Jocelyne 9


La dernière fois, je vous ai dit que ma nouvelle vie de femme mariée allait débuter et que j'allais vous en raconter quelques épisodes croustillants….
Dès le lendemain je mis mes résolutions à exécution. Monsieur Guy état maintenant MON homme. J'allais tout mettre en œuvre pour le satisfaire. D'abord les tenues. Pour l'extérieur : look salope obligé…. Je m'étais bien faite aux œillades que me lançaient les hommes lorsque nous sortions. J'y répondais par des moues sensuelles et provocantes d'allumeuse. Je m'était bien faite aux regards de haine des autres femmes qui ne voyaient en moi qu'une pute. J'y répondais par de charmants sourires tout en pensant à chaque fois "tu peux me regarder comme cela, pauvre cloche, moi au moins je m'assume, je baise et je suis heureuse". Pour l'intérieur : nuisettes ou déshabillés arachnéens, guêpières, bas avec ou sans porte-jarretelles nue aussi et le plus souvent sur des talons aiguilles étaient mon lot habituel chez nous et un peu aussi dans le jardin. Au beaux jours, j'y allais furtivement étendre le linge nue comme un ver sachant très bien que le fils des voisins était là à mater. Charmant jeune qui venait tondre notre pelouse, le fils de Pierre et. En guise de remerciement (en plus de la pièces), j'eus quelques bontés pour lui. Il est vrai que j'en eus également pour son père… et sa mère…. En fait toute la famille mais je n'en dirais pas plus Bénédicte m'ayant fait promettre le silence (j'arriverais peut être un jour à la décider de rompre le silence). Guy adorait me voir déambuler ainsi vacant aux occupations habituelles avec souvent un objet enfoncé dans le sexe ou dans l'anus.
Tout ce qui pouvait y rentrer (sans blesser) l'amusait…et m'excitait. Il adorait me "farcir" aux concombres ou aux courgettes. Il affectionnait aussi me voir pondre un œuf. Je m'explique : pour cela je faisais durcir un œuf que je laissait refroidir. Après l'avoir écalé je me l'introduisais dans le vagin.

Dès lors, accroupie, je n'avais plus qu'à pousser pour le faire sortir et le laisser choir dans une assiette disposée sous moi. S'en suivant alors la dégustation que nous partagions parfois. De temps à autre il me le faisait garder plusieurs heures pour qu'il "s'imbibe" bien et me faisait resti à l'apéritif… accroupie sur la table de salon et… devant ses amis. D'ailleurs nous avions changé de table de salon pour une plus robuste qui non contente de me supporter, pouvait supporter le poids de trois personne savourant un sandwich à la Jocelyne. Peut-être allez vous trouver cela un peu dégradant, mais je crois que j'aimais bien cela, être dégradée, surtout s'il y avait du monde. Et du monde il y en avait quand même relativement pas mal. Monsieur Guy avait assez de relations. En plus du familier Bertrand, de l'occasionnel Fred, nous recevions d'autres de ces amis et lorsque s'adressant à eu il proposait :"vous allez bien pendre un petit quelque chose", dans la majorité des cas il ne s'agissait pas d'un rafraîchissement. En fait il s'agissait de ma petite personne et je fis ainsi le tour des queues de ses amis. Sans compter que nos relations intimes s'étaient considérablement améliorées. De ce coté là aussi je le rééduquais. Je lui devais bien cela lui qui avait fait de moi une boulimique du sexe.
Trèves de bavardage, je vous ai dit que j'allais vous raconter quelques aventures sortant un peu de l'ordinaire. Par où commencer…. Oui, tient !
Aux beaux jours, je ne voulais pas que Guy se cantonne à la maison comme un reclus. Il m'accompagnait donc dans les magasins. De temps à autre nous allions parfois prendre le soleil dans un jardin public, cela nous changeait de notre terrasse…. Un jour, Guy lisait un livre et moi je feuilletais distraitement un magazine. J'entendis mon mari me murmurer :
"Ne fait semblant de rien ! Ne bouges pas ! Ouvre un peu les jambes, tu es entrain de te faire mater !"
J'obéis et desserrais un tout petit peu les jambes. Tout en faisant semblant de lire, j'observais.
Sur le banc en face de nous étaient assis deux hommes, du genre retraités. Effectivement il semblait qu'ils avaient les yeux fixés sur moi. Guy me pria de m'ouvrir encore un peu. Je renâclais un peu, je ne me sentais pas vocation à allumer des petits vieux. Je préférais nettement les petits jeunes pleins de sève et de foutre. Bon, enfin ! … bonne fille j'obéis. Nous restâmes un moment puis nous quittâmes le parc. Le lendemain avec un air de ne pas y toucher, Guy demanda que nous retournions au jardin public. Vous parlez si je ne le voyais venir…. Nous nous installâmes sur le même banc que la veille (moi évidemment toujours aussi court vêtue et sans dessous bien sûr). Il ne nous fallut pas attendre longtemps. Les deux mêmes personnes s'assirent, elles aussi au même endroit. Guy me commanda de recommencer mon petit manège. Cette fois les voyeurs se montrèrent moins discret allant même jusqu'à se baisse pour mieux se trouver da,s l'axe de mes jambes je j'ouvris un peu plus que la veille. Nous y retournâmes le surlendemain. Là ce ne fut plus deux mais trois hommes que s'assirent en face de moi. Le spectacle devait être plaisant puisqu'ils avaient demandé à un copain de venir. Je ne crois pas qu'ils furent déçus et cette fois Guy voulut que non seulement, j'ouvre vraiment les cuisses, mais aussi que je déboutonne mon chemisier. Trois jours plus tard nous repartîmes pour notre petite exhibition. Je dois dire que cela m'amusait et que j'y prenais goût. Il faut bien dire aussi que dès que nous revenions du parc nous baisions comme des fous. Donc cette fois, ils étaient déjà arrivés. Mais pas trois, quatre…. Je faisais augmenter la fréquentation du parc par mes admirateurs…. En passant devant eux ils nous saluèrent d'un air entendu et nous répondîmes sur le même ton. Avant de s'asseoir sur NOTRE banc, Monsieur Guy me demanda de faire semblant de ramasser quelque chose par terre et de bien prendre mon temps pour me relever. Cette fois nos "amis" eurent un beau plan de mes fesses nues.
