Comment J'Ai Gagne Mes Galons De Pute (2)
Durant les semaines qui suivirent Rémy sappliqua à me faire comprendre à moi-même quelle était ma véritable nature. Jétais faite pour être traitée comme la dernière des putes, pour vider les couilles des hommes avec tous mes trous, et à commencer par ma bouche (mon « récipient à sperme » comme jaime aujourdhui lappeler
). Cest ce que jai compris petit à petit grâce à Rémy qui, en guise dintroduction à mon éducation, me fit le sucer au moins une fois par jour et, quand cétait possible, jusquà trois ou quatre fois (cest beau la jeunesse !). Cela se produisit fréquemment, car cétait une période où mon mari était souvent absent. Voici comment les choses se déroulèrent.
Le lundi soir, cest-à-dire le lendemain de mon « ptit déj » un peu particulier, Rémy me fixa toute la soirée. Il me jetait des regards appuyés qui en disaient long sur ses intentions à mon égard. Gênée par la présence de son père, je ne pouvais soutenir ses regards, mais jétais tout de même au comble de lexcitation, surtout lorsque je me remémorais ce qui sétait passé la veille. Au bout dune heure, ma culotte nétait plus quune éponge. Après le repas, Rémy est ressorti et jen ai profité pour me jeter sur mon mari. Jai sucé sa bite flasque et au bout de cinq minutes defforts, il a fini par bander. Quand jai senti quil était à point je lai enjambé et il ma limé un très long moment (lâge aussi, ça a du bon!) avant de jouir au fond de ma chatte. Ce fut délicieux et je crois que je navais jamais pris un pied pareil avec Guy ! Il est vrai aussi que pendant tout ce temps, je navais pas cessé une seule seconde dimaginer que cétait Rémy qui me baisait
Je ne le revis que le mercredi soir. Sachant que son père serait absent pour quelques jours, il était présent lorsque je suis rentrée de mon travail. Jai tout de suite eu un mouvement de recul en le voyant assis dans le salon.
-« reviens ici tout de suite! » me lança-t-il, glacial.
Jai obéi et je me suis approchée de lui.
-« à poil! » a-t-il continué sur le même ton.
Inutile de faire des manières, je le savais! Et puis de toute façon, je nen avais pas envie, javais plutôt envie de me laisser guider par ses désirs. Ses ordres mavaient rendue molle, je pressentais que jallais aimer ce quil allait me faire et je mouillais par avance. Jai donc ôté ma jupe et mon chemisier.
-« quelle horreur! » sest-il exclamé.
Susceptible comme je suis, jai aussitôt cru quil parlait de moi, de mon physique! Jai tourné les talons pour men aller, vexée et donc totalement refroidie.
-« les collants
» A-t-il ajouté.
Je me suis arrêtée. Effectivement, je portais sous ma jupe, et par-dessus un petit slip de dentelle blanche, un collant noir de bonne qualité, certes, mais qui me donnait indéniablement un air de bobonne. Rémy me regardait dun il aussi effaré que navré. Jétais sur le point de lui dire que, zut!, les collants, cétait tout de même bien pratique, mais je me suis abstenue, car jai réalisé que, vraisemblablement, là nétait pas la question
Jai alors enlevé mon collant, puis le reste de mes sous-vêtements et je me suis retrouvée face à lui nue et tremblante dinquiétude.
Rémy ma fait asseoir sur un fauteuil à accoudoirs et ma ordonné de passer mes jambes de part et dautre. Jai obéi sans discuter. Il a avancé son siège jusquà mon fauteuil et a commencé à explorer ma chatte qui était béante du fait de ma position. Je me suis détendue et très vite jai tendu mon bassin à la rencontre de ses doigts qui me faisaient tellement de bien. Jai fermé les yeux pour mieux apprécier et je lai entendu me dire calmement:
-« tu vas mécouter très attentivement, Véronique. Comme je te lai dit, ces photos que jai de toi en situation pour le moins délicate, cest pour moi une chance inespérée. Tu nes pas prête de les revoir, je te le garantis. Je compte bien profiter au maximum de ton merveilleux corps et des talents de salope que je devine en toi.
