Fantasmes Seul

Quand je suis seul à la maison, des envies de sodomies m'obsèdent, je veux dire, de me faire sodomiser, alors que je suis hétéros, je suis uniquement attiré par le plaisir de la pénétration anale, dans la tête, je me fais un scénario avec un voisin qui sonne à la porte pour m'emprunter des outils de bricolage.
Ce matin, j'ai mis une culotte de ma femme, une culotte en coton, prise dans le linge sale, j'aime sentir l'odeur de sa chatte sur moi et j'ai enfilé une de ses jupes plissée courte, tissus écossé, j'ai rentré mes mamelons dans un de ses soutien-gorge et par dessus, un chemisier blanc à colle Claudine, je m'imagine en maîtresse de maison, prude et de bonne éducation, j'ai laissé couler quelques gouttes de mon pipi au fond du slip pour rendre l'odeur plus forte.
Le voisin sonne à la porte, je suis surpris en plein travestissement, je n'ai pas fermé la porte à clef et après deux sonneries, il ouvre et me voit habillé en femme.
Je balbutie des explications bidons, tellement gêné qu'il découvre mon secret, je lui dis que je vais me changer mais il me retient par le bras en me disant que je suis désirable habillé comme cela, que ça l'excite, il me met la main aux fesses, me doigte la raie en me disant:
- Tu es une petite cochonne toi, sous tes airs de sainte nitouche, tu veux jouer avec moi ?
-Oh Monsieur, vous êtes direct vous, que je lui réponds, il me pelote les seins, dans ma culotte j'ai une érection, je sens, contre ma cuisse, que lui aussi à le bâton.
- Tu veux voir mon gros jouet, il est doux et je suis sur que tu vas bien jouer avec ?
- Vous avez un gros jouet sur vous, mais où est-il ?
- Là, dans mon pantalon, il frotte son bas ventre sur ma cuisse,
- Tu vois comme il est dur, il faut le sortir de sa cachette et lui faire des câlins
- J’ouvre sa braguette, rente ma main dans son slip, c’est chaud et le morceau me surprend par sa taille (à ce moment, je caresse le gode de ma femme)
- Quel beau jouet vous avez là, je vais le sortir pour le regarder
- J’ouvre le pantalon pour l’extraire, qu’elle belle queue, raide, longue, large, non circoncise
- Il faut l’embrasser maintenant et la caresser, elle sera plus grosse encore.

- Je m’agenouille, dépose des bisous partout sur la verge, elle sent la transpiration et l’urine, les testicules sont velue et parfumées au naturel aussi. (À ce moment, je suce le gode de ma femme)
- Oh, elle est douce mais je dois lui faire une toilette car elle sent le pipi, je vais la laver avec ma bouche, vous voulez ?
- Vas y mignonne, lave la bien, c’est l’odeur des fesses de ma femme qui est dessus, elle a joué avec tout à l’heure, elle a même pris sa température avec.
Je tête le prépuce et le gland, pose mes doigts en cercle et descend la peau en la tirant vers la base du sexe, le gland turgescent et rouge se découvre, l’odeur est musquée, je le prend quand même entre mes lèvres en anneau et avale toute la tige jusqu’aux poils du pubis, il pousse un soupir d’aise, le goût est sucré salé, un peu acide mais ça me fait bander et je sent mon anus qui réclame des caresses et ma bite qui durcie, je lui masse les couilles en même temps que je le pompe
- Tu es gentille avec lui, tu lui fais du bien, il va être propre, tu veux que je te prenne ta température ?
- Ho oui Monsieur, je crois que j’ai de la fièvre, mettez moi votre thermomètre dans les fesses et nous partons dans la chambre.
- Met toi à quatre pattes que je regarde si ton petit trou est propre
Je me mets en position pour être inspecté, il trousse ma jupe, baisse ma culotte, regarde dedans, la renifle. (À ce moment, je sens mes doigts que je passe dans mes fesses)
- Oh, la petite sale, il y a des traces de pipi et de caca dedans, tu mérites une fessée et il me claque le cul plusieurs fois, j’ai les fesses en feu, mais je les tends pour mieux m’offrir.
- Je vais aussi laver ton orifice avant de rentrer mon jouet, le tiens sent mauvais.
Il m’écarte mes grosses joues, passe la langue dans la raie, me la lèche de haut en bas en insistant sur mon anus, une main passe entre mes cuisses, me malaxe les couilles puis me saisit la verge et me branle. (À ce moment, je me branle en caressant mon anus avec un doigt mouillé)
- Tu as un beau jouet toi aussi, la prochaine fois, je lui ferai des câlins et c’est toi qui me prendras la température.
Il se met contre moi, dépose un peu de salive sur mon trou et je sens son gland frotter ma rondelle, je pousse pour ouvrir mon sphincter à la pénétration, il le remarque.
- Quelle belle fleur qui s’ouvre là, je vois que tu es prête. A ce moment, je positionne le gode devant mon orifice)
Il appuie le gland contre mon anus et commence à forcer le passage, je pousse encore et le pieu de chair m’écartèle l’anneau en pénétrant en moi. (À ce moment là, le gode rentre dans mes fesses et c’est bon)
La douleur me fait pousser un cri mais il continue sa progression dans mon boyau culier, il me la rentre en entier car je sens ses poils contre mes fesses. (À ce moment, le gode est entièrement dans mon cul)
- Tu as vraiment de la température, ton conduis est bouillant.
Il commence des vas et viens de plus en plus rapides, il me défonce, me déchire l’anus, par moments, il sort sa queue et me la replante dans l’oignon ce qui me fais pousser des râles de plaisir, je me masturbe toujours et les deux sensations se rejoignent. (À ce moment, je me défonce l’anus avec le gode d’une main et me branle de l’autre)
Il me tient par les hanches et me secoue comme un sac de viande, il a des râles de plaisir et me dit :
- Tu es bonne avec mon jouet petite salope, ton trou est bon, je vais le récompenser en lui donnant du lait.
- Oh oui Monsieur, aspergez moi dedans de votre crème, mon ventre en a besoin pour se vider.
- Tiens, prend tout, haaaaaaa, je gicle, haaaaa, que c’est bon, haaaaa, tiens y en a encore. (À ce moment, j’éjacule sur le lit, plusieurs giclées et je m’effondre, terrassé par l’orgasme)
Quand je reviens à la réalité, le gode me glisse hors de l’anus en compote, il n’y a plus personne avec moi, seules les traces de sperme sur le couvre lit illustre la séance que je me suis faite (il ma quand même proposé son cul pour la prochaine fois, il faudra que je le branche à l’occasion, le voisin.)