Mon Premier Dressage

Bonjour, moi c'est JK. Je travaille depuis quelques mois pour une grande enseigne d'équipements sportifs, en tant que vendeur en charge du rayon musculation et crossfit-training. J'écris sur ce site pour la première fois car j'aimerais connaitre votre avis concernant une histoire de cul qui m'est arrivé récemment avec une collègue, qu'on appellera Z. L'histoire est tellement gênante que je n'ose pas la raconter à mes potes, mais j'ai besoin de me confier à quelqu'un.

Z. est en charge du rayon équitation qui se trouve juste derrière mon rayon. Je ne connaissais pas du tout l'équitation, mais ce que j'ai vite découvert c'est que c'est un sport qui attire tout particulièrement les bombes sexuelles. Il faut aussi savoir que les pantalons d'équitation sont très moulants et leur font un superbe cul. J'ai donc beaucoup de mal à me concentrer au travail, surtout quand j'entends Z. conseiller les clientes:

- Vous cherchez un pantalon pour du saut ou du dressage? Alors, pour les dresseuses, je recommande toujours le fond-peau, ça gaine bien au niveau des fesses. Oui la doublure est plus épaisse, vous sentez? C'est un peu raide mais ça va se détendre à l'usage... C'est une taille haute, ça galbe bien vos formes, vous aimez? Personnellement, je réserve le fond-grip pour les jours où mon cheval est difficile, c'est plus facile de le recadrer quand il fait des écarts. Par contre, le fond-peau est quand même très appréciable au niveau des sensations (rires)... En fait, tout dépend de comment vous montez, des sensations que vous recherchez...

Je fais régulièrement la blague aux collègues que j'aimerais attr Z. par sa queue de cheval pour la chevaucher. Mais récemment les choses ont dérapé d'une manière totalement imprévue. La cliente ce jour-là était un phénomène:

- J'ai une jument difficile avec ces chaleurs en ce moment. En plus elle est très dominante, donc j'ai peur qu'elle ne blesse un étalon qui oserait s'approcher.

Enfin bref, je viens vous voir parce qu'elle va bientôt faire sa première course d'obstacles, et on m'a conseillé de lui mettre un ruban.

- Oui en effet c'est recommandé pour les courses. Pour une jument en chaleur, c'est le ruban rose, que tu lui attaches directement à la queue. Le jour de la course, tiens bien ta jument à l'écart des rubans blancs: ce sont les étalons, donc bien entendus il faut éviter tout rapprochement si tu veux éviter les risques de saillie. Surtout dans ton cas où ta jument est très chaude et nerveuse, il y a un risque qu'elle blesse l'étalon.

Je sens un début d'érection dans mon jogging, et puisque j'ai une énorme bite ça commence à devenir visible et donc très gênant si un client arrive.

- Comment puis-je savoir si ma jument est en chaleur le jour de la course?

- Alors il y plusieurs signes qui peuvent te l'indiquer. Bien sûr, une jument en chaleur se repère plus facilement avec un étalon aux alentours. Elle a un port de la queue plus souple et plus haut que d'habitude. Quand l'étalon arrive, elle se campe et écarte son postérieur. Sa vulve est bien dilatée et peut pulser. Tu peux aussi voir si elle présente ses fesses à l'étalon et relève la queue devant lui. Bien sûr, si elle se laisse monter, ça veut sans doute dire qu'elle a ses chaleurs.

Ma bite est en tension maximale, elle arrive à mi-cuisse sous mon jogging, je pose la main dessus pour me masser discrètement. Je n'en peux plus, j'ai tellement envie d'éclater le cul de Z. quand elle raconte ses histoires de jument en chaleur. Je visualise son petit cul parfait, j'imagine un grain de beauté qui contraste avec la blancheur de son cul. Les mains appuyées sur mes genoux, elle fait aller et venir son petit cul sur mon énorme bite. Sa mouille perle sur ma bite, elle gémit...

- Attendez une seconde, je vais chercher mon collègue, il est grand et fort.

Une seconde plus tard, Z. est dans mon rayon et me fait face. Elle voit que je retire furtivement la main et elle pose immédiatement les yeux sur ma grosse queue bien visible sous mon jogging. Je suis mort de honte. Elle fait comme si elle n'avait rien vu et me demande de venir l'aider pour attr des bottes qui sont trop hautes pour elle. J'y vais complètement honteux et je sens que la cliente, qui est évidemment une bombe aussi, est elle aussi hallucinée de voir la bosse dans mon jogging pendant que je me tends pour attr les bottes. Je retourne vite me cacher dans mon rayon et ma bite a largement débandé, ce qui est normal vu la situation de gêne extrême que je viens de vivre.

Quand la cliente repart, Z. vient me voir. Elle est clairement plus froide que d'habitude, et me donne rendez-vous dans le vestiaire à la fin de la journée pour discuter de "quelque chose". Je la retrouve au vestiaire quand tout le monde est parti, en ne sachant pas trop à quoi m'attendre.

- JK, est-ce que tu avais une érection tout à l'heure quand je suis venu te voir?

J'acquiesce discrètement en regardant mes pieds.

- C'était une situation très gênante, pour moi et pour la cliente. Elle a bien remarqué elle aussi, elle est devenue toute rouge. C'est inadmissible, j'espère que tu t'en rends compte? Est-ce que je peux savoir ce qui t'a mis dans cet état?