Pendant quil me parlait, il avait accru ses caresses sur ma vulve et je sentais la jouissance monter. Il faut dire que le rôle desclave un peu « spécialisée » quil me proposait mexcitait furieusement: jétais intimement convaincue quil mirait comme un gant! Au plus profond de moi-même, jai senti soudainement maintenant quil me le suggérait que jétais faite pour ça! Avec un enthousiasme non dissimulé de la part de la salope que je voulais devenir rapidement, nous sommes passés aux exercices pratiques. Sur lordre de Rémy, je me suis mise entre ses jambes après mêtre débarrassée de son pantalon et de son caleçon. Le visage à quelques centimètres de sa verge gonflée, Rémy ma obligé à quémander son foutre comme je lavais déjà fait deux jours auparavant lors de mon « ptit déj ». Sous ses indications, jai dû également pour la première fois dabord lui embrasser, puis lui lécher et enfin lui gober longuement et langoureusement ses couilles lourdes avant davoir le droit dengloutir sa queue.
-« suce maintenant, salope » ma-t-il ordonné en guise de conclusion à cette séance initiatique dadoration de ses couilles. Je lai pris dans ma bouche en soupirant et il na pas été très long avant de vider son trop-plein de foutre au fond de ma gorge.
Que vous dire dautre? Il ma gâtée toute la soirée! Jai en effet pu déguster sa jute à trois autres reprises.
Le lendemain, je me fis honte en repensant à tout ce que javais pu dire et faire, en songeant à la servilité joyeuse et empressée dont javais fait preuve pour satisfaire ses caprices. Nempêche que sur le moment, je ne métais jamais sentie aussi heureuse et excitée. Je suis allée me coucher repue.
Dans les jours qui ont suivi, dès quil estimait que je ne mettais pas assez de cur à louvrage pour honorer convenablement ses burnes (ce qui est fort possible, puisque je dois reconnaître que jétais toujours très impatiente de sucer sa bite), Rémy me faisait mallonger sur le sol ou sur le lit et face à moi, il sasseyait sur mon thorax, au-dessus de mes seins.
-« non, je ten prie, reste encore un peu, fais-moi encore lécher tes couilles
».
Je me suis étonnée moi-même davoir formulé cette demande, mais je ne lai pas regretté: il sest montré enchanté et, après mavoir redonné ses bourses à cajoler, il na pas tardé à me remplir la bouche dune quantité impressionnante de jus épais que jai dégluti à petites gorgées. Jai tété les dernières gouttes puis Rémy ma à le remercier. Je me suis exécutée:
-« Merci
» Ai-je murmuré.
Amusé, il ma demandé :
-« Cétait bon? »
Moi, toujours murmurant:
-« Oh, oui, cétait si bon! Tes couilles étaient bien pleines! Mais ce nétait pas assez
»
Ca la fait rire.
-« petite gourmande! Tinquiète pas, je ten donnerai encore du foutre. Voilà ce que jai dailleurs décidé: dorénavant, je ne juterai plus que dans ta petite gueule. Ca te va?
- oui, mon amour, fais-le autant que tu voudras
»
Il a tenu parole. Moi aussi.
En dehors des pipes quotidiennes (que je lui faisais notamment pendant quil dînait: il me faisait passer sous la table afin que je lui tête le gland et javais interdiction de le faire éjaculer sans sa permission. Ca me rendait folle dimpatience mais jappris ainsi à connaître et à maîtriser les signes annonciateurs de son plaisir. « Cest ton devoir de pute » me disait-il, et cela me paraissait effectivement aller de soi
), il ne perdait pas une occasion pour me mettre la main aux fesses ou dans la culotte, au chaud contre ma chatte baveuse quil doigtait avec une négligence appuyée, pour bien me faire sentir mon nouveau statut dobjet sexuel. Le résultat, cest que je mouillais encore plus et que javais limpression que mon vagin souvrait de lui-même comme pour faciliter le passage de ses doigts. Je jouissais rapidement, sa main était recouverte de ma cyprine et je devais la nettoyer consciencieusement avec ma langue.
