En Cette Journée Toride
Cette histoire, je lai réellement vécue je veux vous la relater de la façon la plus véridique :
Cette journée du 14 Juillet, il faisait au moins 30°. Ma femme : Sylvie, 27 ans, brune, un corps de sportive et très prude (trop à mon avis !) et moi avions invité pour lapéritif un voisin que je naime pas beaucoup mais que javais un peu « chauffé » sur ma femme (par plaisir purement vicieux despérer la voir objet de cet « homme » !) Qui était seul ce Dimanche. Cest un homme de 58 ans, bedonnant, à moitié chauve, de grosses lèvres sous sa petite moustache, lair particulièrement vicieux, les yeux toujours à laffût dun coin de chair de femme et autoritaire.
Mais bon, il nous avait déjà rendu service en nous fournissant de la viande à prix exceptionnel étant livreur bientôt à la retraite dans une société de distribution alimentaire.
Je fantasmais secrètement depuis longtemps de voir Sylvie ma femme sexhiber un peu (et peut être plus ?) devant lui car je savais quil fantasmait sur elle, nous en avions déjà parlé ensemble.
Javais convaincue Sylvie, de ne mettre que sa petite robe courte dété, très légère avec un grand décolleté et dune transparence qui laissait apercevoir ses dessous! Javais eu du mal car elle avait remarqué les coups doeils appuyés de Monsieur F (appelons le comme cela) sur son corps. Elle le trouvait vraiment très repoussant.
Elle avait quand même accepté sur mon insistance mais à contre cur !
Depuis le matin je la trouvais un peu énervée. De cette invitation peut être ?
F arriva enfin. Il la prit dans ses bras et lui fit la bise et je vis quil lembrassait tout près des lèvres. Cela mexcita un peu! Les banalités dusage furent échangées et tous les trois réunis devant la table en verre transparent du jardin, nous discutions de choses et dautres. Je remarquais que F louchait souvent sur les cuisses nues et surtout sur la poitrine de Sylvie mais il ny avait pas grand-chose à voir, elle avait mis un soutien gorge très sage alors que je lui avais proposé den mettre un transparent, ce quel mavait refusé tout net !
Elle avait remarqué ses coups doeil et semblait un peu troublée, je lui trouvais ses yeux un peu brillants ?.
Avec ma femme nous allâmes dans la cuisine pour chercher les amuses gueule je la trouvais légèrement fébrile (excitée ?). Alors jen profitai pour lui dire :
-Dis donc tu as vu comment il louche sur toi? Ca ne texcite pas ?
-Bof, dit telle tu sais il na pas grand-chose à voir !
Je sautais sur loccasion, saisissant lopportunité !
-Tiens alors fais moi plaisir retire ton soutien gorge ! Montres lui tes seins !
Elle fit la grimace prête à refuser mais je lui dis :
-Excite le un peu, nous ne sommes que tous les trois, essayes !
Alors aussi surprenant que cela elle me dit en soupirant:
-Daccord mais juste ça ! Tu sais cest pour toi.
Ravi de cette aubaine, je lui dis : Daccord, tu te montre bien en te penchant vers lui hein ? Je veux que tu lexcites pour de bon !
Elle partie dans la salle de bain et moi je revins sur la terrasse avec lautre.
Un instant plus tard, Sylvie nous rejoint mine de rien. Je me demandais si elle avait bien fait ce que je lui avais demandé mais à travers la robe légère japerçus, ainsi que F dailleurs les petites taches sombres des auréoles de ses seins clairs, quand elle se rassit auprès de nous. Je plaisantais avec notre invité en parlant de la chaleur quil faisait, que lon avait envie de ne mettre que peu de vêtements et que lon pouvait profiter de ça pour en voir plus des corps de jolies femmes !
Sylvie sourit et dit :
- Vous êtes vicelard vous les hommes !
- Et alors, dit F, cest sympa de découvrir des choses que vous cachez trop dhabitude Mesdames !
- Cest vrai, dis je, je préfères te voir comme ça, presque nue plutôt quavec un col roulé !
- Moi aussi ! Dit til en souriant dun air gourmant et vicieux, fixant la poitrine libre sous le léger tissus!
A ce moment Sylvie gonfla ses poumons faisant pointer ses seins fièrement vers lui avec un sourire coquin, comme pour le provoquer.
Déjà excité en voyant cela, je dis à Sylvie (pour tester sa bonne volonté) :
-Tiens montre un peu tes plantations à M.
-Pourquoi pas, venez voir
lui dit telle avec un sourire engageant.
- Bien sur avec plaisir dit til.
Ils se levèrent et je constatais que Sylvie se penchait bien face à lui pour montrer ses fleurs et avec le décolleté ouvert, il devait avoir une superbe vue directe sur les seins nus de ma femme. Jétais heureux de la voir enfin obéir pour mon plaisir.
