Amenia I
Cadre dans une grande entreprise, javais de par mes fonctions droit à une secrétaire particulière à mon service. Sans être une
véritable pin up, son visage était plutôt ordinaire, mais son corps dun peu plus de vingt ans avait une certaine sensualité, en
particulier ses seins qui avaient à chaque fois le don de me mettre dans tous mes états. Malheureusement, il était dommage
quelle shabille de jean et de sweat-shirt, sa féminité sen trouvait masquée. Plutôt du genre timide, nos relations nétaient que
purement professionnelles, encore que je la surprenais parfois à me regarder avec des yeux plutôt pétillants. Je dois dire quelle
mattirait, dabord par son corps et mais plus particulièrement par sa timidité.
A lépoque javais déjà une petite amie, Nat, avec qui javais eu au départ des rapports tout à fait normaux, puis que jai amené petit
à petit à lobéissance, jusquà ce quelle soit prête à signer un contrat de soumise à mon égard. Jai voulu faire dune pierre deux
coups, faire signer le contrat à Nat, et tester Aménia, ma secrétaire.
Javais convoqué Nat à mon bureau et appelé Aménia pour quelle me tape ce contrat.
-Mademoiselle Aménia, vous allez prendre note du contrat que je vais vous dicter.
Jai commencé alors à énoncer tous les devoirs que Nat sengageait à respecter : Que sa principale préoccupation serait de me
donner du plaisir, quelle devrait vivre nue dans son appartement et sans sous-vêtements à lextérieur, que son corps
mappartiendrait entièrement et que je pourrais le prêter à qui bon me semblerait, et toutes autres formes de don de soi, ainsi
quune attitude de déférence envers moi.
Au fur et à mesure que jénonçais ces obligations, je sentais Aménia être de plus en plus mal à laise. A la fin du texte, javais fait
préciser que Nat signait ce texte sans contrainte, en prenant ma secrétaire à témoin, et que cette dernière devrait elle aussi
parapher ce pacte.
à la fin.
- Cest bien mademoiselle Aménia, lorsque vous aurez rédigé ce contrat vous nous lapporterez pour que mademoiselle Nat le
signe.
Pendant ce temps, Nat sétait mise nue, et mavais donné un petit avant goût de la soirée que nous passerions ensemble. Aménia
arriva et nosa pas regarder Nat dans sa tenue dEve, les jambes écartées et les mains derrière la tête.
- Vous allez tenir les feuilles devant mademoiselle Nat pendant quelle les lira.
Tout le temps de la lecture, ma secrétaire ne regarda que ses pieds, et ne leva les yeux quà la fin de la lecture.
- Bien, maintenant Nat tu vas signer ce contrat, et Mademoiselle Aménia le contresignera pour prouver que tu tengages sans
contrainte, ni obligation.
Une fois le traité signé, jai demandé à ma secrétaire den conserver un exemplaire dans les archives, un autre serait pour Nat, et le
dernier pour moi. Puis je lai remercié pour ce travail personnel, et lui ai demandé de reprendre son travail.
Ma secrétaire est revenue plusieurs fois dans mon bureau dans la journée, sans que nous névoquions ce petit intermède du
matin. Sauf le soir avant quelle ne quitte, je lui ai demandé ce quelle en pensait.
- Avez-vous été choquée par le texte que je vous ai fait taper ce matin ?
- Un peu Monsieur. Me répondit-elle embarrassée après un certain temps.
- Que pensez vous de lattitude de mademoiselle Nat ?
- Je ne sais pas Monsieur. Me dit-elle encore plus rouge.
- Pensez vous que vous pourriez vous aussi vous engager comme elle ?
- Peut être par amour, mannonça telle timidement.
Javais marqué un petit point, et lui tendit la perche avant de la libérer.
- Vous savez, ce nest pas difficile de faire plaisir à son chéri, vous pourriez commencer par vous habiller plus fémininement.
pense quen jupe avec un joli chemisier, votre petit ami vous trouverait encore plus désirable.
Je vous souhaite un bon week-end mademoiselle Aménia.
- Merci, de même Monsieur.
Je savais très bien quelle navait pas de petit ami, car elle ne se trouvait pas suffisamment jolie pour attirer les garçons, et sa
timidité narrangeait rien. Javais hâte de la retrouver le lundi, pour voir si les regards quelle me portait parfois laissaient envisager
quelque chose de plus concret.
Le lundi à 8h00 précise elle entra dans mon bureau pour mapporter le courrier, en jupe et chemisier.
- Je ne vous reconnais pas mademoiselle Aménia, cet ensemble vous va à ravir, vous êtes vraiment très attrayante ainsi.
Jeus le temps de la voir rougir, avant quelle ne retourne à son poste. Maintenant il sagissait de la mettre en confiance sans la
brusquer. Lorsquelle revint me voir avant de partir, je lui lançai :
- Vous savez, mademoiselle Aménia, les chemisiers ce nest pas comme les sweat-shirt, il nest pas nécessaire quils vous serrent
le cou, vous devriez ouvrir un ou deux boutons sur le votre.
Le lendemain, elle revint avec un nouveau chemisier, mais cette fois il nétait pas fermé jusquen haut. Je décidai de la laisser
tranquille aujourdhui, je ne lui prodiguerais mes conseils quun jour sur deux, juste avant de la quitter le soir. Mercredi, la journée
se passa tranquillement, mais je revins à la charge en fin daprès midi.
- Je trouve votre jupe bien longue par cette chaleur, et puis cela ne mets pas en valeur vos si belles jambes.
Nouveau rougissement avant quelle ne me salue. Le jeudi la vit arriver avec une jupe plus courte, par encore assez mini à mon
goût, mais cela viendrait. Le vendredi je repasserais à lattaque.