Toujours aussi pervers, Guy me demanda outre le fait d'écarter franchement les jambes et d'en faire admirer la fourche, de croiser et décroiser haut les cuisses dans le plus pur style "basic instinct" et possible en me passant le langue sur la lèvre supérieure. Nettement je vis qu'ils s'étreignaient le pantalon à hauteur du membre…. Le surlendemain Guy se montra guilleret et voulu à nouveau retourner au parc. Cette fois il voulut que je mette une jupe très courte et un petit haut à bretelle. En fait je n'étais couverte que du haut des cuisses au trois quarts des seins. "Mon public" était présent… et je dus m'asseoir jupe relevée, cul nu sur le banc. Ce fut mon cochon de mari qui en releva le devant. Inquiète je n'arrêtais pas de vérifier si d'autres personnes pouvaient me voir. Heureusement il n'en était rien. Au bout d'un moment Guy me dit :
"Écoutes moi bien ! Je vais aller m'asseoir avec eux. Quand je serais là-bas, je veux que tu baisses les bretelles de ton top et que tu te mettes les seins à l'air. Ensuite tu ouvriras les cuisses en grand et tu te caresseras la fente ! Compris !"
Bien sûr j'avais compris. Là c'était l'exhib totale !.... me caresser dans un jardin public, décidément on aurait tout vu. Je le vis s'éloigner et s'approcher d'eux. Je crois qu'ils eurent un mouvement instinctif de recul, mais cela s'arrangea vite. Et il se mit à discuter avec eux. Je devais être le centre de la discussion car ils n'arrêtaient pas de se tourner vers moi. Je fis donc comme Guy le souhaitait. Je fis glisser une bretelle, puis l'autre. Tirant discrètement sur le tissu, je le fis descendre sous mes seins gonflés. Je ne pus m'empêcher d'en frôler les bouts qui ne demandèrent pas mieux que de raidir. Je passais ensuite à la dernière partie du programme en écartant franchement les cuisses et en passant ma main le long de mes grandes lèvres. Je vis Monsieur Guy revenir vers moi au bout d'un moment. Qu'allait-il encore me demander ? je le sus rapidement.
"Je leur ai dit que tu avais envie de te faire baiser par des vieux saligauds.
ment ils sont d'accord ! Nous allons allez chez l'un d'eux qui habite pas très loin. Ils s'occuperont de toi à leur guise."
Je protestais, je n'étais pas vraiment d'accord… puis je cédais à mon maître… comme de coutume ! Il ajouta :
"Ah ! Je leur ai dit aussi que tu aimais sucer… et que ton petit cul valait le détour"
Il leur fit signe. Ils s'approchèrent, l'un deux me les présenta (je dois die que je fis pas très attention à leur prénom). Ils me dirent bonjour en me reluquant. Comme je l'avais estimé ils avaient dépassé l'âge de la retraite. Je leur donnais entre soixante cinq et soixante dix ans. Effectivement l'un d'eux n'habitait pas très loin. L'un d'eux s'offrit à pousse le fauteuil de Guy. En contre partie, il me demanda de marché devant eux, ce que je fis en accentuant les balancements de ma croupe bien entendu. Arrivés chez le type; il y eu un moment de gêne. Personne ne prenait d'initiative. Ce fut Guy qui attaqua :
"Ma chérie, si tu te foutais à poil pour faire voir à tes nouveau amis comment tu es faite !"
Je n'avais pas grand-chose à enlever. Top et minijupe furent vite ôtés sous leurs yeux écarquillés. L'un d'eux remarqua :
"Bon sang !... il y a bien longtemps qu'on pas vu une si belle gonzesse à poil !"
Disons que le "compliment" m'alla droit au cœur. Guy les encouragea :
"Allez-y vous pouvez toucher, elle n'attend que ça !"
Là c'était carrément exagéré ! Le plus hardi s'approcha et posa la main sur un de mes seins en s'extasiant de son volume. Cette hardiesse fut communicative, des mains me caressèrent… parfois osseuses…. Ils aimaient bien palper, cela se voyait ou du moins se sentait. Je fus copieusement pétrie. Guy encore une fois fit accélérer les choses.
"Vous ne voulez pas vous faire faire une pipe ?"
L'un d'eux, volontaire ouvrit son pantalon. Diable !... ce n'était pas Bertrand… loin s'en fallait ! Je m'emparais quand même du petit engin et je j'engloutis. Il râla. Comme je m'étais penchée, deux doigts en profitèrent lâchement pour s'introduire dans mon vagin. Guy en rajouta un peu :
"Allez-y, n'ayez pas peur… touchez lui aussi le cul"
Un doigt mouillé vint s'y loger. Leur timidité s'envolait et je les entendis dire :
"Quelle pute ! Tu avais raison on peut out lui faire !"
