Vengeance Avec Trois Mecs

Je m'appelle Nathalie et c'est avec un grand plaisir que je vous fais aujourd'hui partager mon histoire sexuelle la plus folle. Je suis une grande lectrice d’histoire de sexe, mais je ne croyais pas avoir un jour quelque chose à raconter à mon tour. Je ne sais pas si tous les récits sont véridiques, j'imagine que non, mais je peux vous assurer que le mien est vrai. D'ailleurs, je mouille rien qu'à y repenser...

J'ai découvert, il y a environ deux semaines, que mon mari, Jacques, me trompait depuis près de 2 ans avec sa secrétaire. Nous sommes mariés depuis 10 ans et, bien que le sexe n'ait jamais été extraordinairement chaud entre nous, il n'y avait pas de problème de ce côté. Après m'être remise de mes émotions suite à cette découverte, j'ai décidé d'en parler à Jacques.

- Chéri, je sais pour Aude.
- Quoi, Aude!?
- Ne fait pas semblant, je sais que tu as couché avec elle. Je t'ai surpris l'autre soir…
- !! Je m'excuse, chérie… C'était la première fois
- Je ne te crois pas! Dis-moi la vérité…
- D'accord…… Ça fait presque 2 ans que c'est ma maîtresse
- …
- Je m'excuse. Si tu savais comme je m'en veux. Demandes-moi n'importe quoi et je le ferai, mais ne me laisse pas tomber… s’il te plaît…
- N'importe quoi… d'accord. Je savourerai ma vengeance le week-end prochain. En attendant, plus de sexe DU TOUT pour toi. Tu diras aussi à Aude que c'est fini entre vous car ta femme l'a appris. Si je te reprends avec elle, je te quitte.
- Tout ce que tu voudras, tu es si merveilleuse Nathalie.
- Oh! , ça suffit les compliments. Tu dormiras sur le sofa jusqu'à samedi. Allez, de l'air, maintenant!

Je mis Jacques à la porte de notre chambre et, toute la semaine, il dormit sur le sofa du salon. Comme il n'avait pas le droit au sexe, je faisais exprès de mettre des tenues sexy pour l'aguicher et après quelques jours, je voyais que cela le travaillait car il bandait souvent pour pas grand chose.



Pendant cette semaine, j'ai réfléchi au moyen de me venger de Jacques, mais sans exagérer. Je l'avais surpris avec une autre alors le meilleur moyen restait encore qu'il me regarde baiser avec un autre gars. Cependant, comme c'était ma vengeance et en même temps un fantasme pour moi, j'ai décidai que je me ferais baiser par trois mecs ayant de bonnes grosses queues. Celle de mon mari était dans la bonne moyenne, mais je rêvais de me faire prendre par un énorme pieu.

J'avais donc une semaine pour trouver trois hommes bien membrés. J'ai commencé par demander à Bruno, un collègue de travail, car tout le monde au bureau sait qu'il est bien membré et qu'il pratique l'échangisme. Le seul problème est que Bruno a le droit de faire tout ce qu'il veut, avec l'accord de sa femme, sauf de mettre une autre fille dans la chatte. J'ai donc décidé de me laisser sodomiser. Ça sera la première fois, car j'ai toujours refusé cette entrée à Jacques. Le second c’est Jacky, un autre collègue également très bien membré. Il a accepté lui aussi. Il ne me restait qu'un homme à trouver. J'ai alors pensé à Arnaud, un troisième collègue, que je regardais depuis quelques mois avec envie. Si ce que j'avais pu voir était bien vrai, je l'avais fait bander une ou deux fois avec des tenues plus sexy et il ne refuserait sûrement pas de me baiser. Pendant la semaine, j'ai ajouté un autre point à mon scénario de vengeance : puisque Bruno et Jacky sont bisexuels, ils pourraient en même temps se taper Jacques!

Plus les jours passaient et plus j'avais hâte à cette soirée, mais plus je redoutais le moment où je devrais me laisser mettre dans le cul par la grosse bite de Laurent. Le samedi arriva enfin. C'est ce soir que je savourerais ma vengeance. Je pris l'après- midi entière pour me préparer. Je pris un bon bain où je du résister à l'envie de me caresser. J'avais mouillé depuis le matin en pensant à la soirée qui m'attendait. Lorsque je sortis de bain, une autre idée me traversa l'esprit.
Si je m'épilais entièrement le sexe... Jacques m'avait souvent demandé de le faire, mais je n'avais jamais accepté. C'était le moment ou jamais...

