Un Choix Cornélien Pour Jules « Tamara La Jeune Martiniquaise. » Chapitre 1/18
À la sortie de ladolescence, Jules grand sportif et très doué pour les langues avait trouvé le moyen pour faire son argent de poche. Il allait en ville et faisait le guide bénévole auprès des nombreux touristes étrangers qui visitaient le centre-ville. Ceux-ci, pour le remercier de ses compétences en leur apportant toutes les informations historiques nécessaires, lui donnaient les pourboires quil était venu spécialement chercher.
Ce fut lors dune de ses nombreuses interventions quil vécut sa véritable première nuit dapprentissage à la sexualité. Il avait à lépoque à peine vingt ans, en se rendant sur la place comme il le faisait souvent les samedis, il saperçut que deux jolies femmes cherchaient en vain leur chemin. Lune dentre elle lui plaisant énormément, il vint les accoster en leur parlant anglais afin de joindre lutile à lagréable : « Puis-je vous aider Mesdemoiselles ? » « Enfin quelquun parlant anglais » « Désirez-vous que je vous fasse visiter la ville ? » « Avec grand plaisir, nous nosions pas vous le demander. »
En chemin, Jules tendait loreille, entre chaque explication de sa part, il les entendait dire dans son dos : « Quil est beau. » « Tu veux dire, quil est super craquant » « Il me plait à moi aussi » mais également « Je me le ferais bien » « Crois-tu que ce soit un bon coup ? » « Crois-tu quil voudrait passer la nuit avec nous deux ? » enfin ce genre de paroles qui mirent leau à la bouche de Jules qui sen frottait les mains. Ce fut la raison pour laquelle, quil avait accepté lorsque le soir venu, celles-ci ne parlant pas un mot de français lui avait demandé de passer la soirée avec elles. Mais celle-ci sétait prolongée toute la nuit à leur hôtel. Il leur avait fait lamour de nombreuses fois, beaucoup plus quil ne pensait en être capable et ces deux femmes prirent énormément de plaisir avec lui.
En une seule nuit, il connut de véritables fellations, gorges profondes, doigtés en tous genre, cunnilingus, anulingus, pénétration vaginale sauvage et bien entendu sodomie, elles lui avaient beaucoup appris.
Aujourdhui à 33 ans Jules était professeur danglais dans un lycée technique. Il adorait occuper ses temps libres entre la salle de sport et ses nombreuses conquêtes féminines. Avec son mètre quatre-vingt-quatre, ses 82 kg de muscles, sa tête dange, ayant toujours le sourire, son assurance et sa décontraction, Jules plaisait beaucoup aux femmes. Dailleurs sa voisine, Madame Marchand, une femme divorcée de 44 ans, vivant seule avec sa fille Manon de 18 ans ne disait pas le contraire. En effet, depuis que Karine lavait rencontré, elle lavait tout de suite adopté. Habitant dans le même immeuble, elle sétait très vite donnée à lui et ne pouvait plus se passer des moments torrides quil lui faisait vivre.
Jules avait beaucoup daffection pour Karine, il nen était pas du tout amoureux, néanmoins elle était un peu sa confidente, semblable à une grande sur quil navait pas eue, mais elle était surtout une maitresse de talent. En effet, elle savait parfaitement faire lamour et lui avait fait connaitre ce quaimaient les femmes lorsquelles prenaient du plaisir. Il appréciait ces bons moments passés avec elle une fois par semaine. Cette belle cougar très gentille et docile, lui faisait également son ménage, lui lavait son linge, lui apportait quelques petits plats et lui rendait quelques services en se faisant payer en nature, tout ceci lui convenait très bien.
Un soir de décembre 2019, leur relation sexuelle ayant duré plus longtemps que prévue, il était en retard. Encore torse-nu, en train de refermer son pantalon, il croisa dans létroit couloir Manon, censée être en cours, il lui sourit tout en enfilant son teeshirt, elle le salua timidement :
Bonjour Monsieur Pennys.
Manon étant une de ses élèves, il était bien ennuyé de sêtre montré presque nu devant elle, surtout sortant de la chambre de Karine. Essayant à tout prix de cacher son aventure avec sa mère, il lui vint lidée de lui répondre :
Salut Manon, ta mère doit me faire quelques retouches, nous faisions des essayages.
