Une Femme Fidèle Découvre Le Plaisir Du Sexe Pour Le Sexe
Je mappelle Sandrine, jai 26 ans, mariée à Thierry depuis 3 ans. Nous navons pas encore d car nous avons choisi égoïstement de vivre un peu pour nous avant de se consacrer aux s. Thierry est militaire de carrière et nous vivons à Aix en Provence depuis 4 ans. Je suis vendeuse pour un magasin de fringue. Nos relations viennent donc des 2 milieux. Nous avons même réussi à marier deux amis.
Je suis presque rousse, jai des yeux clairs et suis pal mal proportionnée.
Mon mari étant en déplacement dans lest de la FRANCE, je suis allé voir mes parents à Paris. Thierry était passé, chez eux avant moi et leur avait laissé un billet de train pour que je le rejoigne le week-end. Jai apprécié lattention et prête à le rejoindre.
Gare de lest, je minstalle dans le wagon et cherche ma place au milieu de tous les bidasses qui rentrent de permission. Je dois être la seule femme dans le wagon et ment dans mon compartiment. Dans ma robe légère, que jai choisie pour faire plaisir à mon mari, je ne me sens pas très à laise. Le contrôleur passe et je bouquine. Certains bidasses quittent le compartiment et je reste avec 3 soldats qui parlent, sûrement pour que je ne comprenne pas, en allemand.
Le livre et le roulis du train mendorment. Je pose le livre sur mes genoux et ferme les yeux.
Une chaleur entre mes cuisses me réveille, pourtant jai le sommeil lourd en temps normal.
Lorsque jouvre les yeux je découvre la raison de mon réveil. Il y a un soldat de chaque côté de moi et un à genou devant moi. Le compartiment est fermé et les rideaux baissés. Ils ont déjà baissé une bretelle de ma robe pour découvrir un sein et le bas est remonté jusquà ma culotte. Le soldat à ma gauche me caresse le sein découvert, celui de droite à sa main entre mes cuisses. Je proteste mais ils me tiennent et mempêche de crier. Lun deux me dit
- arrête de faire ta sainte ni touche, tu gémissais dans ton sommeil.
Cest vrai quils mavaient mise dans un drôle détat.
Celui qui était à mes pieds a passé ses mains de part et dautre de ma culotte et la fait glisser. Tous de suite un doigt a pénétré dans mon sexe. Mes seins étaient à nu, caressés et malaxés.
Celui à genou a écarté mes jambes et sa bouche sest collée à mon sexe. Cétait divin, je lâchais toute résistance. Ils mont alors allongé sur la banquette. Une bouche soccupait de mon sexe, une autre de mes seins tandis quune bite était dans ma bouche. Je suçais ce garçon avec mon savoir-faire et je prenais autant de plaisir que jen donnais. Il quitta ma bouche et me présentant un préservatif me demanda si javais envi quil me prenne. Je nai pas eu besoin de lui répondre, le désir se lisait sur mon visage. Ils mont alors retiré la robe et je suis trouvée nue entre leurs mains. Jaccueilli la pénétration assez bruyamment. Lun deux me mit alors sa bite dans ma bouche pour ne pas ammeter tout le train. Je prenais beaucoup de plaisir et avais presque du mal à me concentrer sur la pipe que je prodiguais. Après de longues minutes, mon baiseur a cédé sa place. Mon 2ème amant étant taillé comme un rugbyman, narriva pas à se positionner entre mes jambes. Il me dit alors de me mettre à genou au sol. Complètement dominée, je mexécuta. Il se plaça derrière moi et me prit en levrette. Sans lavoir vu, je sentis que son sexe était proportionnel à sa carrure. Mon premier baiseur sassis devant moi. Ainsi placé, son sexe était à porté de ma bouche. Le plaisir était intense. De plus, je voyais le troisième larron se branler en attendant son tour. Son sexe était plus fin mais plus long que les autres. Soudain on a maintenu ma tête et je reçu les giclées de sperme dans ma bouche. Je fus contrainte davaler. Son sexe ramolli quitta ma bouche. Pas le temps de me remettre de mes émotions que déjà le 3ème mec prit la place.
Le rugbyman échangea sa place et la fine mais longue bite prit place dans mon vagin. La taille du sexe déformait ma bouche mais je réussi à lui faire, à lui aussi, une fellation.
