Champs Elysées
Ma femme m'avait toujours promis que le jour où je lui offrirais le manteau de fourrure de ses rêves, elle descendrait
les Champs Elysées, nue sous son nouveau manteau. Pour nos dix années de mariage, je lui offrais donc ce fameux
manteau qu'elle avait vu en vitrîne et, bien entendu , je lui rappelais sa promesse .... Comme il s'agissait d'une
première, j'acceptais qu'elle porte quand même sous son manteau un soutien gorge redresse-seins - qui mettrait
encore plus en valeur sa magnifique paire de seins - , un porte - jarretelles noir et une paire de bas de soie.
Pari tenu, samedi soir, par grande affluence, nous sommes donc allés dans Paris et, après avoir garé la voiture à
deux pas de l 'Etoile, j'ai emmené ma femme , nue sous son manteau, sur les Champs. Je dois dire que , sur la route,
j'avais profité de la situation pour déjà entrouvrir son manteau , lui passer la main droite entre ses fesses, lui
caresser le clitoris déjà excité et recueillir sur mes doigts sa première jouissance. Je m' étais alors léché les doigts
avidement, ce qui n'avait qu'augmenté l'excitation de ma femme.
Nous choisîmes, bien entendu, le côté gauche des Champs, celui où il y a le plus de personnes déambulant. Comme
la température était douce, le manteau de fourrure de ma femme attira très vite l'attention. Elle-même commença à
avoir chaud sous son manteau et je lui proposais donc de l'ouvrir ! Elle ne se dégonfla pas et le déboutonna
complètement. Je pus ainsi, à ma guise, en fonction des personnes qui arrivaient en face de nous, entrouvrir, voire
ouvrir le manteau de ma femme et l'exhiber à ces inconnu(e)s .
Le succès de ma femme était assuré et les regards qu'on lui jetait étaient éloquents, souriants, voire admiratifs.
J'entendis même un homme dire à sa femme : "tu vois, tu n'en serais pas capable, hein !"
Arrivés au Rond- Point des Champs Elysées, nous vîmes arriver plusieurs étrangers, en goguette, déjà
passablement éméchés.
des compliments qui méritaient récompense.
Nous les invitâmes donc discrètement à nous suivre et nous entrâmes dans les jardins précédant la place de la
Concorde.
Un banc s'offrant à nous devant un bosquet, je m'y laissais tomber , et me mis en position afin que ma femme me
fasse une pipe digne de ce nom. Je fis signe à nos nouveaux compagnons de se disposer afin de bénéficier du
spectacle. Ils ne se firent pas prier et, sans l'ombre d'une hésitation, se sortirent la pine et commencèrent à se
masturber tout en nous observant.
Comme je ne voulais pas que ma femme salisse son beau manteau de fourrure tout neuf, je le lui avais remonté
jusqu'à la taille, laissant son cul nu à la vue de cete bande de fêtards en train de se masturber .
Au bout de quelques minutes, ma femme se retourna et vint s'empaler la chatte sur mon sexe en pleine érection. La
vue de cette bande de masturbateurs l'excita au point qu'elle commença, elle aussi, à se masturber allègrement. Et
elle s'enfonçait de plus en plus, ce qui me permettait de sentir son excitation grandir. D'autant qu'elle me serrait le
gland comme une de ses amies lui avait appris à le faire. Je sentis soudainement un petit jet brûlant sur le bout de
mon sexe, prélude à l'éclatement de ma femme.
Je voulais la totale et, comme j'avais profité de cette nouvelle position pour la préparer et lui entrer un, puis deux
doigts dans son anus, je sortais soudainement de son sexe et la pénétrais violemment dans son petit cul. Ma femme
se mit à hurler de bonheur, cris que le trafic automobile couvrait à peine.
A la vue d'un tel spectacle, nos admirateurs se mirent à éjaculer les uns après les autres.
Ce qui incita ma femme à se retirer de mon sexe et à entreprendre de le faire jouir dans sa bouche.
J' étais en extase et réussis quand même à lui demander de garder mon foutre dans sa bouche afin que nous
puissions en jouer tout en retournant à la voiture après avoir récupéré et salué nos partenaires de jeu .
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