Aventures D'Ados (19 )
On est début décembre, les vacances de Noël approchent. Il fait froid, je ne sorts pas beaucoup, étudie. Ca fait plusieurs mois que je nai pas senti une bite bien chaude et bien dure sactiver dans mon sexe, ça me manque. Je pense quelque fois à Marc, il ne ma pas recontacté.
Jinvite Carole, avec laccord de ma mère, à venir déjeuner un dimanche avec nous. Elle hésite, vu la mauvaise réputation que je dois avoir. Le déjeuner se passe bien, pas de sous-entendus, rien que des discutions concernant nos projets davenir. Ensuite nous sortons, on décide daller au cinéma voir un film qui vient de sortir. À la fin du film, elle minvite à visiter son studio.
- Tu verras, cest petit mais assez confortable, juste ce quil faut pour un étudiant.
- Daccord, je nai rien dautre à faire, mais je ne veux pas rentres tard chez moi
- Ok, on y va
Ce nest pas très loin, un quart dheure dans les transports, 4 ème étage. On quitte les anoraks, les met sur un porte manteau fixé sur la porte. La visite des lieux est rapide. Cest propre, bien entretenu. Ce nest pas très grand, environ 25 M2, coin cuisine avec évier inox, plaque de cuisson, frigo, placard vaisselle, petite salle de bain avec douche, lavabo, toilettes. Une table, une chaise, lit dune personne, une armoire. Lindispensable, sans plus. Elle tire le rideau, range quelques bricoles.
- Je peux utiliser tes toilettes ?
- Oui, bien sur !
Soulagée, je massois sur le lit, elle moffre à boire, prend la chaise pour elle. On parle de nos aventures sentimentales, je lui raconte la baise dans le bureau, comment on sest fait prendre. Cest la raison pour laquelle Marc ma laissé tomber, sa réputation en a pris un coup, cest le patron. Il a eu peur que cette aventure ne vienne aux oreilles de sa femme ma-t-il dit. Je comprends pourquoi, quand, pour la seconde fois, il ma donné rendez-vous à lhôtel, il inspectait les alentours avant dentrer.
- Tas pas de chance, il baisait bien au moins ?
- Oh oui, il a une grosse queue et sen sert merveilleusement bien !
Je me lève, passe derrière sa chaise, lui masse les épaules. Elle est contractée, me laisse faire. Doucement je descends les mains devant, en passe une dans le col du pull, att un sein, le caresse. Elle ferme les yeux, ne bouge pas, ne dit rien. Je ressorts la main et, au travers du pull, dégrafe le soutien gorge, libérant ainsi sa poitrine. Je lembrasse dans le cou, repasse ma main dans le pull, écarte le sous-tif, roule les tétons entre deux doigts. Je sens les seins durcir, les tétons sériger. Elle réagit, quitte la chaise, sassoie sur le lit. Je me mets à côté delle, laplatit sur le lit, tente de lembrasser
- Non, laisse tomber, je nai pas envie
À ce moment là, on frappe à la porte. Elle se lève, va ouvrir. Cest le copain.
- Rentre chez toi, je suis avec une copine, on étudie.
- Laisse moi lui dire bonjour au moins !
Il la repousse, entre.
- Vous bossez pas, y a que des verres sur la table
- Non, on allait sy mettre quand tes arrivé.
Le mec nest pas trop mal, assez balaise, dans les 1 m80 ; 80/90 Kg, pas tout à fait mon genre, mais bon. Ce ne doit pas être un raffiné, vu lallure.
- Jai soif, tu me sers un verre
- Tes assez grand pour te servir seul !
Il nous regarde toutes les deux, nous jauge, prend un verre, se sert, le vide, le repose, sinstalle entre nous deux bien que la chaise soit libre.
- Allez, vire, tas rien à faire ici, tu vois bien quon est occupées.
- Oh, ça va comme ça, on peut faire la conversation.
Et, en disant ça, il pose une main sur ma cuisse. Je la retire. Il se tourne carrément vers moi, ouvre mon jean, passe sa main dan ma culotte, la plaque sur mon sexe, le triture. Je sens que je mouille. Avec mes deux mains, jessaie en vain de sortir son avant bras de ma culotte, ses doigts vont entrer dans moi, je le sens, ils y sont presque, je ne veux pas.
- Quest ce qui te prend, enlève ta patte de là !
- Tu mouilles ma salope !
Jessaie de me dégager, ny parviens pas. Carole se lève, vient à mon secours, tire sur son bras. Mal lui en prend, il sort la main qui est dans ma culotte, se lève, latt par un bras, la pousse en arrière, elle se retrouve les quatre fers en lair sur le lit. En voulant ouvrir la ceinture, il arrache le bouton, ouvre le zip, elle se débat, il lui soulève le cul, le jean est sur ses cuisses. Il att le bas du jean, le tire, réussit à lenlever, il vole en travers de la pièce. Il la lâche, la voilà de nouveau assise, mais cette fois, en petite culotte. Ouf ! jai eu chaud, jen ai profité pour refermer mon jean.
