Aventures D'Ado (18 )
Ca y est, je suis rentré à la Fac. Je retrouve quelques copains et copines de lannée dernière. Par contre je ne vois plus celui auquel jai coincé les couilles avec ma main. Il na pas réapparu dans lamphi pour finir lannée. Je vais aux renseignements. Et japprends que le lendemain il est revenu en cours. Mais il a été intercepté, conduit directement à la direction. Il a reconnu mavoir obligé à entrer dans la salle de cours car il avait depuis longtemps lintention de me sauter. Comme je me montrais passive, il a ouvert mon jean, écarté ma culotte, introduit deux doigts dans le trou puis a essayé de me pénétrer. Avant quil en arrive là, je me suis défendue en lui attrapant les couilles et en les serrant violemment ! Il a été exclu définitivement pour viol dune élève dans les locaux universitaires. Finalement ce nétait pas si grave que ça, il sen est bien sorti. Je croyais lavoir châtré ! Je nai même pas porté plainte ! Je me demande pourquoi certains mecs me regardent dun drôle dair et séloignent de moi lorsque je passe à côté deux.
Ma copine a trouvé un studio à louer. Lannée dernière elle rentrait chaque jour chez ses parents, mais elle avait besoin de son indépendance. Elle a un petit copain et ses parents ne veulent pas quelle le reçoive chez eux. Cette solution lui convient mieux car elle est libre. Ca revient beaucoup plus cher, mais ses parents préfèrent cette solution. Cest eux qui louent le studio mais elle doit se trouver des petits boulots pour assurer les fins de mois.
Cest aussi justifié par le fait quelle a plus dune heure et demi de transport pour rentrer chez elle, alors que pour ma part de 30 à 45 minutes suffisent.
Moi, je nai pas ce problème parce que, actuellement, je nai personne dans ma vie. Je regagne ma chambre chaque jour, passe mes soirées à étudier. Cest bien triste dailleurs, personne ne me la mise depuis bien longtemps ! Lorsque mes parents me réveillent, je mentretiens avec mon gode !
De temps en temps elle minvite dans sa piaule pour étudier ensemble.
Je linvite chez moi, la présente à ma mère, puis nous montons étudier. Au bout dun moment, on fait une pose, je linvite à descendre prendre une boisson et grignoter quelque chose au café. Cest mon père qui nous sert. Je lui présente ma copine. Je commence à parler sexe. Elle préfère les jeunes de son âge, moi les hommes mûrs. La discussion ayant commencé sur ce terrain, elle se marre quand je lui dis que celui qui avait voulu me violer taillait du 3,5 x 12 en érection, gland gros comme une noisette. Il voulait me lintroduire, mais il navait pas de quoi aller au fond. Ridicule, quel prétentieux ! Puis on remonte dans la chambre, prêtes à se remettre au boulot
- Attend, je vais te montrer quelque chose
Je me lève, vais à larmoire, en sort mon gode. Elle admire la taille de lengin (5 x 20) le prend en main.
- Tu peux pas faire rentrer ça !
- Tu veux une démonstration ?
- Pourquoi pas ?
- Tu veux lessayer ?
- Non ! Montre-moi, je ne te crois pas, il me fait peur !
- Mon dernier mec en a une de cette taille !
- Pas possible, cest bien trop gros !
- Je te jure, cest vrai!
Je mapproche delle, lui caresse la poitrine au travers de son pull, passe une main dessous, palpe un sein. Elle a un tee shirt et un sous-tif. Je me frotte un peu contre elle, la pelote, met mes mains sur ses fesses, en passe une entre ses jambes, elle ne bouge pas, se laisse faire. Je cherche sa bouche, la force un peu, arrive à peine à y introduire ma langue. Elle me repousse.
- Non, je n peux pas, tes une femme !
- Cest toi qui va me le mettre !
- Non, fait ça toute seule !
- Jpeux pas comme ça !
- Alors laisse tomber !
Je méloigne un peu, pose le gode sur le lit, reviens à la charge, dégrafe son jean, le fait descendre.
- Non, pas ça !
Je me relève, passe ma main dans sa culotte, cherche le clito, le fait rouler entre deux doigts. Elle remue le bas ventre, écarte un peu les cuisses. Jai gagné, elle est foutue, sabandonne. Je plaque la main sur sa vulve trempée, passe un doigt entre les lèvres gonflées, le glisse entre les nymphes, continu la progression jusquà atteindre lentrée, lintroduit direct en entier.
Soudain elle se déchaîne. En un tour de main elle me fout à poil, je la pousse, elle bascule sur le lit, jatt ses jambes, vire le jean resté aux pieds. Elle sallonge sur le lit, je passe au-dessus delle, on se retrouve toutes les deux têtes bêche, elle au-dessous, moi presque en levrette. Elle maintient ses cuisses serrées, jécarte sa culotte, lui introduit deux doigts, les activent. De son côté elle me bouffe la chatte, écarte les poils, ouvre mes lèvres, tire sur mes nymphes, enfonce sa langue dans mon trou, me boit à la source. Elle pince mon petit bouton, le fait sortir de sa gaine, lagasse, je ne tiens plus, mouille terrible. Le gode est à sa portée, elle tend la main, latt et, Oh ! surprise, brusquement, lenfonce dun seul coup, sans hésiter, au plus profond de moi ! Elle le fait aller et venir dans mon antre, le bloque au fond, le fait tourner, le ressort, lenfile de nouveau dune seule traite.
- Oh! ouiiiiiii, cest bon, vas-y, plus vite, je viens, je jouiiiiiiiiiiiis.
