Devenue Femelle

En couple hétéro depuis sept ans, je fantasmais souvent sur des scénarios dans lesquelles j'étais la putain d'un homme. Avec le temps ce phantasme s'est ren. Quand mon couple s'est éffondré il ne m'a fallu que quelques semaines de célibat pour me décider à tenter l'éxpérience. J'ai éxploré les chats gays et noué plusieurs contact. Chaque fois j'éxpliquais mon désir, être travesti, le plus femme possible (mon corps menu et mes cheveux longs sont un avantage) pour un homme viril, macho, légerement dominateur. Clairement, je voulais me faire sauter. C'est finalement avec Bernard que le contact s'est développé. Marié et physiquement loin de l'appolon, la fin de quarantaine dégarnie et bedonnante mais trés sûr de lui, trés mâle. Il a pris les choses en main et m'a mis en confiance au fur et à mesure de nos échanges. Deux semaines plus tard, aprés de longue nuit de chat trés chaud il m'a proposé de passer au réel. Il tenait à ce que tout soit parfait. Ainsi j'ai du promettre de m'épiler intégralement et de porter le genre de tenue que je décrivais dans nos conversation. Il m'avait même indiqué quelle coiffure je devrais porter. Nous avons décidé d'uin scénario banal mais propice à de nombreuses dérives. Il serait un réparateur appelé chez moi pour dépanner mon four. J'ai accédé à ses désirs et lui au mien, il m'a promis que si je ne me sentais pas tout s'arreterait et que nous fournirions un test VIH.
Le jour dit, maquillé, lisse et doux dans ma guépière gris perle et mes bas gris fumés mal cachés par ma minijupe noire et mon chemisier noué sur le ventre, j'arpentais mon appart sur mes talons noirs en ne sachant pas encore si je lui ouvrirais quand brutalement la sonnette a retenti. Une giclée d'adrénaline m'a secoué j'ai cru que j'allais m'évanouir. Tandis que mon cerveau se refusait encore à ouvrir je constatais que mon corps avait lui choisi l'option inverse.
"_Bonjour madmoiselle, je viens pour votre four
_En...entrez.

.."
Je le précédais à la cuisine sentant son regard sur moi. Il se mis aussitôt à s'occuper du four en m'ignorant. J'en profitais pour reprendre mes esprits et laisser l'éxcitation me gagner. Je réalisais alors que j'avais envie de lui, une puissante envie. Je lui proposais un verre qu'il accepta. Un autre suivit tandis qu'il s'affairait sur mon four (il est réelement réparateur en éléctro-ménager). Régulierement il éssayait de regarder sous ma jupe et je me mis à me positionner de manière à ce qu'il puisse mater. Je devenais fou d'éxcitation. Mon troisième whisky avait achevé mes dernières résistances. Je les voulais, lui et sa queue.
"_Voilà madmoiselle, ça marche. Et ça vous fera soixante euros.
_Je n'ai que trente sur moi, vous prenez les chèques?
_Non! Va falloir trouver autrechose...
_Que voulez-vous dire?
_Tu le sais trés bien salope.
Il m'attrappa fermement et me tira à lui pour m'embrasser. Ses mains me parcouraient et ça me rendait dingue. Je fis semblant de résister.
_"Arrête, tu as envie que je te saute petite salope, alors laisse toi faire!
_C'est pas vrai!
Sa main vint sous ma jupe agripper ma culotte et son contenu. Il empoigna mon sexe tendu et dit
"_Et ça, salope, c'est pas de l'envie? Allez arrête maintenant et sois une gentille petite cochonne.
Je cedais et répondit à son baiser. Ma main decendit vers l'objet de tous mes désirs, j'en tremblais et ne put retenir un cri quand elle se posa sur la bosse de son jean. Je me mis à genoux, éxcité par cette seule position, et commençais à liberer sa queue. Elle m'apparut enfin, odorante, douce, plus épaisse et plus longue que la mienne. Je me mis à la caresser, glissant mes doigts dans son épaisse toison, tripotant ses belles couilles. Enfin je posais mes lévres dessus et l'engloutit. Quel bonheur intense. Je commençais des va et vients en titillant son frein de la langue. Elle se mit à raidir et grossir encore dans ma bouche. Mes mains s'affairaient entre sa queue, son ventre et ses fesses. Je le suçais pour le faire jouir. Il éxprimait son plaisir par des râles et des compliments sur ma qualité de salope qui me chauffaient les reins d'un feu puissant. Ses mains me tripôtaient, agaçant mes petits tétons, caressant mes cheveux, mes épaules. Il s'arracha à ma fellation pour me demander de l'emmener dans ma chambre. Là il me poussa sur le lit et vint s'assoir sur mon visage. Je me mis à lecher ses couilles et son cul avec un bonheur sans mélange. Il se retourna ensuite pour un 69. Malheureusement je n'avais pas l'habitude de cette caresse et je n'ai pu retenir une trop rapide éjaculation. Il me repoussa alors sur le dos et vînt au-dessus de moi. Il m'embrassa la bouche pleine de mon sperme que je dus donc avaler. Quel délice...
