Sodomie Chez Le Kinési

Le samedi tant attendu arriva enfin. Je me rendais au rendez-vous fixé, tremblant comme une jeune mariée.Le cabinet étant fermé, je sonnai. Mon kiné vint ouvrir et, tout sourire, me fit pénêtrer dans sa salle de soins. La porte à peine refermée, il s'empara de ma bouche et me roula un patin auquel je répondis aussitôt. Nos langues, s'emmelaient, nos lèvres se suçaient, s'aspiraient,. Mon sexe était déjà tendu dans mon jean et, d'après ce que ma main m'indiquait, le sien aussi."Avant d'appronfondir les choses, me dit-il avec un sourire malicieux, regarde ce papier sur mon bureau, c'est le résultat négatif de mon test HIV. J'ai vu le tien dans le dossier médical que tu m'as confié. La question est donc la suivante : avec ou sans capote?" "sans lui répondis-je, lorsqu'on est sûr, c'est tellement plus agréable!" Je me deshabillais rapidement. Une fois nu, certains détails de la salle de soins, auxquels je n'avais jamais prêté attention, m'apparurent : le mur face à la table de massage était une immense glace et la baie vitrée qui donnait sur la rue n'était pas obstruée par le volet roulant. "ne t'inquiète pas, ce sont des vitres au mercure. De l'extérieur, on ne voit pas ce qui se passe à l'intérieur" me dit-il en me passant la main au cul. Je me retournais vers lui. Il était nu et je m'aperçus aussitôt qu'il était entièrement épilé. Il m'ouvrit ses bras, je m'y blottis avec hâte. Je me laissais aller contre son torse puissant tandis qu'il commençait à me caresser le dos et les fesses. Repensant au plaisir qu'il m'avait procuré la semaine passée, je n'avais qu'une envie : lui rendre la pareille. Je m'agenouillais devant lui et engloutis entièrement son sexe. Je commençais aussitôt à le sucer, ma langue entrait en action. C'était bon de le sentir durcir sous ma caresse et surtout s'allonger. Bientôt, j'avais son gland au fond de la gorge et il m'était impossible d'engloutir toute sa queue. Je lui palpais doucement les couilles. Elles étaient volumineuses, gonflées à souhait.

Je les serrais un peu, je sentis aussitôt son sexe se tendre encore plus. Je pompais du mieux que je pouvais sa tige gonflée. Ma langue s'enroulait autour de son gland, je lui lêchais les couilles et sa hampe durcie. Je me voyais dans la glace, nu, à sucer avec délectation un sexe masculin de belle taille. Cela m'excitait d'avantage. Le fait qu'il soit épilé augmentait encore l'impression de longueur. Je m'appliquais à engloutir sa queue le plus profondément possible, j'y mettais toute ma connaissance de la fellation. Il appréciait et moi aussi (j'adore sucer). Celà faisait dix minutes que ma bouche s'occupait de son sexe, je commençais à avoir mal aux maxilaires tant je mettais du coeur à lui procurer du plaisir. Soudain il respira plus fort, je sentis ses couilles remonter, son sexe se durcir encore plus. Il me poussa la tête en avant, son gland turgescent m'obstruait la gorge et il s'abandonna. Je sentis son sperme épais jaillir par saccades. J'avallais tout, je continuais à lui pomper le dard et ma langue s'activait pour lui nettoyer le gland. J'étais heureux. Je me réfugiais à nouveau dans ses bras et nous échangeâmes un long baiser passionné.
"Il va me falloir un meu de temps pour récupérer de ton traitement de faveur me dit-il . Allonge toi sur la table , je vais te masser pendant ce temps là. Ses mains douces parcoururent mon corps de la tête aux pieds. A l'issue, j'étais relaxé, totalement détendu et lui de nouveau tendu.
Il me demanda de m'asseoir au bord de la table de soins. Il s'agenouilla entre mes cuisses écartées et commença à lêcher ma queue comme on lêche une glace.
