Une Soirée De Domination

Il avait plus de 48 ans, je n’en avais que 23, mais je savais cela quand j’étais en train de lui écrire un mail. Il était écrivain, il s’appelait Marco et il avait mis plusieurs histoires sur un site d’histoires érotiques en italien, et toutes ces histoires étaient à propos de domination. On commença par s’écrire des mails chastes. Moi je lui communiquais qu’est-ce que j’aimais ou j’aimais pas dans ses histoires, et lui il était intrigué par une femme qui ne lui disait pas seulement « T’es libre ? » ou « Regarde ma photo, je suis moi en train de jouir pendant que je lis tes histoires. ».
Moi, de mon côté, j’étais déjà excitée par la situation. Je le provoquais un peu, en lui montrant qu’il y avait même des erreurs d’orthographe dans ses histoires, et en contredisant souvent ce qu’il disait.
De toute façon, peu à peu on découvrit beaucoup de choses mutuellement, aussi à propos de nos goûts sexuels, aussi si on était rarement explicites sur ces arguments.

Puis, un jour il décida de venir me trouver. Il n’habitait pas loin de Xxxxxx, seulement 3 heures de voiture. Mais, avant de continuer avec l’histoire, je voulais consacrer deux lignes pour vous expliquer quelque chose de moi.
Actuellement j’ai deux copains, et mêmes deux autres personnes avec qui je m’amuse. Ça ne m’empêche pas de « m’amuser » aussi ailleurs… Le fait c’est que si ma chatte se mouille, j’ai beau à résister, mais je ne peux rien faire... Elle me signale qu’elle veut terminer avec des baisers pervers, et c’est toujours comme ça que ça passe.
Je suis une pute, pourtant je n’ai pas l’air d’une pute. J’ai les cheveux lisses et noirs et des yeux grands et verts, pas plus haute que la normale, je ne suis pas grosse et je suis assez jolie, mais pas d’une beauté inestimable.

Le rendez-vous c’était dans un bar, juste à côté du quartier chaud, mais ce n’était pas un bar de prostituées: les putes arrivaient juste au coin de la rue en face du bar.

C’était moi qui l’avais choisi, tout en espérant que cet homme abandonne ses manières gentilles, et il commence à me parler d’arguments plus croustillants.
Mais en fait non. J’avais raté sur tout. Marco prit deux bières, et il voulut seulement discuter avec moi. De quoi ? De la vie, de qu’est-ce que je faisais, et même de …philosophie. Mais qu’est-ce que je m’en fout de Nietzsche ! Ma chatte était déjà bien mouillée, et en plus Marco c’était pas mal, de taille normale, avec des beaux yeux noirs... Et en plus il me regardait avec un demi-sourire amusé... Je commençais à désespérer, et à m’agiter sur la chaise.
« Moi je ne danse pas, mais si tu veux, tu peux aller danser un peu. Je te regarde d’ici, ça ne me dérange pas. ».
Je pensais que c’était une bonne idée. Peut-être que Marco n’arrivait pas à jouir ? Pourtant les histoires qu’il avait écrites semblaient être faites par un homme qui avait bien vécu des situations sexuelles de nombreux types !

Une partie du bar était dédié aux gens qui voulaient danser. Il n’y avait pas beaucoup de gens, c’était un samedi normal. Je commençais à peine à danser, et voilà un garçon de mon âge qui s’installe devant moi pour danser à son tour. J’ai eu une idée.. « Peut-être que si je danse assez « hard » devant Marco, après il sera plus excité. » je pensais. En plus ma chatte était bien humide... J’en pouvais plus, et je devais faire quelque chose... Même si ce n’est pas avec lui.

Je commençais à bouger mon cul. Ce soir là, j’avais mis un pantalon qui montrait bien mes rondeurs. Et Marco osait me refuser! Je commençait à me sentir plutôt vexée...
Le mec devant moi s’était déplacé derrière moi, signe que mon beau cul avait touché... Je le frottais contre sa bite, et j’entendais parmi les vêtements sa bite qui se faisait de plus en plus dure.
Soudainement je regardais vers notre table. Oui, au moins Marco était en train de regarder, mais je n’arrivais pas à deviner ses pensées. Je lui faisais de l’œil, il me répondit par un sourire.