Il ne se privait pas non plus pour soulever ma jupe les pantalons me furent immédiatement interdits et admirer les bas quil exigeait que je porte en permanence. Au demeurant, les matins où cétait possible, cest lui qui les choisissait après ma douche, au gré de son humeur, et après mavoir fait enfiler deux ou trois paires différentes. Jen avais de toutes sortes et de toutes les couleurs: des noirs bien sûr, mais aussi des blancs, des gris et toutes les nuances du beige au marron. Certains étaient à coutures, dautres non. Par contre je ne possédais pas de bas auto-fixants; seuls les vrais bas nylons qui tiennent avec un porte-jarretelles métaient autorisés. Evidemment, ces essayages matinaux le faisaient bander. Une fois quil avait jeté son dévolu sur une paire, il me faisait venir à quatre pattes entre ses jambes, simplement vêtue des bas choisis pour la journée et dun porte-jarretelles assorti, et je devais le téter jusquà ce quil me balance dans la bouche tout le jus quil avait accumulé au cours de la nuit. Ensuite seulement je pouvais mhabiller pour aller au travail.
Javoue que ces matins-là je me passais de café: jadorais cette sensation en allant travailler de navoir que de la jute dans le ventre, et puis jadorais aussi le goût de son sperme dans ma gorge; le café aurait tout gâché! Je me sentais chienne, truie, indécente au possible et cela enflammait mon imagination comme jamais. Jétais mouillée toute la matinée et mon esprit excité en permanence me provoquait des rêves éveillés. Lorsque je portais un document à mon directeur, je me voyais passer à sa demande sous le bureau pour lui faire une bonne pipe bien humide comme je savais maintenant les faire. Quand je traversais le service informatique majoritairement composé dhommes, et qui était le passage obligé pour entrer et sortir de mon bureau, je me voyais me jeter à genoux au milieu de la pièce et leur hurler que je nétais quune pute qui navait en ce moment que du foutre dans lestomac et qui en voulait encore plus. Quand des hommes se présentaient à mon bureau afin dêtre reçus par mon directeur, je me voyais les implorer de me donner leur bite à sucer. Par ailleurs, les mots obscènes de Rémy me trottaient continuellement dans la tête et participaient à mon état dexcitation permanente. (Quelques temps plus tard, jai avoué toutes ces pensées à Rémy pendant que, allongée sur le lit et mes jambes sur ses épaules, il menculait avec tendresse: je navais pas encore fini de raconter toute mon histoire que jai senti sa grosse queue se contracter contre les parois distendues de mon anus et jai aussitôt reçu dans lintestin une copieuse giclée de foutre qui ma faite me pâmer de bonheur!)
Jétais autorisée à porter une culotte, non par convenance, mais parce que cette pièce de lingerie lexcitait. Par contre, lorsque je passais une journée seule avec lui (cétait trop rare à mon goût), le soutien-gorge métait interdit. Il aimait pouvoir sentir mes seins lourds, pouvoir les soupeser, les caresser et titiller les tétons qui pointaient au travers du tissu de mon chemisier. Il aimait aussi pouvoir les admirer à tout instant simplement en enlevant deux boutons, et pas en sembêtant avec un soutien-gorge, aussi joli soit-il. En réalité, petit à petit ma tenue lorsque nous étions seuls se résumait à un porte-jarretelles, des bas, des talons hauts (très hauts!) et parfois un string en dentelles. Mes seins étaient certes fréquemment sollicités, mais en fait il passait la plupart de son temps à tripoter ma chatte et mon cul et à fourrer plusieurs doigts dans chacun des mes orifices, qui à force étaient à vif. Il trouvait cependant mon vagin en permanence mielleux de ma mouille, contrairement à ce que le chantage dont je faisais lobjet aurait pu laisser croire. Jessayais de ne pas trop montrer le plaisir que javais à être son jouet docile, mais je ne pouvais pas mempêcher quand même dans ces moments-là de tenir mes cuisses bien ouvertes.