Mon premier baiseur se plaça à côté de moi et me caressait les fesses, mon cul. Par moment, il joignait un doigt à la pénétration du pénis qui me prenait.
Ayant avalé ma deuxième dose de foutre, ma bouche eut enfin droit au repos. Jen profitais pour poser ma tête sur la banquette afin de me concentrer sur le plaisir quon me procurait. Je mefforçais à être la moins bruyante possible. Jai alors senti que lon écartait les fesses et un doigt sinfiltrer dans mon cul. Thierry a déjà emprunté ce passage mais je ny prenais pas de plaisir le laissant faire uniquement pour le sien
Le doigt bougeais avec facilité et sentir être prise des 2 côtés était encore plus excitant. Mon premier baiseur me dit :
- Mon copain en a une fine et va te la mettre dans le cul.
Jai alors senti le sexe se présenter à mon cul et progresser lentement à lintérieur. Elle était fine mais longue et je sentais bien ses va et vient. Jai pour la première fois joui de cette pénétration. Contrairement aux autres, il a jouit dans son préservatif.
Jai pris dans ma valise des lingettes pour me nettoyer. Ensuite, je me suis rhabillée et assise sur la banquette. Seul mon premier baiseur sest installé à côté de moi. Il ma embrassé puis jai posé ma tête sur son épaule. Je descendais avant eux et ils mont dit au revoir en posant un baiser sur la bouche. Seul mon premier baiseur me roula une pelle en me caressant les seins. Ce nétait pas très malin car mes tétons ont évidemment réagis et je navait pas de soutif pour cacher leur état. Ensuite, il ma glissé une carte dans la main que jai mise dans mon sac.
Il y était inscrit son grade, son nom et ses numéros de téléphone.
Jai passé le week-end avec mon mari. Nous avons fait plusieurs fois lamour pendant ces 2 jours.
Puisque mon homme démarrait tôt le lundi matin et même si dans la vente, on ne travaille pas le lundi, jai dit à mon mari que je rentrais le dimanche soir. Jaurais ainsi, le temps de ranger la maison. Je modifierais mon billet à la gare.
En réalité, je pensais à mon premier baiseur, Luc, avec lequel, il sétait passé quelque chose. Je profitais que Thierry soit sous la douche pour appeler la gare et modifier mon billet et envoyer un texto à Luc.
« Arrivée à la gare de Strasbourg à 18h30, départ TGV à 19h40. Jai une heure devant moi. Sandrine ».
Très vite Luc me répondit. « Rendez-vous 18h30, café de la gare ».
Prétextant ne pas aimer les au revoir sur le quai dune gare, mon mari me déposa devant.
Je trouvais tout de suite Luc. Cinq minutes plus tard, nous nous dirigions vers lhôtel de la gare.
Contre le mur de la chambre jétais déjà enlacé par Luc. Ses mains se baladaient sur mon corps. Ma jupe tomba rapidement à mes pieds et mon tee-shirt suivi. Il me coucha sur le lit et se dévêtit. Il enfila, sur son membre en érection, un préservatif. Il retira ma culotte et dans un geste impudique, jécartais les jambes. Sans préliminaire, jétais dans un tel état que je souhaitais le sentir en moi, tout de suite. Il se coucha sur moi et me pénétra. Ma jouissance fut violente et je pus lexprimer sans retenue. Il me lima pendant de longues minutes. Nous avons pratiqués plusieurs positions pour finir en levrette. Je lui ai demandé de préparer la pénétration anale car je voulais lui donner ce plaisir. Il me sodomisa avec vigueur. Je voulais lui offrir un souvenir inoubliable mais je ne pensais pas prendre autant de plaisir. Pendant une heure, jétais toute à lui. Il ma offert un orgasme terrible et en échange, moi je lai reçu dans ma bouche.
Jai pris une douche, me suis rhabillée tandis quil fumait une cigarette.
Si laventure avec les trois soldats nétait pas de mon fait, javais choisie davoir une autre relation avec Luc. Jaimais pourtant mon mari et pourtant je lavais trompé. Jai découvert dautres plaisirs sur le plan sexuel avec dautres. Les préliminaires navaient pas été indispensables avec Luc. Est-ce que jallais avoir envi davoir dautres aventures extra conjugales ? La suite me prouva que ça allait être le cas et sans tarder.
