se tortillait, plus Jess prenait plaisir à la fouetter... Cela dit, il y avait une bonne part de théâtre dans ce spectacle. Le patron, que j'appelais désormais Fred, m'avait signalé en début de soirée que les lanières étaient en laine de tricot, et donc très peu douloureuses. Mais la rousse prenait un plaisir non fin et quand Jess s'en prit à ses fesses, tout le monde sembla subjugué par le spectacle.

Puis elle détacha la rousse et la retourna pour recommencer côté pile. Jambes ouvertes elle nous présenta sa chatte sublime, complètement épilée, avec de belles lèvres roses très sensuelles. Un merveilleux fruit qui semblait alors bien juteux que visiblement elle était fière de nous montrer à tous. Les coups de fouet continuèrent sur les seins, le ventre, les cuisses et enfin la chatte... La rousse se tordait autant que ses attaches le lui permettaient. C'était très particulier, il y avait une bonne dose d'érotisme torride dans la salle.

Puis Jess posa son fouet, mit sa main sur le sexe de la rousse et commença à la caresser. Tout en commençant à feuler de plaisir, elle tourna sa tête vers moi...et constata qu'une bosse était en train de pousser dans mon pantalon... Et plus la main de Jess la caressait, plus ma bosse devenait une barre.

Me fixant alors dans les yeux, la rousse se laissa emporter par un orgasme qui la fit se cambrer complètement sur la croix. Tétanisée, après plusieurs soubresauts, elle se laissa retomber, complètement KO... Jess alors s'approcha d'elle et l'embrassa longuement, leurs bouches restantes scotchées durant plusieurs minutes.

Tous les spectateurs applaudirent devant un si beau spectacle après une longue minute d’admiration collective devant cette scène si forte de sincérité.

Détachée, la rousse s'éclipsa au plus vite dans la pièce d'à côté probablement pour se remettre de ses émotions.

La foule revint vers le bar et Elo poursuivit le service. Une demi-heure plus tard, Jess et Fred annoncèrent alors le tirage au sort du "gros lot" de la soirée. La rousse était revenue, et brassa les tickets d'entrée que chaque couple avait déposé dans une urne, et en choisit un au hasard. Jess annonça alors le nom des gagnants, un couple d'une quarantaine d'années qui semblait très heureux. Elle une belle blonde au corps harmonieux, lui bien balancé avec beaucoup de classe.

J’en profitai pour rejoindre mon Elo au bar. Cette fois ci elle fit le tour et vint sur le tabouret à mes côtés regarder le spectacle. Je posai ma main sur sa taille, l’invitant à se rapprocher de moi. Ses joues s’empourprèrent mais elle se laissa faire.

Sur une série de slows très cool, le couple monta sur scène et s'installa dans un coin "alcôve", à la vue de toute la salle bien sûr. La rousse les rejoignit avec une bouteille de champagne et trois verres. La femme ne perdit pas de temps et tout de suite voulu profiter de son lot en relevant la robette pour caresser la chatte rose pendant que l'homme remplissait les verres.

Nous voyant tous les deux côtes à côte avec Elo, Jess me prit par la main et m'amena tout près de la scène, à trois mètres environ du spectacle. Le regard d’Elo était tout triste quand elle me regarda m’éloigner. La rousse me regardait fixement, toujours avec son léger sourire, pendant qu'elle défaisait la ceinture de l'homme et que la femme lui écartait les cuisses. Elle me regardait toujours quand elle sortit du slip une belle queue bien raide et que la femme approchait son visage de sa chatte. Et elle me regardait encore quand elle commença à sucer l'homme et que la femme lui léchait la goulûment la chatte...

A côté de moi, je sentis la main de Jess s'attaquer aussi à ma ceinture, puis se glisser dans mon caleçon. Tout autour de nous, les couples s'étaient pour certains mélangés, pour d'autres échangés. Le temps s'était arrêté, ils étaient tous en train de nous regarder... Et pendant que la rousse se faisait lécher la chatte par la blonde et qu'elle suçait la bite de l'homme, Jess me prit en bouche et me taillait une pipe d'enfer. Hummmmmmm...quel délice !

