Aventures D'Ados ( 16)
16
Cest les vacances. Jai demandé à voir le chef de service approvisionnements. Un stage de 3 mois, cest insuffisant pour le genre de travail quil me propose. Il est toujours daccord pour membaucher dès que jaurais mon diplôme. En attendant, jai repris un emploi de caissière, daprès lui cest bon parce que ça me permet de me familiariser avec les produits, jen aurais besoin par la suite.
Je commence samedi, horaires décalés. Je vais me faire un peu dargent de poche, jen ai besoin.
Marc est en vacances, plus de ramonage en vue, la semaine prochaine je vais peut-être téléphoner à Mélanie, lui proposer un partage, jai une furieuse
envie de me venger. Ce nest pas que japprécie son mec, il baise ordinaire, son calibre nest pas terrible, mais bon, il faut faire avec ce quon trouve
sur le marché.
Pour le moment je suis bien, quand jy pense, jai limpression davoir encore la bite de Marc en moi, jen mouille, je me mets les doigts. Je me le représente sautant sa femme. Est-ce quelle est chaude ? Peut-être quil la lui met » classic « ? Cest bon de baiser dans lillégalité, ça donne du piment à la chose ! Cest peut être pour ça quil est venu vers moi, dans moi ! Avec lui je « baise à crû » sans capote, japprécie le contact de son gland quand il me pénètre et de sa hampe coulissant contre la paroi de mon vagin, et surtout jadore lonctuosité et la chaleur des jets de foutre qui me le remplissent. Il en a une de bonne taille, (5 x20 ) elle me dilate la gaine, létire, me comble le ventre tellement il est gros et va loin en moi. Mais il ne faut pas quil essaye de me la mette dans le cul, un tel engin me ferait trop mal, ça serait fini entre nous, je lai prévenu !
Pour le moment je suis calme, mes ardeurs sexuelles sont assouvies, je me fais une raison, il nest pas là. Pas question de me faire sauter par un mâle du centre commercial, ça risquerait de compromettre mon avenir, jai vraiment besoin de cet emploi lannée prochaine.
Je nai aucune nouvelle de Mélanie, ça ne répond pas, elle est peut être partie en vacances elle aussi. Jattendrais !
Durant le mois qui vient de passer, je flâne pendant mes après midi libre, musées, la butte, les buttes, les Champs, jai tendance à mennuyer, je me promène seule. Le soir, dans mon lit, surtout lorsque jentends mes parents faire lamour, je mentretiens avec mon gode. Je dors à poil, on est en été.
Il est 2 h du matin, je suis réveillée par des bruits caractéristiques venant de chambre dà côté. Jallume, me lève, sorts dans le couloir pour aller pisser, laisse la porte ouverte. En passant devant la chambre de mes parents, je vois que leur porte est entrouverte, il y a de la lumière, ils ne baisent pas dans le noir. Curieuse, en silence, doucement pour ne pas attirer lattention, je lentrebâille un peu plus, regarde. Ils sont nus au-dessus du lit, ma mère est sur le dos, mon père est entre ses cuisses largement ouvertes et relevées. À voir les mouvements saccadés de ses fesses, ses assauts sont rudes, la cadence est élevée. Elle accompagne chaque coup de bite, se cambre pour bien laccueillir, remonte le cul, couine, va au devant de la bite quand elle ressort, pousse des petits cris, halète. Il sort delle, remonte le long de son corps, sa bite, tendue, glisse sur son ventre, passe entre ses seins, atteint son cou. Il se place au-dessus de sa poitrine, lui présente sa verge. Il laide à redresser la tête, lui enfourne son gland dans la bouche. Elle le suce, aspire, ses joues se creusent, absorbe la bite en entier, caresse les couilles, elle a lair daimer ça. Un grognement, il lâche son foutre, elle déglutit, avale, il gicle encore, elle recrache, en bave, un jet lui atteint le visage. Il recule, elle serre la queue entre ses seins, il la fait coulisser, encore un jet, il finit de se vider sur elle. Il roule sur le côté, elle se redresse, sassoie au bord du lit, se passe la main sur le visage. Je pense quelle va aller se laver.