Au début de mon apprentissage au métier de pute consentante, toutes ces tenues et ces caresses, toutes ces poses obscènes quil me faisait adopter ne visait quà une seule chose: lexciter pour que je puisse le sucer encore et encore. Jamais au cours de cette période il ne pénétra mes deux autres trous autrement quavec les doigts. Plus je mhabillais et me comportais en salope et plus il me jutait dans la bouche. Ce « contrat » nétait pas pour me déplaire et je redoublais dardeur, notamment dans la lascivité de mes poses!
Parce que cest moi qui le faisait bander, le plaisir que je pris à traire ses couilles dès que loccasion se présentait devint vite immense, et le fait quil ne tente jamais de me prendre par la chatte (par son chantage, il aurait pu!) ne me choquait pas. Au contraire jétais très heureuse de la situation. Dune part, javoue que lépaisseur de sa bite me faisait frémir davance pour mon vagin (quant à envisager une pénétration anale, lidée ne mavait même pas effleurée). Dautre part, jaimais la manière dont il me traitait dans ces moments là: il me répétait sans cesse que je nétais là que pour lui vider les couilles avec ma bouche de pute, quil allait me nourrir exclusivement de foutre tellement jaimais ça, et quantité dautres paroles qui se voulaient avilissantes mais qui faisait baver à ma moule en chaleur des flots de mouille qui sécoulaient le long de mes cuisses. Plus il minsultait et plus je mappliquais à le sucer avec douceur, avalant sa queue au plus profond, la tétant avec gloutonnerie. Pendant que je savourais sa bite, je branlais paresseusement ma chatte trempée et mon clito gonflé de désir, et lorsquil giclait sur ma langue bien tirée ou au fond de ma gorge (en fonction de ses envies), javais presque systématiquement un orgasme. Bref, son foutre devint vite ma boisson favorite et je nen avais jamais assez. Donc, au lieu de perdre inutilement sa semence dans mon vagin, je préférais largement quil en fasse profiter mon estomac affamé!
La présence de son père ne changeait guère les choses. Bien sûr, il navait plus le contrôle sur mes sous-vêtements, mais cela avait peu dimportance, car mon mari aimait également la lingerie fine, les porte-jarretelles et les bas. Cest pour ça dailleurs que jen avais maintenant une si grande collection. Dès que Rémy ma fait part de son souhait de me voir ne porter que des bas, le soir même je me suis habillée de manière très provocante (guêpière et bas noirs) et jai été extrêmement câline avec Guy. Après lavoir laissé me baiser je lai dit que son érection avait été très dure ce soir-là (je mentais) et que cela était peut-être dû à ma tenue. Je lui ai donc suggéré que peut-être je devrais en porter plus souvent. Il mapprouva, ravi et flatté que je veuille lui faire plaisir, et mouvrit un crédit illimité pour lachat de dessous et de bas!
Cependant, même quand mon mari était là, cest surtout Rémy qui profitait de ces coûteuses parures! En bonne salope, je mouille encore lorsque je repense à la manière dont jai abusé de la naïveté de mon pauvre mari! Par exemple, Rémy ne cessait, au risque de se faire surprendre par son père, de relever ma jupe pour mater mon porte-jarretelles et mes bas ou de me toucher la chatte et les seins. Il ne manquait jamais non plus une occasion pour mordonner décarter les cuisses (en fait, cétait chaque fois que Guy avait le dos tourné). Je mexécutais au dixième de seconde, soucieuse quil soit fier de moi, et il se rinçait lil, lorgnant sur mon petit slip et mes jambes ornées de bas jusquà ce que Guy revienne dans la pièce. Cela pouvait se prolonger, et pendant tout ce temps joffrais mon intimité à ses regards vicieux tout en contemplant, fascinée, la bosse qui déformait son pantalon.
