Aventures D'Ados ( 15 )
15 Le lendemain je retourne à la Fac. Ma copine trouve que jai une sale tête.
- Pourquoi tétais pas là hier ?
- Jétais pas bien, jai dû rentrer
Vu mon air fatigué, mes traits tirés, elle me croit. Je lui demande de me passer ses notes. Après les cours, je rentre direct chez moi, mallonge, mendors. Jai mal aux cuisses, près dun mois sans baiser, je manque dentraînement. Je ne verrais pas Marc la semaine prochaine, il a trop de travail, il ne pourra pas se libérer. Je repense à Jack, le copain de Mélanie. Il a une belle bite, nettement moins grosse et longue que celle de Marc, mais en attendant elle pourrait faire mon affaire et entretenir ma grotte. De cette façon, je naurais pas recours à mon gode en attendant que Marc me la remette. Jappelle Mélanie, cest Jack qui me répond, elle est partie faire des courses
- Justement cest à toi que je veux parler
- Quest ce qui se passe ?
- Rien de grave ! Tu préfères sans Mélanie ?
- Oui, bien sûr ! Tu la veux quand ?
- Je suis libre mardi après 5 h, tas un endroit ?
- Je vais demander à un copain de me prêter sa piaule, je te rappelle !
- OK ! Bye.
Voilà, cest fait, je me disais bien quil serait partant. Il na pas été dur à convaincre, Pauvre Mélanie, je vais trahir ma meilleure copine. Après tout, mon cul vaut bien le sien, il me propose un coup de bite, ça ne se refuse pas ! Cest pour la bonne cause !
Le mardi, il me rappelle. Un coup de chance je viens juste darriver quand le téléphone sonne. Cest moi qui réponds, ma mère nest pas là.
- Ce soir ça te va, je dis à Mélanie que je vais faire un poker chez un copain. Comme elle naime pas jouer au poker, elle ne viendra pas. 9 h ça te va ? Je passe te prendre.
- Parfait, mais on sera seuls ?
- Oui, tinquiète, il est au courant !
- Mélanie le connaît ?
- Oui, il va passer la voir, dailleurs, entre nous, je suis pas sûr, mais je crois bien quil se la tape !
- Tu dis où tu es à Mel ? Et si elle téléphone ?
- Elle le f ra pas.
- Elle les connaît ?
- Ouais ! Même quune fois elle est venue, elle était lenjeu.
- Ah bon, et qui la gagné !
- Personne, on était 4 à la table, on lui a fait 2 sandwiches ! Elle nest pas prête dy revenir !
- OK, bon pour 9 h. À plus !
Je mange, je dis à ma mère que je rentrerais tard. Encore ! Ce nest pas avec Marc, si ça peut te tranquilliser. Je vais chez ma copine Audrey !
Jai mis une jupe, un chemisier transparent, un string noir. 9 h pile, je suis devant la porte, le voilà. Je monte dans sa voiture, il membrasse et en route pour une partie de jambes en lair ! On roule depuis un bon moment, on ne parle pas. Il me prend la main, la place dans son entrejambes, je sens quil bande, il sort sa queue, je lastique et lui tiens les couilles au chaud. On arrive dans une cité HLM. Il range son matériel, on descend de voiture. On prend lascenseur, ça pue la pisse, pas ragoûtant. Il en profite pour me peloter, me foutre la main au cul. Ca commence bien ! On est sur le palier, il ouvre la porte, effectivement il ny a personne. La piaule est bizarre, je lui demande :
- Comment sappelle ton copain ?
- Karim, pourquoi ?
Il me pousse à lintérieur. À peine entrés, la porte refermée, il me saute dessus, vire mon chemisier, ma jupe, je me retrouve à poil. Il me déstabilise, me fait tomber par terre, il est déjà sur moi ! Je le repousse, tape sur son dos avec mes poings, pas daccord, il va trop vite. Il se relève, me regarde, penaud, reste assis par terre. Il a sorti sa queue quand il était sur moi, bande comme un cerf. Je suis debout devant lui, jauge lengin. Pas formid !
- Jai trop envie de toi ! jpeux plus attendre, faut que jte lenfile ! Ouvre tes cuisses ! Viens tasseoir dessus !
