Aurore ..Education D'Une Jeune Femme. Acte 1
Je me prénomme Aurore , j ai 43 ans. Jai décidé de prendre ma plume pour poser par écrits mon histoire sentimentale et je vous avoue ne men être jamais remise. Il ne se passe pas une journée sans que j ai une pensée pour lui, cet homme qui a bouleversé ma vie.
Je suis fille unique et je résidais avec mes parents dans un petit immeuble du centre ville versaillais. Nous possédions une résidence secondaire sur la cote, pas très loin de Deauville et mes parents sy rendaient presque tous les week-end .
J avais vécu quelques expériences amoureuses de jeune fille.. Des bisous , puis une défloration douloureuse , menée dans la chambre dun garçon aussi inexpérimenté que moi, alors que nous venions davoir 17 ans tous les deux . Dautres rapports, sans émotions, sans jouissance, sans orgasme juste pour faire comme je pensais qu il fallait faire.. je ressentais beaucoup de gêne car sans vraiment le savoir, je souffrais dune sécheresse vaginale. Je navais pas perçu encore les causes de ce dérèglement et je pensais tout simplement que cétait comme ça. Bien évidemment ce garçon ma quitté, aujourdhui je le comprends, cela devait être décevant pour lui aussi et je devais donner l impression d être dune fadeur pitoyable . Une autre expérience, avec un garçon âgé dune année de plus que moi , ne ma pas provoqué démotions complémentaires ..Jentendais parfois dautres filles évoquées leurs relations et là vraiment, à les écouter, jen venais à me dire qu elles en rajoutaient beaucoup trop quand même.
Je viens davoir 18 ans : je suis brune des cheveux mi longs tombants sur mes épaules , yeux bleus , 1 mètre 66 pour 48 kg , une poitrine de 85 c . Oui je suis jolie et je le pense encore aujourdhui..
Je suis de nature cependant très réservée, très bonne élève consciencieuse et un peu pudique. Je pratique du hand-ball et dans les douches collectives des après entraînement , je suis plus du genre à chercher à dissimuler mon sexe que de lafficher comme certaines filles.
Jétais restée seule ce week-end à Versailles, on était samedi soir au environ de 22 heures . Je faisais tourner le lave vaisselle et je suis allée me doucher et me changer. Pas de maquillage, un long tee shirt usé me couvrant les fesses, une culotte en coton, pas de soutien gorge laissant libre ma poitrine . Une tenue décontractée avant d aller me poser devant un film ..mais en allant dans la cuisine me servir un verre deau au robinet , lhorreur , une mare deau sur le sol venant de dessous du lave vaisselle. je pataugeais littéralement , j étais en panique totale , langoisse au ventre je ne savais que faire ..
Je sors de l appartement et je file frapper et sonner à la porte du voisin. Il mouvre , je lui explique en panique et il me suit jusquà la cuisine .. il découvre les dégâts et me dit de ne pas m inquiéter , il extrait le lave vaisselle de son logement et se faufile dans lespace libre. cest là que je prends conscience quil est simplement vêtu dun peignoir. Je lentends dire que c est pas grand-chose , de ne pas minquiétez et je le vois se contorsionner pour essayer de resserrer quelque chose. Il se déplace encore un peu pour se mettre presque sur le dos et là
.. son peignoir sentrouvre
.sa tête, son torse sont sous le meuble, seules ses jambes gesticules au fur et à mesure quil sactive ..jai alors la vision de son bas ventre nu .. des cuisses musclées
la vision dune touffe de poils très noir couvrant son pubis mais
mais alors une verge dune épaisseur et de taille incroyable à mes yeux, j en ai eu le souffle coupé net , ma bouche a du souvrir .. mes yeux fixés ne quittant plus cette vision, je voyais son pénis bougé en mème temps que lui bougeait , elle semblait lourde dans les mouvements que ses gesticulations provoquaient. Je me suis arrêtée de respirer , ne pouvant détacher mes yeux , jobservais
jai presque mis mes mains sur ma bouche quand japerçus ses testicules , dune taille proportionnée à son sexe .