Arrivée à Paris, je pris ma correspondance, direction Aix en Provence, en train couchette.
Ayant changée de train à la dernière minute, je navais pas eu le choix de la place. Jétais donc tout en bas dun compartiment 1èreclasse où il ny a que 4 couchettes. Aux place du dessus, il y avait un couple dun certain âge et en face de moi un homme dune quarantaine dannée. Comme je naime pas dormir habillée, je me suis glissée sous les couvertures pour enlever jupe et tee-shirt. Jétais en phase dendormissement lorsque lhomme du dessus se mit à ronfler. Lhomme à côté me regardait et me sourie, sûrement du burlesque de la situation.
Nous avons discuté quelques minutes et voyant mon énervement me proposa de sortir du compartiment. Mon habillage fut plus difficile que le déshabillage et je suis certaine quil a du voir plus que je souhaitais dévoiler. Dautant quun assaillant pour me lever, ma jupe était remontée très haute sur mes cuisses. Lhomme ne se gêna dailleurs pas pour regarder.
Il alla demander au contrôleur sil était possible de sinstaller quelque part et de boire un verre. Il alla lui-même ouvrir le salon prévu à cet effet, prit notre commande et sen alla après nous avoir servi.
Lhomme me draguait et me dit avoir trouvé très jolie le peu que je lui avais involontairement dévoilé. Devant ma mine amusée, il vint sasseoir sur la banquette à côté de moi.
Là, il me dit que javais des jambes magnifiques et que je devrais les dévoiler plus. Il attrapa le bas de ma jupe et la releva de quelques centimètres. Il ne mavait pas touché et je sentais déjà le plaisir menvahir progressivement. Cette sensation ma laissé quelques secondes sans réaction. Il en profita pour poser sa main sur ma cuisse et sans vraiment savoir pourquoi, jai écartée légèrement les jambes. Sa main sest alors insinuée sous ma jupe. Jai penchée ma tête en arrière et me suis laissée caresser. Il a écarté ma culotte et caressa mon intimité. Je me sentais offerte et je mabandonnais au plaisir. Je ne pensais quand même pas pouvoir céder aussi facilement. Son autre main est passée dans mon dos pour faire sauter lagrafe de mon soutif. Puis passant sous mon tee-shirt, elle saccapara ma poitrine. Tous mes sens étaient en émoi et je sentais lapproche de lorgasme. Il ôta ma culotte et me poussa sur la table basse devant nous. Jétais à genou et me seins étaient écrasés sur la table. Il sinstalla derrière moi et releva ma jupe. Jai tout de suite senti son sexe au fond de moi, ce qui déclancha mon orgasme. Il me labourait, me sauter avec frénésie. Puis sans crier garde, il força lentrée de mon anus. Après la douleur vint le plaisir. Il a trop vite joui en moi.
- toi, tes une belle salope ou une nymphomane mais en tamenant ici, je savais que lallai de sauter.
Ces mots me firent prendre conscience de ce que jétais devenue.
Au moment de sortir du salon, le contrôleur arriva.
- Tous va bien madame, monsieur.
- Très bien, je peu vous dire quelle est bonne, la garce
En disant ça, il souleva ma jupe et montra mon minou nu car je navais pas remis ma culotte. Dailleurs, il la montra au contrôleur. Puis il me retourna et me poussa pour que je mappui à la paroi.
- vas y baise la, elle attend que ça.
Jai senti la bite senfoncer en moi. Cétait bon. Jétais devenue une vraie chienne. Puis, mappuyant sue ses cuisses, jai sucé mon voisin pendant que le contrôleur me basait.
- allongez vous, elle va venir sur vous.
- Toi maintenant, tu la mets dans ton cul on va te prendre à deux.
Cétait dingue mais jen avais envie. Il mallongea et entra dans mon sexe alors que lautre bite était dans mon cul. Cette double pénétration ma fait prendre un pied énorme.
De retour vers le compartiment jai entendu le contrôleur dire à lhomme.
- tu vois que cette pilule est efficace.
- Quelle pilule ?
- Celle qui ta libéré et accepté ce quon a fait subir mais sans te retirer le plaisir.
- Jétais donc e ?
- Tu aurais couché avec moi sans ça
- Peut-être
..
Dorénavant quand mon homme me manque trop, je moffre quelques aventures sans lendemain mais que je choisie.
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