Un week-end toutefois, je nai pas pu trouver durant toute la journée du samedi un seul moment de tranquillité pour sucer mon amant. Il pleuvait des trombes deau et Guy en a profité pour bricoler. Du coup, il na pas arrêté de faire des allées et venues dans toute la maison. Dhabitude, il sortait toujours à un moment ou à un autre. Jen profitais toujours! Généralement, Guy navait pas encore franchi le portail avec sa voiture que javais déjà la queue de son fils à lentrée de mon appareil digestif, prête à me régaler de son jus. Mais ce jour là, pas moyen! Jai songé un instant à emmener Rémy avec moi dans les WC, mais jai vite réalisé que ce nétait pas une très bonne idée: en effet, si Rémy savait se montrer discret, pour ma part je savais que, comme à chaque fois, je ne pourrai pas mempêcher de gémir comme une pute en avalant son sperme
Jai également songé à sortir en voiture avec Rémy pour aller le pomper dans un lieu discret, mais sous quel prétexte sortir, avec Rémy de surcroît? Le soir est arrivé sans que je trouve de solution. Je ne sais pas qui des deux était le plus déçu, mais en tout cas, je suis allée me coucher abattue par la frustration. Cela faisait bientôt un mois que javais droit à ma ration quotidienne de foutre, et aujourdhui, je ressentais comme un grand vide, ma journée me semblait gâchée. Je ne pouvais quand même pas me rabattre sur la liqueur de mon mari: il se serait posé des questions après toutes les fois où je lui avais refusé ce plaisir! Pourtant javais envie de sentir du foutre chaud couler le long de ma gorge, de sentir cette saveur un peu âcre et salée sur ma langue. Jai donc décidé dattendre que mon mari ronfle profondément, puis je me suis rendue fébrilement avec une courte nuisette transparente pour seul vêtement dans la chambre de Rémy. Il ne dormait pas, il était en train de regarder la télé, couché sur son lit. Surpris, il ma demandé ce que je faisais ici.
-« mais mon chéri, tu as exigé de moi au moins une fellation par jour, et aujourdhui, tu ne las pas eue! » répondis-je hypocritement (car en fait, ce qui mavait poussé à venir, cétait surtout mon ventre qui gargouillait denvie!).
-« tant pis pour ce soir
Tu verras petite traînée, demain, tu auras droit à une grosse giclée
- Ooooh! Non! Je ten prie! Si tu savais comme ta pute est en manque de foutre! » Avouai-je enfin. « Laisse-moi tessorer les couilles, sil te plaît
Je suis là pour ça, non? Et puis jen ai tellement envie
Je peux? Allez, dis oui
».
Sur les derniers mots, je métais faite douce et câline, je geignais presque. Je délirais complètement et ce délire mavait fait perdre tout amour-propre, toute retenue. Je mabandonnais avec délices à la fonction de vide-couilles que Rémy mavait assignée. Il a rit gaiement:
-« la vilaine petite quémandeuse de jute! Allez, viens téter ton biberon
Je vais te remplir lestomac de foutre, comme tu aimes
»
De peur quil ne change davis, je me suis aussitôt précipitée sur le lit pour avaler sa queue. Mais il ma tout de suite stoppé dans mon élan:
-« eh bien, traînée, on en oublie les bonnes manières? Tu voudrais quand même pas que jen arrive à te priver de mon sperme pour tapprendre à te conduire correctement, jimagine? »
Lidée de cette punition ma fait tressaillir. Avec un empressement servile, jai donc cajolé tendrement ses couilles avec mes lèvres et ma langue, aussi patiemment que mon excitation me le permettait. Rémy a fait durer mon supplice un bon quart dheure, peut-être plus. Javais limpression quon avait fait fondre une motte de beurre dans ma chatte, cétait grandiose!
Quand il ma enfin permis de le prendre dans ma bouche, jétais si heureuse que mes lèvres faisaient ventouse autour de son membre déjà raide dexcitation au moment où je lembouchais. Je soupirais daise en sentant enfin son gland tressauter contre mon palais. La bouche dilatée par le membre volumineux que je suçais bien à fond, jai répandu des litres de salive qui coulaient jusquaux couilles et les rendaient luisantes. Cela faisait des bruits de succion humide qui ajoutaient à mon excitation. Jai sucé sa queue avidement et je ne lai pas faite ressortir du fourreau de ma bouche avant quil ne se soit complètement vidé les couilles dans ma gorge assoiffée. Par la suite, je ne parvenais pas à me résigner à lâcher sa belle bite, jespérais quelle rebande rapidement pour minonder à nouveau la bouche. Cest pour ça que je la gardais au chaud dans la moiteur de mon « récipient à sperme » tout en caressant ma chatte détrempée. Cest lui qui a fini par me faire déglutir sa queue en me tirant par les cheveux. Comme il me lavait appris, je nai pas manqué de le remercier: à genoux devant lui, jai embrassé amoureusement sa bite et ses couilles, je lai regardé droit dans les yeux et je lui ai dit un timide:
-« merci mon amour pour tout ce foutre » en souriant.