Patrick :
Patrick enchanté
Moi :
.. heuuuuu Aurore . Merci merci beaucoup
. que dois je faire
Patrick : .. ben si vous voulez demain je jette un il , vos parents rentrent quand ?
Moi : Ils rentrent lundi dans la journée ..
Patrick : bon ben Aurore je passe demain daccord ?
Moi : Oui.. oui daccord
.
Nous pataugions dans leau tous les deux, je suis allée chercher deux serviettes pour nous essuyer un peu ..en revenant, Patrick cétait assis sur un tabouret bar, je lui tendis une serviette et il s essuya ses jambes et ses pieds . Je fis pareil sur un autre tabouret , jétais encore sous le choque de ma vision, je ne faisais pas attention quand m essuyant les pieds , jentrouvrais largement mes cuisses et quil avait une vision parfaite de ma petite culotte en coton . Il s est levé en souriant, me tendit la serviette . A demain Aurore
.En le raccompagnant à ma porte, jen tremblais encore mais jai réalisé que à ses cotés jétais une puce, lui qui mesure 185.
Patrick à 52 ans , oui vous avez bien lu. Cest notre voisin depuis une année, on ne se dit que bonjour et au revoir , on se parle pas. On pense quil vit seul mais régulièrement une femme très distinguée lui rend visite .. une rousse très féminine qui doit avoir dans les 45 ans ..
Je refermais la porte, restant un instant sur place , réalisant à peine, mon souffle revenait difficilement .
IL est 10heures 17 , jouvre les yeux. On est dimanche matin , je métire , jai dormi avec un vieux débardeur.. Je porte dinstinct, par intuition, une main sur mes draps , entre mes cuisses ,pour constater quils sont trempés
Je respire fort, je me remémore mes rêves , je revois en image son sexe, pourtant pas en érection, mais si
. si imposant. Ses testicules .. mon dieu, deux grosses poches comme deux petites poires
Son prépuce dessinant son gland que mon esprit a encore du mal à concevoir son galbe généreux .. presque un abricot .. Je me lève, les yeux encore endormis, je me prépare un chocolat chaud . Je revois en image cet homme.
..ho mon dieu .. heuuu . Un instant
je file dans ma chambre et att la première culotte qui me vient , je lenfile en sautillant dans le couloir., la vision du miroir du hall dentrée me renvoies mon image, ébouriffée, j essaye de me recoiffer un peu , j aperçois que les trois quart de ma poitrine est visible avec ce débardeur trop lâche mais il couvre mes fesses ouf .
Patrick : bonjour Aurore .
( il porte un pantalon coton foncé sur une chemise entrouverte qui laisse séchapper une touffe de poils
..)
Moi : Heuuu bonjour Monsieur
Patrick : ha pardon je suis un peu trop matinal je vois
Moi : heuu . Non c est pas grave ..
Patrick : j en ai pas pour longtemps
( je m efface pour le laisser entrer. Japerçois furtivement son regard sur moi , son regard froid qui visiblement a capté que je suis négligée . Je le surprends presque, alors quil est déjà dans la cuisine à extraire le lave-vaisselle , à passer son regard sur ma poitrine libre sous le frêle tissus , sur mes jambes fines presque intégralement visibles. Je tire négligemment sur le bas du débardeur qui couvre juste le bas de mes petites fesses bombées . Ses yeux passent subrepticement de mon corps à mes yeux. Je l observe alors qui s allonge dans l emplacement laisser libre et je ne peux mempêcher de regarder son entres jambes. Me laissant redessiner ce que j ai pu apercevoir hier soir, il y a du volume ça semble conséquent. Sa chemise remontée dans l action laisse apparaître encore des poils sur son ventre un peu bedonnant . Je ne comprends toujours pas ma réaction dhier. Le moment est pesant, je ne suis pas à laise.. je croise mes bras pour dissimuler que je suis négligée, une sensation de honte de mafficher ainsi , une gène à me rendre la bouche sèche..