- Hé les filles, vous en faites une tête.
- Fous-nous la paix et barre toi !
- On a le temps, on peut samuser !
Il sadresse à Carole
- Tu ne vas pas rester comme ça, enlève ta culotte, je suis venu pour te baiser !
- Pas question. Tu dégages ou je me fâche !
- Oh la la, voyez-vous ça !
Il sort sa queue, garde ses burnes dans le pantalon, bande comme un cerf. Effectivement il y a mieux. La hampe, pas très longue, légèrement courbe (13 ou 14 cm, 16 au max gland compris) est bien plus grosse que le gland qui la termine. Rosée, on croirait une carotte, petit bout côté gland bien sûr. Cette bite, prête à servir, me tente, je suis en manque.
- Allons les filles, soyez sympa. Je commence par laquelle ?
- Jtai dit de foutre le camp, on na pas envie de baiser !
Il se met devant sa copine, lui att la tête des deux mains, la tire vers sa bite
- Aller, suce-moi !
Elle se retrouve avec sa pine dans la bouche, il lenfonce tellement quelle étouffe. Quelques va et vient, il labandonne, se fout à poil.
- Bon, maintenant les copines, si on passait aux choses sérieuses. Je menvoie laquelle en premier ?
Carole me demande :
- Quest ce quon fait ? On le vire ?
- Tu crois quà nous deux on peut y arriver ?
Il sastique le mandrin, nous regarde :
- Hé, les nanas, faites pas lpoids vous rêvez ! Décidez vous, je perds patience !
Elle me demande :
- Tas envie de baiser ? Tu veux bien ?
Je lui dis oui du regard.
- Cest daccord, tu commences par moi !
Je me déshabille, je ne veux pas risquer quil sattaque à ma ceinture, je dois rentrer chez moi par les transports. Je prends une capote dans mon sac, (jai 2 modèles, je choisis le moyen) vais vers lui, soupèse les couilles, tire sur la queue, lui fais une branlette inutile, elle est déjà déployée au max. Le gland devient rouge, la hampe se courbe un peu plus. Je lui enfile la capote, la déroule. Il me laisse faire, passe sa main sur ma chatte, cherche à menfiler ses doigts. Je mallonge en travers du lit, remonte les jambes, écarte les cuisses. Il reste planté devant moi, regarde mon entrejambes.
- Dis donc, elle est vachement poilue ta copine, j vois pas l trou
- Alors tu viens, quest ce tattends pour me la foutre ?
- Y a pas l feu !
Il sapproche, se met à genoux, plonge sa tête entre mes jambes. Ses doigts écartent les poils, sa langue lèche mon clito, il se dégage, sort de sa gaine. Ses lèvres tirent sur mes nymphes, aspirent ma mouille.
- Ca sent la moule pas fraîche !
- Normal, je ne suis pas venue pour baiser, je ne me suis pas préparée !
Il enfonce ses doigts dans la fente, louvre, les glisse au fond, trouve le trou, en fourre deux dedans, les tourne, les sort, me les donne à sucer.
- Tiens, goutte !
Il les entre de nouveau, les fait tourner. Je suis trempée ! Ma copine soccupe de mes seins, les suce, les pétrit, je sens ma poitrine durcir.
- Oui, maintenant !
Il matt par les mollets, mécarte les cuisses encore plus, passe ses avant bras sous mes jambes, sappuie sur le lit, me relève le cul et enfile sa queue dune seule traite au plus profond de moi.
- Aieeee, Vas y mou !
Il me ramone sauvage, je mouille, couine. Pendant quil me pilonne, Carole, toujours assise au bord du lit, dune main caresse ses couilles et de lautre mes seins. Il lui dit :
- Alors, quest cque tattends pour te foutre à poil, ça va être ton tour !
Elle lui répond :
- Vide toi dedans, jte la laisse !
- Y en a pour deux, jsuis en forme !
Elle se déshabille, se met sur le dos à côté de moi, écarte les cuisses, lui expose son sexe. Elle doit mouiller, je crois quelle est prête à lemploi.
- À moi maintenant, je la veux !
Il me quitte, je reste là, cuisses ouvertes et sexe béant, je nai pas joui. Il la met debout, la retourne, la positionne en levrette, pieds au sol, coudes appuyées sur le lit. Il lui écarte les jambes, son cul est légèrement relevé, juste à hauteur de sa bite. Il lui ouvre les grandes lèvres, glisse sa queue dans la fente, lenfourne dun seul coup.
- Oh ! Oui défonce-moi !
Je me mets en levrette à côté delle. Bonne initiative, il passe de lune à lautre. Ses coups de bite sont énergiques, il les accompagne de han, han, maintient une bonne cadence, nous comble à tour de rôle. Soudain il mécarte les fesses, appuie sa queue sur ma rosette, se prépare à mempaler.
- Non, ne mencule pas !