Elle restait penchée face à lui en le fixant dans les yeux avec un sourire coquin !
Je me levais enfin et mapprochant deux je jetais un coup doeil à ma femme, je vis ses seins ronds et fermes, les bouts tendus comme des pointes et
Surprise, je vis quelle avait aussi retiré sa petite culotte! La robe ample ouverte laissant apercevoir lombre noire de son bas ventre.
Cétait la première fois quelle faisait cela ! Elle était prête ! Je bandais de plaisir de voir ma femme exaucer mes désirs cachés depuis tellement longtemps !
F était écarlate, en nage les yeux fixés sur le corps dévoilé de Sylvie un vague sourire au lèvres et le souffle court.
Cette présentation dura un petit moment, Sylvie sétant laissée, pour la 1ère fois, admirer par des yeux vicieux, semblant y prendre plaisir.
Nous sommes revenus à la table pour boire nos alcools. Je constatais que Sylvie avait aussi les joues rouges et respirait rapidement. Elle but très vite son apéritif. Je lui en resservi un autre bien tassé, sentant que le moment était propice pour quelle réalise mon fantasme Elle avait laissé sa robe remonter en sasseyant et nous voyions ses cuisses bronzées sous la table.
Jen voulais encore plus et dun regard appuyé vers elle (que F remarqua) je lencourageais ; me comprenant, elle croisa les jambes en les écartant un peu, faisant volontairement remonter sa robe, laissant apercevoir les poils noirs de sa chatte à F assis face à elle. Jétais aux anges.
La table en verre transparent lui permettait de deviner le haut des cuisses de ma femme.
Enfin elle leva pour chercher quelque chose dans la maison. Jen profitais pour dire à notre invité :
-Vous avez de la chance de voir autant de choses ! Peut être un peu plus vous intéresserait ?
- Oh oui, mais ça ne vous dérange pas ?
-Non, au contraire lui dis je. Javais tellement envie de la voir faire cela pour vous. Je vais voir jusquoù elle veut bien aller !
Je rejoignis Sylvie dans la cuisine et la prit dans mes bras. Lembrassant sur sa bouche chaude, je glissais une main sous sa robe légère et je sentis sa chatte humide. Je lui fis part de mon excitation à la voir faire tout cela et je profitai de son trouble :
-Dis donc tu as vraiment lair daimer te montrer au vieux F mais ce nest pas assez, si tu lui faisait une petite gâterie ce serait mieux !!
-Oh non il est répugnant, cest pour toi que je fais cela mais
- Allez, fais un effort, lui dis je dun ton ferme, tu es bien partie et il a peut être une belle bite que tu sucera jusquau bout. Allez fais moi plaisir suce le !!! Tu dois mobéir !
- Bon OK tu lauras voulu me dit telle !
-Noublie pas : jusquau bout et tu lui obéi, tu fais tout ce quil veut! Je me mets dans le grenier et je te laisse faire.
Elle ne dit rien et partie rejoindre le vieux, me jetant un regard trouble en passant devant moi.
Sous un prétexte quelconque je les quittais et me rendis dans le grenier. Jécoutais leur conversation.
Sylvie avait dû recommencer ses exhibitions (il ma dit après quelle avait largement écarté les cuisses cette fois, de façon provocante lui exhibant sa chatte noire en souriant. Il avait compris à ce moment quil avait une chance inespérée !)
Il lui demanda si elle était heureuse dêtre dehors seule avec lui et avec si peu de vêtements.
Elle lui répondit :
-Cest lui qui le veut !!! Mais ça vous plait au moins ?
- Bien sur une si jolie femme avec un corps superbe qui donne envie den faire plus !
- Jai envie de vous embrasser pour toutes les réductions que vous nous avez eu !
Et elle lembrassa sur la bouche.
Il lui saisit un sein quil sentit se dresser entre ses doigts. Elle ne bougeât pas, la bouche collée sur la sienne, semblant prendre plaisir aux attouchements du vieux porc.
Enfin elle dit :
-Viens là haut, jai quelque chose pour toi.
Ils montèrent dans la chambre à coté de moi.
Javais laissé la porte de séparation entrouverte et je les vis face à face.
Aussitôt dans la chambre, il lattira sur lui et reprit le baiser, la langue introduite profondément dans la bouche de ma femme.
Elle sécartât légèrement de lui et dit :
-Je dois te sucer.
Elle se mit à genoux devant lui et ouvrit son pantalon, qui tomba à ses pieds. Le gros ventre blanc du vieux sortit, il descendit son slip et une petite bite toute molle se présenta devant le visage de ma femme.