La salle de bain se trouve face à lescalier, presque en face de la chambre de mes parents. Les portes se trouvent à environ 1 m lune de lautre, de part et dautre du couloir. Je dois me soulager, vais dans la salle de bain, massoie sur WC, vide ma vessie. Je ne peux pas résister à lenvie de mintroduire deux doigts, de les activer en moi. Jatt chaud, mon cur semballe, ma cyprine coule sur ma main, ma vulve est trempée, je défaille, jouis. Je vais avoir du mal à me rendormir. Jéteins, sorts, ferme la porte. A ce moment la porte den face souvre Mon père sort de la chambre, la referme. Il est à poil, on se retourne en même temps, on se retrouve nez à nez. Surpris, il me regarde, me détaille de la tête aux pieds.
Jai chaud, mes idées sembrouillent, ma raison me dit : cest ton père, tu nas pas le droit ! Mon ventre réclame, jai envie de prendre sa queue, de la placer devant mon trou, ma vulve est trempée tellement je mouille ! Je laisse glisser mes bras le long de son corps, hasarde une main sous ses couilles, la passe sur sa queue, prends le gland encore un peu collant, recule tout en le tenant. Je le lâche doucement, à regrets, continue de reculer. Je ne vois que sa verge droite, elle reste à lhorizontal, pointée vers moi, quand je lai tenu le gland est devenu énorme, violacé. Je marrête devant ma porte, lui exposes ma nudité en pleine lumière, lui fais admirer mon corps de femme. Jaurais voulu quil me prenne là, dans le couloir, debout, par derrière dans le vagin, mes mains appuyées sur le mur. Mais non, il me regarde, ne bouge pas, a un air désolé. Sa bite reste au garde à vous, je ne vois plus quelle, elle mattire. Je nose pas revenir vers lui, maccroupir devant, la sucer. Jentre dans ma chambre à reculons, lentement, à regrets, reste dans lencadrement de la porte. Je voudrais quil change davis, vienne vers moi, je lui lance un dernier regard implorant. Jattends encore un peu, rentre, referme ma porte sans bruit. Cest mon père, sa bite est réservée à ma mère, je ne peux pas, ne dois pas lavoir pour moi, lui demander de la faire entrer en moi, de la partager avec elle ! Dommage.
Quelle nuit ! Notre face à face na duré que 2 ou 3 minutes peut être 4 tout au plus, mais il ma perturbé sérieusement. Heureusement quaujourdhui je suis daprès midi au centre commercial, je fais la grasse matinée, repense à cette nuit ! Il a eu une érection dès linstant où il ma vu à poil devant lui, et pourtant, quelques minutes auparavant, il était encore dans le ventre de sa femme, ma mère. Il a réagit à lappel de mon corps dune façon très visible, mais a su se contrôler. Pas moi, jai mouillé dès que jai vu sa bite, avant même quelle se redresse ! Il faut dire que je suis plutôt en manque de sexe ces temps ci, je ne résisterais pas à une queue, si jen vois une, il me la faudra coûte que coûte ! Il est plus fort que moi au jeu du sexe, jai sûrement moins dexpérience que lui, cette nuit jai perdu la partie, cest mieux pour tout le monde.
Vers 10 h du matin, je descends, le vois à son comptoir. Il est comme dhabitude, sert les clients. Je ne sais pas ce quil pense, sil men veut de lavoir provoqué, de lui avoir délibérément exposé ma nudité, fait sentir que javais envie de lui. Jai la honte ! Je minstalle dans la cuisine, prends mon petit déjeuner. Ma mère le remplace au tabac, il vient sasseoir à côté de moi, se sert un café, me regarde, me dit tout bas :
- Aurélie, quest ce qui tarrive ?
- Tu me regardes toujours comme une petite fille, je tai montré que je suis devenue une femme !
- Tu es ma fille, ne loublie pas !
- Je sais, je nai pas voulu, mais cétait trop dur ! Excuse-moi, papa.
Pas de réponse, il boit son café, me dévisage, je rougis. Il retourne à son comptoir. Pauvre papa ! Il doit mettre ça sur le compte dun dérèglement hormonal. Je remonte dans ma chambre, repense à cette nuit. Sa queue ma paru moins grosse et moins longue que dans mes souvenirs denfance. Cest à 12 ans que je lai vue pour la première fois. Maintenant jai des éléments de comparaison ! Elle est de bonne taille, au moins comme celle de Marc, je comprends ma mère !
