Aventures D'Ados ( 20 )
Le lendemain on se retrouve à la fac. Pendant le trajet qui nous mène au restaurant universitaire, je lui reparle de la visite de son mec. Je lui parle aussi de Marc, le seul qui jusquà présent a réussi à me faire grimper aux rideaux.
- Dommage que je ne le voie plus, je te laurais prêté. Sa bite est énorme par rapport à celle de ton copain, et pour ce qui est de sen servir, chapeau. Toutes les positions y passent. Une fois on était à poil, debout. Il ma soulevé, fait pivoter, je me suis retrouvée la tête en bas, jambes sur ses épaules, sa langue dans mon trou et sa bite dans ma bouche. Un vrai 69 vertical ! Je lai sucé dans cette position. Le sang me montant à la tête, jai agrippé ses jambes. Il a compris le signal, ma fait pivoter de nouveau, je me suis retrouvée avec mes bras autour de son cou. Il a passé ses mains sous mes cuisses, ma soulevé, jai mis mes jambes sur ses hanches. Il ma fait descendre sur son pieu et ma emmanché direct. Après quelques coups de bite bien appuyés, il ma déposé les épaules sur le lit, le cul en lair, les pieds retombants au niveau de la poitrine. Il me la de nouveau enfilé, je voyais sa bite me ramoner, cernée dun col de fourrure noire dans lequel elle coulissait, ses couilles tapant sur mon cul au rythme des va et vient. Cest la première fois que je voyais mon sexe aussi bien quand jen avais une dedans ! Il ma buriné sauvage, allait loin dans moi. Soudain il sest bloqué au fond, a tout lâché, ma rempli, jai poussé un cri de plaisir, jai crû que mon cur sarrêtait, je suis montée au 7 ème ciel. Quel pied! Il ma redéposé doucement, jétais anéantie, mon ventre était plein de foutre et de cyprine, ça coulait sur mes cuisses. Jai foncé aux toilettes pour vider le trop plein. Ca cest de la baise ! Ton mec a lair dêtre fier de sa queue, mais il ne sait pas sen servir ! Sa bite est quelconque et de plus il ne baise pas terrible. Un coup vite fait, cest pas du boulot !
Plutôt classique, jte lenfile et cest parti ! Si tu veux, on va lui apprendre ! Il a lair de tenir la distance, peut nous baiser toutes les deux le dimanche, il suffit de lui faire comprendre quon aimerait bien quil nous la joue douce !
- Tu sais, je ne tiens pas tellement à ce quil me baise quand tu es là.
- Oh ! Tinquiète pas, des baiseurs de son genre, jen ai connu. Si jarrive à recontacter Marc, jaimerais lattirer chez toi, tu veux bien ?
- Je ne sais pas, cest pas le luxe. Je préfère me faire baiser sans témoin ! Hier cétait pas prévu quil vienne !
- Comme tu veux !
Les semaines passent, ma vie sexuelle est désespérément à zéro. Je ne cherche pas, je me concentre surtout à mes études. Jutilise mon gode, une ou deux fois je lai partagé avec Carole. Pourtant elle se fait toujours ramoner par son gus, mais je mapplique et parviens à la faire jouir. On est maintenant en janvier, le froid est peu propice à la baise.
Le café tabac rapporte de moins en moins, mes études coûtent cher à mes parents car cest eux qui financent pour lessentiel. Ma mère a donc décidé de chercher du boulot. Elle a trouvé un emploi de vendeuse dans une boulangerie pâtisserie. Dès que jaurais mon diplôme détudes commerciales, jespère pouvoir les aider. Avant Noël, ma mère a été très occupée par la vente des bûches, aussi jai dû faire un peu la cuisine et les courses pour laider. Je lui dois bien ça. Aujourdhui, pour mon père, cest jour de repos hebdomadaire. On a pas cours cet après midi, on a donc décidé, Carole et moi, de potasser la législation. Mon père est au salon, regarde la télé. Ma copine arrive, lui dit bonjour en passant, entre dans ma chambre. On commence à se mettre au travail, elle paraît préoccupée
- Quest ce qui se passe, tas un problème ?
- Je suis bien ennuyée, mon évier est bouché, je ne connais personne.
- Mon père est un peu bricoleur, je vais lui demander sil veut bien aller le déboucher
- Je ne voudrais pas le déranger !