Elle nosait la prendre (je sus plus tard quelle sentait très fort lurine)
Il saisie sa queue et la promena sur la figure de Sylvie.
-Allez, prend la ma petite nettoie là !
Elle la prit entre deux doigts, approcha sa bouche quand même et passa la langue dessus. Lagitant un peu elle dit dune petite voix :
-Elle est molle! Je ne tai pas excité ?
-Tu sait à mon age cest plus dur pour bander longtemps il va falloir que tu suces !
Et dabord lève toi ! Je constatais un changement important dans son attitude, un ton très ferme, ayant senti quelle se laissait dominer.
Elle obéit et se releva. Il saisit sa robe quil lui ôta, la mettant nue devant lui.
Le corps mince de ma femme apparut, ses seins blancs et la toison noire de sa chatte tranchant sur la peau bronzée. Le maillot de bain deux pièces avait délimité et protégé ses parties intimes, elle navait jamais voulu se mettre nue au soleil dans le jardin ni ailleurs.
Cétait la première fois quelle était nue face à un autre homme que moi.
Je sentis F excité. Il dit (la voix forte) :
-Depuis le temps que je te connais et que je voulais te voir toute nue !!! Enfin je te tiens !
Il lui saisit les seins et les tripota fébrilement, brutalement, pinçant très fort les tétons lui arrachant un cri de douleur.
Il prit un sein dans sa bouche et le téta lentement je vis le visage de Sylvie silluminer de plaisir. Elle lui pressa la tête contre sa poitrine. Il sécarta un instant après. Il palpa tout son corps, descendit une main jusqu'à sa chatte ou il introduisit violemment un gros doigt après quelle eut largement écarté les cuisses ce qui me surpris de la voir répondre autant aux désirs de F.
-Tu mouilles bien !
- Oui, vas y ! dit telle
Sentant son envie il en introduisit un deuxième sans ménagement, il les fit aller et venir violemment elle tremblait de plaisir et de souffrance. Il les enfonça avec force et elle jouit intensément quelques instants plus tard en se collant à lui.
- Cest bon ! Souffla telle
Retirant brutalement ses doigts il reprit la bouche de ma femme, qui souvrit et y plongea sa langue. Elle lui prit la tête entre ses mains et lembrassa avec force, la bouche grande ouverte pour un baiser violent, passionné, pour le remercier du plaisir quil lui avait donné!
Sécartant en la repoussant il lui dit :
-Reste la bouche ouverte.
Ce quelle fit. Et alors il crachat dans cette bouche grande ouverte ! Elle ne bougeait pas, la gardant ouverte souillée du crachat du vieux.
Jétais abasourdi de voir ce quil faisait à Sylvie prêt à intervenir si cela dégénérait mais excité en même temps de voir le degré de vice de cet homme et ce quelle était capable daccepter ! Je bandais de plus en plus !
-Allez avale, dit til.
Elle sexécuta. Avec plaisir (me dit telle plus tard) elle avala, soumise devant moi à lautorité de son amant.
-Ma queue maintenant !
Il avait pris un peu de vigueur, alors Sylvie sagenouillât et reprenant le sexe de F, le gland encore recouvert de sa peau. Elle le prit en bouche, aspirant cette petite queue, je voyais les joues de Sylvie se creuser tellement elle la suçait fort ! Elle allait et venait sur le gland, en levant des yeux pleins de désir vers la face réjouie du vieux. Jadmirais voir ma femme toute nue à genoux devant un homme vieux et laid encore à moitié habillé qui sexcitai de cette situation digne dun film porno.
Quelques secondes après il dit :
-Mets ton doigt dans mon cul !
Il écarta les jambes et elle introduisit son doigt dans le fondement du vieux.
-Vas y, branle moi le cul ! dit til.
Elle sexécuta lui rentrant profondément dans lanus. La bouche toujours occupée par la tige du vieux.
Il lencourageait :
-Plus vite enfonce le bien et suce, ma salope suce le vieux connard que je suis pour toi !
Elle redoubla defforts buccaux et enfin la bite atteint une taille normale. Elle allait et venait sur le gland ses joues toujours creusées par la succion. Il lui recula la tête en la tirant brutalement par les cheveux et lui dit :
-Retire ton doigt et suce le !
Elle obéit encore et sorti son doigt maculé. Il lui prit la main et la forçat à lintroduire dans sa bouche. Elle eut une grimace de dégoût et un haut le cur. Elle parvint à déglutir quand même !
F rigola :
-Cest bon ?
Prenant sa queue entre ses doigts il commença à se branler devant la bouche de ma femme qui se rouvrit. Elle tendit la langue agaçant le méat ou une goutte de sperme perla quelle recueillie avec plaisir pour supprimer le goût acre des souillures avalées.
