Aventures D'Ados ( 17 )
17 Les vacances scolaires se terminent, dans 15 jours je reprends les cours à la Fac. Mon remplacement à la caisse du super marché est terminé, jai du temps libre et ne sais plus trop quoi faire de mes journées. Jen profite pour me promener dans les magasins, renouveler ma garde robe pour lhiver.
Ca fait maintenant deux mois que je nai pas baisé, que personne ne ma la mise. Quelques fois je repense à la queue de mon « beau-père », surtout les nuits où je me réveille, ma mère étant toujours très peu discrète quand elle est partie ! Jai bien essayé de le coincer dans le couloir, mais je crois quil se méfie de moi, vérifie que je suis bien dans ma chambre avant de se risquer dans la salle de bain. Quant à Marc, disparu, même quand jétais à la caisse je ne lai pas aperçu. Jai fait le pied de grue devant son atelier, je lai vu sortir en voiture, lui ne ma pas ou na pas voulu me remarquer.
Accroc que je suis à sa queue, un soir jai quand même réussi à lavoir au téléphone. Il ma dit :
- Je ne peux plus te revoir, il y a trop de risques. Lorsquon a baisé dans mon bureau, une employée était encore sur place. En sortant des toilettes elle ta vu grimper lescalier et entrer dans le bureau. Elle est montée, est restée à écouter à la porte pendant tout le temps quon a baisé. Elle ta entendu crier quand tu as joui ! Tout le monde est au courant, linformation circule, « le patron sest tapé une jeunette dans son bureau pendant lheure du midi »! Ca a fait le tour de latelier, cest ma secrétaire qui me la rapporté, détails à lappui. Tu me plais toujours, jai souvent envie de toi. Tu sais que la première fois jai longuement hésité à te sauter, ce nest pas dans mes habitudes de tromper ma femme. Je ne peux pas risquer de briser mon ménage, jaime ma femme. Déjà ma réputation en a pris un sérieux coup. Je te demande donc de considérer cette aventure comme sans lendemain ! Peut-être quun jour, enfin on verra ?
- Je comprends, tu aurais dû mappeler pour me le dire, au lieu de me faire gamberger.
- Excuse moi ! Comme on n a eu que 4 rapports en 3 mois, je me suis dis que tu avais certainement un petit copain pour combler le trou !
- Malheureusement non. Après notre première baise, personne dautre que toi ne me la mise !
- Ne mappelle plus, je le ferais si une occasion se présente. Tu es vraiment bonne mais tu me crèves !
- Je suis en manque, débrouille toi quand même pour trouver une occasion de ma la mettre, on peut le faire discrètement !
- Jy pense ! Je te rappelle. Bye bye.
Jai enfin compris la raison de son abandon. On sest fait prendre. Je ne peux pas lui en vouloir cest moi qui la poussé à la faute !
Mes parents ont fermé le café tabac pendant 3 semaines, mais, à part quelques sorties dune journée, ils sont restés chez eux. Ma mère part quelque fois laprès midi pour faire des achats dit-elle. Un jour, je rentre du boulot vers trois heures et demi. Mon père est installé dans le salon qui se situe juste en face de ma chambre. Il est sur le canapé, regarde la télévision. Je rentre dans ma chambre, me change, troque jean et Sweet pour un corsage et une jupe, reviens dans le salon, minstalle à côté de lui.. À ce moment là je nai aucune intention particulière, je me sens bien, me rapproche de lui, me sers contre lui. Jai chaud, mon coeur bat plus vite, jai soudain envie, je mets ma tête sur son épaule, pose une main sur sa cuisse. Il ne la repousse pas, ne bouge pas, je suis bien, je ferme les yeux. Mine de rien, je caresse sa cuisse, ma main remonte lentement à lintérieur de la jambe, arrive à lendroit stratégique. Toujours pas de réaction, il laisse faire, semble indifférent. Je sens un certain trouble menvahir, il faut que jose. Je glisse ma main dans son entrejambes, appuie sur les couilles.