Je vais le voir, lui demande sil veut bien lui rendre ce service. Cest pas loin, une demi-heure par les transports, pas la peine de prendre la voiture, cest trop dur pour trouver une place de stationnement.
Au bout de deux heures environ, peut être plus, mon père revient, range ses affaires et ses outils, entre dans la cuisine. Je my trouve car javais soif.
- Tas réussi à déboucher son évier ?
- Oui, mais ça na pas été facile, le siphon est dans un placard, il a fallu tout sortir et après ce nest pas commode pour le démonter.
Pas dautres commentaires, il vaque à ses occupations. Je le laisse, remonte dans ma chambre étudier.
Le lendemain, je retrouve Carole à la fac.
- Comment ça cest passé le débouchage de ton évier ?
- Il a eu beaucoup de mal, cétait vraiment pas facile. Je te raconterais !
Deux jours après, elle vient me voir à la maison, mon père est au comptoir. Elle passe lui dire bonjour, monte dans ma chambre, me raconte :
À peine arrivés chez moi, il va dans la salle de bain, change de vêtements, se met au travail. Il faut dabord vider le placard pour avoir accès au siphon. Laccès nest pas commode, il a du mal à trouver une position confortable. Je le regarde faire, lui passe les outils pour lui éviter davoir à se relever. Vraiment dur à démonter, le siphon est plein de cochonneries agglutinées par de la graisse, pas ragoûtant du tout ! Il a même fallu démonter une partie de la tuyauterie pour la décrasser.
Au bout dune demi heure à peu près, tout est nettoyé, remonté, essayé, ça marche, ça ne fuit pas. Il passe dans la salle de bain, se lave les mains, enlève sa salopette, sa chemise de travail. Entre temps je me suis mise à laise, enlevé jean et pull, passé un déshabillé. Je frappe à la porte, entre, il est en caleçon, se tourne vers moi surpris de me voir apparaître.
- Voulez vous boire quelque chose, je nai que de la bière à vous offrir.
- Merci, va pour une bière, après je file !
- Je ne sais comment vous remercier, cétait pas facile, vous mavez bien dépanné.
Au lieu de sortir, je mapproche de lui, lembrasse sur la joue, passe la main dans son entrejambe, lui prends les couilles. Il me repousse sèchement.
- Quest ce que tu fais, ça ne va pas ? Sorts de là, laisse moi me rhabiller !
Je recule un peu, regarde le caleçon qui se déforme de plus en plus. Je reviens à la charge, me rapproche. Sans que je la touche, sa queue jaillit comme un diable par louverture du caleçon. Je nen crois pas mes yeux, elle est aussi importante que ton gode. Impossible de résister, elle est trop belle, jai une soudaine envie de lavoir en moi. Avant quil ne réagisse, jatt sa bite, maccroupis, la prend en bouche!
- Quel morceau, je nen ai jamais sucé daussi gros !
- Y en a marre, relève toi, je ne suis pas venu pour ça !
Il matt sous les bras, me remet debout. Il a lair furieux, se retourne pour prendre ses habits. Je fais tomber mon déshabillé au sol, me plaque derrière lui, frotte mon ventre contre son cul, passe une main devant, saisie sa queue, serre. Il est fumasse, me file un coup de cul pour méloigner, se retourne, le voilà face à moi. Il a vraiment lair courroucé, il est tout rouge, dune main il me repousse brutalement, et de lautre me tape un grand coup sur la main pour me faire lâcher prise.
- Fout moi la paix, rhabille toi et laisse moi me rhabiller ! Barre toi, jai pas le temps.
Le gland est devenu énorme, presque violet, il va exploser, la hampe est raide, dure comme du bois ! Jatt la main avec laquelle il ma tapé, la plaque sur mon sexe, je mouille ma culotte, il ne peut que sen apercevoir. Mon autre main tient toujours fermement la queue derrière le gland. Il enlève sa main de mon entrejambes.
- Lâche moi la queue, je vais me fâcher !
Au lieu de lui obéir, je prends sa main, me frotte contre lui, y mets toutes mes forces pour lobliger à la passer dans ma culotte. Il résiste mais je réussis à la faire descendre sur ma vulve trempée.
- À quoi tu joues ?