- Oh là là, du calme, attends que je te mette une capote, je ne baise pas sans ! Je ne prends pas la pilule ! ( cest faux )
Il se lève, se fout à poil vite fait, me présente sa bite, je léquipe.
- Tas eu ce que tu voulais, allez, on rentre, ramène-moi !
- Jsuis pas vide, on peut se la faire douce, je te lai mise, javais urgence !
La porte souvre, cest le copain Karim
- Quest ctu fout là, jtai dis daller voir Mél !
- Elle ne ma pas laissé entrer. Ma dit : Jack nest pas là, fout le camp. Je lui ai répondu : Jveux te baiser, elle ma claqué la porte au nez !
En me désignant du menton, Jack lui dit :
- Je viens de la commencer, tu veux lessayer, elle est bonne !
- Ca va pas, non, je nsuis pas une pute !
Karim sapproche de moi, je recule, cest pas le genre de mec qui me plait, je ne veux pas quil me baise. Jack en profite pour me faire tomber sur le lit. Je me débats, il sy mette à deux pour me tenir, retirent mon string, le lance à travers la pièce. Jack se met à cheval sur ma poitrine, mécrase, je vois son dos, il me tient les jambes en lair, les écartent un max, les tire vers lui, relève mon cul, offre mon sexe à son copain.
- Dis donc, tes vachement poilue ! On voit à peine le trou !
Il mécarte les lèvres, glisse son doigt dans la fente, pince mon clito, men enfile deux dans le trou.
Je ne peux pas bouger, tente de le repousser, je nen ai pas la force, je suis coincée, foutue, lui dis :
- Si tu veux me baiser, prends une capote dans mon sac !
Jack me tient toujours les cuisses ouvertes pendant que Karim se fout à poil, prends une capote, la met, en tend une à Jack qui lenfile.
- Et si on se la prenait à deux ?
- Non pas ça, je ne veux pas quon mencule !
Rien ny fait. Jack est sur moi, dans moi, arrête de me limer, roule sur le lit, mentraîne. Je me retrouve aplatie sur lui, embrochée, cuisses ouvertes, à genoux, avec ses bras sur mon dos qui me bloquent sur lui. Je ne peux pas me défendre, mon cul est à disposition, exposé. Le copain monte sur le lit, mouvre les fesses, sa bite force ma rosette, il me fait mal, aie, il pousse, commence à mouvrir, le sphincter cède, il me lenfonce en entier dun seul coup, aie,aieeeeeee, je suis empalée. Et ça y est, la chevauchée infernale commence. Ils me pilonnent en cadence, je sens leurs bites se croiser dans mes deux conduits, je subis leurs assauts. Enfin Karim décharge, sort de mon cul, vire la capote, vient présenter sa queue devant ma bouche. Suce-moi ! Il me prend la tête, me force à lavaler presque en entier, jétouffe, il me relâche. Avant de la recracher, une petite vengeance me vient à lesprit. Je la mords un bon coup. Hurlement
.
- Salope tu vas me le payer
Il ne bande plus, sa verge a la marque de mes dents, saigne légèrement. Il se la tient, va se la laver au lavabo. Je donne un coup de reins, me dégage de lautre queue qui sactive toujours en moi. Il na pas eu le temps de décharger. Je suis debout et avant quils ne réagissent, je ramasse mes affaires, saute dans mes pompes, ouvre la porte, file.
- Cest ça, barre-toi, putain ! Si je te rencontre dans le coin, je vais faire ta fête. Tas pas fini de souffrir !
Je me retrouve à poil sur le palier, me rhabille en descendant par lescalier de secours. Je ne sais pas où je suis, il ny a personne en bas. Je vais à la voiture, me cache derrière, il va bien revenir ! Dans laffolement jai oublié de ramasser mon string, tant pis !
Le voilà, au moment de monter dans la voiture, il me voit.
- Quest ce que tu fous là ?
- Je tattendais, je ne sais pas où on est, tu me raccompagnes ?
- Tes dingue, taurais pu lui couper la queue avec tes dents ! Tu lui as fait vachement mal. Il ten veut !