- Arrête, tu ne vas pas remettre ça, ta mère risque de rentrer !
Jenlève ma main, prends la sienne, la met en haut de ma cuisse, sous la jupe. Il résiste.
- Ca va comme ça, ninsiste pas !
Il est tout rouge, me regarde dun air courroucé, je tiens toujours sa main, la maintient solidement en place. Il me sert la cuisse, ses doigts senfoncent dans ma chair, il me fait mal. Aïe ! Létau se dessert doucement, je remue le cul, écarte un peu plus mes cuisses, fais glisser sa main jusquà mon entrejambes, la coince en resserrant mes cuisses, la bloque sur mon sexe, la lâche. De lui-même il lapplique sur mon string, enserre ma vulve. Jai ce que je voulais, la sentir là, sur ma chatte, jen mouille. Je me tourne vers lui, cherche le zip, ouvre la braguette.
- Je tai déjà dit non, tas pas compris !
Une de ses mains est toujours plaquée sur mon sexe, le pétrit, lautre essaie de sortir la mienne de son pantalon.
- Enlève ta patte de là, je vais me fâcher !
Elle est dans le pantalon, je serre la bite au travers du boxer, lutte pour la sortir, jai du mal à la dégager tellement elle est raide et quil bande.
- Sort-la toi-même, jy arrive pas, tu bandes trop!
- Fout moi la paix ! Quest ce qui tprend ?
- Jai envie de te branler !
Je ne lâche pas ma prise, au contraire, la tient bien en main, y met les deux, fouille, trouve louverture du boxer, la dégage enfin, elle jaillit toute droite, gonflée, le gland est violacé.
- Arrête, tu nas pas le droit de faire ça !
De sa main libre il cherche à libérer sa queue et à la faire rentrer dans le pantalon, mais je tiens bon. Pendant que je lutte pour garder ma prise, je sens que son autre main écarte mon string, passe dessous. Elle appuie sur mes lèvres gonflées, glisse les doigts dans ma fente, presse mon clito, le fait surgir de son capuchon, le triture. Je ne tiens plus en place, remue le bas ventre, le pousse au devant de sa main, mon clito sérige, un flot de mouille envahit ma fente, sa main.
Je sens quil est à ma merci malgré ses protestations. Je me bagarre pour lempêcher de rentrer sa queue dans le caleçon, commence à le branler sérieux.
- Tes une vraie salope, tas cque tu veux !
Jai la bouche pleine, jétouffe, avale, déglutit, me redresse, fonce dans la salle de bain, recrache le surplus. Je me rince la bouche, me lave les dents, me soulage, fait une toilette intime car mes poils sont collants. Je remets le string en place, fais retomber ma jupe, referme mon chemisier, me recoiffe. Je me regarde dans la glace, constate que je suis de nouveau présentable, descends à la cuisine, me prépare un thé, grignote des petits gâteaux. Je pense à ce qui vient de se passer. Je lui ai pompé le dard, mais jaurais préféré quil me lintroduise profond et décharge dans moi. Si loccasion se représente, je tenterais de nouveau ma chance maintenant que je sais quil nest que mon beau-père. Pour y arriver, je dois parvenir à me saisir de sa queue, cest son point faible. Ce que je crains, cest quil ne me laisse plus venir contre lui quand on sera seul à la maison, quil me repousse. Maintenant quil sait ce que veux, il serait surprenant que je parvienne à lavoir en moi. Je crois quil est préférable que je laisse tomber et que je cherche ailleurs ! Surtout si ma mère vient à lapprendre, elle est capable de me virer, cest pour le coup que je me retrouverais à la rue !
Voilà ma mère qui rentre avec ses paquets. Je lui propose de lui servir un thé pendant quelle déballe ses emplettes.
- Où est ton père ?
- Là haut je suppose, tentends pas la télé !
À ce moment là on entend un bruit de chasse deau.
- Fait moi un thé, jen ai plein les bottes à courir dans les magasins. Regarde ce que jai trouvé !
