Le Chantier
Cétait un jour comme un autre, un jour de travail en plein mois de juillet où la chaleur du soleil était étouffante. Je devais me rendre sur un chantier afin de faire une visite des ouvriers et récolter leurs plaintes et, une fois de plus, mon patron a préféré envoyer une femme pour adoucir tous ces hommes.
Javais décidé de montrer à ces machos de quoi une jeune architecte était capable. Je me suis donc vêtue de mon tailleur le plus strict et sexy que javais. Cependant, vu la chaleur, je navais pas mis de sous-vêtements ainsi ma jupe légèrement fendue sur le côté et ma blouse blanche légèrement transparente moulait à la perfection mes formes.
Après un petit débriefing de mon boss, je pris les devants et alla sur le chantier en question. A peine arrivée sur les lieux, jeu la merveilleuse surprise de constater que toutes les ouvriers étaient à torse nu et que leur corps perlaient de sueur. Cette vue commença à mémoustiller
Jallai vers un jeune automaticien pour lui demander où était le contre-maître. Je remarqua que malgré son jeune âge, cet employé avait prit le temps de scrupuleusement me dévisager de la tête aux pieds avant de me répondre : « Il doit être dans le hall du bâtiment pour se refroidir un peu, Mzelle »
Etant choquée de ce manque de respect, je lui répondis avec un ton très sec « Ce nest pas comme ça quon parle à une architecte. Je ne suis pas une ouvrière mais la personne qui peut vous licencier sur le champs »
Avec un regard coupable et une voix tremblante, ce jeune insolant me demanda si je voulais quil me montre où était le hall
Il me fit passer devant lui et mindiqua le chemin
Je sentais son regard sur mes fesses et compris à son soupir quil avait remarqué que je nai rien sous mes vêtements. Une fois sur place, quelle ne fût pas ma surprise de constater que, dune part, le contre-maître nétait pas là mais que, dautre part, je me retrouvais dans une pièce sans issue pour seul décor des murs de miroirs
Le jeune homme se dirigea vers moi en me fixant de telle façon que je savais exactement ce quil désirait.
Arrivé à ma hauteur, il me coinça contre un miroir et me chuchota à loreille « Qui maintenant à tous les droits ? » Il avait raison dans cette situation je ne pouvais plus rien dire, il me restait juste quà succomber à ses attentes et à mes plaisirs
Je le vis désormais comme un homme
Il déchira ma blouse et marracha mon soutient-gorge
Je me trouvais donc là devant lui les seins à lair nattendant plus quune chose ; quil me prenne sur le champ
Puis il remonta ma jupe et commença à me caresser la chatte
Sans trop attendre et ne souhaitant que moccuper de lui, je magenouilla et le suça fermement
Jenroula ma langue autour de son gland et, à chaque va et vient de sa bite dans ma bouche, je lui faisais découvrir les plaisirs dun piercing à la langue. Après de longue minutes dune bonne pipe très excitant, sa queue bien raide était finie prête à me pistonner la moule.
Cest donc avec force et dureté quil me leva et me pénétra
Etant plaquée contre le mur du fond, je ne pouvais bouger et navais la vue que sur les miroirs nous entourant
Je pouvais voir avec précision son corps se mouvoir, la vue sur ses coups de reins et ses fesses me faisait encore plus mexciter
Afin quil puisse aussi profiter du décor, il me coucha sur un plastique à même le sol et continua à me pénétrer en missionnaire tout en regardant mes réactions dans les glaces
Ce spectacle lui donnait encore plus lenvi de men faire baver
Il me retourna et me mit en levrette et dun coup, dun seul, menfonça son pilon dans le cul
Je jouissais de plaisir et me demandais comment savait-il que jadorais quon me démolisse la rondelle.
En levant la tête de plaisir, je vis que le contre-maître nous observait
Il était dans lentrée dans la nuit du couloir entrain de se branler
Louvrier linvita à nous rejoindre afin de procéder à une double pénétration
Se fût certes avec plaisir que le contre-maître se coucha et me fit grimper sur lui afin que je vienne mempaler sur sa bite
Ne pouvant me contenir jeffectuais de rapides et intenses coups de bassin afin que je sente avec tous les détails sa queue senfoncer dans mon vagin
Louvrier me voyant prendre mon pied, se mit derrière moi et magrippa les hanches
Ne my attendant pas, il fit entrer violemment son dard dans mon cul et commença à me limer fortement
Puis il me prit fermement par les seins et, sentant la jouissance arriver, accéléra les mouvements
Le contre-maître nen pouvait plus de ce spectacle et jouit en moi
Louvrier à son tour vida ses couilles sur mes fesses
Comme si de rien ne sétait passé, les deux hommes allèrent vaguer à leur affaire et moi, de mon côté, je repartis au bureau sans plaintes à transmettre à mon boss
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!