- Tous les deux vous mavez baisée à sec, je ne voulais pas quon mencule, cest du viol !
- Bon, on y va, monte, faut pas rester là !
On roule en silence, latmosphère est pesante. Ca mapprendra, jaurais dû me douter que ce nétait pas un raffiné ! Je repense à ce qui vient de marriver. Heureusement que la quéquette du copain taille du 3,5 x 14 en érection. Cest pour ça quil na pas eu trop de difficultés à me la rentrer dans le cul ! Bob mavait enfilé difficilement du 5 x 20 ! Quant à Jack, il est monté en 4 x 16, pas de quoi pavoiser. Ces cons, avec leur façon de baiser sans préliminaires, nont pas été capables de me faire mouiller, encore moins jouir. Je suis restée là haut à peine une demi-heure. Cest la première fois quon me baise à sec, mes deux trous me font mal, je ne suis pas prête à recommencer avec lui, je le laisse à Mélanie ! Peut être bien que je vais me venger en lui racontant cette histoire ! Il est 10 h 30, on arrive. Au moment de me quitter, il membrasse sur la joue, glisse sa main entre mes jambes. Je serre les cuisses, dégrafe la ceinture de sécurité, saisie la poignée de portière, me prépare à descendre. Il me retient
- Tu vas pas partir comme ça !
- Quest ce que tu veux encore ?
- Jpeux pas rentrer, cest trop tôt.
- Quest ce que tu veux quça mfoute ?
Manque de pot, durant cette discussion, jai baissé la garde. Sa main est toujours entre mes cuisses, sous ma jupe, je nai pas fait attention, ma moule est nue, sa main sest plaquée, ses doigts la serrent. Et crac ! Ils sont dedans, crochetés. Jessaye de me dégager, de le repousser, sert les cuisses, mais il et costaud, sa main ouvre ma vulve, un doigt agasse mon clito, deux autres me fouillent ! Cette fois je mouille malgré moi, je suis coincée, gesticule, ouvre les cuisses, ma respiration saccélère, jai chaud, il me tient, je suis à sa merci. Il se rend compte que je suis prête, enlève sa main, redémarre.
- Où tu memmènes ? Laisse moi descendre !
- Tes pas pressée, je vais te la mettre, là haut tu mas pas fini !
On arrive sur un parking, il se gare derrière un bâtiment, lendroit est absolument désert. Il descend, ouvre ma portière, matt, je résiste, il tire un coup sec. Jessaye de me retenir au montant de portière, je me retrouve à lextérieur, mains appuyées sur le siège, jupe remontée sur le dos, le cul à lair. Il mécarte les jambes avec son genou, dune main il mappuie sur le cou, de lautre mécarte les lèvres et enfile ses doigts dans ma gaine, les fait tourner. Mon sexe est trempé, souvre, je sens quil va me la mettre, je la veux, je lui dis :
- Prends une capote dans mon sac !
- Jvais mvider dans tes boyaux, y en a pas besoin !
- Pas question, jai djà dit, jveux pas quon mencule !
Il tend la main, ouvre mon sac, le retourne, trouve une capote, sort sa queue, séquipe, matt aux hanches et dun coup sec memmanche jusquà la garde. Je pousse un oh de surprise.
- Vas-y plus doux, jsuis pas une bête !
Il me ramone en douceur, entre, sort, fait durer le plaisir. Il accélère, se met à me buriner dur, va au fond de moi, cette fois je laccompagne. Jai de plus en plus chaud, sa bite me fait du bien, je vais venir, remue le cul pour bien le sentir, laider à sencastrer. Il choisit ce moment pour se bloquer au fond, donne plusieurs secousses, haaaaaaaa oooooooooo ouiiiiiiii je jouis en même temps quil décharge dans la capote, cest chaud, cest bon !.
Il vire la capote, la jette, laisse son outillage dehors. Je suis debout, appuyée sur la portière, récupère.
- Ten veux encore un coup, cette fois jte la file dans lcul, jme sens en forme !
- Jtai djà dit non, ninsiste pas, ramène-moi.
- Jveux qutum suce avant ! Faut pas que je sente la baise !
- Jaime pas, je mords ! Démerde-toi autrement !