Pauvre maman, si elle savait ce que moi jai trouvé dans le pantalon de son mari. Je lai pompé sérieux, il ne sera pas en forme cette nuit, je vais pouvoir dormir jusquau matin ! Pourvu que ma mère soit, elle aussi, sur les rotules !
Maintenant, lorsque je me retrouve seule avec lui au salon, il se met dans un fauteuil. Je vois bien quil mévite. Pourtant il marrive quelque fois de le frôler, de me frotter à lui. Parfois il fait semblant de ne pas sen rendre compte, dautres fois il me regarde dun air courroucé.
Ca fait un mois et demi que jai sucé la bite de mon beau-père, et autant de temps que je nai pas baisé.
Bien sûr, me faire tirer, comme ça, par un mec de passage, cest toujours possible, je men rends compte, mon cul attire le regard les mecs ! Il faut reconnaître que je suis vraiment sexy, vraiment pas mal foutue, bref tout à fait mettable ! Mais jai besoin dune vraie relation, de quelquun qui me baise régulièrement, dun peu damour sans doute.
Un après midi morne. Désoeuvrée, je me rends sur les boulevards avec lintention de voir un film sorti récemment. Il y a la queue à lextérieur, les gens attendent la prochaine séance. Un mec, à coté de moi dans la file dattente, engage la conversation, me parle de la pluie et du beau temps, des films quil est déjà allé voir. On achète nos tickets, entrons dans la salle, il sinstalle à côté de moi, dans le fond, loin de lécran. On regarde le film, il ne se passe rien, et en sortant on fait un bout de chemin ensemble. Il commente le film, demande mon avis, me donne le sien. On passe devant un grand café, il minvite à prendre un verre à la terrasse. Une chance, jai soif ! Au bout dune demi-heure à peu près, je me lève, le remercie. On marche tranquillement, il reste à côté de moi, silencieux. On passe devant un hôtel 3*, il sarrête, minterroge du regard, me prend la main, me tire doucement vers la double porte vitrée de lentrée. Je résiste, sans conviction. Il est beau mec, je suis en manque ! Cest un inconnu, je ne sais absolument rien de lui, jhésite, ne bouge pas, lobserve. Il me dit :
- On entre là ?
- Non, pas question !
- Jai envie de toi, tu es si belle !
- Quest ce qui te fait croire que jai envie que tu me baises !
- Si tu ne veux pas, tant pis !
- On ne se connaît pas !
- Moi cest André et toi ?
- Aurélie.
On continue de se promener, on parle de choses sans intérêts, lheure avance, jai envie de rentrer à la maison. Il fait une deuxième tentative lorsque lon passe devant lentrée dun autre hôtel, sans succès. Encore un qui ne sintéresse quà mon cul, car pour ce qui est de la conversation, pas grand chose ! Pas de chance pour lui, cest le dernier jour de mes règles, jai mis un tampon par précaution, ce qui me permet de refuser plus facilement quil me saute. On se quitte
- Je te donne mon téléphone, appelle-moi, jaimerais te revoir, tu me plais.
- Si tu ne tintéresses quà mon cul, dis le tout de suite, ça évitera les malentendus.
- Tes vraiment dure avec moi, je ne veux pas seulement te sauter, je veux aussi faire plus ample connaissance !
- Si cest de mon cul dont tu parles, je vais y réfléchir, mets-toi bien ça dans la tête, je ne couche pas facilement !
- Pourquoi tu ténerves, on peu parler !
- Je ne baise pas avec le premier venu et seulement si jen ai envie, je ne suis pas une pute !
On se dit au revoir, il membrasse sur la joue, je le quitte sans même me retourner. Il me plaît, cest évident. Mais il a commencé par vouloir me sauter, ce nest pas un bon départ pour une relation durable. Ca fait deux mois que je ne me suis pas fait ramoner et pour le moment, rien en vue !
La semaine prochaine je reprends les cours à la Fac. Je vais bosser dur, je veux avoir mon diplôme.
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