Javais 3 ans lorsque mes parents se sont mariés, il va falloir que je questionne ma mère. Je porte le nom de son mari, mais ça ne prouve rien. Elle a peut être connu un autre homme avant ? Mon père est bel homme, pas très grand, 40 ans, 1,75 m, 75 kg. Ma mère, plutôt petite, 37 ans, 1,60 m pour 50 kg. Ils forment un beau couple, sont heureux ensemble, cest elle qui dirige la maison, laide au tabac, soccupe des comptes.
Il sest passé près dun mois depuis que jai croisé mon père à poil dans le couloir, son regard sur moi a un peu changé, mais cest tout.
Je ne sais pas trop comment çest arrivé. Un jour, vers 4 h, je rentre du boulot, monte dans ma chambre. Ma mère saffaire dans la sienne, la porte est ouverte, jentre, massoie au bord du lit. Elle est étonnée de me voir là :
- Tu nas rien à faire cet après midi ?
- Non, rien de spécial, je mennuie un peu en ce moment !
- Que devient ton petit copain ?
- Je ne sais pas, je nai aucune nouvelle depuis plus de 6 semaines.
- Les hommes sont tous les mêmes, quand ils ont eu ce quils veulent, ils vous laissent tomber !
- Hé oui, toi tu as eu de la chance de rencontrer papa.
- Je me suis mariée à 21 ans, il nest pas le seul homme que jai connu, jai eu aussi quelques désillusions avant de le rencontrer.
- Ah oui, cest vrai, tu mas eu à 18 ans, alors, cest lui mon géniteur ?
- Non, cest un salaud qui a disparu après mavoir baisé ! Il voulait juste tirer son coup !
- Mais alors, pourquoi je porte le nom de ton mari, je devrais porter le tien ?
- Jai rencontré Roger quand tu avais un an, on sest aimé comme des fous, le coup de foudre. Il ma pris avec l et ta reconnu, on a vécu ensemble puis on sest mariés ! Il a toujours été un bon père pour toi, il ta élevé comme sa propre fille.
- Je comprends pourquoi lui ne mengueule jamais, cest toujours toi ! Tu sais ce quest devenu mon vrai père ?
- Non, je nen ai plus jamais entendu parler. Dailleurs pour moi il nexiste pas, ton père, cest celui qui ta élevé !
- Comment tu as pu céder à un tel mec ?
- Jétais jeune, je manquais dexpérience, il ma baratiné, ma culbuté, ma sauté, je me suis retrouvée enceinte !
- Quel salaud ! Tas pas cherché à le revoir pour lui dire ?
- Quand jai cédé à ce mec, je navais pas fait lamour depuis plusieurs mois ! Je ne pouvais pas lui dire, je nai jamais su son nom !
- Cest lui qui ta dépucelé ?
- Non, ça cétait bien avant de le rencontrer, javais 15 ans.
- Pourquoi papa ne ta pas fait un autre ?
- Cest moi qui nen veux pas dautre, il me le demande quelque fois, je refuse !
- Pourquoi tu refuses, jaurais aimé avoir un frère !
- Il fallait que je télève, avec le commerce ce nest pas facile !
Pauvre maman, je comprends pourquoi tu tinquiètes pour moi ! Tranquillise-toi, je prends mes précautions. Je rentre dans ma chambre, pensive, contente de cette révélation. Javais des doutes, mais ils auraient pu vivre ensemble, me faire et décider de se marier après 4 ans de vue commune. Maintenant je sais, mais je ne pense pas que ma mère la mis au courant de la révélation quelle vient de me faire.