Il ne savait pas si la gamine lavait cru, mais il lespérait car il navait pas envie que tout le lycée lapprenne. Cétait dailleurs lors dune réunion parents-professeurs quil avait fait la connaissance de Karine lannée précédente. Le 13 janvier 2020, ayant passé tout le week-end avec une plantureuse suédoise en visite en ville, il navait pas pu se libérer la veille, pour assister au repas danniversaire de son neveu Théo, il lui avait donc promis de lui apporter son cadeau dès le lendemain. Ce lundi-soir il sétait rendu chez son frère Jérôme pour apporter la voiture téléguidée que le petit désirait tant. Après une courte visite, il dit à Bénédicte sa belle-sur, quil ne restait pas diner :
Je suis très en retard, je dois me rendre à la salle de sport. Promis ! Je vous appelle ! À plus.
Voyant les portes de lascenseur ouvertes, il voulut se précipiter à lintérieur avant quelles ne des referment, mais au même instant une femme en sortait, tenant dans ses mains une cagette. Élancé comme il était, il ne put sarrêter à temps et toutes les pommes de la jeune femme se retrouvèrent sur le sol, roulant ici et là. Très gêné par sa maladresse, Jules resta sans réaction, immobile sans savoir que faire, devant cette grande et jeune black denviron 25 ans, très jolie avec ses cheveux courts, taillés à la garçonne. Sa poitrine sans être très opulente, contrastait avec sa taille fine. Aussi surprise que lui, elle le regarda avec stupeur tout en le dévisageant :
Veuillez mexcuser Mademoiselle, je suis ...
Le voyant aussi gêné et cherchant ses mots, cela avait fait sourire la jeune femme qui se baissa par réflexe afin de ramasser ses fruits qui sétaient dispersés sur la moquette du palier :
Plutôt que de vous excuser, vous feriez mieux de maider à les ramasser.
Bien sûr, je suis impardonnable. Répondit-il en se baissant également attrapant quelques pommes.
Accroupis tous les deux face à face, ils ramassaient les fruits. Leurs visages nétaient quà quelques centimètres de distance, leurs regards se croisèrent, leurs mains se touchèrent plusieurs fois en essayant de prendre le même fruit. Le parfum de la jeune fille lenivra, la peau douce de ses mains lui donnèrent quelques belles sensations. Se retrouva devant lascenseur dont les portes sétaient refermées, lorsque toutes les pommes furent ramassées, Jules porta la cagette et lui tendit.
Gentiment elle le remercia en reprenant sa cagette, à cet instant, leurs mains sétaient une nouvelle fois touchées, leurs doigts raccrochés. Quelque chose lui disait quil devait revenir plus souvent voir sa famille, il trouvait cette créature magnifique, dans sa longue robe fleurie quelle portait avec grâce et sensualité. Incontestablement, elle avait de la classe, il nétait jamais sorti avec une femme de couleur et cette jeune fille lui plut immédiatement. Cependant, ce fut elle qui prit la conversation à son compte et lui demanda :
Habitez-vous ici, je ne vous ai jamais vu ?
Non malheureusement ! Cest bien dommage, je suis venu chez mon frère Jérôme Pennys. Je mappelle « Jules »
Moi cest Tamara ! Nous aurions probablement pu nous revoir, jétais invitée chez eux ce soir pour le diner mais jai mal à la tête et je crois que je vais annuler.
Tout en discutant avec elle, Jules était debout en toute décontraction le bras appuyé sur le mur. Vêtu dun simple jean et dun teeshirt blanc moulant, dévoilant ainsi ses pectoraux et ses biceps, Tamara le contemplait avec attention. Par expérience, Jules comprit que le courant passait très bien et regrettait à présent davoir refusé linvitation de Bénédicte de rester diner. Mais sachant quà tout moment il serait bien accepté chez elle, il prit son plus beau sourire charmeur de séducteur et avec son assurance, il insista auprès de Tamara afin que celle-ci se décide à venir :
Jécourte ma séance de musculation et je viens diner.