Vers 20h30, Jacques arriva à la maison. Je lui avais demandé de passer la journée à l'extérieur pour que je puisse tout préparer. Lorsqu'il entra au salon, il me trouva étendue sur le sofa, vêtue d'une nuisette jaune et d’une culotte rose. Jacques pu remarqué que ma chatte était toute lisse et je l'ai vu devenir rouge de colère. Je lui ai dit de se déshabiller et de s'asseoir sur le sofa en face du mien. J'ai mis ma main dans ma culotte et introduit un doigt dans mon vagin et j'ai commencé à me masser les mamelons, juste pour me chauffer un peu.

Quand mes collègues arrivèrent, vers 21h00, j'étais plus que prête. Je me suis levée pour aller répondre à la porte. Voyant ma tenue légère, mes trois hommes se sont vite mis à bander. Je leur ai dit de se dévêtir et de vite venir s'occuper de moi. Je me suis étendue sur le fauteuil et j'ai écarté mes cuisses. Arnaud est venu s'installer entre mes cuisses, à baisser ma culotte et s'est mis à me lécher la chatte. Pendant ce temps là, Bruno et Jacky m'ont retiré ma nuisette et me pelotaient les seins et jouaient avec mes mamelons sensibles. Arnaud a continué de me manger la moule. Il me léchait partout, étirait mes petites lèvres et agaçait mon clitoris. Il l'aspirait puis le mordillait, avant de repartir à la recherche de ma mouille avec sa langue agile. Il savait y faire car au bout de cinq minutes, je lui ai dit d'arrêter, car sinon j'allais jouir et je voulais réserver ça pour un peu plus tard.
Jacques n'avait rien perdu du spectacle et il se masturbait en nous regardant. Je lui ai alors dit qu'il n'avait pas le droit de jouir avant que je lui dise, sinon il serait puni. J'ai aussi ajouté, à l'intention de mes trois amants, qu'ils ne devaient pas jouir tout de suite non plus, car je voulais garder ça pour la suite des événements.

Je pris alors mon courage à deux mains et je dis :

- Jacques mon chéri, tu vas maintenant assister à la première sodomie de ta femme.

- Quoi!? Tu n'as jamais voulu te faire sodomiser par moi et tu décides de le faire maintenant, juste parce que je dois te regarder!
- Et oui. C'est dommage hein!
- Et tu as fait la même chose pour cette épilation de ta chatte, n'est-ce pas?
- Oui, tu as tout compris. Je voulais te faire regretter ce que tu as fait.
- Je ne voudrais pas déranger votre conversation, dit Bruno, mais je crois que nous avons mieux à faire. Je propose que, pour ne pas faire de jaloux, nous tirions au hasard le nom de celui qui aura la chance de percer ton petit cul vierge, Nathalie.
- Très bonne idée, répliqua Arnaud.

C'est donc ce qui fut. Les noms de Bruno, Arnaud et Jacky furent mis dans un bol et Bruno fut désigné « grand gagnant ». C'est lui qui allait me dépuceler la rondelle. Les deux autres allèrent rejoindre mon mari sur le sofa d'en face et me regardèrent me positionner. La levrette me semblait appropriée pour ce type de pénétration. Je m'agenouille donc sur le sofa et Marc se place derrière moi. Il écarte mes fesses de ses deux mains et commence à souffler sur mon anus. Je frissonne. Il pose ensuite sa langue dessus et commence à lécher ce petit orifice. Il y met beaucoup de salive puis après quelques minutes de ce traitement délicieux, il introduit sa langue dans mon antre secret. C'est doux, c'est bon, je souhaite qu'il continue. Il me pénètre avec sa langue et au bout de trois ou quatre minutes, il me juge assez prête. Il m'enduit bien de salive et il se relève.