Je comprends lembarras de mon père quand, il y a un mois de ça, il ma vu à poil. Je repense à sa réaction, au désir visible, quasi immédiat, quil na pas pu masquer. Jai senti quil avait envie de moi quand sa queue était comprimée par nos ventres. Elle se contractait, réagissait à chaque frottement de mon ventre contre le sien. Et moi qui me comportais comme si elle était en moi ! Il me maintenait serrée contre lui, jai compris pourquoi. Si, en mécartant un peu, jétais parvenue à passer ma main entre nous et à diriger sa queue vers le bas, je naurais eu aucun mal à la glisser dans ma fente, la faire entrer dans mon trou. Jétais ouverte, trempée, jaurais tout fait pour la faire pénétrer dans mon sexe. En me mettant sur la pointe des pieds, je frottais ses couilles contre ma vulve. Il devait sentir quelle était trempée, mon ventre prêt à laccueillir !
Quel supplice jai dû lui infliger, quelle force de caractère il lui a fallu pour résister à un tel appel de mon ventre, il bandait tellement dur, le pauvre. La vue de ce corps de femme offert, de mes petits seins fermes, de ma toison noire et drue qui se prolonge sur ma vulve, masque ma fente, tout cela lui a mis les sens en émoi. Ses mains me plaquaient contre lui, pétrissaient mes fesses à men faire mal, et ça à cause de son désir contenu, manifestation dune tension extrême, je le comprends maintenant. Quel est lhomme qui peut résister dans une telle situation ? Comme jai dû le faire souffrir de ne pouvoir, ou de ne pas vouloir me prendre !
Cest dautant plus difficile pour lui quil sait que je ne suis pas sa fille, et que ma mère, cest à dire sa femme, refuse davoir un de lui.
Peut être quun jour je lui donnerais cette joie sil me demande de lui en faire un, il a toujours été tellement bon pour moi, je lui dois bien ça !. Mais gare aux foudres de ma mère si lenvie men prenait !
Maintenant que je sais quil nest pas mon géniteur, je pourrais le récompenser de mavoir élevé comme sa fille. Papa, je taime !
Ca fait plus dun mois que je nai aucune nouvelle de Marc Chaque soir, lorsque je travaille avec léquipe du matin, avant 6 h, jessaye de le joindre au téléphone. Personne ne répond, cest curieux. Comme il sait quà cette heure là cest moi qui appelle, il ne répond pas, cest évident, il laisse sonner ! Je vais essayer ce midi, cette semaine je suis libre jusquà 14 h, on verra bien. Je pense souvent à lui, ça minquiète, je crois que jen suis amoureuse. Il nest pas libre, dommage, mais de toute façon je ne me fais aucune illusion sur notre relation, il ny a que mon cul qui lintéresse.
Ma mère a raison. Ce que les hommes voient en nous, cest notre cul, le reste, ils sen tapent ! Pour le moment, je nai que ça à leur offrir !
Mon gode et mes doigts ne me suffisent plus ! Jai besoin de la chaleur dune bite. Il faut que je trouve un autre porte-couilles !
Au boulot, les propositions ne manquent pas, surtout quand je fais de la mise en rayon ou pendant la pose. Il y a des mecs qui ont les mains baladeuses, mes seins, mon entrejambes, mou cul, tout y passe. Ceux là, ça va encore, je mhabitue, mais dautres, plus directs, me proposent carrément de me sauter dans lentrepôt, en levrette derrière les cartons demballage.
- Tauras rien à faire, tu baisses ton jean, tappuies sur les cartons, je fais tout !
Tas une capote ?
- Non ! Pas besoin, jte la file dans le cul !
- Jaime pas quon mencule !
- Dans lautre trou, jfrais attention, tinquiète ! Je sorts, tavales tout !
- Ca va pas ! Tes malade ! Je nbaise pas sans capote, va te faire foutre !
Voilà la dernière proposition qui ma été faite ! Jen suis à naller au boulot quen jean et polo, toute autre tenue serait beaucoup trop risquée. Je ne veux pas avoir à utiliser ma botte secrète, je risque ma place ! De toute façon, en cas durgence, jai toujours des capotes dans ma poche !
Mélanie a trouvé un boulot. Je nose pas lui parler de son mec. Finalement je ne suis pas fière, jai trahi ma meilleure copine. Pourtant, par le passé, on a fait des parties carrées ensemble. On verra ce quil se passera si elle minvite un soir. Sil est là, je vais lignorer, il baise quelconque, il ne mintéresse plus. Jessayerais quand même de lui faire comprendre que je nai pas aimé quon me prenne à sec, je ne suis pas un enjeu au poker !
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