Rencontre A La Plage
Une journée pas comme les autres.
Jai 23 ans et je vis seul depuis 6 mois, les femmes me manquent beaucoup.
Cest lété, il doit être 13h et je décide daller me promener sur la promenade le long de la plage. Comme toujours, je suis très excité à lidée de faire une rencontre et plus
Malheureusement cela ne mest pas encore arrivé.
Ce jour là donc, les gens sont tous partis déjeuner et la plage est plutôt déserte, la chaleur est écrasante.
Je décide de masseoir un instant sur le muret de la plage pour faire une pause. Ma surprise fut immense, à 10 mètres sur ma gauche, il y avait une femme seule sur sa serviette le long du mur.
Je me suis arrêté au bon endroit car de la promenade je naurai pas pu la voir.
Jai donc commencé à la mater, elle était allongée sur le coté droit, avec la tête vers moi, elle lisait un livre.
Jété totalement caché de sa vue. Elle devait avoir 45 ans, très bronzée, bien proportionné, brune au cheveux cours, en topless SVP !
Ses seins sont mignons, pas très gros, lhuile solaire les rends encore plus attirants. Je voyais une de ses hanches qui me laissait présager de très belles fesses fermes.
Ce jeu a bien duré une demie heure, puis elle se tourna sur le ventre, montrant son cul superbe, je ne métais pas trompé. Sa culotte était rentrée dans ses fesses pour pouvoir bronzer un peu plus, elle était magnifique.
Soudain elle se tourna légèrement et me vit dans son angle de vision. Elle parut surprise mais ne changea pas de position pour autant. Je me faisais très insistant du regard pour quelle comprenne que je la matais.
Elle ne bougea pas pendant de longues minutes, espérant sans doute que je men aille.
Tout à coup elle décida de changer littéralement de position sur sa serviette. Elle était maintenant sur le dos avec sa tête à mon opposé. Javais donc une parfaite vue de son entre jambe, mais elle pouvait désormais me voir.
Elle lisait toujours son livre mais je devinais que sous ses lunettes de soleil elle me regardait.
Elle écarta légèrement les jambes, ce qui me laissait une bonne vue sur sa cramouille.
Maintenant cest elle qui avait linitiative, elle me voyait et se jouait de moi.
Javais tellement envie de descendre, de lui arracher son petit maillot bleu ciel et de lui bouffer la chatte !
De longues minutes passèrent, elle passa doucement sa main sur son sexe comme pour se gratter, cependant, quand elle lenleva, je vis deux auréoles foncées sur sa culotte qui me laissaient croire que les lèvres de sa chatte mouillaient.
Ni une ni deux, je descendis la voir.
M ----Moi
E -----Elle
M : Bonjour, il fait chaud aujourdhui ?
E : Oui cest sur.
M : Vous ne devriez pas rester le long du mur, il fait encore plus chaud ici. Je mappel Max.
E : Enchanté Max moi cest Eve.
M : Comme Adam et Eve ! (Réplique à chier)
E : Si on veut. Pourquoi vous me matez depuis tout à lheure, cela fait au moins une heure ?
M : Je vous trouve vraiment très attirante.
E : Ce nest pas une raison pour dévisager les gens ainsi.
M : Je sais ce nest pas correcte mais regardez, je ne vous ment pas.
Je lui montre ma queue considérablement tendue dans mon short.
E : Vous navez pas honte jeune homme !
M : Honnêtement, vous navez jamais fantasmé sur une partie de jambe en lair avec un jeune homme de 23 ans au sexe fort et dynamique. Avouez que cest excitant, je vous ai vu mouiller tout à lheure vous savez !
E : Non pas du tout, cela est excitant, mais pas pour une femme comme moi !
Je lui met ma main sur sa culotte et commence à lui malaxer la chatte, sa culotte est bien humide.
M : Je savais bien que vous étiez trempée !
E : Quest ce que vous faites, non !
Ma main se faisait insistante, je rentre maintenant ma main sous sa culotte pour toucher ce minou bien rasé.
E : Je suis mariée, et mon mari est dans le camping car de lautre coté de la route !
M : Votre mari nest pas là et votre corps réclame du sexe, laissez vous aller.
Je la touchais, lembrassais, elle était vraiment bandante, imaginer fourrer une femme de 45 ans me donner une énorme érection. Elle laissait échapper des petits gémissements qui me montraient quelle était à moi.
M : Si nous allions chez moi, nous serions tranquille, jhabite à deux pas.
E : Mon mari peut nous voir.
M : Comment est il ?
E : Il a toujours un bob 51 sur la tête
Je passe la tête par-dessus le mur et voit le mari en question occupé à une partie de pétanque sur le parking entre les camping car.
M : Allons y ma belle, il ny a personne. Je peux te tutoyer.
E : Attends je me rhabille quand même.
M : Ne remet pas ton soutif, jaime voir tes seins pointer dans ton haut.
Elle laissa son soutif dans son sac et nous partîmes vers chez moi sans que son mari ne saperçoive de rien.
Elle navait même pas eu le temps de remettre bien sa culotte qui lui faisait un superbe string.
Voyant cela, alors que nous marchions, je passai ma main sur ses fesses pour la caresser un peu.
Ma queue nen pouvait plus je bandais comme un taureau, heureusement nous navons croisés personne.
Ses seins nen finissaient plus de pointer, ce qui me montrait bien son excitation.