- Si on passait aux choses sérieuses à présent! Dit Bruno

Bruno écarta mes fesses le plus qu'il le pouvait et il appuya son gland sur mon anus sans pousser. Je réalise alors ce que je suis en train de faire et ce n'est qu'alors que je comprends que vu le diamètre et la longueur de la queue de Bruno, elle n'entrera jamais dans mon anus. Je lui demande donc d'arrêter, que j'ai changé d'idée, mais Bruno ne veut pas. Les deux autres hommes non plus.
Bruno me dit alors qu'il ira lentement. Il commence à pousser et je sens que ma rondelle ne s'ouvre pas. Il continue, mais ma porte secrète refuse cette intrusion. Il crache alors dans sa main et vient étendre cette salive sur mon anus. Il le masse aussi un peu avec son doigt pour l'assouplir. Il recommence alors à pousser, mais rien n'y fait. Il me dit alors « accroche-toi, la grande, ça va passer! »

Il donne alors un coup sec et je sens son gland buter contre mon anus, qui s'ouvre finalement sous la pression. J'ai très mal, j'ai l'impression d'être déchirée et la douleur est lancinante. Son gland continue de s'insinuer en moi et j'ai l'impression qu'il n'entrera jamais en entier tellement il est gros. Bruno continue à pousser, la douleur se fait plus vive. Je lui demande d'arrêter, mais à ce moment, la tension diminue un peu et il m'indique que le gland est passé. Le reste ira donc tout seul. Il reste immobile quelques secondes pour me laisser le temps de souffler, puis il recommence sa progression dans mon trou. Je recommence à avoir très mal. Je pleure et je lui demande de se retirer. Il me dit qu'il y est presque.

Il me saisit alors par les hanches et il donne un bon coup de rein. Sa queue disparaît entièrement en moi et je me retrouve embrochée sur son énorme colonne de chair. Sous la puissance de l'assaut, je perds mon souffle et je hurle de douleur. J'ai vraiment l'impression qu'il me pourfend le cul. Il ne bouge plus, me laissant le temps de m'habi à sa présence. Au bout de quelques minutes, la douleur diminue et Bruno commence à bouger un peu dans mon fondement. Il se penche sur moi et m'embrasse puis me dit que je suis bonne, que mon cul est bien chaud et bien serré. Il tente alors de petits va-et-vient, qui deviennent vite agréables. Encouragé par mes soupirs de plaisir, il augmente la cadence, jusqu'à me limer dans les règles de l'art. J'y prends du plaisir. Jacky s'approche alors de moi et me présente son dard à sucer.

Je me mets sa pine en bouche, mais vu sa longueur (un peu moins épaisse que celle de mes deux autres mecs, elle est cependant beaucoup plus longue), je peux à peine la prendre jusqu'à la moitié. Je m'applique donc comme jamais sur ma pipe. Je joue avec son gland, le décalotte doucement. Je descends le plus possible sur sa tige puis je remonte. Je mordille son membre et ses couilles tour à tour. Il a l'air d'apprécier. Bruno s'active toujours dans mon cul, mais Arnaud reste en retrait, occupé à se caresser. Bruno a alors une idée et il en fait part à tous

- Nathalie, que dirais-tu de te faire prendre des deux côtés à la fois?
- Es-tu fou!?! Avec ton gros pieu dans mon cul, il n'y a rien qui rentre dans ma chatte!
- Puisque je te dis que oui. Et puis, tu ne perds rien à essayer… Si on voit que ça ne marche pas, Arnaud se retirera et je lui laisserai ma place, pour qu'il ne s'ennuie pas trop.
- Bon… puisque tu insistes… je veux bien essayer. Mais vous ne forcez pas!
- D'accord.

Jacky m'aida à changer de position, sans que la queue de Bruno ne sorte de mon cul, afin qu'Arnaud puisse se positionner entre mes cuisses à son tour. Bruno se coucha sur le dos sur le tapis et je m'assis par-dessus lui, sa queue toujours fichée au fond de moi. J'écartai les jambes au maximum et Arnaud s'approcha de moi. Il écarta mes lèvres et y glissa son gros membre.
Je le sentis investir mon vagin lentement. Je me sentais pleine comme jamais je ne l'avais été. Il glissait en moi comme dans du beurre, malgré la grosseur de sa bite, tellement j'étais excitée. Lorsque je sentis ses couilles buter contre mon pubis, je compris que je les avais pris tous les deux, que j'avais bel et bien ces deux énormes bites fichées en moi en même temps. Arnaud commença à faire aller et venir son membre en moi et au bout de même pas cinq minutes, je me mis à crier ma jouissance. Arnaud et Bruno me pilonnaient toujours pendant que Jacky se masturbait sur le sofa à coté de Jacques. Je voulais mourir de bonheur tellement l'orgasme qui me terrassa était puissant. Arnaud et Bruno étaient eux aussi près de jouir, mais je leur rappelai de garder leur sauce pour plus tard. Je leur dis de se retirer et je sentis, à mon plus grand regret, les deux queues quitter mon corps, y laissant un grand vide. Elles étaient maculées de ma mouille abondante.

