Sandrine 1
Sandrine
Bonjour, je mappelle Sandrine, jai 28 ans, actuellement mère au foyer depuis que je suis fiancée. Je suis actuellement mariée avec lhomme de ma vie, le père de notre petite fille âgée de 4 ans. Nous vivons une vie tout à fait respectable, nous sommes mon mari et moi très liés. Nous sommes sur la même longueur donde.
Mais depuis quelques mois je me sens quelque peu frustrée, je ressens une sorte de vide en moi, un manque. Quelque chose que je narrive pas à comprendre, je narrive pas à savoir quoi.
Comme chaque samedi soir, je me rendis avec ma fille et moi chez ma copine Virginie.
Ma petite aimait aller chez elle, Virginie en profite pour la gaver de sucrerie, et ma fille ne sen plaignait pas ! Une habitude maintenant.
Nous marchons sur le paillasson de la porte, je sonne, la petite très excitée comme une puce, qui ne sempêche pas de gigoter partout, elle les voulait ses sucreries !
Virginie ouvre la porte.
- Bonjour Virginie, comment v
. Mais, que ce passe til ?!
(Virginie était en larme, son maquillage coulait le long de ses magnifiques yeux)
- Je
Je texpliquerais plus tard, je ne veux pas que ta fille me voit dans cette état, entré donc vous installez je vais aller retournée me maquiller.
- Daccord Virginie
Je me suis installé avec ma fille sur mes genoux, qui au passage, réclame son bien depuis la sortie de la voiture.
- Sandrine, jai mis les bonbons pour la petite, dans le tiroir dans la petite table basse.
Voilà, ma fille enfin calmée sest mise dans son coin à désinner sur son cahier de brouillons, à sempiffrer des petites sucreries.
Virginie revenue de sa salle de bain, son regard navait pas changé, la pauvre été très mal !
- Virginie, raconte moi maintenant ce qui se passe
- Cest
Cest Guillaume, il m'a trompée
Dans notre lit conjugal en plus
- Quoi ?! Mais vous êtes un couple merveilleux, vous avez un fils, comment a til pu faire ça ?!
- Malheureusement, je ne le satisfaisais pas comme il le voudrait, il a certains fantasmes que je ne pouvais pas réaliser avec lui, Guillaume est un sadique, surtout pendant nos relations sexuelles
(Elle sest mise à sangloter)
- Mon dieu
- Je lui ai dit que je le détestais, le haïssais, que je souhaitais sa mort, et quil dégage avec sa pouffe.
- Ma pauvre puce, viens là.
Je lai prise dans mes bras, elle devait être réconfortée.
- Jai envie de lappeler et de lui dire que je le pardonne et que nous reprendrons notre vie, que tout serait oublié. Cest trop dur, jai limpression que tout ça est de ma faute
- Chut
Je suis là maintenant, si tu veux je peux rester un peu plus tard dans la soirée si tu le souhaite.
- Tu nes pas obligée
- Nous sommes amie Virginie tu étais là dans mes moments difficiles, tu toccupais toujours de moi quand je me sentais mal, maintenant cest à mon tour, nous sommes comme deux surs.
- Sandrine
Je ne sais pas quoi dire
- Ne t'en fais pas, je vais bien moccuper de toi, mais pour ma fille
- Tu nauras qu'à mettre la petite dans la chambre de mon fils. Nétant pas là, partie passer une semaine avec ses copains en Bretagne.
- Oui, ce sera parfait. Chérie ! Ce soir tu dormiras chez Virginie, ça ne te dérange pas ma puce ?
(Les yeux pétillants de ma fille mont confirmé que non)
Nous avons tout les trois dîné dans la cuisine, avec ma petite puce qui était, à ma grande surprise, très sage et calme elle est tellement trognon, quand elle ne fait pas de caprice. Virginie commencait à aller légèrement mieux. De vagues petits sourires sont apparus sur son visage.
- Ah enfin un petit sourire !
- Oui
Heureusement que tu es là Sandrine
- Je vais aller coucher la petite en lui racontant une histoire, tu nous prépares un café ?
