Orgie

Mon épouse Solène et moi Jacques étions allé avec un ami commun, Pierre, chez un couple de ses relations. Il nous avait averti qu'il s'y passait des orgies sexuelles mais aussi parfois des pratiques particulières simplement entre ce couple et lui avec aussi autre couple d'invité et nous avait prévenu de ne pas nous choquer le cas échéant.
Ma femme avait hésité un peu à accepter de nous y rendre puis s'était lancée en disant hé bien ça peut être rigolo pourquoi pas ?
Nous voila donc partis, dans une grande maison d'allure patricienne retirée dans un grand parc entouré de hauts murs en pierre.
Je passe sur les présentations etc… La maîtresse de maison Catherine était entièrement nue sauf une paire de hautes cuissardes et une ceinture large en cuir, elle nous fit servir des rafraîchissements par un serviteur ébène de toute beauté mais qui avait son sexe dans une espèce de cage dont partait une laisse attachée à son cou.
Quand il eut rempli nos verres selon notre choix parmi les alcools proposés, Catherine c'était le prénom de notre hôtesse, déroula la laisse de son cou et en le tirant pas le sexe l'approcha de ma femme et elle dit : Allez JIM déshabille madame d'abord puis son mari en douceur mais rapidement.
Il s'exécuta avec maestria, dévoilant les charmes de mon épouse puis les miens.
Catherine enleva alors la cage du sexe de JIM libérant son énorme bite et elle dit à mon épouse Solène : prenez d’une main cette belle queue et de l’autre celle de votre petit mari et comparez, allez y n'ayez pas peur faites les gicler sur vous ! Ma femme obtempéra mais s'occupa plus de la verge du beau noir qui ne tarda pas à gicler en jets épais, saccadés et abondants. Catherine enleva alors d’un geste rapide la main de ma femme et avec une baguette cingla la bite tressautantes et les grosses couilles pendantes en dessous. Une dernier giclée se répandit et la bite devint d’un coup toute molle et zébrée, saignante.
Elle ordonna alors à ma femme : achève ton mari, vas y fais le jouir.

..
Mais dit ma femme...
N’ayez pas peur, l’interrompit Catherine, je ne vais pas le cingler lui, je veux qu’il garde sa virilité entière pour me prendre tout à l’heure.
Solene me branla rapidement en gardant ma bite dans sa main par peur sans doute que Catherine ne lui fasse un sort, sait on jamais…
Elle dit alors à JIM : vas te soigner mais dis aux garçons de nous rejoindre.
Deux minutes après, un beau garçon, jeune environ 23 ans, arriva nu lui aussi et avec un sexe au moins aussi gros que celui de JIM . Il était accompagné d'un plus petit plus âgé dans les 35 ans mais râblé avec des couilles comme un taureau mais un sexe tout à fait moyen même plutôt plus petit que le mien. Elle désigna le grand Robert et le petit Michel, elle me demanda lequel préférez vous pour votre femme, je regardais ma femme et dit Robert. Ma femme acquiesça d’un léger signe de tête. Robert vint alors près de ma femme et commença à l’embrasser et la peloter, quant à moi elle me fit venir près d’elle et me dit : fais moi jouir et elle prit un petit sifflet et siffla trois fois en disant je siffle mon chien il va être de la fête, vous allez voir. On vit arriver un homme d’une quarantaine d’années, un peu bedonnant, nu aussi avec un collier de cuir et une laisse pendante. Elle le présenta : Charles mon mari, mon toutou.
Puis elle me dit : continuez à me caresser, son mari s’assit alors comme un chien à nos pieds et commença à se masturber. Mais elle lui donna un coup de badines et dit pas avec la patte allez viens. Il s'approcha alors de nous et se mit à se frotter comme un chien sur une jambe de sa femme, elle me dit alors prends moi là de suite vas y fais moi jouir. Très excité, je la défonçais rapidement et ne pus me retenir d’éjaculer trop vite.
Elle me repoussa brutalement alors et dit : mon chien n’a pas encore jouit regardez le… et à lui elle dit alors : dépêche toi ça vient oui ?
Pendant ce temps, ma femme jouissait sous la bite du beau Robert, elle criait avait des orgasmes en rafale jusqu’à ce qu'enfin il l'inonde. Les gémissement et cris de jouissance de ma femme exarcerbèrent le plaisir du mari qui accélérant ses frottements sur la jambe de Catherine fini par gicler en grognant.
Elle demanda alors à Michel qui se branlait doucement : viens, lèche ma jambe et masturbe jacques et encule le s’il est ok.
Je regardais ma femme qui sourit ironiquement et me dit : alors vas y essaye, chéri…
Je ne dis rien mais laissais Michel me caresser et acceptais sa bite dans mes fesses, c'était une première pour moi et j'appréciais.
Pierre qui était resté de marbre s’approcha alors de Charles et les deux homme se léchèrent s’embrassèrent et Michel encula Charles à la fin.
Puis tout le monde se rhabilla et on nous servit une collation et du champagne, tout le monde très digne bien habillé... et après nous primes congé…
Mais cela nous avait perturbé et fait évolué de sorte qu'une semaine après ma femme étant avec son amie Colette dans notre salon, se déshabilla et nous dit d’en faire autant et quand nous fumes nus elle parti dans la salle de bain d’où elle revint avec un collier de chien, une laisse et un fouet. Elle me mit le collier autour du cou et me dit : allez couché et comme j’hésitais elle me cingla les fesses et ordonna de nouveau : j’ai dit au pied couché ! Là, je m'exécutais. Alors elle se mit à réciter notre séance chez Catherine et quand elle en vint à raconter comment Charles se frottait sur la jambe de sa femme comme un chien elle tira sur ma laisse et me dit allez bon toutou vient te frotter montres à Colette...et elle avança une jambe. J’enroulais mes jambes autour d’elle et me frottais doucement. Elle dit à Colette : tu vois ses couilles, prends les, caresses les, doigte le, encule le profond. Colette ne se le fit pas répéter et emportée par son excitation enfonça sa main entière dans mon cul, cela me fit gicler aussitôt.
Après elle se rhabillèrent, ma femme me disant : reste couché nu sur le tapis, nous on sort se faire baiser par de beaux males, on va en boite, à ce soir !
Voila en gros le récit d’une aventure réelle un peu résumée mais le scénario est réel…