Voyant que Jacques semblait s'ennuyer à mourir, je décidai d'aller un peu m'occuper de lui. Je m'assis sur ses cuisses et me mis à l'embrasser passionnément. Je lui caressais un peu le torse puis je descendis jusqu'à sa bite, redevenue un peu molle. Je l'ai pris en bouche et elle est redevenue dure en très peu de temps. Je lui lèche les couilles et les gobe une après l'autre. Il a vraiment l'air d'apprécier car sa queue grossit encore. Pour bien finir le tout, j'écarte les lèvres de mon vagin et je m'empale d'un seul coup sur sa bite, qui me semble alors bien petite en comparaison avec les deux monstres qui m'ont labourée tout à l'heure. Juste le temps de l'aguicher et quand je sens qu'il est sur le point de venir, je lui tords les mamelons et je me retire de sur lui.

Comme Jacky est le seul qui ne m'a pas encore mis, je lui fais signe d'approcher et de venir m'embrocher sur sa queue tellement longue. Je me couche sur le sofa. Il veut m'enculer à son tour. Je lui dis que j'ai encore trop mal, mais il s'avance doucement. Il écarte mes fesses et place son gland contre ma rondelle. Aussitôt la douleur se fait sentir. Il arrête de pousser, mais je le supplie de continuer. J'ai tellement pris mon pied tout à l'heure que je veux que ça se reproduise encore. Jacky pousse encore et me fait terriblement mal à la rondelle. J'ai les yeux pleins d'eau et je me sens complètement déchirée, mais heureusement, ce n'est qu'une impression. La douleur est atroce, mais je le laisse continuer. Je sens tout à coup comme une résistance, comme si la bite de Jacky était trop longue et qu'il avait buté au fond de ma caverne secrète.

Il me dit que ce n'est rien, qu'il faut seulement changer de position pour que je lui permette d'aller encore plus loin. En effet, il reste sûrement près d'une dizaine de centimètres à entrer en moi encore. Jacky s'assoit sur la table basse du salon, sans se retirer, et me laisse ensuite le soin de décider de la vitesse d'intromission de sa tige en moi. Je me sens remplie puis, comme j'ai toujours très mal, je décide de faire vite et d'y aller d'un seul coup, comme tout à l'heure. Je me laisse donc descendre sur la longue bite et je sens qu'elle atteint un point en moi où Bruno n'était pas allé. Je sens que Jacky va beaucoup plus loin en moi, on dirait que sa pine monte jusque dans mon ventre. C'est inouï comme sensation.

J'ai l'impression d' tellement je suis pleine de sa queue. Je jouis alors instantanément. Je jouis comme jamais, encore plus que tout à l'heure. C'est incroyable. Je perds toute notion du temps, je ne sais plus où je suis. Mon anus se contracte autour de cette bite très longue qui a investit mon cul. Je ne sais pas combien de temps tout cela a duré, mais Jacky commence à bouger sa queue en moi autant que possible et me donne aussitôt un deuxième orgasme. Je suis à bout de force, je n'en peux tout simplement plus. Je me retire car je sens que Jacky ne sera pas long avant de cracher sinon. Je me lève et je vois ses cuisses pleines de ma mouille.

J'ai le temps d'apercevoir Jacques, la queue la main. Son gland est gros et très rouge. Il est sur le point de jouir et je sais qu'il n'en peut plus lui non plus si je ne fais pas quelque chose bien vite.