- Ok
Je suis montée à létage pour raconter la petite histoire pour ma fille, elle m'a demandé si on pouvait revenir une prochaine fois, elle ladore sa Virginie on dirait !
Je suis redescendue 20 bonnes minutes plus tard, je voulais rester à contempler ma petite puce, ça grandit vite malheureusement les s.
Jai rejoins Virginie, elle nous avait préparé un café.
- Merci Virginie
- De rien Sandrine, cest moi qui devrais te remercier
- Mais non ma petite chérie, tu as tellement fait pour moi, je te devais au moins ça.
- Oui
Nous nous sommes installées sur le sofa pour regarder la télé, nous étions très proches lune de lautre. Nous regardions un film romantique qui passait sur M6. Elle sexclama dès les premiers mots doux de la part de lacteur principal à sa partenaire.
- Et ben, ça ne métonnerait pas quil la trompe celui là ! Regarde cette fille beaucoup trop naïve
Comme je lai étais pendant toutes ces années...
(Elle commençait à sangloter dans le coin du canapé, puis à allonger sa tête sur mon ventre)
- Virginie, je sais que ce nest pas facile à oublier
Mais tu verras au fil du temps
- Il ne reviendra pas, je ne sais plus quoi faire. Dis le moi Virginie, je faisais tout pour que notre famille soit parfaite, dit moi pourquoi tout sest arrêté ?!
- Tu nas pas à te sentir coupable, Guillaume est un pervers et un salaud au fond de lui. Il t'a laissé tomber pour une grognasse, il ne te méritait pas.
-
Peut être bien
- Bien sur que oui, tu es rayonnante, belle comme le jour, tu vaux beaucoup plus que lui.
- M
Merci Sandrine, je ne sais plus quoi dire
- Tu es beaucoup trop tendue je vais te préparer un bon bain, ne bouge pas
- Mais
- Non, non ! Ce soir JE moccupe de toi.
(Je suis allée dans la salle de bain, jai allumé des bougies, de la musique douce, du bain moussant, elle va être parfaite ma petite Virginie !)
- Virginie sest prêt !
- Jarrive tout de suite
Elle est entrée dans la pièce, émerveillée et très touchée, quelques larmes coulèrent de son visage.
- Menfin Virginie, quest-ce qui te prends ?
- Cest la première fois que quelquun soccupe aussi bien de moi
- Jamais Guillaume na
- Non
- Oublie ce que je viens de dire, je vais te laisser te détendre, petite chanceuse va ! Je ne fais pas ça à toutes mes amies je te préviens ! Profites-en bien.
Je lui ai fait un petit clin dil taquin, puis elle m'a parlé très doucement, en rougissant.
- Euh
Sandrine
- Oui ?
- Et ben
Je me demandais
Ce serait dommage que jen profite toute seul de ce bain, si tu veux tu peux venir avec moi
- ?
- Nous sommes amies, pas besoin de tinquiéter, cest juste que je ne voudrais pas en profiter toute seule
Ce serait dommage.
- Je vois
Daccord mais seulement pour notre amitié et parce que jai aussi envie de prendre un bon bain, je me suis pris du mal, pourquoi ne pas en profiter toutes les deux effectivement !
- Ca marche.
Je me suis mise toute nue assez vite, en lui demandant de se retourner le temps que jentre dans le bain.
- Cest bon. Tu peux te retourner.
Elle sest déshabillée très lentement, très pudique comme elle est, même avec son mari, puis au moment où elle devait enlever sa petite culotte, elle est rentrée dans le bain en vitesse.
- Mais que fais tu ? Tu vas la mouiller !
-
Aucune réponse, vu la façon dont elle rougissait, autant changer de sujet.
- Alors comment tu le trouves ce bain ?
- Magnifique
Il est parfait
Vraiment parfait
- Je suis contente quil te plaise !
Après plusieurs minutes, Virginie commencait enfin à se décontracter.
- Dis moi Sandrine
- Oui ?