Somme toute, on en revint à de choses plus convenues et répondant à l'invective "à genoux salope !" je me mis en situation de faire face à ces messieurs. Enfin… face à ce qu'il allait extirper de leur pantalon. Ils bandaient certes … mais mou. J'allais devoir mettre du coeur à l'ouvrage. J'en voulus un peu à mon mari. Si la situation devait l'amuser, il n'en était de même pour moi, enfin pas trop. Les hommes qui étaient devant moi n'étaient pas des apollons. Bedonnants, les chairs un peu molles ils ne me donnaient que relativement envie. Pourtant je me mis à leur faire une pipe à chacun. Bonne fille j'y mis de la bonne volonté, mais pas une science poussée. L'un d'eux éjacula vite, d'ailleurs sans avoir une érection démesurée. Les trois autres paraissaient plus vigoureux. L'un d'entre eux voulu me prendre. Ils me firent asseoir sur un canapé, en position semi allongé. Il se mit en entre mes jambes écartées et me pénétra. Il soufflait comme un bœuf en me prenant, trop concentré sur ce qu'il faisait pour s'apercevoir le manque de réaction qu'il m'occasionnait. Les autres pendant ce temps regardaient… bêtement. Pourtant j'étais un fusil à plusieurs coups…. Il jouit assez vite… pas moi ! Un autre prit immédiatement sa place. Ce fut un peu mieux mais pas top et pendant ce temps là, le dernier avait un peu présumé de son endurance. A force de se toucher, il finit…dans son mouchoir. Monsieur Guy ayant remarqué mon peu d'attrait manifesta l'intention de quitter ses messieurs. Ils insistèrent pour nous faire rester. L'un d'entre eux voulait me sodomiser avant notre départ. Après m'avoir consulté du regard, il décida de rester un peu. Je dus me remettre au travail buccal après qu'ils nous eurent offert à boire. Mais voilà, le hic c'est que j'avais du mal à leur donner la raideur nécessaire, surtout pour force mon petit trou. Cela les agaça.
"Tu n'est même pas capable de me faire bander, pétasse !"
Retirant la chipolata flasque de ma bouche je rétorquais un peu de mauvaise humeur :
"D'habitude, avec des hommes digne de ce nom je n'ai pas de problème !"
Je n'aurais pas du dire cela, les choses prirent une autre tournure.
"Non, mais vous entendez comme elle nous parle la pute !"
Un des type passa derrière moi et me claqua violement le derrière.
"Aïe !... vous êtes fous ! Vous me faites mal"
L'autre me prenant par les cheveux me recolla son sexe dans la bouche. Je le sentais ce raidir. Il s'exclama :
"Tu as raison ! On va la dérouiller ! Ça va nous faire triquer !"
Guy n'eus pas le temps de protester. Deux des hommes poussèrent son fauteuil contre le mur et le coincèrent avec de volumineux fauteuils. Malgré la force qu'il avait développé dans ses bras, cela n'était pas suffisant et il dut renoncer à bouger les lourds meubles. L'homme me tenait toujours par les cheveux, sa bite enfoncée dans la bouche. Derrière moi l'autre avait terminé sa fessée. Du coin de l'œil, je vis les deux autres revenir vers moi. L'un d'eux s'arrêta près d'un tas de vêtement et prendre quelque chose. Avec terreur je constatais qu'il avait pris une ceinture et qu'il la tenait d'une main, les deux extrémités réunies. Le premier coup s'abatti sur mes reins. J'entendis Guy protester et demander qu'il arrête. J'entendis aussi les autres glousser, se moquant éperdument de la demande. Celui qui était dans ma bouche me dit :
"Si jamais tu me mord, je t'arrache le bout des seins !"
Dans l'incertitude, il me fallait subir la correction à venir en restant maître de mes réflexes. Je reçu une petite dizaine de coups de ceinture avant que des doigts osseux ne me desserrent l'anus. Me maltraiter les faisait suffisamment bander pour qu'ils m'enculent. En ronchonnant, l'un d'eux parvint tout de même à s'introduire dans mon boyau et à s'y agiter farouchement. L'autre devant me baisait la bouche. Quand aux deux autre, c'était sévices et compagnie. Les claques recommençaient à pleuvoir de temps en temps et le reste du temps leurs doigts crochus s'enfonçaient dans la chair de mes seins. Ils me les pinçaient assez cruellement et je ne vous dis pas comme ils m'en tordaient les tétons…. Parfois l'un d'eux me prenait par les oreilles pour me propulser sur la pine de celui qui me violait la bouche et qui finit par y cracher sa semence. Vite je fus redirigée vers un autre pour sucer à nouveau. Mon enculeur termina aussi, plutôt platement d'ailleurs. Le dernier se nicha à son tour entre mes reins. Ce fut plus calme. Ils cessèrent leurs brutalités et ce fut presque bon… presque bon mais très rapide… trop rapide.
Inutile de vous dire que notre départ fut rapide et glacial devant ces hommes un peu penaud de leurs agissements. A la réflexion je crois qu'ils s'étaient laisser emporter. Quoiqu'il en soit mes fesses me chauffaient …. J'étais fâchée et Guy sincèrement désolé. Il me présenta toutes les excuses de la terre. Pour la bonne règle, je boudais et fis la gueule. La moralité de cette aventure est que se jeter dans le libertinage sans discernement peut laisser des souvenirs cuisants.