A moment donné, la rousse commença à onduler du bassin, puis à se contracter et à bloquer sa respiration. Si fort qu'elle se lâcha d'un seul coup dans son second orgasme de la soirée ! Et voyant que l'homme allait jouir, elle sortit sa bite de sa bouche au moment où il déchargea de longues saccades de sperme qu'elle dirigea sur ses seins.

C'était très excitant. A tel point que je dis à Jess :
-Heu... attention ... Je vais venir... !

Mais celle-ci ne lâcha pas ma queue pour autant. Bien au contraire, elle me suça encore plus fort. Si fort que je jouis longuement dans sa bouche en lâchant de longues et lourdes salves de ma liqueur la plus intime. Véritable experte, elle garda tout en bouche le temps que mon corps se détende, puis se calme...

Alors, la bouche pleine, elle serra bien ses lèvres autour de ma queue, puis se retira doucement en me regardant d'un air amusé. Puis elle se dirigea vers la rousse lui tendit ses lèvres et échangea avec elle un baiser langoureux.

Quand Jess revint vers moi, la rousse me regarda fixement, puis ouvrit sa bouche doucement en mettant un peu la tête en arrière. Sa bouche était pleine de ma liqueur blanche ! Jess lui avait transmis mon sperme... La rousse toujours en me regardant fixement l'avala avec un soupir de grande satisfaction .... Et quand elle eut bien dégluti, une dernière goutte coula sur son menton. Elle passa son doigt dessus pour la récupérer et, ses yeux dans mes yeux, suça longuement son doigt avec gourmandise...

C'était la fin des shows sous les applaudissements des spectateurs comblés. Puis les couples partirent ensuite s'encanailler dans les alcôves ici et là.

C’est un peu penaud que je revins vers le bar. Elo pleurait, son maquillage avait coulé. J’étais un gros con. Un mec débile qui ne sait pas résister au sexe ni aux tentations. Visiblement Elo en pinçait pour moi et voilà que pour une pipe je venais de rompre tout le charme de cette soirée.

Jess arriva derrière le bar et consola Elo dans ses bras sous mes yeux.

- Je t’avais dit que ce mec n’était pas pour toi.

Une grande colère monta en moi tandis que Jess caressait mon Elo et lui posait des petits baisers dans le cou avant de l’embrasser longuement. La rousse arriva sur ces entrefaites, cola ses seins contre moi et posa sa main sur ma queue toute bandée.

- C’est trop mignon ce que tu regardes là. Tu viens on va s’isoler tous les deux.

Conscient que c'était mal parti pour moi, je pris la rousse par le bras et lui dis gentiment

- Merci à vous, mais je vois bien ou vous voulez en venir. Coucher toutes les deux avec Elodie. Bonne soirée à vous.

Et je regardais Elo, qui voyant mon regard baissait les yeux.

- Bonne fin de soirée, lui dis-je en m'approchant d’Elo qu'elle seule entende.

- Je sais que je n'ai pas été correct...mais je te souhaite une bonne nuit. Tu es une femme bien, et j'ai tout gâché. Mais je suis sûr que tu vas trouver du réconfort avec Jess... Cette salope de Jess avait visiblement tout manigancé pour nous séparer.

Sur ce je sortis de la salle. Une si belle soirée qui finissait tristement pour moi... Et comble d'infortune, dehors, le vent soufflait fort et la neige recommençait à tomber.


