Back Room
Quoique habituellement hétéro (recherches et relations exclusivement féminines pendant longtemps), il y a toujours eu au fond de moi une forte curiosité envers l'autre du même sexe.
Je ne sais si cela date de cette époque où, en internat, j'ai pour la première fois touché et été touché par un homme
Et il faut bien dire que nous avions aimé cela : après deux trois jeux adolescents sous la douche, le sexe qui se lève, troublant son propriétaire comme celui qui, involontairement, le fait se lever
Une expérience inaboutie, mais apparemment marquante
Puis une dizaine dannée sécoule, une vie sexuelle satisfaisante et totalement hétéro, avec même beaucoup de plaisirs à la clé. Puis un jour, ma moitié de cette époque travaillant alors quelques jours loin de moi, lassé de mon auto-sexualité devant lordinateur, le trip me prend : et si jallais voir dans cette rue où se trouvent tous les sex-shops de ma ville ?
Ni une, ni deux, jy suis, en choisis un au hasard et commence à musarder distraitement dans létablissement, sachant pertinemment que mon but ultime était la salle de ciné en sous sol
Une fois le change donné, je paye et accède donc en ce lieu
étrange : jarrive dans un espace exclusivement peuplé de mecs (jespérais au moins un couple pour le plaisir du voyeurisme !), très sombre et doté de multiples recoins.
Je « visite » alors, traverse plusieurs salles avec des écrans de diverses tailles, remarque bien des comparses en train de se toucher, mais rien de bouleversant jusqualors
Je finis donc par minstaller dans la salle principale, la plus grande, dans une rangée vide, et entame le visionnage dun passionnant documentaire : blonde siliconée en double péné, éjac faciale multiple, etc
Rien dexaltant encore une fois, mais bon, je suis là pour ça, alors je sors mon sexe et commence à me toucher distraitement en matant le peu dactivité dans la salle.
Mon histoire aurait pu se terminer ainsi, petite pignole et ciao, mais alors je ne vous laurait pas racontée
En effet, au bout dun temps indéfini, un autre keum vient sasseoir non loin de moi, enfin pour tout dire juste à côté de moi !
Bien que faisant le distant, style « je ne te regarde pas, jai autre chose à foutre », je note néanmoins quil a également sorti son sexe et se touche doucement.
Lexcitation commence à monter chez moi, même si je pense que je ne men rends pas vraiment compte à ce moment-là, et mon regard alterne fourbement entre le spectacle sur lécran, et celui, ô combien plus vrai qui se passe à 30 centimètres de moi
Se rendant compte du manège que jessaie de cacher, lhomme finit par toucher, dabord très prudemment, ma cuisse, et voyant que ne présente aucune réaction (tétanisé comme je suis : cest bien beau de fantasmer, mais quand la réalité se présente, ce nest plus la même histoire !), approche doucement sa main de mon sexe
Rhhhahh, que cest bon ! Jai beau être amoureux dune petite chérie à ce moment là, jai beau être attiré dans ma vie quotidienne par les femmes, le toucher dun compagnon qui sait, de fait, comment bien faire, me bouleverse
Notant que je reste là à profiter de ce quil me fait, il finit par prendre avec une extrême délicatesse ma main pour la poser sur son vit vibrant et brûlant.
Et là, cest parti : même si jai déjà touché un sexe dhomme, cela remonte à dix années au moins, dix années à fantasmer sur ce souvenir, ça fait monter la pression !
Pendant quil continue à me toucher, je découvre son sexe, fort beau par ailleurs, et mapplique (sans trop deffort !) à le caresser, délicatement depuis ses coucougnettes jusquau gland, y mettant ce que je sais qui me fait du bien à moi aussi
Et les caps senchaînent les uns après les autres : alors que je suis centré sur son sexe uniquement, il me caresse de partout. Je me découvre une sensibilité aux tétons, jaccepte son/ses baisers, lexcitation est plus que sexuelle à ce moment là, une vraie rencontre.
Et ment, ce qui doit arriver arrive alors, je finis par me pencher sur lui (en me tapant complètement des autres « branleurs » alentour, et commence à lui prodiguer une fellation gourmande
Un délice : une adorable petite (cest une manière de parler) queue très différente de la mienne, propre (ouf !), que je gobe et re-gobe, que je suce et re-suce, tant et si bien quil me demande de multiples fois darrêter, craignant de jouir
Mais cest trop tard, je nai plus de limites : le regardant franchement dans les yeux, je finis par lui dire « laisse moi faire
».
Et quand je dis jusquau bout : non, je ne me suis pas retiré, je ne lai pas laissé se finir, je ne lai pas laissé avec une goutte de sperme sur le sexe : je lui ai fait la pipe du siècle, et pour tout dire, je men suis régalé (peut-être moins que lui, et encore cest pas sûr)
.
Essoré complet, les yeux dans le vague et sa ravissante queue se détendant, nous avons échangé quelques mots, il ma donné son numéro de tel que jai malheureusement perdu depuis, en mengageant, à raison, vers plus de prudence envers des spermes inconnus
Mais quelque déraisonnable que cela fut, je ne regrette rien, ce fut un moment de magie que je renouvellerai volontiers si loccasion sen présente
Peut-être quen lisant cette histoire il se reconnaîtra et me contactera
Je crois quavec lui je serai prêt à aller encore plus loin
Qu'en pensez-vous ?
A bientôt
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