Les Amis De Mes Parents - Partie 1-
Cétait il y a quelques années en été, je devais avoir 17ans. Jallais souvent passer des journées chez ma meilleure amie Adeline.
Elle était belle, et vraiment bien proportionnée, environ 1,70m pour 50kg, ses seins faisaient du 95B, sa chatte était épilée
un régal. Elle vivait avec sa mère Jocelyne, une belle femme mure, avec un gros cul et des gros sein (90D), elle était bronzée, et terriblement excitante.Son père Jean, était lui aussi un beau gosse dans le genre.
Ce week end là, je restais chez mon amie car mes parents étaient partis se faire un petit week end en amoureux.
Tout commença le samedi soir après dîner, alors que je sortais de la salle de bain, je vis par lentrebâillement de la porte de la chambre que Jocelyne sa mère, était à demie nue sur son lit en train de feuilleter une revue pour adulte, il faut dire quelle est très peu pudique. Jai eu le temps dapercevoir sa culotte et ses gros nichons bien huilés, avant quAdeline mappelle.
En allant vers notre chambre avec Adeline, je pensais à ce que je venais de voir. Cette femme sujette de nombreux de mes fantasmes semblait adorer le sexe ! Quelle découverte.
Une fois dans ma chambre, Adeline vint se glisser dans mon lit en me disant quelle ne voulait pas dormir seule, il faut dire que parfois nous nous amusions à nous toucher dans le lit. Ce fut réellement une bonne éducation sexuelle, de pouvoir découvrir le corps de la femme en toute liberté. Nous nétions jamais allé au bout dun rapport. Cela se limitait à des branlettes des pipes et des cuni. Cependant javais hâte de découvrir la sensation dêtre dans le vagin dune femme.
Adeline a donc commencée à me sucer, sa bouche était chaude, elle tournait sa langue autour de mon gland de manière magistrale, elle savait faire pour exciter un homme. Elle était sous les draps entre mes jambes, je ne voyais que la forme de sa tête dans le drap, elle allait et venait a un rythme soutenu qui me faisait sortir des petits grognements de plaisirs.
Ce soir là jétais tellement excité par ce que sa mère mavait inconsciemment montré que javais envie de limer Adeline. Je navais pas de capote, alors la découverte du vagin féminin serait pour un autre soir. Alors quAdeline continuait à me pomper je maperçu soudain que la porte de la chambre était à demie ouverte et que Jocelyne venait de me voir prendre mon pied.
Voyant mon embarra, celle-ci me fit un sourire puis alla se coucher. Adeline navait rien vu, trop occupée à me donner du plaisir sous le drap.
Ce bref passage de sa mère a eu pour effet de me faire gicler immédiatement dans la bouche dAdeline, non mécontente de récupérer ma semence pour lavaler.
Nous nous couchâmes tranquillement après un dernier baisé.
Une heure plus tard, je fus réveillé par des cris et des coups dans le mur. Cela ne faisait aucun doute, la chambre de ses parents étant voisine à la notre, sétaient ses parents qui senvoyaient en lair. Ma queue se raidis directement et je fus attiré par ses bruits enivrants. Je me disais que Jocelyne avait décidé de me donner la réplique après mavoir surpris avec sa fille
quelle cochonne !
Je regarda Adeline qui dormait paisiblement, puis je pris mon courage à deux mains et me leva discrètement pour épier le couple.
Super, leur porte était encore entrouverte, ce qui me donnait une vue splendide sur le lit conjugal.
Javais une vue parfaite sur les fesses de Jocelyne qui se trouvait à cheval sur Jean. Son sexe était énorme, je dirais 23 cm avec un diamètre impressionnant. Il pilonnait sa femme brutalement, et celle-ci sempalait de plus belle. Entre deux pénétrations, celle-ci se couchait pour le piper a fond. Elle semblait être une experte du sexe. Jocelyne était maintenant à quatre pattes sur le lit, Jean préparant son gland pour la baiser en levrette. Il lenfila dun coup sec, ce qui eu pour effet de faire gémir Jocelyne, il lima aussi vite quil le pu.
Je ne pu mempêcher de mastiquer en voyant cela.
Elle dit a Jean : « reste encore en moi, je te veux jusqu'à ta dernière goutte ».
Je compris alors que Jean lui avait tout déchargé dans le vagin. Je nen revenais pas davoir vu ce spectacle en live.
Soudain je vis Jocelyne se lever en se dirigeant du coté la porte, je quittai vite les lieux pour partir vers mon lit. Elle sortit, alla à la salle de bain se doucher.
Le lendemain, après mêtre à peu près remis de mes émotions, jétais encore excité à la pensée davoir vu cette femme à poil sur la queue de son mari.
Je me levais et allais vers la cuisine pour prendre mon petit déjeuner, Adeline dormait encore et je comptais bien la réveiller en lui chatouillant le clito après mon petit déj.
Cest alors que jentra dans la cuisine et vis Jocelyne vêtue dun paréo turquoise noué autour de sa poitrine. Je maperçu vite quelle était nue dessous. Jai très vite bandé, alors je me suis assis à table pour éviter quelle ne voit ma queue. Jétais gêné mais je voulais aussi enclencher le pas pour voir si javais possibilité de parfaire mes connaissances sexuelles avec cette femme.