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Je pris une longue douche et m’installa nu sous les couvertures de mon lit de fortune, faute d’affaires de rechange. Je ne parvins pas à trouver le sommeil. J’avais une grande haine en moi. Tout d’abord contre moi même. De m’être laissé abusé par les manipulations de Jess, une calculatrice hors pair. Elle avait dû r d’Elodie en la préparant pour la soirée. Toutes ces coups bas de femmes m’énervaient. Il neigeait abondamment dehors. Le vent qui soufflait fort passait au travers de divers endroits de la toiture juste au-dessus de ma tête, en sifflant lugubrement. On se serait cru dans un manoir hanté !

Il était un peu plus de minuit quand je m’étais couché et Elodie arriva vers deux heures du matin. Sincèrement je pensais qu’elle coucherait ailleurs, probablement avec la rousse ou à nouveau avec Jess, pourquoi pas avec les deux. J’avais imaginé dans tête plein de scénarios à la fois frustrants et terriblement excitants.

Elo, essaya de ne pas faire de bruit et partie immédiatement prendre une nouvelle douche. Je suis sûr qu’elle venait de faire l’amour et qu’elle cherchait à m’en cacher les traces. Je dus me retenir pour ne pas aller la rejoindre. Elle en sortit en peignoir et s’approcha de moi pour voir si je dormais ou pas. Lentement elle s’agenouilla au pied du canapé.

Je faisais semblant de dormir et avait les yeux plissés. Je pouvais entrevoir le décolleté d’Elodie, devinant ses petits seins pointés comme à chaque fois que je déposais mes yeux sur eux.

- Je suis désolée Eric murmura-t-elle. Je suis un peu perdue et ne sait plus trop où j’en suis. Tout est allé si vite ce soir. Tout s’est enchainé de façon incroyable. Je n’ai pas su comment gérer. Je suis désolée.

Je crois bien qu’elle pleurait. Elle glissa ses petits doigts sous ma couette à la recherche de ma queue

- Excusez-moi Eric, j’espère que vous allez me pardonner ?

Elle se faisait toute douce et semblait très sincère dans ces propos. Quand elle trouva ma queue bandée il m’était impossible de continuer à faire semblant de dormir. Et comme j’étais énervé je m’entendis dire

- Tu es vraiment une petite salope !

Elle se figea sur place. Je lui en voulais de ne pas m’avoir suivi quand j’étais parti au lit. Elle aurait dû rentrer avec moi au lieu de rester avec ces deux pestes.

- Oui je suis cette fille-là Eric. Vous avez raison. Je suis une petite salope.

J’étais un peu surpris de sa réponse et qu’elle assume cela. Cette fille était surprenante compte tenu de tout ce que j’avais découvert sur elle en quelques heures. Sa main caressait ma queue. Encouragé par sa réponse je poursuivis

- Tu es une petite salope car tu as couché avec Jess avant le service n’est-ce pas ?

Ses petits doigts décalottèrent mon gland

- Oui m’avoua t’elle, elle m’a prise par surprise et c’était très excitant. Elle embrasse divinement bien.

Elle commença à me masturber lentement

- Tu es une petite salope car cela fait longtemps que tu as envie de moi ?

- Oui Monsieur, très longtemps

Voilà qu’elle me donnait du Monsieur maintenant. Ses effleurements se firent plus précis

- Et tu t’es caressée sur moi ?

- Oh oui Monsieur, très souvent. Cela fait plus de dix ans que vous êtes souvent dans mes rêves.

Je fus surpris moi-même de ce chiffre. Ses caresses se firent plus douce. Je laissais du temps entre chaque question pour réfléchir mais aussi apprécier l’instant.

- C’est toi qui as demandé à ma fille de passer te chercher pour être avec moi ?

- Oui Monsieur, mais votre fille ne se doute de rien.

Je commençais à comprendre

- Et là tu viens de coucher avec Jess et la rousse

- Juste la rousse Monsieur

Quelle salope cette rousse, elle n’avait pas pu m’avoir donc s’était rabattue sur Elo. Sauf si Elo était la cible depuis le début

- Et là tu as envie d’une belle queue ?