Une autre moralité est que se jeter dans le libertinage avec discernement peut laisser des souvenirs mémorables. Ce fut grâce à Fred. Il faisait partie d'un groupe, un genre de club de libertins. De temps à autres ils se réunissaient pour r de femmes accortes. Je dis r, car une des particularité de ces gens étaient qu'ils adoraient se partager les participantes à plusieurs et s'en repaître. Il raconta que certaines "habituée" avec été invitées pour des gang-bang jusqu'à douze ou quinze mâles. Je n'avais testé la même chose qu'avec "seulement" huit hommes et j'avais eu du mal à m'en remettre, alors quinze…. Il précisa que normalement ces soirées étaient un peu plus calmes, mais que de toutes façon les femmes devaient être capables de faire plusieurs choses à la fois. Tout comme moi, ajouta-t-il. Parfois il y avait plusieurs femmes. Dans ce cas des elles devaient sacrifier à Sapho, histoire d'exciter ceux qui allaient user de leurs orifices à nouveau. Guy avait l'air intéressé. Fred en profita pour lui demander de me faire mettre nue, puis qu'il m'ordonne de venir le sucer. Je me retrouvais donc vite à ses pieds cependant qu'il continuait à nous expliquer le fonctionnement de ces soirées. L'âge des participantes importait peu. Apparemment il appréciaient autant les jeunes tendrons que les femmes plus mures avec peut être une préférence pour cette dernière catégorie, comme plus rompues à ces exercices immoraux malgré le nombre d'éléments mâles qui leur était inconnu au départ. Dans la plupart des cas les femmes présentes n'étaient rien de moins que les filles, les femmes ou les maîtresses des membres du club. La subtile et lubrique cerise du gâteau étaient que les pères, époux ou amants de celles qui officiaient ces soirs là, n'était présent. En fait il s'agissait d'offrir sans restriction sa compagne à des amis en étant persuadé que ceux-ci allaient leur faire endurer les plaisirs les plus pervers. Hilare, il ajouta que contrairement à ce que l'on pouvait penser, le fait que sa propre fille, femme ou compagne puisse, comme en représailles, subir à son tour les caprices libidineux des autres, n'était en rien un frein à la débauche effrénée de certains. Il nous informa qu'il avait parlé de moi à l'instigateur de ces parties fines, le mettant au courant de l'infirmité de Guy l'empêchant de participer pleinement à ce genre de soirée. Le dénommé Charles s'en était remis au jugement de Fred me concernant. Si j'en valais la peine (il dit : "si j'en valais le coup"), ils pourraient faire une exception à leur règles à savoir qu'il trouveraient "un dédommagement sexuel" pour Guy et qu'un de ses amis pourrait malgré tout prendre sa place dans leur soirée. Fred avait immédiatement pensé à Bertrand… ben voyons !
Monsieur Guy demanda deux choses d'abord si Annick était l'une de ses participantes et ensuite (nous venions d'être échaudés) s'il ni avait pas de soirée sado-maso. Fred nous répondit :
"Non, non il ne s'agit pas de soirée sado-maso. Le seul truc, c'est que si une femme refuse quelque chose, elle est punie … en matière de cul, je ne vois pas ce qui pourrait faire peur à Jocelyne ! Pour répondre à ton autre question, bien sûr, Annick est une habituée… vous la connaissez ! Elle adore…. Par contre elle en revient souvent épuisée…."
Je vis que mon mari était très attentif. D'attentif il passa à intéressé et… d'intéressé à convaincu. Fred qui venait de se répandre sur ma langue nous dit :
"De toute façon, Jocelyne peut passer une soirée test. Elle verra si cela lui convient et puis les autres aussi verront de quoi elle est capable ! Si vous voulez j'en parle à Charles."
Monsieur Guy me consulta du regard. Fred était in fieffé cochon, ça oui ! Les autres ne devaient pas être également des poètes romantiques. Bertrand était bien un porc, mais baisait tellement bien ! Et puis le fait qu'Annick y participe me rassura. Je donnais un assentiment muet à Guy. L'affaire était entendue.
Une huitaine plus tard le facteur sonna apportant un colis. Un carton disait :
"Jocelyne, rendez-vous libre samedi soir prochain.
Vous trouverez ci joint que quoi vous vêtir.
Un chauffeur passera vous chercher à dix neuf heures.
Soyez belle !
Charles"
J'en eu des frissons. De quoi me vêtir, voyons voir…. Le colis contenait une superbe robe longue noire, une paire d'escarpins vernis noir vertigineux, une paire de dim-up noirs à couture et une paire de longs gants noirs également. Je fus un rassurée. Il n'y avait rien de sordide dans tout cela. Le samedi suivant à dix huit heures trente j'étais prête. Bien coiffée, bien maquillée, Guy avait fait son inspection et m'avais renvoyé me souligner davantage les yeux. Je passais les bas, les chaussures et les gants qui me montaient à mi bras (genre Gilda). Monsieur Guy vérifia qu'aucun petit poil ne venait détonner. Il en profita pour constater que je commençais légèrement à m'humidifier. Il constata également que je n'étais pas trop fripée ni contractée. Il me renouvela son souhait que je ne lui fasse pas honte face à mes partenaires. Je l'assurais de faire de mon mieux lui rappelant que je ne l'avais jamais déçue. Je pus donc mette ma robe. Belle robe, en vérité… pour ceux qui aiment les décolletés ravageurs. On voyait une partie de mes aréoles…. Je dois dire que j'étais belle ! Mon époux trouva aussi avec un air de regret. Je me promis de me vêtir comme cela rien que pour lui. Peut avant dix neuf heures j'entendis une voiture stopper. A dix neuf heures pile on sonna j'allais ouvrir. Un homme, casquette à la main me salua avec déférence :
"Madame, je suis votre chauffeur !"
Il me tendit une cape de velours que je mis sur mes épaules nues. Je dis au revoir à Guy qui ne pu s'empêcher de me souhaiter "bonne soirée".
Le conducteur m'ouvrit la portière arrière et je m'installais. L'homme me demanda de lui redonner ma cape. Il faisait assez chaud à l'intérieur. En échange, il me tendis un masque comme ceux du carnaval de Venise, et me dit de le mettre. Je fus étonnée, il n'y avait pas d'ouverture pour les yeux. A ma question il répondit :
"Il n'est pas nécessaire que vous connaissiez l'endroit ou vous allez être emmenée !"
Il mit le contact et démarra. Quelque seconde après il stoppa. Je lui en demandais la raison. Je n'aurais pas du.