Patrick : aurore, je veux bien un café sil te plaît j ai presque fini ..
Moi : ha oui daccord,
Jétais face à lévier, je sursaute, je sens sa présence derrière moi, il sapproche , se colle presque à mon dos, passe ces deux bras de chaque coté de mon torse, sous mes bras et place ses mains sous leau qui sécoule..il se lave les mains
Patrick : j ai presque fini
Je sens son souffle dans mon coup , son visage au dessus du mien , il se rapproche encore, se colle à mon dos , je respire plus , je perçois toute sa masse contre moi, son bas ventre touchant le bas de mon dos
en se lavant les mains , ses bras se resserrent d avantage sur moi , ses biceps frôlent à toucher parfois ma poitrine ..étant plus grand que moi , sa vue est plongeante et aucun doute que toute ma poitrine lui est visible. Jentends presque ma respiration saccélérée. Il se colle davantage, son torse contre mon dos, son bassin , son
.. son .. hooo je sens quasiment sa verge se raidir et je sens
rhoooo quelle sallonge .. ouiii je la sens contre ma colonne vertébrale . Je respire de plus en plus fort .. mon sein droit est mis à nu par un des ses mouvements plus brusque . Je l entends respirer fort aussi à mon oreille ..je sens un bâton sur mon dos .. je suis tétanisée, je retiens ma respiration...
Patrick : tu mouilles comme hier soir Aurore ?
Moi :
..
Patrick : tu as tellement mouillée ta petite chatte que je la voyais presque par transparence..
Moi :
..
Patrick : hummm tes petits tétons érigent Aurore
Il att une serviette et s essuie les mains sans se retirer, jette la serviette et sa main droite se pose sur mon sein libéré , il le soupèse comme pour tester une marchandise et ses doigts titillent mon téton
son autre main se pose sur ma hanche et glisse, en me caressant jusquà ma cuisse .. avant .. de remonter , sarrêtant sur la bas de ma fesse , la soupesant aussi , la caressant un peu . Sa main droite lâche mon sein pour se poser sur mon ventre , son autre main lâche ma fesse pour venir se poser sur ma nuque .. dune pression légère mais appuyée , il me penche en avant, mes avants bras sur lévier ..ses deux mains se posent sur mes hanches par dessous mon débardeur. Ses doigts attnt les bords de ma culotte et je sens quil la tire vers la bas. Elle descend doucement jusquà libérer mes fesses. Il nest plus collé à moi, je sens quil regarde ce quil fait ..le bas de ma culotte est encore en contact avec ma vulve. Il doit regarder
oui il saccroupit pour mieux jouir du spectacle que mon petit cul rebondi doit lui offrir. Je sens quil tire ma culotte de coton vers le bas encore , je récents la séparation de celle ci et de ma vulve, je mouille abondement .. oui je le sens , je coule littéralement.
Patrick : hé bien Aurore. Quelle belle démonstration ..
Ma culotte sur mes chevilles, je sens ses deux mains se poser à lintérieur de mes cuisses et dune pression, il mouvre les jambes, je mécarte, jouvre mes cuisses. Hooo mon dieu quelle vision il doit avoir.
Patrick : tes lèvres intimes un peu saillantes sont divines Aurore
.. Tu prends la pilule ?
Moi :
. oui Monsieur.( ma voix est chevrotante )
Patrick : Je préfère , je navais pas lintention de me retirer de toute façon ..
Moi :
( totalement dans lincapacité de dire un mot
.)
Je sens quil approche encore son visage de
de mes fesses ...
Patrick : hooooo, tu es odorante Aurore
.