- Je suis désolé. Je crois que ça m'a excité de t'entendre parler de cheval. Tu as cette façon d'en parler...

- OK, JK, c'est bien ce qui m'inquiétait. Je vais devoir en parler aux Respos, c'est inacceptable que tu te masturbes en m'écoutant parler aux clientes.

- Non, s'il te plait Z. Je ne me masturbais pas. C'est juste de t'entendre parler, ça me fait de l'effet, je ne contrôle pas.

Elle a l'air furieuse:

- Donc si je comprends bien tu as une érection chaque fois que tu m'entends parler? Là par exemple, je te parle et tu as une érection, c'est ça?

- Non, non, pas maintenant.

- Prouve-le moi. Soit tu me montres maintenant que tu n'es pas un pervers, soit je serais obligé d'en parler aux Respos.

J'ai du mal à comprendre sa logique, mais je commence à me douter que c'est un genre de jeu sexuel. Je baisse donc mon jogging et caleçon sur mes genoux, et je lui présente ma bite qui est en très légère érection.

Elle me mate pendant un moment avec un air absorbé.

- Ah oui effectivement, je commence à voir le problème. C'est sa taille au repos, ça? Viens, approche-toi, je voudrais voir quelque chose.

Elle appuie sur mes épaules lentement pour me mettre à genoux devant elle, et elle plaque sa chatte contre mon visage:

- Sens mon odeur. Tu sens mes effluves à travers le pantalon?

Sans me laisser répondre, elle se retourne et place ma tête entre ses fesses, j'ai le nez collé contre le tissu de son pantalon moulant. Je respire profondément pour essayer de sentir l'odeur de ses fesses. J'essaye instinctivement de la lécher, ce qui humidifie le tissu. Elle s'en aperçoit et elle s'énerve à nouveau:

- Tu salis mon pantalon en plus! Je ne t'ai pas autorisé à baver dessus, qu'est-ce qui t'a pris?

Elle me saisit par la nuque et pousse ma tête assez violemment vers le sol jusqu’à ce que je me retrouve à quatre pattes devant elle. C'est là qu'elle vient se placer derrière moi. Elle observe un moment sans rien dire, elle doit avoir une vue imprenable sur ma raie, mes couilles et ma bite bien raide qui descend presque jusqu'au sol dans cette position. Elle se met ensuite à me masser doucement les couilles. Je suis étonné parce que le contact avec sa main est soyeux. Je me retourne et vois qu'elle a enfilé des gants blancs fins, peut-être pour ne pas se salir. Elle m'att par le menton et me recadre, m'obligeant à fixer le carrelage en face de moi.

- Tu as les fesses très poilues je vois. Tu ne t'épiles jamais? Ca fait un peu sale, ces poils sur tes testicules, tu ne trouves pas? Enfin, il faut avouer, ce n'est pas plus grotesque que ce que tu as entre les jambes. Au fait, ça ne te dérange pas que je commente sur tes fesses pendant que tu es dans cette position? J'imagine que ça peut être humiliant pour un homme d'être à quatre pattes devant une femme. Ce n'est pas une position très virile il faut dire.

Elle pose ensuite une main sur ma bite et se met à me branler lentement vers le sol, tout en continuant son massage des couilles. Elle me parle maintenant d'une voix apaisante:

- Je commence à comprendre pourquoi ça t'excite tant les histoires de cheval, tu es toi-même monté comme un cheval. Et je vois que tes testicules sont bien pleins. Je me demande ce qui te fait bander comme ça: tu n'as pas de honte à te faire traire par une femme? Ce serait quand même mieux si tu étais assez viril pour la baiser, tu ne penses pas?

Au moment où elle dit ça, je gicle sur le sol et je fais une petite flaque de sperme sous ma bite. Elle continue de me branler lentement jusqu'à la dernière goutte. J'ai honte et je n'ose même pas la regarder, donc je reste bêtement dans cette position. Elle se relève, retire ses gants et s'en débarrasse dans la poubelle avec air dégouté.

- Tu t'attendais à autre chose avec moi? Tu pensais peut-être que tu aurais droit à mon cul? Désolée, mais je n'ai aucun désir pour les branleurs dans ton genre. Maintenant, si tu ne veux pas que je porte plainte, tu vas nettoyer tout ça.

Elle me conduit par la nuque jusqu'à la flaque qui est vraiment abondante, et me plonge le nez dessus.

- Ca t'apprendra à te branler en cachette en écoutant les femmes que tu ne mérites pas de baiser.

Le lendemain, mes collègues s'étaient bien aperçus de quelque chose. L'un me demande à la pause:

- Alors, elle a tout avalé?

J'ai fait bonne figure:

- Ecoute, en tout cas, il n'en restait plus une goutte.

Depuis cette histoire, je revois Z. souvent dans le vestiaire après le boulot et elle ne me ménage pas. Elle me fait manger des biscuits pour cheval, a essayé toutes les cravaches du rayon sur mon cul, etc. Je suis devenu totalement accro à me faire traiter comme un étalon par elle. Je n'ai jamais vu ses fesses ou même ses seins, et elle ne me laisse pas la toucher sauf pour me râper le nez contre son pantalon d'équitation. Voilà, j'espère que ça vous aura ouvert des horizons et que si vous rencontrez une cavalière comme Z. vous serez plus prudent que moi!