Une Femme Pour Deux Hommes (Suite)
Dans la chambre, ils sapprochèrent de moi, assise sur le bord du lit. Leurs sexes nétaient pas en érection mais ils adoptaient des proportions raisonnables. Alain et mon homme se présentaient ainsi face à moi, totalement nus. Ils se tenaient debout fièrement, se tenant eux même par les épaules pour rapprocher aux plus près leurs deux sexes près de ma bouche.
Je les regardais de loin (ils étaient à un mètre de moi) puis sapprochant de moi, jai levé les yeux vers mon mari comme pour lui demander lautorisation. De la main droite, jai pris son sexe pour le caresser. Il grossissait à vue doeil, devenant dur en lespace de quelques secondes. Voila quil était en érection. Mon chéri appuya sur ma nuque pour que je le prenne en bouche. Ce que je fis sans plus attendre. Jallais et je venais doucement sur son sexe, en lavalant le plus possible. En réalité, son sexe, de dimension respectable je le rappelle, pouvait entrer entièrement dans ma gorge. Parfois, cela me gênait et il fallait que je le retire aussitôt pour ne pas m. Peut-être nest-ce quune question de technique où de position. Toujours est-il que je le suçais avidement tantôt en passant ma langue le long de sa hampe, tantôt en lui mordillant délicatement le gland. Alain se branlait et posa lui aussi sa main sur ma nuque. Ils étaient deux à mattirer ainsi vers leurs queues. Au gré de ses mouvements, Alain décalotta puis calotta son sexe plusieurs fois. Sa main sur ma nuque mattira vers lui. Jai regardé son sexe dressé comme un mât. Je le caressais à pleines mains.
- Suce ! Me dit-il.
Javais limpression quil me donnait un ordre. Sa main encouragea mes mouvements. Lui aussi chercha à enfourner son sexe au fond de ma gorge. Je ne sais pas si jai aimé, mais cela mexcitait beaucoup. Je trouvais cela normal, en tant que femme, de satisfaire ainsi mes deux étalons. Je leur offrais ce quils désiraient le plus en espérant bien avoir mon lot de satisfaction.
Je mappliquais à les sucer tous les deux, lun puis lautre, une dizaine de mouvements chacun. Je passais dune queue à lautre avec une telle aisance que cela aurait pu être luvre de ma vie. Ce nétait en réalité que la deuxième fois.
Alain me releva, me tirant par le bras. Je suivis son désir et mallongea sur le lit, face à lui. Marc, mon chéri vint sasseoir près de moi, me caressant les seins avant de les embrasser.
- Tu veux de la queue ? Me dit Alain. On va ten donner.
Alain tenait son sexe de la main droite et se plaça entre mes jambes :
- Tu vas la sentir ma grosse queue. Tu vas voir.
Alain se tenait face à moi. Il était là avec sa queue à la main. Je sentais que jallais y passer à tel point que je sentais mon sexe shumidifié. Javais envie.
- Viens. Lui dis-je.
Je pris son sexe dans une main et le guida vers ma fente. Alain sappuya sur les deux mains et me pénétra dun coup. Jai sentis son sexe me fendre comme une épée si bien que je ne pus rester indifférente à cette pénétration hors du commun. Je nai eu pour seul réflexe que décarter un peu plus les jambes. Je voulais le sentir au fond de moi. De mes mains posées sur ses hanches, je lencourageais à venir de plus belle. Mes jambes saccrochèrent à sa taille. Cétait trop bon.
Marc sétait encore rapproché de moi, me présentant sans ménagement son sexe sous le nez. Je lavalai encore une fois.
- Oui, cest bon. Me dit-il. Continue comme ça, chérie.
Il se branlait littéralement dans la bouche. Je navais quà suivre ses mouvements. Je le suçais goulûment pour ne pas en perdre une miette. Je me sentais gourmande. Je réalisais à cette instant que deux hommes me baisaient : mon amant et mon mari. Je pensai à ces deux queues et au plaisir que javais. Pour rien au monde, je naurais voulu que cela sarrête. Marc continua à glisser son sexe dans ma bouche ; je continuai à le sucer, parfois en faisant jouer ma langue autour de son sexe.
