1ere Fois Avec Un Homme Et Une Femme

Un soir d'avril, je faisais la fête dans une petite boîte du centre de Paris, mon meilleur ami et moi buvions quelques verres en nous amusant à charmer les personnes qui nous plaisaient. Mes pitreries ont amusés une jeune femme, à la fermeture elle me propose de m'accompagner avec l'un de ses amis en me déclarant qu'elle adorerait me voir flirter avec lui, je lui réponds "pourquoi pas, mais qu'étant hétéro, j'étais novice et que rien n'était assuré". Plein d'entrain dans le taxi, je me montre gentiment intéressé par elle comme par lui. Une fois tous arrivé, coca, cigarettes et musique pour l'ambiance, on se dirige tous vers la chambre en se déshabillant, en s'effleurant, en s'embrassant, en riant. Son ami et moi étions déjà nus lorsqu'elle commença à réaliser que ses deux amants n'allaient pas s'ignorer. Nous nous sommes enlacés, torse contre torse, nos mains parcouraient nos corps et mes lèvres dansaient avec les siennes. Elle s'est jointe à nous, comme pour nous envelopper au mieux de son désir. S'en est suivi un magnifique et torride baiser à trois bouches, son pénis s'était tendu dans ma main, je suis resté quelques secondes à admirer son membre dressé dans l'une de mes mains... Ma tête bourdonnait d'excitation, rien ne m'effrayait plus, ensemble nous allions nous guider sur des chemins savoureux. Mes lèvres ont glissés le long de son torse, le long de son ventre. Il s'est glissé dans ma bouche. Un bref instant m'a suffit pour réaliser que j'avais pour la première fois une queue dans la bouche. Mis en appétit, mes doigts s’en sont mêlés, jouant avec le bout de ma langue, le léchant à petits coups, en explorant le pourtour comme pour mieux en apprécier le goût avant de le prendre entre mes lèvres humides pour le téter longuement. L'amazone en faisait autant, telle une abeille elle passait d'une bouche à l'autre, d'une queue à l'autre me secondant par intermittence dans ma délicieuse besogne. Le regard de cette femme sur nous m'électrisait de bonheur, me rendait audacieux, nos trois corps s’entremêlaient, aucun de nous ne voulaient manquer une si belle occasion de s'amuser.

Bouches en cœur, nos lèvres, nos langues dégustaient avec gourmandise nos peaux, nos corps, nos sexes. Je les ai admiré s'affairer autour de mon pénis gonflé par l'orgueil et l'excitation. Nos langues s'étaient libérées de tous tabous, ivres de sensations elles fuguaient d'un sein à une hanche, d’une hanche à une fesse, d'une fesse à sa chatte, de sa chatte à l'une de nos queues. Sans aller plus loin, cet homme et moi nous avons joué sur l'ambiguïté de la situation dans l'intention d'attiser le désir commun. En quête de sensations nouvelles nous l'avons prise, elle nous a absorbé avec appétit, avec frénésie. Il fallait lui faire perdre haleine, elle avait l’ambition de voir nos sèves se répandre. Nos souffles s’emmêlaient et nos halètements se confondaient avec nos gémissements. Des petits cris à peine étouffés, nous étions entre rêve et réalité, entre cris et râles. Stimulés par le jeu, nos langues se saisissaient, s’enroulaient. Alertés par nos râles, aucun ne fut surpris de voir les deux autres jouir. Comblée d’une étrange satisfaction, en nous regardant elle nous chérissait, pour elle aussi c'était la première fois qu'elle avait deux amants aussi "joueurs". Alanguis l’un contre l’autre, épuisés comme trois s, nous nous sommes évanouis de plaisir en sentant le sommeil nous gagner. Le jour s'était levé depuis longtemps.