Deux Garçons S'Amusent
À cette époque, j'étais étudiante, je vivais sur un campus universitaire. Romain était un de mes meilleurs amis : bien que nous ne fussions jamais « sortis ensemble », nous étions presque aussi intimes qu'un couple ! Nous nous rendions donc visite dans nos chambres respectives à n'importe quelle heure, et pour n'importe quel motif, futile ou essentiel.
Un après-midi, je frappais donc chez lui, toc-toc-toc, et sans attendre sa réponse, j'entrais. Surprise : dans la chambre régnait une semi obscurité et une chaleur presque étouffante. La première chose que je vis, c'était deux petits culs qui s'agitaient ensemble : Romain était en train de se faire enculer.
L'intrusion d'une fille ne perturba nullement leur jeu. Romain était à genoux sur son lit, le torse redressé. Il levait sa tête comme pour regarder le haut du mur, mais ses yeux étaient fermés : c'est sa bouche qui était ouverte pour mieux respirer un air voluptueux. Son corps juvénile tout blanc était très en sueur : il faisait si chaud, ils avaient dû prendre une douche, juste avant.
Derrière lui, son amant avait une peau plus sombre. Un genou sur le lit, et l'autre pied posé à terre, la jambe un peu tendue en arrière, pour donner de la force à ses assauts. Son torse était collé au dos de Romain, et ses mains lui caressaient la poitrine, les flancs, les cuisses, et parfois la fourrure pubienne. Il poussait des doux grognements un peu animaux.
Romain n'était pas homo, pourtant : je savais qu'il était sorti avec d'autres filles que moi. Aussi, le spectacle me fascinait. Je fus surprise de constater que dans la chambre, ça sentait bon. Je veux dire : je suis déjà allée dans des vestiaires de garçons après l'entraînement
eh bien ici, ça ne sentait pas du tout ça, mais plutôt une odeur de vanille. Leur gel douche, sans doute
Je m'assis sur le lit devant Romain. Son pénis était si raide, on aurait dit un bout de bois planté dans son bas ventre ! Des spasmes le tendaient comme des décharges électriques, je n'osais y toucher.
Il avait levé un bras pour caresser les cheveux de son amant derrière lui. Devant moi, son aisselle tendre dévoilait une petite touffe sombre et un peu rêche, que je léchais avec bonheur.
Il glissa sa main sous ma jupe. Finalement, je fis pareil, mais j'effleurai juste, pour ne pas perturber leur rythme. Je remontai le long de sa jambe vers cet endroit si doux, entre les couilles et la cuisse, ou la peau est tendre et couverte d'un léger duvet. C'est alors que leur étreinte se fit plus crispée, plus violente, plus profonde. Ils gémissaient tous les deux, et soudain, dans un grand « Aaah ! » la bite toute raide de Romain éjacula longuement sur mon bras, sans même qu'on ne la touchât. À ce que je comprenais, son amant avait éjaculé aussi, car leurs bras et leurs épaules tombaient mollement, et ils se couchèrent. Je raconterais peut-être cette histoire en BD un jour sur mon blog (http://louvreblondeau.canalblog.com/), si je trouve une fin rigolote.
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