Fantasme Devenu Realite
Je mappelle Béatrice et jai 35 ans, je suis mariée. Je suis brune cheveux coupé au carré et je mesure 165cm et pèse 60kg. Jai un tour de poitrine à en faire rêver plus dun (95D). Je suis secrétaire et travail avec mon mari qui lui est avocat. Cela fait environ dix ans que je travaille là. Mais depuis larrivée dun nouvel avocat, je dois dire que je suis toute chamboulée. En effet Patrice (nous lappellerons comme ça) et un beau jeun homme à peine diplômé, il a 26 ans, mesure environ 180cm pour environ 75 kg, brun aux yeux bleu et à travers sa chemise on peut aisément deviné une plastique parfaite et des pectoraux saillant.
La semaine dernière, mon mari était contraint de se rendre dans le Nord de la France pour une affaire dhéritage quil devait régler au plus vite. Mon mari massura quil nen aurait pour pas plus de quatre jours. Le soir de son départ, je métais vêtue dun ensemble tailleur et jupe noir cintrée qui mettait mes formes en valeur ainsi que dun chemisier blanc quasi transparent qui laissait entrevoir mon soutient gorge noir sexy. Je portais également des basses résilles noires et des talons hauts. Durant toute la journée, les collègues de mon mari me regardaient dun air excité surtout Patrice, qui lui me regardait avec insistance. Donc ce soir là alors que tout le monde était partis, nous étions toujours au bureau (nous faisons la fermeture) je massurais de le satisfaire une dernière fois, avant son départ, donc je me rendis dans son bureau et ferma la porte à clef derrière moi. Je massurai que les rideaux étaient tirés afin que lon puisse pas nous observer. Lui me tourné le dos, il était face au mur en train de téléphoner et ne sétait pas aperçu de mon entrée. Je me déshabillais, et était vêtu dun ensemble string soutient gorge noir ainsi que prote jar telle et talon haut. Je me rendis auprès de mon mari et massis les jambes écartées sur le meuble qui lui faisait face. A voir son visage, il était tout à fait excité.
Le train de mon mari était à 21h ce soir là, je décidais de laccompagnais jusquà la gare et quand il monta dans le train je lembrassais fougueusement et lui mit discrètement mon string dans sa poche en lui chuchotant : « Pense à moi ».
Les au revoirs terminés, je repris la voiture et rentra chez moi pour prendre un bon bain chaud. Une heure après mon arrivée, jentendis quelquun frappait à la porte, ce qui était bizarre étant donné lheure (environ 22h30). Je décidai daller ouvrir avec prudence et demanda à travers la porte :
- « Qui est ce ? »
Une voix masculine répondit :
- « Béatrice, cest Patrice le collègue de votre mari. Je peux entrer pour lui déposer quelques papiers »
Jenfilais vite fais un peignoir rose et des mules à talons rose. Puis jouvris la porte.
- « Bonsoir, vous voulez entrer ? Où avez-vous eu mon adresse ? » Demandais-je
- « Oh, cest Nicolas (un autre associé de mon mari) qui me la donné. »
Bien que je lui tourné le dos, je sentais qui me dévisageait et quil me scrutais dans les moindres détailles.
Je lui proposais donc de boire un verre en ma compagnie. Et en masseyant je fis en sorte que ma robe de nuit laisser entrevoir mes cuisses et la naissance de mon intimité. Je le senti tout dabord gêner essayant de cacher son intimité qui était visiblement distendu. Pour le décontracter je décidais de me pencher en avant, de mettre ma main sur sa cuisse et de lui demander le vrai sujet de sa visite. Son visage était proche du mien, il inclina la tête et moffrit un baiser tendre et chaleureux que je lui rendis.
Je fis alors glisser ma main le long de sa cuisse pour atteindre son sexe quon sentait dur même au travers du pantalon. Je déboutonna son pantalon et défaisais la fermeture éclair et mis ma main dans son boxer pour prendre son sexe bien dur, et pus gros que celui de mon mari, je continuais à lembrassais tout en le masturbant. Lui avais défait ma robe de nuit et avait glissé ses mains sur mes seins fermes et alla jusquà mon mont de Vénus qui était déjà trempé et excité. Il me titilla le clitoris. Je me décollais de lui et le regardait fixement. Je descendais lentement pour prendre sa queue en bouche et lui faire une fellation quil naurait pas oublier de sitôt. Pendant que je le suçais je sentais sa respiration saccélérait et il se déshabilla pour se retrouver comme le jour de sa naissance.
Après quelques minutes je le pris par la main et le conduisais jusquà mon lit où je mallongea les jambes écartées et lui devant moi me regarda attentivement. Puis il se mit à genoux et me lécha mon intimité toute trempée de cyprine quil avala goulûment. Je gémissais ce qui avait lair de lexciter. Je sentais quil pénétrait des doigts dans mon intimité en faisant des vas et vient ce qui nétait pas pour me déplaire. Après quelques instants, il se mit sur moi sans me pénétrer me regarda fixement et me donna un baiser tendre puis avec sa main droite il positionna sa verge à lentrée de mon vagin, tout en titillant mon bouton. Il me fixa et me dit : « tu vas crier comme jamais ton mari ne ta fait crier !!! ».
Je lui dit jallais prendre une douche et que lui pouvais faire ce quil voulais. Jétais à peine dans ma douche que je sentis une présence derrière moi cétait Patrice qui me dit alors : « Je veux te prendre par derrière ». Pour me préparer il me mit un doigt puis deux et une fois mon anus bien dilaté il me prit ce qui me fit hurler de plaisir. Patrice est resté tout le week end où mon mari est parti et depuis je ne pense quà lui et ne rêve que dune chose cest réitérer cette expérience.
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