"Madame, puisque vous me posez cette question, sachez que je ne repartirais que quand vous serez assise correctement."
Comme je lui demandais en haussant un peu le ton ce qu'il voulais dire. Il me répondit d'un ton cinglant :
"Ecoutez Madame, il ne faut pas me la faire ! Je sais pertinemment bien que je vous emmène vous faire tirer comme une pute. Alors ne prenez pas ces grands airs. Assise correctement cela veut dire la robe remontée, les fesses nues sur la banquette et les unisses écartées. Et puis tiens après tout ! Tu me plais toi ! Tu vas devoir compter sur moi pour le retour ! Alors baisse tes bretelles, ce soir c'est nibard à l'air ! Et toute la ville va les admirer… compte sur moi pour passer dans les zones bien éclairées ! Et puis maintenant tu la fermes !
Je m'empressai d'obéir ayant peur d'une punition. Avec le masque on ne pouvait me reconnaître, je me tins coite. La voiture roula, s'arrêtant à des feux puis plus d'arrêts. Où pouvais-je bien aller ? Plus tard la voiture quitta la route pour, je le supposais une chemin de terre ou peut être gravillonné. La voiture stoppa. J'entendis :
"Remets ta robe, tu es arrivée !"
Toujours muette j'obtempérais. Il me prit par le bras pour me guider. Une porte s'ouvrit, il la referma, quelques pas bruit de porte re-fermeture.
"Retire ton masque"
Nous nous trouvions devant un escalier qui s'enfonçait sous terre. Il me fit signe, silencieusement de descendre les marches; derrière moi, il referma la porte à clef. Cette fois, à la merci de l'individu, je me sentais non seulement angoissée mais aussi étrangement chaude. D'abord, la promenade en voiture, masquée et dénudée, puis tout au long du chemin me dire que j'allais être emmenée dans un lieu inconnu, sans repaire, pour assouvir des inconnus dont je ne savais même pas le nombre tout cela m'avais bien humidifiée. Mais maintenant juste avant d'y passer j'avais un peu peur. Arrivé en bas de l'escalier, je me trouvais devant une nouvelle porte fermée. L'homme passa devant moi m'examina d'un œil gourmand et égrillard, puis selon un code préétabli frappa trois fois rapprochées, puis deux espacées, puis à nouveau trois rapprochées. J'entendis un bruit de verrous. J'entendis jouer la fermeture et la porte s'ouvrir silencieusement sur un assez bel homme d'environ quarantaine ans an. Il me fit signe de rentrer dans la pièce et referma à clé la porte derrière nous.
Quatre autres personnes toutes d'âges mûrs se trouvaient dans une pièce assez vaste où se trouvait un buffet visiblement prévu autant pour les rafraîchissements et la restauration. Le reste de la salle voûtée était meublé de tables de salon robustes, banquettes, canapés et larges poufs.
"Entrez Jocelyne ! Approchez…. Je suis Charles et vous êtes ici chez moi. Ha ! Qu'il n'y ait pas d'ambiguïté ! Vous savez pourquoi vous êtes ici ?"
D'une voix que je jugeais peu assurée, je balbutiais :
"Oui, enfin je crois…"
"Soyez plus précise !"
"Je suis là pour vous plaire et satisfaire vos désirs…"
"TOUS nos désirs !... vous allez devoir satisfaire TOUS nos désirs ma belle! Je suppose que vous ne souhaitez pas encourir de punition ?"
"Nnnnn… non, non !"
Un des hommes adoptant brusquement le tutoiement m'interpella :
"Qu'est ce que tu attends pour ôter ta robe ?
Je lui dédiais un sourire charmeur et répondis :
"J'attendais que vous me le demandiez"
D'un signe de tête qu'il fit, je sus que c'était fait. Je tirais une bretelle à la limite de mon épaule gauche et fit la même chose côté droit. J'allais me montrer aguicheuse espérant sans trop y croire qu'ils se montreraient moins exigeants après. Les deux bretelles ne demandaient pas mieux que de glisser le long de mes bras. Pour ce faire je fis osciller ma lourde poitrine qui fit bouger le tissu exactement comme je l'espérais. Chute des bretelles que je ne fis rien pour stopper, puis glissement lent de ma robe qui dévoila tour à tour mes seins, mon ventre, mon pubis glabre et enfin mes jambes. Il ne me restait plus que mes bas et mes gants. J'étais prête à l'emploi…. Les mimiques de ravissement qu'ils firent me prouvèrent qu'ils appréciaient ce qu'ils avaient devant les yeux. Mes gros seins retenaient toute leur attention. Ils se gonflèrent encore…. Charles rompit le silence :
"Je suis heureux de constater que Fred ne nous a pas menti ! Si c'est pareil pour le reste, nous allons tous passer un excellent moment !"
Il s'approcha de moi et posa la main sur mes fesses, comme pour en apprécier le velouté. Un des hommes vint soupeser un des seins. Un autre caressa mon pubis du revers de la main. Un des hommes me demanda :
"Vous avez fait un bon trajet ? Jeff n'a pas été trop despotique?
Je le rassurais. Il me fallut quand même donner des précisions sur mon voyage…
"Et… ça t'as fait mouiller ?"
J'eus à peine le temps de répondre que celui qui me caressait le pubis glissa un doigt entre mes grandes lèvres, histoire de se faire une idée par lui-même, libérant ma liqueur. Il renseigna tout le monde sur mon état. Du coup un des deux qui était resté un peu en retrait s'empara de mon sein libre et commença à en agacer la pointe avec le pouce.
