Ma Cousine Sylvie

Sylvie est vraiment une grosse cochonne
après une bonne partie de jambes en l'air où j'ai pu baiser Pascale ma femme, je ne voulais pas en rester là.
Je décidais d’aller baiser Sylvie, je suis allé dans sa chambre pour me consacrer à son joli petit cul
Sylvie était entièrement nue sur le lit, je me suis approché d'elle et je lui ai dit
- je veux te baiser, je te veux, je veux être en toi et profiter de ton cul de salope
Elle s'est couchée sur le dos, les jambes écartées. Je pris ses seins dans mes mains et me suis mis à sucer ses tétons. Sylvie fermait les yeux, sentant mes mains descendre sur son ventre et entre ses cuisses. Elle me disait
- oui Franck va y tu me rends folle, avec ta langue, je veux que tu me lèches partout, suce ma chatte, je mouille, je suis folle de toi.
Je collais ma bouche et je me mis à lui lécher sa chatte qui ruisselait de mouille. J'ouvris ses lèvres de mes doigts et y enfonçais la langue, pendant ce temps elle se caressait les seins, je bandais comme un taureau, je me suis relevé entre ses cuisses, j’ai sortis ma queue et le lui ai enfoncé d'un coup sec. Elle criait
- vas-y, j'aime te sentir en moi comme l'autre jour, je te sens bien en moi, ouiii vas-y baise-moi fort.
Je me mis à la baiser, lui donnant de grands coups, je voyais ses seins se balancer, je limais sa petite chattes je sentais ma queue entrer et sortir en elle, je sentais ma queue cogner au font de sa chatte.
Elle m'entourait les hanches de ses jambes, se mordant les lèvres pour ne pas hurler, je lui ai relevé les jambes pour bien la posséder, je vis apparaître ses fesses, son petit trou, je le caressais d'un doigt puis lui enfonçais dans son petit trou. Elle serra les fesses, j’ai retirais mon doigt de son cul, puis j'ai retourné Sylvie, lui écartement les fesses, je l'ai prise par les hanches et je me suis enfoncé profondément dans sa chatte à nouveau.
Je bandais de plus en plus fort, elle jouit une première fois en sentant ma queue dressée en elle, elle agrippait les draps et hurlait.

- Je jouis, c'est bon, je sens ta belle queue me baiser, c'est chaud, c'est gros, je veux que tu jouisses toi aussi, je veux sentir couler ton jus en moi, arrose moi, gicle, oui vas y, donne-moi ta sauce.
Elle remuait bien du cul, ma bite était toute gluante de son jus, je sortis ma queue de sa chatte et la présentais à l'entrée de son cul, elle referma les fesses en disant
- non Franck, pas ça, tu es trop gros, je vais hurler et Pascale va se réveiller
D'un coup, je me trouvais en elle, jusqu'aux couilles, enfoncé dans son cul, elle devenait folle et remuait dans tous les sens, poussant des cris, je me mis à lui taper sur les fesses, elle hurlait
- tu vas me déchirer avec cet engin, tu es fou, tu me fais mal, c'est vraiment trop
Je me mis à aller et venir en elle, je sentais ses muscles me presser la queue, je sentais le plaisir monter en moi, elle se détendit et je pouvais enfin la sodomiser.
Je l'enculais par des pénétrations profondes, puis lentes, elle s'ouvrit au maximum et commença à onduler furieusement, et à me dire
- tu vas me déchirer avec ta grosse queue
Puis soudain elle hurla
- oui, vas y encule-moi bien à fond, je te sens dans mon cul, encore vas-y,
Là, Pascale entra dans la chambre, me regarda en souriant et me dit
- vas-y mon chéri, défonce lui le cul, fais-la hurler
Je ne pouvais plus tenir bien plus longtemps, je m'agrippais à ses fesses et donnais mes derniers coups de reins en elle, je me mis à jouir longuement et j'éjaculais dans son cul. Je jouis en giclant tout mon jus, je me suis effondré sur elle puis tout en restant enfoncé dans son cul je l'ai retournée, elle était sur moi, ma bite dans le cul, les jambes écartées et levées. Là, j’ai demandé à pascale de venir me sucer les couilles et doucement ma queue a récupérée toute sa vigueur. Sylvie s'est mise à monter et descendre sur ma queue, puis ce fut le tour de Pascale.
Nous avons passé une très agréable nuit tous les trois, mais ça c'est une prochaine histoire!