Je me tournais pour regarder le mec, et je le voyais tout rouge... Evidemment il n’était pas habitué à ces choses. Je voulais revenir à la table, mais le mec me demanda mon numéro, et il me dis : « t’es avec cette pourriture là ? Mais viens avec moi... On pourra bien s’amuser ! ». Je lui disais que je ne pouvais pas ce soir, mais je lui donnais mon numéro. Au fond, pourquoi pas ? Il semblait être bien doué...

Quand je rejoignais la table, Marco, encore avec ce sourire cloué au visage, me demanda aussitôt: « c’était pas le bon mec ? » et moi je répondis « non, pas le bon mec pour ce soir ». Sortis du bar, on se promenait un petit peu... (Moi j’avais de nouveau la chatte trempée, je n’y pouvais rien) et puis il décida de rentrer chez moi. En fait je l’hébergeais pour deux jours.
Arrivés à la maison, mes dernières lumières d’espoir s’éteignirent : Marco tranquillement ouvrit sa valise dans la chambre à coucher. J’étais profondément déçue... Ma chatte était là, prête à tout... Peut-être que j’aurai fait mieux à suivre ce mec du bar ! Et pendant que je m’abandonnais à ces tristes pensées, je commençais à faire la vaisselle qui s’accumulait dans le lavabo.

Quand soudainement quelqu’un me prenait les bras. J’entendis des menottes froides qui se fermaient autour de mes poignets. Ma petite chatte se sentait un peu soulagé... Mais ça ne suffisait pas. Je me tournais et je voyais cet homme près de moi, qui commença rudement à ouvrir ma petite chemise. « Voyons... Ne dit pas que tu n’en avais pas envie... C’est toute la soirée que tu fais la petite vache, n’est-ce pas ? » Il me dis avec une voix très sérieuse. Je ne répondis pas, et il ajouta « je te conseille de me répondre... Parce que à partir de maintenait tu feras tout ce que je voudrai. ». « Oui, oui, je le voulais, je suis une vache ! ». « Et alors, sale pute tu dois garder le silence, et répondre seulement quand t’es interrogée, t’as bien compris ? » « Oui ».
Il me conduisit jusqu’au lit, et il me jetait dessus.
Moi et ma chatte nous étions folles de plaisir... Mais j’avais envie de quelque chose de plus. Je voyais sa grande bite, et je ne pouvait plus garder le silence... Ainsi j’ai dit avec un ton narquois: « Le gros mec... Ca te plaît de baiser avec les jeunes filles, hein ? T’es pas trop vieux encore ? Tu va y arriver ?».
Pour la première fois ma provocation avait eu l’effet que j’espérais... L’expression de Marco changea tout de suite, et devenait encore plus froide. Sans dire un mot, il venait vers moi et moi je me retrouvais sans rien dessous et lui qui me donnait des fessées. Plus mon cul devenait rouge, plus lui renforçait la dose... Il voulait sûrement que je le pris d’arrêter, mais pour le moment l’excitation était encore plus forte que la douleur.