Je passai donc ma main dans son short et je tirais de haut en bas sur sa culotte pour la faire frotter sur son anus et sa cramouille.
Son short devenait témoin dun entrejambe trempé.
Enfin nous sommes devant ma porte. Je la fais entrer en me collant derrière elle pour quelle sente ma queue bandée à son maximum.
Je la dirige vers la chambre, la retourne et lui dis :
M : Suce moi maintenant, ma queue est brûlante.
Elle menleva mon short pour sortir mon mandrin.
E : Tu es monté comme un taureau ma parole !!
M : Tinquiètes pas tu vas réussir à lavaler, tes pas la première.
Elle enleva son haut et son short, me poussa sur le lit et entama une pipe avec férocité. Puis se tourna lentement sur le lit pour moffrir sa chatte en 69.
Je lui frotte sa culotte contre sa chatte qui nen finie plus de suinter cette délicieuse et enivrante liqueur dont je navais pas oublié le goût.
Je lui léchais copieusement la chatte pendant quelle me lustrait le dard.
M : viens maintenant, monte sur ma queue, viens tenfiler !
Elle se redressa, se retourna et présenta sa chatte face à mon gland. Ma queue eu du mal à entrer, elle était très serrée du vagin.
M : Putain mais tu baises jamais avec ton mari ?
E : Ce nest quun con, ne parlons pas de lui, fais moi du bien plutôt.
A ces mots, je menfilais dun coup jusqu'à la garde, elle gémissait comme une pucelle à sa première baise.
Je mactivais pour satisfaire mon ôte qui en redemandait toujours plus.
Soudain, ma queue fut éjectée de sa cramouille et un jet de cyprine sorti de son vagin pour se répandre sur ma queue et sur mes draps.
Ma première réaction fut : « ouah la vache »
E : désolé cela marrive parfois
M : Tes une fontaine ma parole, mets toi à quatre pattes je vais devoir te punir !
Elle se mise à quatre pattes sur le lit en se cambrant le cul.
M : Alors tas mouillé mes draps !
Avant quelle eu le temps de répondre, jenfilais ma queue dans sa chatte en levrette en la traitant de salope.
Elle ne faisait que gémir sous mes coups de boutoir, elle se faisait pilonner comme au premier soir.
Javais cette femme de 45 ans au bout de ma queue que je limais à toute vitesse, mes couilles frappaient son clito cétait trop bon.
Cette fois javais atteint le point de non retour, je sorti ma queue de sa chatte, enleva ma capote et lui ai tout balancé sur son cul. Son cul était recouvert de foutre.
Je lessuyais avec sa culotte, comme pour lui laisser un petit souvenir de notre rencontre.
Elle se releva, me traita de cochon, que si son mari sen apercevait elle aurait de gros problèmes.
Elle me demanda pour prendre une douche avant de retourner sur la plage, je lui répondis bien sur en lui montrant la salle de bain.
Elle entra, je reparti à la cuisine nous préparer deux sodas pour nous rafraîchir.
Elle me cria, « ta pas une serviette ! »
« Si attend »
Jallais vers la salle de bain et la vit nue, pliée en deux en train chercher dans le placard du bas. Elle moffrait une vue parfaite sur sa chatte, ses lèvres étaient encore détendues de sêtre faite défoncés.
Ma queue bandait à nouveau.
E : Ah tas pas une serviette stp ?
M : Si attend dans ma chambre.
Je retournai dans ma chambre prendre une serviette, mais aussi pour me mettre une capote, javais encore envie de baiser.
Jentrais dans la salle de bain, elle était sous la douche, jy entrais avec elle.
E : Quest que tu fais ?
M : Je nai pas fini ce que javais commencé !
Je lobligeai à se cambrer pour lui enfiler ma queue, ça y est, je suis en elle.
Elle a les jambes nouées autour de mes hanches et cri tout ce quelle peut, alors je sorti de la douche avec elle au bout de mon mandrin, lallongea sur la descente de bain et lui dit de se mettre à quatre pattes.
Cette femme est une vrai nympho, cest ce quon va voir.
Jouvre le placard, prend du lubrifiant, minonde la queue et son petit trou.
M : Tu vas voir, ça fait si longtemps que je nai pas défoncé un cul, je vais texploser ta rondelle.
E : Non attend, pas lanus je ne lai jamais fait.
A ces mots je poussai lentement lentrée de son petit trou, elle mouille encore à fond.
Je menfonce en elle et commence des va et vient qui la font gémir à nouveau. Son cul est tellement serré que mon sperme monte à toute vitesse, jy vais maintenant comme un tigre en chaleur, je la lime de toute mes forces, elle crie
.Lorsque je ralenti le rythme, cest elle qui vient sempaler jusqu'à la garde de mon sexe.
Je sorti ma queue, enleva ma capote, elle me dit alors :
« Non pas sur moi stp »
Alors jai re-rentré ma queue dun coup sec dans son anus dilaté et lui ai tout lâché dedans.
Quelle excellente sensation !
Lorsque je me suis retiré, un peu de sperme sortait de son cul et coulait le long de sa fente défoncée.
Elle pris sa douche, bu son soda et parti à nouveau en direction de la plage. Je la regardais séloigner au loin, amusé par la marche en canard quelle narrivait visiblement pas à cacher.
Nous ne nous sommes jamais revus, mais ce fut un après midi exceptionnel.
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