Sentant son regard posé sur elle, Tamara se sentit toute émoustillée, des petits frissons emballaient ses seins sous sa robe. Elle essaya tant bien que mal de garder le contrôle car elle remarqua que Jules sen était aperçu. Elle le trouvait vraiment sexy, elle regardait avec insistance son corps musclé, moulé dans ses vêtements, cela lui faisait de l'effet mais ne voulant pas le montrer, elle poursuivit :
Je ne peux refuser leur invitation, jai promis à Bénédicte et il est bien trop tard pour annuler. Dit-elle simplement.
Vous avez entièrement raison, je serai heureux de vous revoir. Eh bien ! À tout à lheure Tamara
Comme le hasard faisait bien les choses, deux heures plus tard, en sortant de lascenseur, Jules se retrouva nez à nez sur le palier avec Tamara qui se rendait chez les Pennys. Placé derrière elle, il put constater que la jeune martiniquaise avait un déhanché superbe, ses fesses musclées ne demandaient quà être caressées. En sonnant à la porte, Bénédicte invita Tamara à rentrer et nayant pas reconnu son beau-frère, elle dit à Jules lorsquelle le vit :
Jules ! Je suis content que tu aies pu te libérer.
Tu connais notre voisine, je te présente Tamara.
Sans se concerter au préalable, ils avaient naturellement fait, comme sils ne sétaient jamais rencontrés. Ils avaient choisi de sinstaller côte à côte sur le canapé pour prendre lapéritif. Ils se regardaient souvent et ils se souriaient à chaque occasion. Jules rapprochait insensiblement sa main de la sienne se trouvant à côté de sa cuisse, jusquà la toucher. Tamara ne la retira pas et au contraire, son petit doigt venait de passer sur le sien. Cest bon signe se disait-il. Il senhardit en trinquant avec elle, malheureusement, il fut obligé denlever sa main pour prendre son verre. Ils sétaient fixés dans les yeux en se souriant ne désirant pas baisser le regard.
Jules était certains maintenant que sa voisine avait le béguin pour lui et de son côté, il était très attiré par Tamara. Il saperçut une nouvelle fois que ses tétons sous sa robe semblaient vouloir percer le tissu. Elle reposa sa main mais cette fois-ci bien plus prêt de la sienne afin quil renouvelle cet attouchement, ce quil nhésita pas à refaire. Cétait indéniable, le rapprochement était proche, ils se plaisaient beaucoup mutuellement
Cela faisait déjà une heure quils étaient chez Jérôme et Bénédicte à se toucher la main et à se frotter les jambes. Le temps passait très vite, le jeune homme sentait sa voisine de plus en plus chaude à ses côtés. Les regards, les petites caresses fugitives les avaient rendus brûlants. Tamara parlait en faisant de grands gestes pour ne pas attirer l'attention, ses seins pointaient encore une fois sous sa robe et cela se voyait comme le nez au milieu du visage. Bénédicte lui demanda :
Est-ce que ça va Tamara ?
Elle répondit maladroitement un « Oui ! Tout va bien cest vraiment délicieux. » Sapercevant de sa gêne Jules toussa légèrement et rit pour attirer lattention sur lui. Puis appela son neveu qui à grand pas, se rapprocha de lui et accapara son attention. Prenant le gamin dans les bras, il changea de sujet lui disant : « Alors comment cest passé la rentrée ? » Sachant que Bénédicte parlerait à bâtons rompu lorsque lon lui parlait de son fils, ceci avait permis à Tamara de reprendre ses esprits. Il se pencha à son oreille, lorsque sa belle-sur et son mari se retrouvaient à la cuisine et osa lui dire :
Tu es superbe Tamara, tu me plais beaucoup.
Nallons pas trop vite Jules, nous nous connaissons à peine.
Ayant les jambes décroisées et légèrement écartées, ils se frottaient les membres inférieurs. Ce petit jeu quils avaient commencé, se prolongea dans le temps et leurs procurait de drôles de sensations, dautant que leurs mains ne séloignaient plus et restaient en contact. Jusquà ce que Jérôme prenne la parole :
Tu sais Jules, tu as bonne mine ce soir. Quand te décideras-tu à trouver ton âme sur ?