Pour la première fois, jai réalisé que jétais sincère! Je me fis honte mais je savais que je ferai tout mon possible dès le lendemain pour lexciter au maximum: je voulais quil me gave encore de sa semence! Je voulais sombrer avec lui dans le vice, je désirais ardemment « gagner mes galons de pute », et je sentais que jétais prête à tout pour ça. En attendant, je suis repartie rejoindre silencieusement mon mari dans la chambre conjugale, la langue encore engluée de sperme.
Lorsque nous nous sommes revus la fois daprès, Rémy ma fait me placer debout à côté du siège où il était assis. Jétais nue, à lexception bien sûr dun serre-taille blanc en dentelles (il avait coûté un fortune à Guy!) et de bas de couleur chair (qui nétaient pas donnés non plus). Rémy ma ordonnée de lui lécher les doigts pour les humecter, puis il les a plongés dans mes deux orifices. Lhumidification était superflue! Ma chatte était déjà abondamment lubrifiée, quant à mon cul, il finissait par devenir très souple à force dêtre toujours pénétré par les doigts de mon amant. Tout en jouant délicatement avec la fine paroi qui séparait mon vagin de mon rectum, Rémy ma dit:
-« tu deviens une bonne pute soumise à ma queue
Une fois que je serai certain que tu es une bonne serpillière à foutre, que tu es la bonniche qui ne pense quà vider les couilles des hommes, je moccuperai de tes deux autres trous
Lorsque je te baiserai, je veux que tu sois devenue la pire des salopes, une suceuse tellement insatiable quelle ferait rougir la dernière des traînées de bas étage
Si tu le mérites, je te prendrais par les deux trous
».
- pourquoi tu dis les deux?
- la bonne blague!! Et ton trou du cul, tu crois quil sert à quoi?
- tu veux dire que
- absolument! Je mettrai aussi ma bite dans ton cul. Tu ne tes jamais faite enculer? Tu vas adorer, jen suis sûr
».
Lavenir montrerait quil avait raison mais à ce moment, jai été prise de panique. Parlait-il sérieusement? Je nétais déjà pas très rassurée pour ma chatte, alors mon cul, jen avais mal rien que dy penser! Mais je me suis vite rendue compte que cette panique était inutile, parce que javais déjà la certitude que mon pucelage anal, cest à lui et à personne dautre que je voulais loffrir. Jétais sûre de lui présenter mon cul à linstant même où il me le demanderait. Du coup, lesprit vide, jai admis:
-« oh oui, Rémy! Je suis à toi! Tu peux faire de moi tout ce que tu veux, tu sais
Jai vraiment hâte que tu menfiles par tous les trous
- chaque chose en son temps! Il te reste quelques épreuves à passer avant que je puisse être certain de ta parfaite docilité buccale
Il va falloir que tu me promettes dêtre bien obéissante
».
Jai promis puis je me suis agenouillée pour sucer le sexe vénéré de celui qui était définitivement mon maître pervers (et je navais encore rien vu!). Pendant quelques jours, nous avons continué nos jeux. Je le suçais tous les soirs, avant que son père ne rentre du travail, ainsi que toutes les autres fois où cela était possible. La veille du fameux soir qui ma entraîné dans la débauche la plus complète, Rémy ma lâché, pendant que je nettoyais avec ma langue les traces de sa troisième éjaculation de la soirée:
-« Aaah! Putain de salope! Tu massèches tellement bien les burnes que je ne vais pas pouvoir tenir ce rythme encore très longtemps. Mes noix doivent sûrement ressembler à des raisins secs, à force! Il va falloir que je trouve un collaborateur pour me relayer
»
A cette évocation, jai senti ma chatte se liquéfier! Mais jétais loin de mimaginer ce qui mattendait
Vos commentaires et suggestions sont toujours les bienvenus !
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