- Oui Monsieur, juste de la vôtre, aucune autre

- J’imagine qu’il y avait pas mal de candidats ce soir

- Oui Monsieur Jess m’a présenté à beaucoup de monde

Elle me masturbait avec générosité et douceur

- Elle a fait cela parce que tu es une petite salope ?

- Oui Monsieur et elle m’a demandé de sourire à chacun d’eux et de les séduire.

- Et tu as aimée cela

- Oui Monsieur, mais je n’avais pas envie d’eux, juste de vous.

Prouvant ce qu’elle venait d’avouer elle souleva la couette et s’empara de ma queue avec délicatesse. Absolument pas comme Jess l’avait fait un peu plus tôt. Elodie était tout en douceur et en féminité. En caresse, en effleurements, de ses petits doigts, de ses lèvres, de la pointe de sa langue. La magie opéra dans la chaleur de sa bouche. Quand je posai ma main dans ses cheveux je la sentie tressaillir.

- Tu aimes quand je te guide hein ?

Un autre frisson la parcourue. Elle hocha la tête, empalée qu’elle était de ses lèvres autours de ma belle queue. J’attrapai ses cheveux et lui imposa le rythme qu’il me plaisait. Le résultat fut immédiat sur elle. Elle jappait d’impatience sur place.

- Tu aimes vraiment être cette petite salope là

Elle semblait réagir à mes mots avec un plaisir intense. C’est donc dans un rythme plus poussé que je passais de sa bouche chaude à sa gorge, m’enfonçant en elle, dans sa chaleur et son humidité la plus intime. Et visiblement cela eut un grand effet sur elle. J’accélérait le rythme et rapidement elle cherchait sa respiration. Ma queue venait taper sa glotte et lui donnait envie de vomir. Sa salive sortait de sa bouche sans contrôle et son état d’excitation était au comble.

- Avale ma petite salope, avale

Ma respiration était coupée et mon corps tendu. J’enfonçais sa petite tête au plus profond de ma queue et éjacula tout ce qui étaient en moi au plus profond de sa gorge. Il me sembla décharger en elle les jets les plus puissants de ma vie. Figée autours de ma queue elle resta en apnée le temps que mon sperme coule en elle. Elle reprit sa respiration.

- Rends-moi ma queue toute luisante ma petite salope

Elle s’exécuta, léchant mon sexe et s’en occupant de nouveau avec douceur tandis qu’il ramollissait. Je n’en revenais pas des mots que je venais de sortir, mais le contexte de la situation m’avait poussé à dire cela. Elodie se faisait de plus en plus douce avec moi. Je la sentie frissonner de froid.

- Viens Elodie allons dans ton lit

Le vent redoubla d'intensité, et si je n'avais pas fait confiance à la technologie Suisse, on aurait pu penser que le toit aller s'envoler...

- Éric, j’ai peur du vent ... S'il-vous-plaît, collez-vous contre moi..., cela me rassurera. S'il-vous-plaît Éric, j'en ai vraiment besoin...

Évidemment, j'ai n’ai hésité qu’une milli seconde... Mais il faut bien reconnaître que vu l'intensité de la bourrasque, je ne me suis pas longtemps posé de question. Elle était complètement recroquevillée en chien de fusil, et j'ai collé mon torse contre son dos en l'enlaçant de mes bras. Si je l'ai senti se détendre en venant coller ses hanches contre mon ventre, j'avoue que la chaleur de son corps contre le mien me faisait du bien.

- Merci Éric, je me sens mieux... J'aime que vous me protégiez ainsi... Je me sens toute petite dans vos bras... Je suis si bien...

C'était vrai. Nous étions bien. Je chassais de mon esprit l'image de la copine de ma fille, quand elle avait 14 ans, pour ne penser qu'à ce bonheur d'être là. Car dans ma tête je l’imaginais adolescente en train de se masturber en pensant à moi. Dire qu’elle avait fait cela pendant tant d’année sans que je la calcule.