Ca me fait leffet dune claque, je suis humiliée mais
.. je mouille
Jentends une fermeture éclaire , un bruit de tissus et le glissement de celui-ci sur le sol. Il se rapproche de moi à me toucher , je sens sa colonne de chair se poser sur mon sacrum et le bas de mon dos , elle est lourde, oui je perçois son poids . Il reste un peu ainsi, ses mains sur mes hanches, je sens ses testicules sur la peau douce de mes fesses. Je sens quil prend son sexe en main , ses genoux écartent encore mes cuisses, son gland ouvre mes grandes lèvres de jeune femme, il le frotte un peu de bas en haut , de haut en bas , dessinant de bout de son gland mes détails intimes.. Mon clitoris frissonne quand il vient le toucher, le frottant un peu avant de se positionner à lentrée de ma vulve .. Ho mon dieu comment il est gros , je le sens pousser doucement , son gland ouvrant doucement ce passage étroit , je sens sa puissance , chaque millimètre métire encore et encore , élargissant au maximum de sa souplesse mon jeune vagin, son gland est en moi, jen ressens mes muqueuses distendues. Ses deux mains sur mes hanches, je le sens pousser , pousser sans plus sarrêter. je pousse un râle fort et discontinue depuis quil me pénètre. Les orbites de mes yeux se sont ouverts proportionnellement à son introduction. Patrick 52 ans est entrain de me baiser , moi aurore 18 ans. Mon râle ne cesse pas, il sintensifie même quand Patrick commence ses vas et viens en moi. Il y va doucement et je sens mon vagin s étirer vers l extérieur à chaque recul de sa verge Ma bouche ne laisse sortir que des ha ha haaaa ha ha haaaa rhaaaaa rhaaa. Il doit plier ses genoux pour pouvoir me prendre ainsi , je sens parfois ses couilles lourdes taper sur mes cuisses. Ses mains attnt mes avants bras,et les maintiennent tirés vers larrière. Il accélère, chaque perforation marrache un cris , chaque retrait de sa queue épaisse marrache un râle profond. Ses testicules flagelles mes cuisses. Je hurle, je jouis .. j ai un orgasme.. jai lorgasme qui me terrasse , dune sensation dont jignorais tout, dun ressenti indescriptible . Il se raidit , sa queue profondément en moi , à sentir chaque jets puissant de son sperme . Ses mains sur mon ventre, il me redresse, toujours en moi ..je flageole des jambes, je tremble. Ma respiration se calme à peine. Je sens quil se retire, de ma petite chatte, là encore je le sens étirer mon vagin Un bruit sourd lorsquil en sort comme celui dune ventouse, un gros flop provoqué par une tombée de sperme quittant ma chatte, éclaboussant le carrelage. Je sens que ça coule entres mes cuisses. Mon dieu je regarde au sol la flaque .. rhooo mon dieu. Je l entends remettre son pantalon, le bruit de la fermeture éclaire ..
Patrick : retourne toi Aurore
Je me retourne, ma culotte est sur le sol, un sein sort de mon débardeur que je tire comme une pour dissimuler mon intimité.. mes yeux humides, Il me tends sa main et machinalement je lui tends la mienne. Il mattire à lui, son regard me sonde, ses yeux me transpercent ..il passe ses doigts dans mes cheveux toujours ébouriffés ..
Patrick : tu fais pas semblant quant tu jouis Aurore, c est bien jaime ca
il tire mon débardeur vers le haut, dévoilant mon sexe poilu...Il le regarde puis me fixe des yeux..
Patrick : jaime aussi par contre tu vas domestiquer un peu tout ça.
Il passe un doigt sur laine me provoquant des frissons .
Patrick : ici je te veux a blanc, tu menlèves tout ça là et là , inutile de raccourcir là ça me va.
Utilisant de nouveau ses doigts , il détaille entres mes cuisses ce que je dois supprimer ou conserver. Chaque frôlement dun doigt me fait couler de nouveau . En suivant des yeux ses paroles j aperçois du sperme sur mes cuisses, des filets dun mélange de mouille et de sperme pendent de ma vulve..
Patrick : bien Aurore, je repasse ce soir
...
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