Il arrêta sans que je dise rien… je l’avais défié, et j’avais peur qu’il sache comment me « vaincre ». Le jeu commençait.
Je sens ses mains sur mes seins, il les pince avec ses doigts, parfois durement, parfois doucement. Puis il ligote mes chevilles individuellement chacune à une côté du lit... Maintenant je ne peux plus rien faire, seulement voir. Pour un tout petit moment il glisse ses mains dans ma petite chatte toute mouillée, je me laisse fuir un gémissement... Mais c’est éphémère, parce qu’il retire tout de suite sa main.
« Tais toi !!! T’es une petite salope... Tu verras après, si t’as encore envie de me défier... »
Comme ça je suis soumise à lui, et même si c’est parfaitement ce que je cherchais, j’ai du mal à ne pas gémir, je me mords les lèvres... Lui, il me touche partout, et maintenant mon comportement est déjà changé. J’ai honte à le regarder, j’ai le visage tout rouge, j’ai honte parce que je suis désarmée, sans défense.
Lui il sait ça, et il dit « regarde moi ! Tu fais la pucelle ? Juste avant au bar tu me semblais plutôt une vieille pute. Qu’est-ce que t’as ? Alors, tu veux me dire qu’est-ce que t’as ??? » Tout en insistant à pincer mes tétons et à glisser sa main entre mes cuisses.
Cette fois je suis vaincue, cette fois je dois répondre, et je dis avec un fil de voix « Je veux ta bite ! Maintenant ! Je veux jouir ! » Aussi si je sais qu’il ne va rien me donner, après si peu de temps.
« J’ai pas entendu... Dis-le à haute voix. Et avec un ton de supplication. » Moi je répète, j’ai le visage enflammé par la honte et l’excitation, je ne suis plus capable de soutenir son regard.
Lui il se sent fort, il sent que je suis soumise. Alors il laisse sa queue devant mon visage, moi je cherche à l’attr avec la bouche mais je n’y arrive pas. « Il faut que tu sois sage, j’ai besoin que tu me dises tes pensées de ce soir, au bar, et après peut-être que je te ferai un cadeaux.. Je parie qu’avant tu avais ton minou tout trempée, tu bougeais ton cul sur la chaise encore plus que maintenant... »
C’est vrai, aussi maintenant j’avais commencé à bouger mon cul sans me rendre compte. En voyant ma difficulté à raconter, à cause de ses mains qui savaient où toucher, il augmente la dose « Elle est passé où ton envie de rigoler maintenant ? » Alors je lui racontais avec effort ce que j’avais pensé ce soir. C’était un vrai plaisir et une ensemble. Il me dit que j’étais une bonne salope, et que je pouvais sucer un peu sa queue.
Chose que je faisais tout de suite... Mais au moment dont il voyait que je m’excitais un peu trop, il me donna l’ordre de la lécher seulement. C’était très difficile pour moi d’obéir... J’avais pris le rythme, je l’avais pris dans ma bouche, et puis savoir que je pouvais exciter Marco c’était pour moi une source même d’excitation.
« Lèche doucement... Doucement je t’ai dit ! ». Pendant que je continuais à lécher, il me frottait le clitoris avec ses doigts, il fouillait plus au fond, il me faisait devenir presque folle, et il me dit « oui, je sais, c’est dur de continuer seulement à lécher pendant que je te fais ça, pour une chienne comme toi.. ».
Puis, soudainement, il m’annonça : « maintenant c’est le moment que tu attendais... Petite pute, je sais que tu l’attendais beaucoup... ». Il me détache, il me tourne sur le ventre, me prends par les cheveux pour m’avoir encore plus sous son pouvoir, et il me pris violemment derrière, dans l’anus. Je ne m’y attendais pas à ça, donc je poussais un cri étouffé, même si ce trou était déjà plus qu’ouvert..
Mais il ne se contentait pas de m’enculer, il voulait aussi que je lui dise combien je suis une chienne en chaleur. Parler de cette manière m’embarrassait beaucoup. C’était parce que, en comparaison avec le bar où j’étais moi-même à conduire le jeu, maintenant j’étais en totale soumission, un objet pour lui faire plaisir. Il me dit que son premier désir quand il m’avait vu, c’était justement ça, baiser mon cul, ce cul dont j’avais eu l’attention de montrer à tout le monde quand je dansais.
En étant libre, moi je faisais glisser ma main gauche sous moi, sur mon clitoris, je me touchait comme une folle, frénétiquement, je mourus d’envie de jouir. Je croyais qu’il n’avait pas remarqué ce « petit changement », mais il était très attentif... J’ai risqué de jouir maintes fois, mais toutes les fois que je commençait à trembler ou gémir un peu plus fort (je ne pouvais vraiment pas me l’empêcher), avec force m’éloignait la main de mes cuisses, et menaçait de me remettre les menottes.
Suite à ça, il me dit « Alors tu n’en a pas encore eu assez ? » il me tourna, et, comme « punition » il me posa des pinces sur les seins, des pinces qu’il avait trouvé dans un des mes tiroirs, pendant que je faisais la vaisselle. « Je suis sûr que tu les utilises comme ça... Petite vicieuse... ». Moi j’entendis ce mélange de douleur et plaisir que j’aimais tant, élevé à la centième puissance pour le fait que c’était lui à me faire ça.
Peu après il plonge cette fois dans ma chatte, il me donne des coups que je me sens cassée en deux... Mais tout de suite je n’entends plus rien... J’ai un orgasme qui me fait voler dans le vide... (Normalement j’en aurai déjà eu plusieurs, si ce n’était à cause de lui qui me l’empêchait toujours). Lui il l’a aussi, en criant « oui sale pute... Oui, moi je baise les sales putes comme toi... ».
Après il se retira, nous prîmes une douche et lui il était gentil comme toujours, avec ce sourire sur les lèvres.

Vous pouvez m’écrire :)

Camelias

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!