Il se branlait de plus en plus vite le gland a moitié dans la bouche ouverte langue tendue de Sylvie.
-Regarde moi, Salope !
Elle leva les yeux vers les siens, le regardant franchement, complètement soumise au plaisir du vieux.
Il accéléra son mouvement, la tête penchée vers ma femme et il lui dit, dans un râle:
-Oui
Prend tout !
Et il déchargea en jets spasmodiques sur la langue tendue, tendant son ventre et sa bite vers elle, un large sourire de satisfaction sur son visage. Elle en avait plein la bouche. Elle en eue aussi sur le nez et la joue. Un peu de sperme atterri sur le sein droit de Sylvie. Une fois tout déversé (il en avait une bonne dose !) elle gardait toujours la bouche ouverte, apparemment ne sachant que faire, le sperme visqueux du vieux la dégoûtait certainement mais elle était maintenant complètement soumise, prête à tout ce quil lui imposerait.
-Garde mon jus, régale toi salope! Allez, salope avale tout !
Et je vis aux mouvements de sa gorge quelle avalait le foutre de F.
-Montre moi si tu mas bien avalé, cochonne !
Rouvrant la bouche devant lautre elle lui montra quelle avait fait ce quil voulait.
Il récupéra le sperme sur le nez de Sylvie avec ses doigts et les lui fis les sucer. Il en profitât pour les lui enfoncer dans sa bouche, ce quelle laissa faire!
Jétais aux anges, elle navait avalé mon sperme quune seule fois depuis que nous étions mariée!
A ma grande surprise elle reprit la queue du vieux, toute molle, avec sa bouche et téta le morceau de chair en le branlant lentement comme si elle voulait le vider de toute sa semence.
Il lui tira la tête, la saisissant par les cheveux,
-Ca suffit, y en a plus pour aujourdhui, tas lair de laimer ma bitte ! Cest bien, tu es la première qui accepte de faire ce que jai envie. Tu aimes le foutre ! Jespère que tu suceras dautres bittes aussi bien la prochaine fois ?
Elle quitta comme à regret la petite queue du vieux. Elle ramassa le sperme tombé sur son sein avec les doigts et les portant à sa bouche elle les lécha !
Il remonta slip et pantalon, ma femme toujours nue a genoux devant lui.
Je compris que ma petite femme si prude jusquà aujourdhui avait glissé dans le plaisir par la soumission à F (quelle mavait souvent dit détester) étonné de voir jusquou elle pouvait savilir mais en même temps heureux de la voir sortir de son attitude si prude quelle avait habituellement à la maison.
Je jouis enfin, projetant mon sperme sur la moquette, nayant pu profiter moi aussi de sa bouche.
Il la fit relever en la re-tirant par les cheveux, il reprit ses seins à pleine main et en les triturant, les pinçant très fort pour lui faire vraiment mal, elle grimaça de douleur mais elle lui sourit aussitôt après.
Lui donnant une claque violente sur la fesse en pinçant toujours un téton il lui dit ;
-Tes ma salope maintenant je reviendrai et je tamènerai des copains a soulager si tu es gentille et si ton mari est daccord.
Elle lui dit dune petite voix :
-Il faut lui demander !
Je sorti de ma cachette faisant sursauter le vieux. Il la lâchât. Javais un grand sourire.
Je me tournais vers Sylvie, toute nue entre nous.
-Moi je veux bien, et toi es tu prête ?
Elle ne répondit pas, baissant la tête.
-Daccord elle fera ce que vous voulez.
-Super dit til. Jai des copains qui aimeront ta bouche ! Tu avales bien ! Penche toi, lui dit til !
Elle se pencha en avant, lui présentant sa croupe. Il lui écarta les fesses et introduit un doigt dans son anus et lui frotta le clitoris de lautre main ! Devant moi ! Jétais surpris de son audace et encore plus de la soumission de Sylvie !
-Vous avez une femme splendide et bien élevée ! Me dit til.
Elle poussa un gémissement et je vis son visage silluminer dun grand sourire. Elle aimait ces doigts qui la fouillaient !
-Elle mouille encore ! Elle aime ça dis donc ! Jespère quelle sera comme ça avec les copains !
Et sans attendre il nous quitta.
Je pris Sylvie toujours nue, abasourdie dans mes bras pour la féliciter de son comportement. Je lui fis boire un alcool fort avant de lembrasser. Pour la première fois elle resta nue une grande partie de laprès-midi au soleil, quitte à être vue des voisins, mais insouciante et joyeuse. Elle ne me dit rien et cest bien plus tard quelle ma livré ses sentiments à ce moment là, et jen appris plus après quil lai effectivement livrée à des copains et même à un voisin détesté pour le même exercice dès le lendemain !
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