Aventures Anglaises

Récemment j’ai passé quelque temps en Angleterre où il m’est arrivé quelques aventures assez excitantes. Voici la première.

Je logeais dans un petit hôtel familial depuis plusieurs nuits. La chambre n’avait pas beaucoup de charme et était plutôt ancienne. Il y avait notamment une étagère en bois dans l’entrée qui encadrait la porte de la salle de bain. En voulant poser mes affaires, j’ai remarqué sur le rayon du haut une revue pour adultes qui datait de plusieurs mois avec de jolies photos de femmes nues. Evidemment je n’ai pu m’empêcher de la lire et de me donner un petit plaisir en solitaire.

Le lendemain matin, je décidais d’utiliser cette découverte pour embêter la femme de ménage, une jolie jeune brune. Après le déjeuner, je remontais au moment où elle était entrain de faire le ménage dans ma chambre. Je rentrais et elle proposa de revenir plus tard pour terminer. Je lui dis qu’elle ne me dérangeait pas et qu’elle pouvait continuer. Je faisais semblant de lire un livre et la regardais travailler. Elle était petite et mince, avait de jolis petits seins. Je m’approchais d’elle et lui montrais la revue porno que j’avais trouvé la veille. Je lui fis remarquer la date de parution et le fait qu’elle devait traîner dans la chambre depuis de nombreuses semaines. Je commençais à critiquer la qualité de son travail, qu’elle ne devait pas nettoyer correctement l’étagère et donc la chambre et que j’irais me plaindre à la réception. Je voyais ses yeux s’embués, elle m’implora de ne rien dire car son patron l’avait déjà menacé de la virer et qu’elle avait absolument besoin de ce job pour élever son fils.

Mon petit manège fonctionnait à la perfection, il était temps d’en profiter. Je lui promis de ne rien dire si elle acceptait de faire ce que je lui demandais. Elle parut ne pas comprendre tout de suite mes intentions. Je m’approchais d’elle et commença à lui caresser la poitrine. Je vis dans son regard un mélange de colère et de résignation.

Je désagrafais sa robe pour mieux la caresser. J’étais excité et avais très envie qu’elle me suce. Je baisais mon pantalon et mon boxer et la fit mettre à genou. Ma queue était déjà dure et je la lui enfilais directement dans sa bouche. Je lui pris la tête à deux mains et lui baisait la bouche. Elle était complètement surprise et avait de plus en plus de mal à respirer. Je sortis mon sexe et la regardais pendant de longues secondes. Elle ne fit aucun mouvement puis prit ma bite et se mit à la sucer doucement. A ce moment je compris que la partie était gagnée et que j’allais bien m’amuser.

Elle me suçait divinement bien. Sa langue titillait mon gland qui devenait de plus en plus rouge et gros. Avec sa main gauche, elle me caressait les couilles. C’était très agréable, mais je ne voulais pas en rester là. Je la relevais et la poussa à se pencher en avant. J’enlevais brusquement sa petite culotte. Je mis rapidement un préservatif et présenta ma queue à l’entrée de sa chatte. Lorsque je voulus la pénétrer ainsi par derrière, je sentis que mon sexe butait sur quelque chose. En y regardant de plus près, je vis effectivement une petite ficelle qui sortait de son minou. Je pensais d’abord à un tampon mais avant qu’elle n’eût le temps de réagir, je tirais dessus. Quelle surprise, la petite coquine avait des boules de Geisha dans sa moule. Je les retirais, elles étaient toute humides car ma petite Anglaise mouillait comme une cochonne. Je la pénétrais facilement et la limais à grands coups de bite.

Elle me coucha ensuite sur le lit et se mit à me chevaucher. Ses petits seins se balançaient dans tous les sens et je les pris en bouche pour les sucer. Puis mes doigts caressèrent son petit trou qui était tout moite. J’enfilais un doigt puis deux sans problème. Elle avait l’air d’aimer ça. Alors je pris les boules de Geisha et fit entrer une première dans son cul puis la deuxième. En même temps qu’elle continuait à me monter, elle se dandinait dans tous les sens pour mieux sentir son joujou.
Elle était déchaînée et émettait des petits cris de plaisir. J’étais aussi à bout et envoya de longues giclées dans la capote.
Elle se dégagea rapidement, se rhabilla et quitta la chambre. J’ai quitté la ville le lendemain et ne l’ai malheureusement plus revu. Mais avant de partir, j’ai été voir le directeur de l’hôtel pour louer la qualité du travail de ma petite femme de chambre !

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