- Jveux qu tu m baises ! Alors, tu viens ?
Je marche en arrière, sorts de la salle de bain en le tirant par la queue. Cette fois il abandonne la lutte, je lemmène dans le studio, auprès du lit.
- Bon sang, tu vas me lâcher, tu me fais mal ! Tas pas comprit qu tu n mintéresses pas, sinon j taurais djà rentré dedans !
- Je ne demande que ça !
Il tape sur la main qui tient sa queue, je tiens bon, sers plus fort, comprime le gland, je dois lui faire mal. Jai limpression que plus il fait defforts pour se libérer, plus je résiste, plus sa bite gonfle et sallonge et plus le gland devient violacé.
Alors, changement de situation. Il est tout rouge, furieux, me pousse brutalement en arrière, je perds léquilibre, lâche ma prise, tombe sur le lit. Il att ma culotte par lentrejambes, tire dun coup sec, manque de la déchirer, lécarte.
- Ah ! ten veux, hé bien tu vas en avoir !
Je mattends à ce quil me lenfile bestial, sans préliminaires, comme mon mec, il est tellement furieux contre moi. Ca me fait peur, il est trop gros, il ne pourra pas rentrer, je ne suis pas ouverte, je vais avoir mal, je naurais pas dû !
Il retire son caleçon, se met à genoux, mécarte les cuisses sans ménagement, relève mes jambes, fourre sa tête entre, sa langue entre en action, mon clito sérige, oh là là que cest bon. Je remue le bas ventre, appuie sa tête contre mon sexe. Je ruisselle, tout mon sexe est trempé. Doucement, il lèche mon petit bouton, le mord, passe sa langue entre mes nymphes, la glisse dans mon trou puis lagrandit avec ses doigts. Il remonte les mains le long de mon corps, saisie mes seins, les sort du soutien-gorge, les pétrit, suce les tétons, ma poitrine durcit à men faire mal.
- Jtiens plus, prends moi, y a une capote sur la table !
- Garce, tavais prévu de te faire sauter !
Il enfile la capote, je laide à enlever ma culotte, il me relève les jambes, les place sur ses épaules, présente sa queue devant mon trou et lenfourne en entier dun seul coup de reins. Je suis tellement mouillée et ouverte quelle entre sans aucune difficulté, malgré la dimension du mandrin peu habituelle pour moi !
- Oh oui, ramone-moi, vas plus vite, enfonce la bien !
Oh quil va loin en moi, me comble le ventre. Il me pilonne hard, butte au fond à chaque fois, sort, me la rentre jusquaux couilles. Je la sens coulisser le long de la parois de mon vagin, les couilles battrent sur mon cul, je laccompagne, participe, jai de plus en plus chaud. Il me bascule, je me retrouve sur le côté. Il se place derrière moi, je sers les cuisses, il ouvre mes lèvres avec ses doigts, glisse son gland entre elles, senfonce en moi dun coup sec.
- Ouioui, encore !
Je le sens bien, il élargit et allonge ma gaine, je sens que je viens, gémis de plus en plus fort, que cest bon. Il sort de moi, me met sur le ventre, mécarte les cuisses en grand, me relève un peu le cul, memmanche de nouveau, je nai jamais mouillé autant. Encore quelques coups de bite bien appuyés, il me tire par les hanches, me met en levrette. Il senfonce en moi comme jamais, accélère la cadence, je parts, mon cur semballe, je respire de plus en plus vite, jai chaud terrible. Il me retourne, je me retrouve sur le dos. Il mécartèle littéralement, me pilonne sauvage, me défonce comme pas possible, chaque va et vient de sa bite me rend folle. Je suis foutue, chavire, perds la tête, défaille, je suis sur un petit nuage. Il a un long râle, je crie de plus en plus fort à chaque fois quil envoie un jet de foutre dans la capote.
- Ahahahahah ohohohoh encore, je viens, remplit moi, ouiouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!!!
On reste collés lun à lautre, mes jambes, quil tenait relevées et écartées, retombent. Il est entre elles, aplati sur moi, sa queue ressort lentement. Il se relève, sassoie sur le bord du lit. Je suis là, sur le dos, nue, cuisses ouvertes, sexe béant, je reprends mon souffle, récupère un peu. Il me regarde, passe sa main sur ma chatte, agasse mon clito, le sort de sa gaine, glisse ses doigts dans la fente, les entre dans mon vagin encore ouvert et trempé, les fait coulisser, caresse mes seins, suce les tétons. Je me sens bien.