- Est-ce que toi et ton mari
Cest
- Oui ?
- Et bien
- Allez pose moi ta question Virginie, promis je ne me fâche pas.
- Et bien est-ce que sexuellement
- Tu veux savoir si il me comble ?
- Euh, oui
(Jétais étonnée quelle puisse me poser une question comme celle-ci)
- Et bien, vraiment je ne me plains pas, toujours aussi parfait et attentionné avec moi, mais jai limpression quil me manque quelque chose, et je narrive pas à savoir quoi
- Je vois
Après plusieurs minutes, Virginie ne m'a pas parlé, perdue dans ses pensées. Alors pour la réveiller un petit peu, je lui envoie quelques gouttelettes sur sa petite bouille.
- Il y a un problème Sandrine ?
- Non, non, ce nest rien.
Elle sest rapprochée de moi puis sest mise dos contre moi, je ne pouvais plus bouger, jétais tétanisée.
- Sandrine
Je suis si bien auprès de toi
- Virginie, que tarrive til ?!
- Sil te plait laisse moi me reposer dans tes bras
Le choc et lémotion ont du la rendre comme ça, je ne pouvais rien faire à par mettre mes mains sur ses hanches.
- Tu sens tellement bon, tu es si belle et douce ma Sandrine
Avant même que je ne sortes un mot elle à prit une de mes mains et la rapproché de son sein gauche. Que sest-il passait ? Jétais incroyablement excitée et terrorisée par sa réaction. Que dois-je faire ?!
- Virginie, je suis sure que cest parce que tu te sens très mal, que tu te comportes comme ça, mais il faut que tu te ressaisisses.
- Non Sandrine, tu ne comprends pas
- Je ne comprends pas quoi ?
- Je
Je suis
- Oui ?
- Je
Je suis amoureuse de toi ! Je suis amoureuse de toi Sandrine !
(Un court instant je nai pas répondu, jétais bouche bée, surprise. Je nai rien compris, toute la situation a changé en un instant, le fait dêtre avec elle dans un bain, par exemple)
- Qu
Quoi ? Tu es amoureuse de moi ?
- Oui, depuis que nous sommes amies je ne fais que penser à toi, jour et nuit, où je faisais lamour avec Guillaume en pensant à toi.
- Je ne
Sais pas quoi dire
- Laisse moi tembrasser sil te plait
Elle approcha ses lèvres des miennes, puis les toucha, nous fermions toutes les deux nos yeux, je nai jamais ressenti autant de douceur et de tendresse dans un baiser.
Après 5 bonnes minutes elle me regarda droit dans les yeux.
- Tu sais pourquoi jai gardé ma petite culotte
- Non, je ne sais pas
- Ma culotte été déjà toute mouillée, avant dentrer dans le bain
-
!
Que voulez vous que je fasse ? Je nai jamais ressentis des sentiments pour une femme.
Elle prit mon autre main, pour la glisser dans sa petite culotte.
- Sandrine, sil te plait, caresse moi, jen ai tellement envie
Elle utilisait ma propre main pour se masturber.
- Je
- Sil te plait
Elle était comme sous mon emprise sous ces caresses, elle se tordait dans tous les sens en gémissant. Jai enlevé sa main pour me concentrer et explorer seule son intimité.
Nayant jamais pratiqué ça avec une femme, jai essayé de faire la même chose que je faisais quand je suis seule à me masturber. Jai commencé à lui lécher doucement sa nuque, sentit. En lui caressant et malaxant ses petits seins devenus tout pointus.
- Cest si bon, jaime tant ce que tu me fais
Continue sil te plait.
Elle ne se sentait plus, toute détendue, comme endormie dans mes bras, je continuais mes douces caresses, en commencent à lui titiller son clitoris sous sa petite culotte. En continuant à lui lécher la nuque.
- Je taime Sandrine, je taime, et toi ma chérie
- ...
Elle arrêta ma main, et sest retournée en me regardant droit dans les yeux, attendant une réponse à sa question.
[La suite une prochaine fois]
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