Le Salon
Elle avait pris soin delle cet après midi là. Etant seule à la maison, elle avait décidé de se consacrer le plus de temps possible. Elle avait commencé par sépiler, jambes et maillot, apportant un soin particulier à se dernier quelle voulait très échancré, sétait fait couler un bain moussant et parfumé et se glissant dans leau chaude avait entrepris de parcourir le nouveau catalogue de lingerie reçu le midi même. Elle se prenait à rêver à porter telle ou telle parure, de balconnet en guêpières, de bas en porte jarretelles ou de body en string
Elle dû sorti de sa torpeur quand la fraîcheur de leau se fit omniprésente
un peu de crème de corps, un peu de parfum suave et épicé, un léger maquillage, elle savourait chaque secondes, chaque minutes, écoutant le silence qui venait su jardin.
Anna sortit de la salle de bain, vêtue seulement de son peignoir rouge à bords noirs quelle avait noué avec un savant négligé. Elle lâcha ses cheveux pourpres et épais, qui tombèrent en cascade sur ses épaules
Il faisait bon dans la maison. Le printemps montrait doucement le bout de son nez, et lhumeur dAnna était au assez joyeuse.
Elle se fit un café léger, pris ses cigarettes et alla sinstaller sur le grand canapé rouge du salon. Elle alluma machinalement la télévision, zappa quelques chaînes, et nayant rien trouvé daccrocheur ou dintéressant, elle opta pour mettre plutôt un cd de musique
.Elle appréciait au plus haut point se plaisir dêtre seule et libre de son temps, débrancha le téléphone et alluma une cigarette. La seule envie qui lui venait à présent était de sallonger lascivement sur le canapé et de profiter de cet instant si rare
Le bain, le soin, le silence, lavait détendu, libéré de tout stress. Elle saisit le magazine, quelle avait ramené de la salle de bain, posé à coté delle, et replongea dans les pages de dentelles avec un plaisir non feint
Elle regarda aussi, avec amusement, les pages de fin du catalogue.
Elle laissa glisser le magazine au sol, et senfonça plus profondément dans les cousins épais. Dans ce mouvement sensuel et lent, son peignoir remonta légèrement sur ses cuisses et dévoila son pubis fraîchement épilé
Pour plus de confort, elle posa une jambe sur le dossier du canapé abolissant dun coup le rempart de tissus
Les yeux clos, elle laissa sa main se glisser sous létoffe et effleurer un sein, en apprécia le galbe, la douceur et le grain de la peau. Elle fut surprise de redécouvrir la sensibilité de sa poitrine généreuse. Ce sein lourd et si doux, qui était resté si longtemps, sourd à bien des caresses. Heureuse et étonnée, elle joua quelque temps avec sont mamelon qui durcit sous ses doigts. Son autre main rejoignit la première, son décolleté souvrit largement, faisant surgir les globes tendu pas le ce nouveau désir. Elle passait ses mains par-dessus, par-dessous, jouait avec les pointes qui durcissaient encore. Une douce chaleur lui envahie le ventre, elle sentait sa vulve sengorger de plaisir. Ses doigts frivoles et fous, passèrent sur son ventre, lentement, puis descendirent doucement vers cette grotte ardente, vers se puit délicieux qui attendait déjà. Elle rencontra dabord le doux des grandes lèvres, juste après le pubis, ou subsistait encore un léger triangle de poils, frissonna de bonheur, sarrêta quelques temps, tant tout était sensible. Au tout premier contact dun doigt sur ses petites lèvres, sa chatte souvrit comme un fruit mur au soleil. Son nectar abondant avait trempé son sexe, et déjà quelques picotements lui montaient dans les reins. Ses phalanges glissaient sur lonctuosité de ce feu ruisselant. Cest sans difficulté quelle découvrit son clitoris, petit bouton brûlant sorti à la rencontre des doigts impertinents.
Elle se leva dun coup, prise par linsatiable soif de déclancher lorgasme, se dirigea vers la cuisine, jusquau réfrigérateur. Elle ouvrit en tremblant le bac à légume et choisi calmement un concombre de belle taille. Vu le froid du légume, et la sensation désagréable quil pouvait occasionner, elle le passa sous leau chaude. Ceci fait, et muni dun préservatif, elle opta pour un modèle à petits picots, elle retourna sallonger sur le divan douillet.
Anna repris ses caresses, dabord avec les doigts, se contact sur ses lèvres navait rien perdu de son intensité
Elle fouilla encore ses chairs humides et chaudes, puis calmement, plaça le condom sur le légume droit. Comme sur une bite, elle le déroula en prenant tout son temps
Elle frotta alors doucement le concombre sur lensemble de sa vulve, savourant à lavance le plaisir quelle allait en retirer. Ses hanches ondulaient, ses cuisses souvraient et son foutre coulait à lui mouiller les fesses. Elle osa enfin présenter ce gode improvisé à lentrée de sa grotte. Doucement, millimètre par millimètres, elle le poussait à lintérieur, le ressortait un peu, et le rentrait encore
Elle se sentait ouverte, pleine et comblé. Elle le fit glisser dun geste alors plus large reproduisant presque le vas et vient dun homme.
Elle sentendit crier, le feu pris dans ses tempes et lexplosion finale lui envahi le corps par de longs soubresauts
Sa tête remuait en tout sens, de sa bouche grande ouverte séchappaient de rauques gémissements. Elle sétait cambrée, tendue, arc-boutée, une main comprimait son clitoris ardent, et lautre sagrippait à cette pseudo-bite qui arrachait des larmes de jouissance assouvie
Elle retomba doucement, épuisé par lorgasme, incontrôlé, violent, quelle venait davoir, resta quelques instants immobile
Les vagues séloignaient, elle repris ses esprits... Elle regarda le gode dun sourire amusé. Cétait la première fois quelle avait détourné un objet de sa tâche. Elle enleva la capote et partie le jeter
Elle revint au salon encore dans ses songes, repris le magazine qui gisait sur le tapis épais
« Allo
Oui, bonjour Mademoiselle, se serait pour une commande
»
M
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