Je le regarde et il me demande pardon. Comme c'est ma soirée, je lui dis qu'il fallait y penser avant et je continue mes activités. Je demande à Bruno de me foutre son membre bien profond dans la chatte pour que je puisse encore me sentir pleine. Il me dit qu'il a promis à sa femme de ne pas me mettre dans la chatte alors il ne peut pas. Il me propose par contre quelque chose d'autre. Pour me sentir complètement remplie, Arnaud et Jacky vont s'introduire ensemble dans ma moule.

Je lui dis que c'est physiquement impossible, que ça ne rentrera jamais, mais il m'assure que oui. Il me dit que sinon, nous ferons comme tantôt, qu'ils ne forceraient pas. Jacky se couche sur le tapis, et je m’empale sur sa queue bien tendue et j'écarte mes cuisses au maximum. Mon mari paraît scandalisé par ce que je suis prête à faire. Arnaud s'approche de moi et plante sa tige en moi aussi. Il fait quelques allés retours pour la lubrifier un peu. Jacky fait pareil puis il s'arrête, sans être complètement ressorti de moi. Ça fait du bien de se sentir à nouveau prise par cette queue énorme. Je continue cependant de penser que les deux n'entreront pas entièrement et en même temps. Arnaud colle sa tige sur celle de Jacky et la positionne dans l'angle de mon vagin. Ils se regardent. C'est comme le signal, ils peuvent commencer à s'introduire. Je sens mes lèvres qui s'écartent toujours plus. Ils continuent de pousser. J'ai mal, mais c'est supportable. Cette sensation d'être complètement remplie me revient et c'est seulement alors que j'ouvre les yeux, pour me rendre compte qu'ils en ont plus de la moitié d'entrée.

Ils poussent encore un peu et je sens finalement les couilles venir toucher mon pubis. C'est merveilleux. Je me sens tellement bien et tellement pleine. Je voudrais qu'ils restent ainsi pour toujours. Ils commencent à ressortir, pour revenir se ficher en moi un peu plus vite. Ils se mettent à me besogner de plus en plus. Laurent nous regarde en encourageant les deux hommes à me la mettre à fond. Quel délice! Ma main plonge vers mon bas ventre et je saisis mon clito. Je me masturbe et je demande à mes deux amants d'aller encore plus vite et de me faire jouir. J'augmente mon rythme sur mon petit bouton et ce n'est pas très long avant que j'arrive au septième ciel. Mon orgasme n'est cependant pas aussi dévastateur que les autres que j'ai eus plus tôt dans la soirée. Je suis cependant à bout de souffle, épuisée par tant de plaisir et tant de découverte.

Je décide qu'il est donc temps de passer à la suite du programme. Je vois que Jacques est honteux et s'en veut de m'avoir trompée. Il est très en colère de voir que je prends mon pied autant que ça avec mes collègues et que lui n'a pas le droit de me toucher.

Pas encore rassasiée, j'ai demandé à Arnaud de me planter sa grosse queue au fond de la chatte. Il est venu s’installer entre mes cuisses repliées.
J’ai pris sa queue pour l’ajuster au bord de mon vagin. Sa verge entre ses doigts, il a insinué mes lèvres intimes. L’orgasme l’ayant emportée, j’ai replié mes jambes pour qu’il me la mette au fond de ma moule. Arnaud s’est enfoncé d’un coup dans mon ventre. Il me tenait par la taille tandis que je passais mes bras autour de son cou et entoura sa taille avec mes jambes pour qu’il reste en moi. Les spasmes de mon vagin se sont faits de plus en plus violents. C’était comme si j’aspirais son sexe pour le garder au fond de mon ventre. Il a fait aller et venir ma verge, d’abord lentement, avant d’accélérer la cadence de son ventre. J’aurais voulu que ça dure plus longtemps, mais Arnaud n’en pouvait plus. Il a lâché de longues salves dans mon vagin serré. J’ai pressé ses couilles, comme pour les vider entièrement. J’ai joui alors que jaillissaient ses dernières giclées de sperme. Arnaud s’est écroulé sur ma poitrine ferme.
Dans le même temps, mes deux autres collègues et mon mari se caressèrent la queue jusqu'à ce qu'ils jouissent et qu'il s'en mette partout sur le corps.

Après le départ des trois hommes, mon mari s’est excusé de m’avoir trompé avec Aude, et qu’il ne recommencerai plus jamais et qu’il avait compris la leçon.

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