Même dans la tourmente de cette bourrasque neigeuse, elle se détendait complètement contre moi, et je sentis son cou près de mon visage, son cou si délicieux que j'avais admiré durant la soirée. Alors, pour la rassurer encore mieux, j’y déposais un baiser doux à la limite de l'épaule.

- Oui Éric, c'est si bon, si doux... Merci...

Je souris, et je déposais de multiples baisers en remontant vers la nuque, vers les oreilles, puis en redescendant de droite à gauche...Je l'entendais ronronner comme une petite chatte. Puis, je sortis le bout de ma langue et la posais ici et là en faisant des petits "touchers" tendres. Elle semblait adorer ça. Alors elle se colla contre moi, prit mes mains et les posa sur ses petits seins... et ses tétons tendus. Et là il est clair que nous sommes entrés ensemble dans une nouvelle dimension.

Entre les doux petits lèchements de ma langue sur son cou sublime, les baisers dans ses doux cheveux, et mes mains qui commençaient à caresser ses seins, je commençais à rebander sérieusement. Et elle devait s'en rendre compte car elle poussait ses fesses vers ma queue par des petits mouvements rotatifs de hanches...jusqu'à ce que mon sexe vienne se caler entre ses mignonnes petites fesses.

Et là, le temps s'est arrêté pour nous. Il n'y avait plus d'homme mûr et de copine de ma fille, mais une belle communion entre une femme et un homme qui se désiraient. C'était très beau, un grand moment pour nous deux. Je sentais son petit cœur battre et me cala en harmonie sur sa respiration.

Alors je vis qu'elle descendait sa main sur son ventre, puis qu'après une courte hésitation elle la descendait plus loin pour venir la glisser entre ses cuisses.

Et là, pendant que j'embrassais et mordillais doucement son cou tout en pressant ses seins et en pinçant ses pointes dressées bien dures, elle faisait onduler ses hanches pour que mon sexe glisse très légèrement entre ses fesses et finalement entre lentement en elle. Le moment était délicieux et unique. J’étais en elle, dans sa chaleur bienveillante, elle ondulait des hanches, s’empalant un peu plus en moi, tout en se caressant le clito.

- Fais-toi jouir ma petite salope

Et plus je pinçais fermement ses pointes de seins, plus sa main s'activait entre ses cuisses, ses fesses coulissant de plus en plus vite autours de ma queue...

- Ma petite salope qui a couché avec deux grosses salopes ce soir Jess et la rousse

Eldoie feulait de plus en plus fort...

- Ma petite salope qui a avalée tout mon sperme chaud

Empalée autours de ma queue, elle faisait des mouvements de bassin de plus en plus longs et langoureux

- Ma petite salope qui rêve de ma queue depuis dix ans

D'un seul coup son corps tressauta plusieurs fois alors qu'elle tentait d' ses cris de jouissances en enfonçant sa tête dans l'oreiller... Elo, mon Elo venait de jouir. Hummmmmmm... C'était magnifique, un beau cadeau qu'elle m'offrait là. Quel plaisir de sentir des spasmes dans son bas ventre et une belle chair de poule sur ses cuisses.

Décidément elle semblait très excitée d’entendre le pouvoir dès que je prononçais pour elle. J’avais touché une corde très sensible là. Et c’est avec toute la fierté du mâle flatté qu’à mon tour j’explosait en elle. Surpris qu’autant de sperme puisse être produit si rapidement. Elo était mienne, je la possédais et Dieu que ce feeling était bon.


Nos corps redevenus calme, nous restâmes un bon moment collé l'un contre l'autre sans bouger, emboîtés, ne faisant plus qu'un. Un moment de félicité exquis.

Puis, elle se retourna face à moi. Me souris et me tendis ses lèvres. Notre baiser fut passionné et suave. Nos lèvres se sont collées, nos langues se sont mêlées, nous nous sommes dégustés avec délice. Quel plaisir d'embrasser cette petite et douce salope d’Elodie...


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