Ils m'apprirent que Jeff, le chauffeur avait un droit de cuissage absolu sur les "victimes" qu'il convoyait. Au trajet "aller" il pouvait forcer ses passagères à s'exhiber ou se masturber et au trajet "retour" il pouvait exercer le droit accordé sans restriction. Ils me firent remarquer que de toute façon cette soirée allait être celle de mon initiation à mon asservissement à leurs envies vicieuses et qu'ils jouiraient de tous mes orifices. Comme pour me le démontrer, leurs caresses se firent plus appuyées. La main qui avait quitté mes fesses de puis un instant pour se consacrer à leur sillon se fixa en un point bien précis. Un doigt éprouva la résistance de ma rondelle. Résistance toute relative, puisqu'une phalange s'y inséra facilement. Charles commenta :
"Ah mes amis ! Elle à un petit cul comme nous les aimons !... souple, facile à pénétrer mais en même temps bien serré… nous allons nous régaler et toi ma belle tu vas être à la fête !"
En prononçant ces paroles ce fut tout son majeur qui disparut dans mon fondement. Les cinq hommes avaient le souffle plus court et s'excitaient de plus en plus. Mes fesses étaient pétries, j'eus vite deux doigts dans la craquette et deux dans l'anus, mes seins étaient malaxés quand ils n'étaient pas sucés ou léchés. Je me laissais aller aux mains de ses dépravés qui au surplus n'échangeaient avec moi que de grosses cochonneries. Le genre de propos ou d'affirmations auxquels on ne peut répondre que de façon positive. Des questions du style : si j'aimais la baise, si j'aimais la bite, ma positions préférée, si j'aimais qu'on me triture les nichons, si j'allais bien tout avaler leur jus, si je pensais avoir le trou de balle assez solide pour qu'il m'encule tous les cinq à la suite , etc.… La question finale fut :
"T'en as envie maintenant hein roulure !"
Incontestablement j'en avais envie et aussi envie de découvrir ce qui ce cachait dans les pantalons de ses messieurs. Ma réponse fut :
"Oh oui j'ai envie ! Voulez vous que je vous suce ?"
Je fis l'unanimité. Les doigts qui me fouillaient libérèrent mes orifices et les mains me relâchèrent. Elles furent remplacées par d'autres qui me pesèrent sur les épaules, m'enjoignant silencieusement de mettre au bon niveau pour passer à l'action. Je me laissais tomber à genoux et ouvrit le premier pantalon qui se trouvait devant mes yeux. J'en extirpais un beau membre sur lequel, je me jetais comme une affamée. Autour de moi les autres pantalons s'ouvraient et disparaissaient n'offrant à ma vue que de belles bites surmontant des paires de couilles que j'espérais bien pleines. En fait je m'aperçus que toutes ses queues étaient d'une taille d'une bonne moyenne… très bonne moyenne. Comme l'avait dit je ne savais plus qui, effectivement, j'allais être à la fête. Le cercle se forma autour de moi. Je passais vite d'une pine à l'autre, suçant, léchant, gobant pompant tout ce qui se présentait sous mes yeux, bites et couilles. En permanence, j'en avais une dans la bouche et une dans chaque main, puis j'inversais à leur grande satisfaction. Puis je fus obligée d'en prendre deux en même temps entre mes lèvres. Je l'avais déjà fais. Le plus difficile fut d'absorber trois glands réunis. Là ce fut une première. Derrière moi un homme me prit par les cheveux à deus mains pour m'immobiliser la tête. J'avais deux sexes sur lesquels je m'activais quand un autre glissa sur ma joue. Les deux autres se réunirent pour lui laisser un peu de place et ce dernier membre força un peu la commissure de mes lèvres. Il me fallu ouvrir en grand la bouche pour pouvoir toutes les recevoir. Je fus congratulée. Enfin le genre de congratulations que l'on a l'habitude d'entendre dans ces cas là.
"On a de la chance ! On est encore tombés sur une sacrée salope !"
Ils avaient l'air de savoir de quoi ils parlaient…. Je me sentais dans un état pas possible, ma chatte n'était que lave brûlante. J'étais à point et réclamais d'être baisée. Il me relevèrent et m'entraînèrent vers une petite banquette sans dossier qui ne mesurait environ qu'un mètre. Il la décolèrent du mur et me placèrent dessus en levrette bien au bord et les cuisses écartées autant que le permettait le siège. Une fraction de seconde je perçus le frottement d'un gland sur ma vulve et la pénétration me coupa le souffle. L'homme c'était enfilé d'une seule poussée ! Il me prit classiquement par les hanches pour me baiser à grands coups de pieu. Je compris pourquoi ils avaient décollés la banquette du mur… pour mieux m'entourer ! J'avais le visage entouré de queues qui sollicitaient ma bouche. Son usage leurs fut offert. Ils virent à tour de rôle se faire sucer. Comme j'étais obligée de prendre appuis sur mes mains, je ne pouvais m'en servir pour accompagner mes fellations. Du coup, il me prenaient souvent par les cheveux ou m'appuyaient sur la nuque pour m'imposer leur cadence de succion favorite. Pendant que je faisais des pipes les autres n'étaient pas inactifs. Mes gros lolos semblaient leurs jouets préférés et leurs doigts venaient assez souvent chatouiller mon clitoris. Celui qui m'enfilait se retira. Manifestement pas égoïste il laissa sa place à un de ses comparses qui se mit à me pilonner à toute vitesse. L'homme me tendit sa queue toute luisante de sécrétion pour que je goûte ma propre mouille et le manège reprit…. J'en avais toujours un (ou deux) en bouche pendant qu'un autre me baisait. Ils changeaient de place sans arrêt, me laissant à peine le temps de m'habi. Le premier à atteindre ses limites éjacula en grognant dans mon sexe me faisant don de sa semence. Et à un de moins la sarabande reprit de plus belle avec une légère variance. Ils se servirent de foutre de leur compère pour m'en oindre l'anus qui devint un de leur centre d'intérêt. J'y vis comme un prélude a des choses plus hard. Le deuxième, lui choisit ma bouche pour s'épandre et je fus contrainte de la garder en bouche jusqu'à son ultime soubresaut. ment je ne pus tout avaler d'un coup et il m'en coula sur le menton. Cela sembla les réjouir m'humiliant un peu plus, mais cela faisait partie du jeu ! Restée "entre les mains" des trois dernier, ce fut mon tour de jouir. Ils me libérèrent la bouche pour que je puisse m'extérioriser dans l'orgasme. Cela leur plut et le manège recommença. Au final deux se servirent de ma bouche et un de ma chatte. Avec galanterie, ils m'offrirent à boire, me complimentant de ma prestation. En parlant de prestation, la leur avait été à la hauteur ! Je discernais même des frémissements annonciateurs de proches érections. En plus de savoir bien s'en servir, ils étaient de plus très virils…. La suite du programme me fut clairement énoncée :
"Le devant, c'était pas mal du tout ! On va voir le derrière !"