Il me caressait le gland à petits coups de langue, m'agaçait le frein et le méat de la pointe de sa langue, me lêchait les couilles et la hampe. Puis il engloutit ma bite et entama une fellation d'enfer. Je le regardai faire, je voyais ma queue disparaitre dans sa bouche gourmande. Je fermais les yeux pour mieux encore ressentir sa caresse. Tandis qu'il poursuivait sa fellation, il glissa un doigt lubrifié dans mon anus. Il le faisait aller et venir en décrivant de petits cercles. Bientôt un deuxième doigt me pénétra. Tout en continuant ses va et vient, il bougeait ses doigts à la manière d'une paire de ciseaux. Je sentais mon anus s'ouvrir. Il abandonna alors mon sexe et m'invita à m 'étendre sur la table, les fesses au bord du plateau. A l'aide de la commande électrique, il éleva la table à hauteur de ses couilles. Je remontais mes genoux sur ma poitrine, lui tendant mon cul et lui dégageant l'accès à ma rosette déjà bien ouverte. Il frotta son gland baveux sur ma rondelle et commença à me pénêtrer avec douceur.Je sentais son gland forcer le passage, puis lentement , il s'enfonça en moi. Il entama les va et vient. Je le sentais me remplir à chaque mouvement de reins. Je nouais mes jambesà sa taille et commençais à bouger mon bassin pour venir à la rencontre de son pieu qui me défonçait à coups de boutoir. Une certaine douleur qui se transformait peu à peu en une chaleur agréable m'irradiait tout l'intérieur. J'étais aux anges, profitant du spectacle dans le miroir mural.
Aprés m'avoir fait subir les derniers outrages bien agréables, il me demanda de me tenir debout à environ un mètre du bout de la table et d'y prendre appui avec les mains. Je me cambrais au maximum pour lui faciliter la pénétration. Il s'installa derrière moi et, d'une seule poussée, il se retrouva les couilles collées à mon cul. Il reprit de plus belle ses coups de queue prononcés tout en faisant monter et descendre la table. C'était merveileux, il me baisait profondément et, avec les mouvements de la table, j'avais l'impression que sa bite me ramonait dans tous les sens. Mon plaisir montait et je finis par jouir durant un temps qui me parut interminable.
Comme il n'avait pas encore pris son plaisir, je lui demandais de me prendre en levrette. Je m'installais, toujours sur la table, les cuisses écartées au maximum, le cul tendu et bien ouvert. Il m'enfila son chibre bien raide et se remit en action tel un marteau piqueur. Il commanda la vibration électrique de la table. C'était divin!!! Je tournais mon regard vers la baie vitrée. Je voyais les passants sur le trottoir, l'un d'eux s'arrêta même pour se regarder dans la glace. J'avais l'impression qu'il nous voyait. J'étais à trois mètres de lui et je me faisais enculer sous ses yeux. C'était excitant au possible. Entre les coups de boutoir qui me défonçaient le cul, les vibrations de la table, le spectacle dans le miroir et l'impression procurée par la baie vitrée, j'étais au comble de l'excitation et je m'envoyais en l'air une secone fois. Voyant celà, il accéléra sa cadence, poussa son braquemard une dernière fois avec plus de violence et lâcha sa purée. Je contractais mes sphincters et je ressentis ses contractions au tréfond de mon être.Je sentais ses jets de sperme m'imonder le ventre. Il resta un moment enfoncé en moi, puis débandé, il se retira. Mon cul dévasté laissait s'échapper son foutre gluant le long de mes cuisses.
Quel aprés-midi! Quel plaisir de se faire enculer par un beau mâle bien monté. Je vous souhaite à tous de connaître autant de plaisir que j'en ai ressenti cet aprés-midi là.
Depuis chaque séance de soins s'est toujours terminée par une fellation de l'un ou l'autre , juste séparés des autres patients par la porte qui donnait sur la salle d'attente. Un délice !!!