Je te verrais bien avec une femme comme Tamara. Surenchérit Bénédicte, essayant de faire lentremetteuse. Elle est célibataire tu sais.
Voyant quelle était bien plus gênée que lui, Jules changea une nouvelle fois de sujet. Ce nétait pas que les conversations tenues pendant le repas ne lintéressaient pas, mais il avait très envie de se retrouver seul avec elle. Ces attouchements perpétuels lavaient mis dans un état de désir qui lui tiraillait le ventre, il ne pensait quà une chose, coucher avec elle. Il était pressé que tout cela se termine, il était déjà tard.
Heureusement, Bénédicte se décida enfin de coucher Théo. Jules en profita pour prendre congé de leurs hôtes. Il se doutait bien que la jeune voisine linviterait chez elle, il en était même persuadé, jamais une femme ayant été aussi proche, ne lui avait refusé. La beauté et la couleur de peau chocolat de Tamara le fascinait quil en devînt presque timide. Il neut pas à se poser de question, lorsquils se retrouvèrent sur le palier devant la porte dentrée de la jeune martiniquaise, il prit sa remarque comme un reproche :
Dis-moi Jules, tu semblais bien pressé de quitter ta famille, nous aurions pu passer encore un bon moment ensemble.
En fait, javais hâte de me retrouver seul avec toi.
Elle mit la clé dans la serrure et avant douvrir, elle se tourna vers lui en le regardant dans les yeux et lui dit :
Ça ne te dérange pas, si je ne tinvite pas à prendre un verre ?
Toujours en émoi, il fut très surpris de sa réaction, il se trouvait devant elle, immobile cherchant ses mots. Jamais il naurait pensé que cela se termine ainsi. Essayant de ne pas montrer son désarroi, il la regarda en disant pour ne pas montrer ma déception :
Tu sais Tamara, il se fait tard, je ne voulais pas te déranger.
Remettons cela à plus tard. Lui dit-elle en lui tendant sa carte de visite.
L'ascenseur étant déjà là, il y pénétra en faisant un petit signe :
Envoie-moi un MSM ! lui dit-elle avant que les portes ne se referment.
Bien entendu, il tombait de haut et était fortement déçu, mais sa dernière phrase en disait long, Tamara avait envie de le revoir, cela lui remontait le moral. Il saperçut que toutes les jeunes filles ne couchaient pas ment le premier soir, cétait assez rare de nos jours, cela voulait certainement dire que cette jeune martiniquaise était sérieuse. Ce qui pour lui était un nouveau défi à relever, il se devait de lui faire amour. Pendant tout le trajet, il navait pensé quà elle et ses pensées étaient très érotiques, prendre possession de son corps, avec ses mains, sa langue, son sexe. Une chose était sûre, il était dans un état dexcitation que même au pied de son immeuble, il avait toujours cette érection démentielle entre les jambes.
Voulant se soulager rapidement, il sarrêta à létage en dessous espérant que Karine soit encore debout. Pour ne pas réveiller Manon qui dormait sen doute à cette heure-ci, il gratta de ses doigts à la porte mais en vain. Contraint de rentrer chez lui, Jules prit la direction de la salle de bain. Leau tiède de la douche coulant sur son corps, ne parvenait pas à éteindre le feu que Tamara avait allumé en lui. Il appuya ses épaules sur le mur carrelé, écartant légèrement les jambes tendues, les pieds bien à plat sur le receveur, leau coulant directement sur sa queue.
Il se caressa s'appliquant à réaliser quelques lents, aller-retours le long de sa verge dure et droite. S'imaginant la main douce de Tamara saisissant son pénis en lui caressant le gland du bout de ses longs doigts fins. Il commença à accélérer le mouvement, c'en est trop pour lui, il se contracta dans un spasme et éjacula puissamment, regardant son sperme disparaitre avec leau dans la bonde dévacuation de la douche.