- Tes vraiment belle après la baise !
Je descends du lit, magenouille devant lui, vire la capote quil na pas encore enlevé, le prends en bouche. Il se laisse faire, sa queue est molle, je crois que je lui ai pompé toute son énergie, vu la quantité de foutre quil a balancé dans la capote. Mais mon action est efficace, plus je la suce, plus elle reprend de la vigueur. Jen profite pour le branler doucement, elle est raide et droite, de nouveau en forme, quelle santé !
- Je veux que tu me la remettes ! J suis pas rassasiée !
Je me relève, lui tourne le dos, écarte les jambes, saisie la queue, descends dessus. Ca y est, elle est dedans. Je monte et descends doucement, la fait pénétrer à fond, caresse les couilles. Je sens la bite nue coulisser contre la parois de mon vagin, que cest bon comme sensation. Il me laisse faire, passe sa main sur ma chatte, astique mon clito. Je sens que le gland enfle, sa bite se contracte quand elle est au fond de moi. Soudain il réagit, matt aux hanches, me repousse, sa queue sort de moi, je me retrouve debout. Je me penche vers lui, ouvre la bouche, déguste la dernière giclée, lèche la dernière goutte qui perle au bout du gland.
- Tes une sacrée salope ! Je suis venu pour déboucher ton évier, pas pour boucher ton trou !
- Je ne savais pas comment te remercier de mavoir dépanné. Cest quand jai vu que tu bandais en me regardant que jai eu envie de ta bite !
- Ne raconte pas dhistoires, tavais prémédité ton coup, pourquoi tas sorti une capote et mis un déshabillé transparent ?
- Je ne sais pas, une envie. Mais ta bite a une telle dimension que jai voulu lavoir en moi. Je nen ai jamais eu de cette taille !
- Bon, on va pas polémiquer là dessus. Tas eu ce que tu veux, maintenant tu mfous la paix !
.Jouvre le frigo, prends 2 bières, sorts des verres, les remplis. Je lui en tends un, il le prend, boit.
- Jai encore envie de toi ! Jpeux t faire rebander ?
- Pas question, je nai plus le temps, tu viens encore de te lenfiler, ça ne te suffit pas ! Je finis ma bière et je rentre !
Il ramasse son caleçon, je le suis dans la salle de bain. Sa queue est revenue au repos, tête en bas. Je suis toujours nue, la regarde.
- Laisse moi la laver !
- Si ça tamuse, mais vite fait, nen profite pour me branler !
Je la savonne soigneusement, rince, lessuie, il se laisse faire, ne bande pas. Je soupèse les couilles, je lai vidé, il ny a plus rien dedans.
- Bon, tas fini de jouer avec, laisse moi me rhabiller !
Il se rhabille, le voilà prêt à affronter le froid. Il se dirige vers la porte, ramasse son sac. Je lembrasse sur la joue.
- Merci pour tout. Jpeux tfaire un compliment ? Tu baises vachement bien ! Mieux que ceux que jai connu jusquà présent !
- Bon, ne recommence pas avec ça.
Jouvre la porte, il sort, mets son sac à lépaule, et comme je suis toujours à poil, me pince un téton, me file une tape sur le cul, sen va.
Je repense à ce qui vient de se passer. Jai peut être fait une connerie en me faisant sauter par le père de ma meilleure copine, mais bon ! Je naurais jamais cru quune bite de cette importance ( je lestime à 5 x20 sans les couilles) pouvait entrer aussi facilement, aller aussi loin en moi et me combler à ce point ! Je nai jamais eu un tel orgasme, je crois avoir perdu conscience quelques secondes. Cétait plus fort que lorsquelle menfile son gode, car une bite cest chaud, vivant, et les jets de foutre, chauds et puissants, me font chavirer malgré la capote qui en limite les sensations.
Quand à lui, si sa femme demande à se faire sauter cette nuit, il risque davoir une petite défaillance !
Maintenant il faut que je récupère, je suis exténuée, je me suis trop donnée. Je suis toujours à poil, mallonge sur le lit, rabat la couette sur moi, mendors
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