Je maffale sur elle, retire le gode, me relève, change de position, passe de lautre côté, att sa culotte, tire, elle résiste, je parviens à la virer. Jadmire sa chatte, elle est bien moins noire et moins dense que la mienne. Contrairement à moi, les lèvres peu velues laissent la fente visible. Je lui écarte les cuisses sans ménagement, ouvre la fente, plonge la tête, mordille son bourgeon damour, passe ma langue entre les nymphes, la rentre dans son trou. Elle matt les cheveux, plaque ma bouche sur son sexe, remue le bas ventre. Je me redresse, enfonce deux doigts dans son vagin, en mets un troisième, les fait tourner. Elle est ouverte, mouille abondamment. Je récupère le gode, écarte les lèvres, lappuie sur le clito, le glisse au fond de la fente, le présente devant son trou à peine refermé :
- Non, pas ça, tu vas me déchirer.
- Détends-toi, il va rentrer.
- Non, tu vas me faire mal !
Elle essaye de se dégager, se redresse, tente de me repousser. Je lui maintiens les cuisses ouvertes au max, fait tourner le gode pour dilater lentrée, le pousse, il senfonce lentement. Le muscle cède, le gland est passé, sa respiration saccélère, elle cambre les reins, remonte les jambes.
- Oh oui, narrête pas !
Elle remue tellement le bassin que le gode pénètre maintenant avec facilité. Je le pousse au fond delle, le fait ressortir, lentre de nouveau.
- Défonce-moi !
Elle gémit de plus en plus fort, relève les fesses, se cambre, accompagne, donne des coups de reins à chaque va et vient. Soudain elle crie
- Ahaaaaaa, Ohooooo, Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !
Elle ferme les yeux, retombe, allonge les jambes, resserre les cuisses sur le gode toujours en elle, ne bouge plus. Je descends du lit, la laisse reprendre ses esprits. Sa respiration se calme, elle a lair de dormir, je la recouvre dune couette. Elle a dû avoir un orgasme très violent, vu les cris quelle a poussés quand elle a joui. Je me rhabille, attends quelle refasse surface.
Elle se frotte les yeux, émerge doucement, se redresse, enlève le gode. Il est luisant de cyprine. Elle sassoie au bord du lit.
- Wouha ! Quest qui marrive ? Je nai jamais eu un orgasme aussi fort !
- Tu vois, il est entré facilement !
- Aucune bite ne ma comblé autant le ventre !
- Tu nas pas eu mal quand il est entré ?
- Non. Tu sais, cest la première fois que je fais lamour avec une femme !
- Tu as aimé ?
- Oui.
Elle se rhabille, rassemble ses affaires, met son anorak. On est fin novembre et il commence à faire froid dehors. On sembrasse, jenfile mon anorak et la reconduis jusquà larrêt dautobus. Je lui explique que je suis en manque en ce moment, je nai plus personne pour me la mettre, je me sers de mon gode quand lenvie devient trop forte.
Si ma mère nous a entendus, je crois que je vais encore avoir des ennuis en rentrant à la maison, voire men prendre une !
Hé oui, en rentrant, jai droit à une super engueulade. Elle a crié tellement fort que ma mère, qui était au comptoir, la entendu ! Et les clients aussi, malheureusement. Doù le savon spécial. Jai échappé à la paire de gifles, quelle chance. Ma mère me dit
- Si tu veux faire des cochonneries avec ta copine, soyez plus discrètes
- Excuse-moi, maman, on est en manque de queue toutes les deux, alors on a compensé !
- Tu te fous de moi ! Si ça continu comme ça, trouve toi une chambre.
- Ten fait pas, dès que jaurais un emploi, je men occuperais !
Le lundi je retourne à la Fac. Ma copine mattend, on sembrasse. Quand elle est rentrée chez elle, son copain était sur le palier. Elle la fait entrer, sest mise à laide, lui a offert à boire.
- Jai envie de toi, je suis venu pour te baiser !
- Revient demain, ce soir je nen ai pas envie de me faire sauter, je suis crevée !
Il na pas insisté, est reparti la queue entre les jambes, désappointé. Hier il me la mise, on a fait lamour, cétait bien. Mais la sienne na rien à voir avec la taille de ton gode. Je lai bien regardé quand je lai sucé, sa bite fait, au jugé 4 x15, jai pas mesuré, mais il ma quand même fait venir quand il a lâché son foutre. Une bonne giclée, cest bien agréable ! Je nai quun lit dune place, il ne dort pas chez moi. Je sais que, quand il vient me voir, cest pour que je lui vide les couilles. Notre relation se limite à la baise, je dirais pour lhygiène ! Je nen suis pas amoureuse.
Je ne regrette pas lexpérience de samedi. Je croyais, vu les dimensions, ne pas pouvoir lavoir en moi sans quil me déchire. Eh bien non, au contraire. Tu as su y faire pour me le rentrer, je mouillais terrible ! Il a élargi mon trou, comblé et étiré mon vagin. Je ne pensais pas quon pouvait menfoncer quelque chose daussi gros et le faire aller aussi loin dans mon ventre. Même hier, avec une queue normale, chaude et qui gicle au fond, je nai rien ressenti daussi fort quavec ce gode.
- Moi, jai pris une sérieuse engueulade par ma mère. Quand tu as jouis, tu as crié tellement fort que mes parents, en bas, au comptoir en train de servir des clients, tont entendue. Après les commentaires allaient bon train, paraît-il ! Elle en était gênée.
- Excuse-moi auprès delle, mais cétait tellement fort que je nai pas pu me retenir. Si tu veux, tu peux venir chez moi pour étudier !
- Je ne dis pas non, mais on nest pas obligées de senvoyer en lair à chaque fois que tu viens. Ou alors, en silence.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!