Mon derrière… je m'y attendais…. Je fus renversée sur la banquette, cette fois sur le dos. On me releva les jambes très haut. Charles fit usage des ses prérogatives d'organisateur pour être le premier à m forcer le cul. Il s'installa pendant que mes jambes étaient encore remontées et que l'on m'écartait les fesses sans ménagement. Les doigts qui avaient fait leur travail d'élargissement permirent que Charles me prenne analement de face sans trop de mal. Il le fit résolument sans arrêts intermédiaires. Il ne stoppa que quand il m'eut enculé bien à fond à sa grande satisfaction (et la mienne donc !) qu'il exprima par un laconique "Quel cul !". Il se mit en mouvement délicatement au tout début puis d'une façon beaucoup plus soutenue ensuite. Les autres lui demandèrent me pousser un peu vers l'avant de façon à ce que ma tête soit un peu renversée en arrière et que de cette façon mes lèvres puissent de nouveau accueillir des queues bandées. Pour faire bonne mesure mes mains reçurent chacune une fière pine à manipuler. Charles qui avait testé la douceur de mon conduit annelé se retira brusquement. Avant que je ne comprenne bien ce qui se passait un autre avait prit la place toute chaude. La tournante allait reprendre… coté pile cette fois. Mon petit trou allait être à la fête ! J'avais raison leur mouvement tournant reprit virilement, très virilement. Sortant de mes entrailles, les pines se promenaient sur mon visage jusqu'à ce que je les embouche ou que je lèche des couilles velues. Parfois on me prenait une main pour me la poser sur l'entrecuisse. J'entendais dans ces moments là d'impérieux "branles-toi salope!". Quand les coups de boutoirs se faisaient trop énergique, j'avais tendance à glisser un peu de la banquette. Pour éviter que je ne dégringole, et que je n'interrompe ainsi la posture, les hommes, sardoniques, me retenaient… par les seins. Ils me prirent pendant un temps qui me parut interminable inter changeant les rôles. J'eus deux orgasmes avant que trois d'entre eux ne me tapissent le boyau de leur foutre gras. Deux se lâchèrent sur ma langue. Après cette débauche de lubricité, nous fîmes une petite pause, rafraîchissements et collation obligent. Puis petit à petit je fus à nouveau caressée par un des convives, puis par deux, puis par tous. Ma bouche passait sans arrêt de l'une à l'autre, des mains me tripotaient de partout. De mon coté, je saisissais tout ce qui pouvais passer à ma portée. En fin de compte je me retrouvais encore une fois à genoux avec mes cinq partenaires qui m'entouraient. Cette fois ils ne m'avaient pas disposée ainsi pour une tournée générale de fellations. Non, cette fois une autre tâché m'était dévolue. Le premier, Charles, comme d'habitude, se tourna, me présentant ses fesses. En fait je dus tour à tour leur lécher consciencieusement la raie des fesses en n'oubliant pas, bien entendu, de faire pénétrer ma langue dans leur anus. J'avais le droit (et le devoir) pendant que j'obéissais servilement de les branler pour parfaire leurs érections. J'avoue avoir assez aimé cette séquence… de femme-esclave séquestrée et n'ayant pas le choix de me soustraire aux demandes les plus viles (sauf évidemment si j'avais voulu courir le risque d'une punitions mais…non…). Pour "m'achever" et une fois qu'ils furent en état de tenir leurs promesses, je fus prise une fois en sandwich par Charles et un autres et une ultime fois par les trois autres collectivement. Je jouis deux fois la première et une fois la seconde. Fourbue j'eus ensuite la possibilité de prendre une douche pour me remettre de mes… émotions. A l'issue de celle-ci, Charles se faisant le porte-parole de l'assemblée me signifia que j'avais passé leur test avec succès et que j'étais admise "dans le cercle des salopes". Il me prévint qu'il ne manquerait pas de faire appel à Monsieur Guy lorsqu'ils auraient besoins de moi. Comme je cherchais ma robe des yeux, il m'informa que celle-ci était détenue par mon chauffeur d'un soir et qu'elle ne me serait rendue qu'après qu'il eut exercé ces prérogatives. C'est vrai, j'avais oublié… le droit de cuissage ! Il m'attendait la robe sur bras mais ne me la rendit pas tout de suite. Je dus me rabaisser encore une fois devant cet individu et remonter l'escalier, nue devant lui qui devait avoir les yeux rivés sur mes fesses. Arrivée en haut de l'escalier, il exigea "simplement" une pipe me précisant qu'une autre fois il m'enculerais en pleine forêt (pour l'anecdote, il le fit). Il me reconduisit en suite à mon domicile. Le lendemain j'avais mal partout. Je dus quand même narrer mes exploits à mon mari, qui voyant mon état, ne fut pas sexuellement exigeant. Le lendemain également, il reçu un coup de fil de Charles qui loua ma prestation. Guy fut très content de sa petite femme… qu'il y renvoya quelques fois pour des soirées orgiaques. Il lui téléphonait pour me retenir, le jour même, je recevais mon costume pour la soirée, le même chauffeur venait me chercher à l'heure dite et hop ! Les thèmes vestimentaires variaient, c'était le coté ludique de la chose, puisque les vêtements… les invitées ne les portaient pas longtemps. Pourtant, un soir, je fis une jolie nonne… et une autre une jolie institutrice ce qui les inspira. Cette fois-ci je battis mon record en ayant neuf hommes à contenter… plusieurs fois (rien ne me fut épargné malgré le nombre). Il y eu aussi des soirées mixte. Je veux dire avec deux ou maximum trois femmes pour s'occuper de groupes de participants. Dans ces occasions puisque nous partions les hommes, il n'était que justice que les femmes produisent un petit spectacle saphique, histoire d'exciter les mâles et leur permettre de nous fourrer de plus belle. Dans ces occasions j'eus l'occasion d'y côtoyer Annick, Marie-Agnès et faire connaissance d'autres femmes.