Puis il se coucha enfin en ayant pris un magnifique plaisir solitaire en espérant passer une bonne nuit. Malheureusement, ce ne fut pas le cas, il se tournait et se retournait dans son lit pendant plus de trois-quarts dheure, il narrivait pas à dormir. Il avait limage de Tamara devant les yeux, elle lui manquait déjà. Il la voyait dans son esprit, allongée seule, dans son grand lit, faisant onduler tout son corps sous ses caresses. Lentement une main parcourait son sein et lautre sa cuisse, ses jambes s'écartaient et ses doigts venaient jouer dans sa fine toison de son pubis.
Son sang ne fit qu'un tour et vint gorger son sexe qui se retendait dans sa main. Désormais les doigts de la jeune femme pinçaient ses tétons érigés par lexcitation, pendant que dautres tiraient sur sa petite culotte, faisant pénétrer le fin tissu dans la fente de son vagin, jusquà jouer avec son clitoris de manière obscène. Fermant les yeux et mordillant sa lèvre inférieure, ses tétons étaient dressés et sa chatte trempée, elle semblait avoir les mêmes pensées érotiques que lui, Jules la trouvait magnifique et bandante ainsi.
Toujours sur le dos, ses mains caressaient ses cuisses qui s'écartaient sur sa chatte ouverte, doù il imaginait voir de petites coulées de cyprine séchappant de son intimité et coulant entre ses cuisses, tellement lenvie était forte au creux de son ventre. Lidée dêtre possédée lui taraudait les entrailles, ses doigts s'enfoncèrent et disparurent dans sa fente mouillée, elle se masturbait tandis que le majeur de son autre main massait son anus.
Son clito était gonflé à bloc, elle nen pouvait plus, elle désirait en finir avant de sendormir, elle se caressait sauvagement jusquà en crier de plaisir. Pendant toute la soi-disant masturbation de la jeune martiniquaise, la main de Jules sétait activée sur son sexe et lorsquelle avait atteint lorgasme dans son imagination, il sarc-bouta, se tendit et explosa, laissant choir de longs jets blanchâtres de son éjaculation sur les poils de son torse et de ses abdominaux. Après cette jouissance en solitaire, épuisé par cette soirée éprouvante en émotion, il sétait enfin endormi.
Ce matin-là, Jules se réveilla tôt, malgré cette nuit courte. Tamara était toujours dans ses pensées. Sa verge sétait delle-même érigée et soulevait le drap comme une toile de tente. Il imagina une nouvelle fois Tamara non rassasiée, prenant dans le tiroir de sa table de chevet, un magnifique sextoy représentant un beau phallus. Elle porta à sa bouche ce jouet en silicone quelle suça sans retenue, comme une fellation. Ce qui lexcitait bien sûr, elle mouillait de désir.
Après lavoir salivé comme il se doit, elle se l'introduis dans sa petite chatte, petit à petit avant de le ressortir à moitié, puis lentement elle recommençait, elle s'empalait sur ce pénis factice, elle perdait pied et tout en faisant des va et vient, elle se caressait les seins et pinçait le bouts durcis de ses seins, « cest trop bon ! » le désir lenvahit, tout son corps tremblait de bonheur. Son plaisir était décuplé par le bout de son index agaçant son clitoris. Les allers et retours de ce sextoy étaient de plus en plus rapides et saccadés, jusquà ce que Tamara jouisse fortement en criant son prénom : « Oh ! Oui ! Jules ! »
La main sur la hampe de son sexe, Jules sactivait au même rythme que le phallus qui pénétrait Tamara, pendant que lautre lui massait les bourses pleines. Lentement au début, pour finir à une vitesse folle, il sentit le désir monter en lui, il contracta fortement les doigts de sa main sur sa verge turgescente, puis relâcha dun seul coup la pression. Il prit son plaisir en même temps quelle. Toute sa semence séjecta par de grands jets montant jusquà trente centimètres de haut vers le plafond, pour retomber comme un feu dartifice sur son ventre. Jules fut surpris davoir éjaculé autant, quelques heures seulement après sêtre masturbé déjà deux fois. Il avait joui si fort qu'il lui fallut plusieurs minutes pour récupérer, mais il était comblé en attendant de revoir Tamara.
La suite de ce roman dans un prochain récit.
Chères lectrices et chers lecteurs, merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si vous aussi, vous avez envie de raconter vos histoires damour ou de sexe, contactez-moi par e-mail, avec votre aide, jécrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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