Il ninsiste pas, abandonne lidée, menfile de nouveau dans le bon trou, fait quelques va et vient rapides, se bloque au fond de moi, a un râle puissant, donne plusieurs secousses. À chacune delles, il lâche une giclé de foutre dans la capote, la remplit. Il transpire, sécroule sur moi. Je me retrouve à plat ventre sur le lit, il mécrase sous son poids, sa queue ramollit lentement, sort de moi. Il se remet debout. Carole se redresse, le tire vers elle, saccroupit devant lui, vire la capote, absorbe la queue et se met à le sucer, le pompe jusquà la dernière goutte. Je nai pas eu dorgasme, rien, juste un bon ramonage, dommage. Pourtant je suis contente davoir eu une vraie bite en moi, même pas très grosse ni longue, cest mieux quun gode. Ca vit dans mon ventre. Les jets de foutre font du bien, cest chaud, jai senti chaque giclée malgré la capote.Ca commençait à me manquer vraiment, je nai pas laissé passer loccasion !
Le mec se rhabille, remet son blouson cuir.
- Devoir accompli, salut les filles, à la prochaine !
Et sadressant à Carole :
- Dis donc, tes sûr quelle est vraiment bonne ta copine ? Jai crû baiser un chval de bois.
- Aller, barre toi, on ta assez vu !
Sur ce, il ouvre la porte, sort. Il faut dire que je me suis laissée faire, il sest acharné, je nai pas participé. La présence de Carole, le fait quil soit son copain, ça ma un peu refroidi. Me faire baiser, là, sous ses yeux, simplement pour lhygiène, on fait mieux dans le genre ! Je nai pas amené mon gode, dommage, elle maurait terminé ! On est toujours à poil, debout, je mapproche, cherche sa bouche. Elle non plus na pas joui. On sembrasse, je la culbute sur le lit, suce ses tétons, caresse ses seins, écarte ses cuisses, commence à la gouiner. Elle relève ses jambes, remue le bas ventre, se cambre, pousse des petits cris sous laction de ma langue, je sorts le petit bouton de sa gaine, il bande. Elle se met à gémir de plus en plus fort quand je le mordille. Je glisse ma langue jusquà son trou, lentre dedans, aspre sa mouille. Je me redresse, fourre mes doigts dans son vagin, 2.puis 3 et enfin 4, fait tourner la main. La voilà partie, elle cambre les reins, mouille terrible, pousse un cri strident, sécroule, pantelante. Je labandonne, la regarde, je crois quelle a eu un orgasme. Je me lève, me rhabille. Elle sest assise au bord du lit, toujours à poil, cuisses écartées. Je lui dis
Tu lui as parlé de moi ?
Non, jamais ! Quand il vient, on ne parle pas trop, il arrive, tire son coup et sen va, comme aujourdhui ! Il ne vient que pour ça !
- Tu lui mets une capote au moins ?
- Bien sur, comme il ne vient que pour me sauter, je ne sais pas ce quil fait ailleurs ! Cest pour lhygiène, je suis quun vide couilles !
- Tas raison, si ça te convient. Et tarrives à jouir ?
- Pas toujours, je dirais même très rarement ! Souvent, quand il vient, il me fout le cul à lair vite fait. Il lui arrive de ne pas prendre le temps de se déshabiller. Il sort sa bite et ses couilles du pantalon, jai juste le temps de lui mettre une capote. Il baisse mon jean, me culbute sur le lit, mouvre les cuisses, écarte ma culotte, memmanche, me pilonne, lâche son foutre. Sa petite affaire terminée, il range ses outils, dit : à la prochaine, et sen va !
Une fois il est entré, ma repoussé jusquà la table, ma aplati sur mes bouquins. Il a sorti sa queue, mis une capote, baissé mon jean sur le haut de mes cuisses, écarté ma culotte, ouvert mon sexe avec ses doigts, et ma embroché comme ça, debout, jambes serrées, pliée en deux, jen avais le souffle coupé ! Puis il est reparti comme il est venu, me laissant par terre une capote pleine de foutre. Quel goujat ! Quand il y met plus de formes, on baise à poil et là, on prend notre temps, je peux me mettre sur lui, le chevaucher, utiliser différentes positions et au bout dun moment, je perds la tête, jouis. Il ne me parle jamais de sa vie ou de ses fréquentations, je ne sais même pas si il bosse !
- Et tu te laisses te sauter par cet animal, sans préambules, à la sauvette ? Quest ce tu temmerdes avec un mec comme ça ? Tes pas une bête !
- Jai pas mieux, je men contente. Il vient quand même 2 fois la semaine, ça mentretient ! Heureusement que dès quil me touche, je mouille !
- Pas raffiné le mec, belle comme tu es, tu pourrais trouver mieux. Un maestro de la baguette, ça doit exister ! Il doit y en avoir encore sur le marché !
- Ce mec là, au début de notre relation, était bien, il me la jouait délicat, préliminaires et tout et tout, il me faisait jouir, mais ça na pas duré !
Je lembrasse, lui dis à demain, rentre chez moi juste pour mettre les pieds sous la table.
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