Parmi celles-ci une des plus insatiable était Nathalie. Ce fut lors d'une soirée "pute". Le chauffeur vint me chercher et vêtue (si l'on peut dire) d'une très minijupe, boléro ouvert, bas résilles, chaussures à semelles compensées avec talons aiguilles et outrageusement maquillée (en fait pas très différente de mon foyer…) me conduisit au château. Il s'arrêta deux ou trois fois en chemin pour me faire demander la direction, histoire que les passants se rincent l'œil.
Quand j'entrais dans la pièce réservée à ces partouzes la séance avait déjà commencé et une femme était agenouillée masturbant et suant des hommes impatients. Elle était roux-auburn avec des yeux verts et de gros seins (elle aussi). Je fus mise à genoux à coté d'elle et ainsi les participants eurent deux putes dans la bouches des quelles ils pouvaient venir se faire sucer tout à loisir.
Histoire de faire connaissance nous fumes rapidement invitée à nous rouler des pelles et procéder ainsi à nos premiers échanges buccaux de foutre sinon de salive. Mmmmm elle embrassait bien ! Je ne vais pas vous raconter en détails toute cette soirée de débauche. Sachez qu'entre les pénétrations l'une de nous devait faire le nettoyage lingual de l'autre quelque soit l'orifice souillé et que nous eûmes l'occasions d'un beau soixante neuf qui fit bander tous le monde. A un moment donné, je me trouvais sur une petite table roulante, allongée sur le dos, la tête renversée entrain de sucer une énième bite et deux autres dans les mains. L'homme qui venait de m'enculer arrivait juste de se retirer quand je sentis la langue de ma consoeur venir faire son ménage. Sa langue remonta le long de ma fente et vint s'enrouler autour de mon clitoris dressé. Malgré le pal qui m'obstruait le gosier je gémis d'aise. Ses lèvres aspirèrent mon petit bouton et elle glissa deux doigts en moi. il avait déjà bien servi et elle n'eut pas (mais vraiment pas) de soucis pour en mettre un troisième et un quatrième. Bizarrement, je pris conscience que quelque chose se passait. Les hommes inactifs s'étaient rapprochés. J'entendis un "vas-y pousse". A qui s'adressait-il ? Je discernais que Nathalie avait mis ses doigts en cône dans ma chatte et avait passé son pouce au centre. Cette salope allait tout bonnement me fister. Toujours paillonnée, je tentais de serrer les jambes qui furent immobilisées en position gynécologique par des comparses dévoués. De lents mouvements de pivots permirent tout doucement à la partie la plus large de sa main de rentrer le reste… suivit jusqu'au poignet. L'autre s'était retiré de ma bouche et je murmurais des "Non… nonn" peut-être pas très convaincants. L'impression était dingue, je me trouvais écartelée. Jamais je n'avais ressentit une telle pénétration, bien qu'ayant été prise en double vaginale. Non là, c'était différent, plus absolu, plus total, plus infernal ! Quand la garce referma lentement son poing se fut du délire ! Je hurlais ! Tous les porcs qui assistaient à ce show lui demandèrent de m'astiquer en dépit de mes protestations. Tout en me suçant le bouton elle s'y employa… activement, tellement elle y était invitée et encouragée. Ma jouissance fut terrible complètement arquée je criais, criais et brisée je perdis, je crois, connaissance quelque fractions de seconde. Avec douceur elle se retira, vint poser un doux baiser sur mes lèvres et tout le monde me laissa dolente sur ma table pour que je reprenne mes esprits. Ce fut une grande première pour moi, mais pas une dernière. Marie-Agnès ne s'y prenait pas mal non plus, même de l'autre côté… (j'eus même l'occasion de lui rendre la pareille… si cela peut vous intéresser, je pourrais vous raconter comment j'ai fait sa connaissance). Pour en revenir à Nathalie, au cours de la même soirée les hommes, par jeu, la saisirent et lui enfoncèrent une bouteille de vin dans le rectum. Ils parvinrent à lui mettre assez loin et la vision était dantesque. Son anus rouge étiré au maximum autour de cette bouteille était fascinant. Elle aussi cria. Pourtant il parait qu'elle en avait l'habitude. Charles et ses amis lui faisaient presque à chaque fois… à elle aussi….
La première fois que j'y eus droit, avec beaucoup de préparation et beaucoup de soin, ce fut mon cher mari qui m'y obligea.
Je n'avais qu'à pas lui raconter les exploits des autres…. Il me mit sur les rangs du championnat… d'introduction de bouteille…. Ce ne fut pas moi qui gagna….

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