- Tes une belle salope. Me dit-il.
- Oui, lui dis-je sous leffet de lexcitation.
Alain continuait de me baiser de plus belle. Il avait attrapé mes jambes et me secoua comme un pommier. Je sentais mon plaisir monter. La température de mon corps séleva, mais tout à coup, il sarrêta :
- Attends, dit-il. Tu vas te retourner.
Sous le regard de mon mari, je me mis à quatre pattes sur le lit, la croupe bien tendue vers le regard de mon Amant. Marc surveillait les opérations : pas question pour Alain quil me sodomise.
Mon chéri, lair dubitatif regarda Alain.
-Ne tinquiète pas. Dit Alain à mon homme. Un marché est un marché.
Je rêve. Ils étaient en train de me considérer comme une marchandise.
- Dites donc, cest de moi que vous parlez comme ça ?
Ils me considérèrent comme leur marchandise, leur produit à eux. Jétais offusquée par ce comportement.
-Tinquiète pas, poupée, on va pas te sodomiser. Du moins, pas moi, déclara Alain. On va juste samuser un peu.
Je restais perplexe quant à lintention dAlain. Mon chéri paraissait complice. Quavaient-ils manigancé à mon sujet.
Alain se positionna à genoux derrière moi. Je sentais son sexe sur mes fesses.
Que fais-tu lui dis-je.
Ne tinquiète pas, nous ne sommes pas là pour te sodomiser, répéta-t-il. Je ne fais que tapoter ma queue sur ton joli derrière.
En effet, Alain avait pris son sexe dans la main pour le taper sur mes fesses. Cela lamusait beaucoup, je tournais la tête pour voir, mais mon chéri menfourna à nouveau sa bite dans la bouche.
-Encore ! Fis-je à demi étouffée.
-Tu aimes ça, hein ? dit-il.
-Moui ! Fis-je la bouche pleine.
-On ne parle pas la bouche pleine. Dit-il.
-Moui, je chais !
Son sexe me pilonna la gorge comme tout à lheure. Marc me prenait par les cheveux.
-Taimes ça salope, hein ?
-Moui !
Marc se branlait littéralement dans ma bouche, encore une fois. Soudain, cest le sexe dAlain que je sentais derrière moi. Il pointait sur mon anus.
Jouvris les yeux de stupeur. Son sexe était entré en moi.
Marc ! Mexclamais-je avec étonnement. Il me sodomise.
-Je sais. Et alors ?
-Mais
-mais cest ce que tu voulais ma chérie, non ?
-Oui, mais
.
Bah alors ?
Alain me sodomisait comme un fou. Il était accroupi, appuyé sur ses pieds et me tenait par la taille. Je naurai jamais cru que mon mari puisse laisser faire cela. Et bien que je ne sois pas une folle de la sodomie, cela me plaisait beaucoup ce jour-là.
Je suçais mon mari sous les coups de rein de mon amant. Javançais sur la queue de mon homme chaque fois quAlain senfonça dans mon cul. Le plaisir pour moi dêtre ainsi prise !
Ils étaient complices et ils avaient tout manigancés. Les coquins !
Alain continua son uvre jusquà ce que mon mari décide de changer de position. Il se glissa sous mon corps, caressant et embrassant mes seins qui ne demandaient quà être choyé. Je le chevauchai. Alain revint derrière moi.
La queue de mon mari se glissa dans ma chatte. Que cest bon ! Deux queues pour moi tout seule. Jembrassai mon mari avec fougue sous les coups de reins dAlain.
-cest bon, lui murmurai-je en silence.
Alain était très endurant. Il continua encore et encore. Marc sagita en même temps.
La double pénétration ! Mon mari appelle cela une double pénétration. Je sais de quoi il sagit maintenant.
Leurs sexes me pilonnèrent à toute allure. Jétais folle, secouée de toute part, à embrasser mon chéri. Mon corps chauffa et ma poitrine devint toute rouge. Je ne savais plus où javais la tête ni ce qui se passa. Mon chéri vint à éjaculer en moi dans un râle de plaisir.
Bisous à tous.
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