Elle sasseya en face de moi.
Jattendais un peu, nous parlions du beau temps.
M : moi
J : Jocelyne
M : bonjour tu vas bien ?
J : Bonjour mon petit chou, bien dormi ?
M : Oui merci.
Je fis un sourire très évocateur pour lui montrer que javais tout vu hier. Jétais très tendu, mais il fallait que je me lance, ça passe ou ça casse.
M : Jean nest pas là aujourdhui ?
J : Non il est parti la journée à la chasse, mais moi cest pas vraiment mon truc. Et Adeline dort encore ?
M : Oui elle est très fatiguée en ce moment.
Elle me fit un large sourire,
J : je suis désolé hier soir je vous ai vu je ne voulais pas, cétait pas correct.
M : pourtant tu semblais aimer le spectacle !
Je fit tomber mon croissant par terre, en me penchant sous la table je vit sa fente poilue, elle ne croisait pas les jambes.
M : Moi aussi je vous ai vu hier soir, et jai adoré.
Je suis devenu rouge en pensant me faire gifler.
J : Je vois, tu me fais penser à moi quand javais ton age, jadorais épier les ébats sexuels de mes parents, pour voir comment cela se faisait.
Que ma-t-elle dit là, cest une vrai chaude, je dois aller au bout cest sur.
M : Ah oui ! (Dun air étonné). En fait cela me rassurerait de le faire avec une femme qui à lexpérience, je me sentirai moins tendu. (En parlant de tendu, ma bite ne désenflait pas).
Javais décidé de lui jouer le couplé du jeune homme timide pour la faire craquer.
J : Je peux peut être taider ?
M : je voudrais bien mais je nai pas de préservatif.
J : Jai 52 ans tu sais, plus besoin de ça à mon age.
Un long silence sinstalla, ne sachant pas quoi dire mais pensant bien à comment jallais baiser la mère de ma meilleure amie.
Jocelyne se leva et me tourna le dos pour déposer nos bols dans le lave vaisselle. Jen profitais pour me lever et me placer derrière elle à quelques centimètres de son cul.
Allez je me lance me disais je dans ma tête.
Je lui passai une main le long de ses fesses en la plaquant contre le lave vaisselle.
M : Jai très envie de toi maintenant !
Ma queue toute dure appuyait sur son cul et cherchait un passage pour lenfiler rapidement.
J : Doucement Maxime, viens plutôt sur le canapé on sera mieux.
Je la suivi donc, ma queue me dictant la route à suivre.
Elle enleva son paréo et se trouvait totalement nue devant moi, elle me tenait toujours la main et me la posa sur ses seins.
Ils étaient vraiment gros, je les malaxais avec délicatesse, les embrassais.
Je descendis alors jusqu'à sa fente, recouverte dune légère toison brune qui nétait pas sans charme je dois dire.
Je laissais glisser ma langue le long de sa fente (je lavais déjà fait des dizaines de fois avec sa fille), et vu quelle était déjà bien humide.
M : tu es bien mouillée, je veux te prendre maintenant !
J : attends, prépare moi la chatte, tu sais il faut me faire monter le plaisir. Glisse moi tes doigts !
M : Vu la taille de la queue de ton mari, la mienne passera sans souci ma poule (ma queue est de taille normale 15 cm), viens tasseoir sur mon gland maintenant.
Elle se leva et sexécuta, elle pris ma bite pour la diriger vers son sexe maintenant trempé, son entre jambe brille de mouille.
Elle sempala lentement et se laissa glisser cm par cm sur mon mandrin.
Maintenant elle commence à osciller doucement, hummm cest vraiment bon lui dis-je. Sa chatte était vraiment large, elle devait souvent se faire défoncer car ma queue glissait toute seule à lintérieur de sa vulve.
J : Alors jeune homme, tu vois ce quon sait faire nous les femmes !
Elle ondule du bassin cest trop bon, ma queue est prisonnière de cette chatte brûlante. Elle me faisait grogner de plaisir, alors quelle gémissait à peine, elle se contrôlait (lexpérience sans doute).
M : Pas de doute, tu es une pro du sexe ! Je vais te montrer ce que les jeunes hommes savent faire.
A ces mots je la descendis de ma queue, lallongea sur le canapé, lui remonta les genoux sur mes épaules et lui dis :
« Tu préfère une relation virile à ce que jai vu hier »
Et là je lempalais dun coup sec, ma queue neu aucun mal à trouver le trou, celui-ci était béant.
Jaccélérai le mouvement, sortais mon dard, le renfilais brutalement
là elle gémissait, mes couilles venaient frapper son cul, cétait incroyablement bon.
Seulement, comme tout novice, mon excitation me fis rapidement monter ma sève, je ne voulais pas que cela sarrête, mais mon corps décida pour moi et je lui cracha tout dans la cramouille. Elle se figea et sorti un hummm de plaisir, la sensation du sperme qui gicle sur ces parois vaginales sans doute.
Je sorti ma queue et lui dis un grand merci pour son cours déducation sexuelle, elle me répliqua quelle était disposée à faire des séances de rattrapages mais que javais bien réussi le test dentrée.
En cadeau, elle me donna une capote pour que je puisse aller réveiller sa fille.
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