Bernard profita de la pause pour éxiger que je m'éxhibe devant lui pour lui donner envie de me baiser.
"_Si tu veux que je te saute ma petite Camille salope il va falloir que tu me donnes envie...
Je me mis à me déhancher langoureusement devant lui en otant sensuellement mon chemisier puis ma jupe. Sa queue reprenait ses impréssionnantes proportions. Sur son ordre je revîns le sucer. "Jusqu'au bout et sans les mains" furent ses seuls mots. Durant un long moment je le suçais avec gourmandise en me caressant les seins. Il explosa dans ma bouche manquant de m'. J'avalais son plaisir et nettoyait consciencieusement sa verge d'une langue avide.
J'avais toujours autant envie de baiser mais il fit comme s'il était lui rassasiè. Je dus finalement me mettre à genoux, le suppliant fesses en l'air pour qu'il s'intéresse à moi.
"_Quelle petite salope. T'es une vraie chienne hein..."
Tout en parlant il me plaqua au mur et me saisis fermement le bras. Je haletais d'éxcitation.
"_Tu veux que je te prenne... Et bien demande le moi, demande moi de te sauter comme la pute en manque que tu es.
_Baise moi, saute moi s'il te plaît, prend moi comme la salope en manque que je suis.
_Suce d'abord.
Je le refis bander puis brutalement il me poussa sur le côté et me fit mettre à quatre pattes au bord du lit. Son sexe me paru tout d'un coup disproportionné. Il l'appuyait déjà contre mon trou. Il frotta un moment sa queue puis je sentis deux doigts glacés et visqueux forcer sans ménagement mon intimité.
_"Dis-donc salope, tes gods sont d'un beau calibre j'ai l'impréssion! Pas la peine de te préparer!!
Ety son gland revînt s'appuyer sur mon trou. Il força et entra lentement. J'avais mal mais je me sentais devenir enfin vraiment femelle. Quand il fut en moi il attaqua rapidement des va et vients profonds qui me remplissaient magiquement. Quelle magie de sentir cete queue épaisse, vibrante, brûlante au fond de moi et ces mains sur mes hanches qui m'agrippaient avec force. Un peu plus tard je vîns m'accroupir sur lui et m'empaler sur son pieu. Je m'enculais tout seul, de plus en plus rapidement. Une sensation inconnue montait en moi, chaleur et vibrations mélées.
Finalement il m'allongea sur le dos au bord du lit et me prît ainsi, mes jambes sur ses épaules, mes talons noués derriere sa nuque. J'explosais d'un coup dans une éjaculation hallucinante alors que je ne bandais même pas. Quelle jouissance incroyable. Il se libéra lui aussi enfin dans mon cul. SEntir ses jets puissants et saccadés se libérer en moi failli me faire jouir encore. Je sentis son sperme couler hors de moi, le long de ma cuisse.
Nous avons ensuite pris une douche durant laquelle il m'a tripoté et enfoncé trois doigts m'amenant encore à la jouissance que je dus lecher sur la faillence de la baignoire. Avant de partir il me dit qu'il allait réaliser encore un des phantasmes dont je lui avais parlé sur le net.
Il me fit mettre à genoux devant lui et me demanda de le sucer. Epuisé mais insatiable j'y retournais avec joie. Il m'attrappa finalement les cheveux et commença à aller et venir dans ma bouche. Il s'en arracha brutalement au bout d'un moment et se branla au-dessus Pde mon visage qu'un jet chaud et crémeux vînt bientôt frapper. J'ouvris la bouche pour en récupere une partie, le reste s'écrasant pour mon plus grand bonheur sur mon visage, mes cheveux et mon cou. Je récuperais ce précieux nectar et m'en déléctais ensuite.
Il partît enfin sur un "ta première faciale chérie, pas la dernière... bye petite pute, à bientôt".
C'était il y trois ans...