On remonte en voiture, il me ramène, on ne dit rien. Il ne ma pas sauté dessus comme en début de soirée. Il me dépose devant chez moi, je descends rapide, lui fais un signe de la main, entre, file dans la salle de bain, pisse, me lave le cul, rentre me coucher. Je repense à ce qui vient de marriver. Ca mapprendra de vouloir piquer le mec dune autre. Jai joué, jai perdu, pris des risques et finalement je me suis fait enculer.
Je téléphone à Marc. Il a beaucoup de boulot car il va partir 3 semaines en vacances. Jinsiste un peu, lui dis que je veux lavoir en moi, attendre encore 3 semaines, cest trop dur, jai envie de sa queue ! Il me donne ladresse de sa boîte et un rencard jeudi pendant lheure du déjeuner, il ny aura personne. Mets pas de culotte, on aura pas beaucoup de temps, une demi-heure tout au plus, cest un peu juste pour tirer un coup, mais tant pis !
Je mhabille léger, rien dessous, comme demandé. Ca me fait drôle davoir le cul nu dans les transports, je dois changer, ce nest pas direct. Jarrive un peu en avance, attends à proximité. Les employés sortent un à un, jattends encore 5 mn pour massurer quil ny a plus personne. Je lève les yeux, je le vois à une fenêtre, il me fait signe. Ok, je fonce ! Je grimpe 4 à 4, traverse le bureau de la secrétaire. Il est en pantalon, chemise, cravate, mattend devant la porte. Jentre, il ferme la porte à clé, se plaque contre moi, palpe mes seins, me roule une pèle ! Je baisse son pantalon, sorts sa bite, libère les couilles, le branle pendant que sa langue fouille ma bouche et ses doigts mon vagin. Je suis trempée, ouverte, me laisse tomber sur la moquette, lentraîne. Il remonte ma jupe sur mon ventre, je laide à la tirer sous moi, jécarte les cuisses, remonte les jambes, relève le cul, lui expose vulve et toison noires. Il bande dur, passe ses avant-bras sous mes jambes, les remontent. Il se met sur moi, glisse son braquemart dans la fente poilue, il est devant mon trou, pousse, membroche dune seule traite, me pilonne hard, je laccompagne. Il va profond, me remplit le ventre, javais besoin de sentir sa bite en moi. On roule, je suis sur lui, me redresse, je suis à cheval, monte et descend sur ce pieu qui memmanche. Que cest bon, il est dur, énorme, long, me défonce, je mouille terrible, gémis. Il me bascule, je me retrouve sur le ventre, remonte le cul, il écarte les poils, mouvre les lèvres, glisse sa queue, menfile, accélère, durcit ses coups de bite. Jai de plus en plus chaud, je sens que je viens, couine. Soudain il se bloque au fond, un premier jet. Oh ouii, encore ! Quelques secousses, il gicle plusieurs fois, me remplit, je chavire, perd la tête, crie ahaaaaa, ouiiiiiiiii pendant quil décharge. Heureusement que nous sommes seuls. Il reste sur moi, sa queue vit en moi, se vide encore, il halète. On reste comme ça, collés lun à lautre, lun dans lautre, sa queue ressort lentement. Il a programmé sa montre, elle sonne. Il se relève, je me mets debout, son foutre coule le long de mes cuisses. Il remet son pantalon, me donne un kleenex, je messuie. Désolé, tu dois partir. Je lembrasse, jai le ventre plein de sa semence, il en coule encore le long de mes cuisses. Lui a les couilles vides, vu la quantité quil ma refilé. Il ouvre la porte, je tappelle dès mon retour, un dernier bisou, je file, il était temps. Au coin de la rue je me retourne, japerçois les premiers employés qui reviennent. Je rentre à la maison, déjeune, monte dans ma chambre. Bien sûr cest un coup de bite vite fait, mais il ma fait jouir terrible, jai le ventre plein de lui. Et puis, le risque quon a pris en baisant dans son bureau donne du piquant ! Cest une bonne baise à la sauvette, mais quel bonheur de se faire sauter dans ces conditions !
Et mes aventures ne se terminent pas à ça!
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!