- Vous avez remarqué je pense, que mademoiselle Nat ne portait pas de soutien gorge.
elle ne les supporte plus, et trouve que cela la rend encore plus sexy. Je pense quil en serait de même pour vous, dautant quil
me semble que votre poitrine na rien à envier à celle de Nat, bien au contraire.
Elle avait le week-end pour réfléchir et franchir le pas. Le lundi, lorsquelle mapporta le courrier, je maperçus avec satisfaction que
ses seins étaient libres sous son chemisier. Feignant de ne pas lavoir remarqué, je la complimentai sur sa tenue.
-Votre ensemble est magnifique aujourdhui, vous avez quelque chose qui vous rend encore plus désirable que dhabitude, jenvie
votre petit ami.
Ses rougissements mexcitaient au plus haut point. Je décidai dattendre le mercredi pour passer une vitesse supérieure. Ce jour
là, jétais bien décidé à ce quelle me montre sa poitrine avant de partir. Je lappelai à mon bureau en milieu de matinée pour une
raison professionnelle futile.
- Mademoiselle Aménia vous mapporterez le dossier sur lenvironnement, et puis jaimerais vous demander quelque chose. Vous
savez quaujourdhui cest le jour de mon anniversaire, jaimerais, si vous vouliez me faire plaisir, cest que chaque fois que vous
entrerez dans mon bureau vous ouvriez un bouton supplémentaire à votre chemisier.
Jallais bien voir si elle éprouvait pour moi autre chose que du respect professionnel. De plus il ne lui restait plus que quatre
boutons à dégrafer. Evidemment, je trouvai facilement quatre raisons de la faire venir ici. En fin de matinée, il ny avait plus que trois
obstacles à mon but, et en milieu daprès-midi plus quun seul au niveau de ses seins. Lorsquelle revint me dire au revoir, le
regard vers ses pieds et les joues toutes rouges, plus rien ne reliait les deux pans du chemisier ensemble, mais
malheureusement ils étaient encore trop serrés lun contre lautre, étant retenus par sa jupe.
cadeau danniversaire, et une fois nétant pas coutume je lui fis la bise avant de partir. Je sentis en létreignant quelle était toute
émue par ce geste daffection.
Le lendemain, elle se présenta à moi avec le chemisier de nouveau boutonné. Je lui fis remarqué que javais très apprécié sa tenue
de la veille au soir, et lui demandai douvrir tous les boutons. Elle se retourna pour partir à son bureau en approchant les mains de
son chemisier pour tout déboutonner. Je la rappelai et demandai de les ouvrir face à moi, ce quelle accepta avec beaucoup
dhésitation. Et cest en rougissant de la tête aux pieds quelle sexécuta, pour mon plus grand bonheur. Je ne métais pas trompé
dans mon jugement, même si je navais pu les découvrir totalement, elle avait véritablement des seins splendides.
Le vendredi elle revint à nouveau totalement boutonnée, je lui fis remarquer que la veille, plus aucun bouton nétait attaché.
Maintenant que javais eu le bonheur dadmirer sa poitrine, rien ne me ferais plus plaisir quelle se présente toujours dans mon
bureau le chemisier totalement dégrafé. Elle revint à chaque fois à mon bureau dans la journée, la poitrine libre mais toujours
cachée par les pans retenus dans sa jupe. Ny tenant plus, je la fis approcher de mon bureau juste à côté de moi en lui disant :
- Aménia, si je vous ai demandé douvrir tous les boutons de votre chemisier, cest pour avoir le plaisir dapprécier pleinement
votre poitrine, et il me semble quelle doit être fort excitante. Comme vous lêtes ainsi, vous me gâcher une grande partie de mon
plaisir, cela serait véritablement exquis que vous dégagiez votre chemisier de votre jupe.
Une nouvelle fois elle se plia à ma demande, et écarta son chemisier, pour confirmer ce que je pensais depuis le début, sa poitrine
était vraiment divine, et navait besoin daucun secours pour être maintenue. Devant mabsenter pour un séminaire dune
semaine, je lançai un nouveau jalon.
- Vous savez que je serai absent la semaine prochaine, vous allez cruellement me manquer Aménia. Je vous remercie pour tout le
bonheur que vous mapportez depuis quelques temps, tant du point de vue professionnel, que de celui de nos rapports extra
professionnels. Je voudrais juste vous dire également que japprécie fort que mon amie Nat porte toujours une mini jupe, et sans
aucun dessous. Bon week-end et bonne semaine mademoiselle Aménia.
Je partis donc pour cette semaine de séminaire un peu anxieux, Aménia allait elle continuer à me faire plaisir, ou allait elle réfléchir
et faire machine arrière ? Jeus la réponse dès le lundi de la semaine suivante en arrivant au bureau.
Aménia se présenta à moi avec une magnifique jupe blanche assez transparente, légèrement fendue sur un côté, et
véritablement plus courte, par rapport à celles des semaines précédentes bien sûr. Daprès ce que je pouvais voir elle ne portait
rien dessous, et elle sétait présentée le chemisier ouvert, laissant voir sa poitrine parfaite. Mais je voyais à sa tête que le fait dêtre
sans dessous la perturbait beaucoup.
- Vous ne semblez pas en pleine forme Aménia, auriez-vous des problèmes familiaux ou de santé ?
- Non Monsieur, je vous remercie tout va très bien.
- Peut être est ce le fait que vous ne portiez rien sous votre jupe qui vous perturbe ?
Je savais que cette petite phrase allait de nouveau lui faire monter le rouge aux joues, situation qui la gênait considérablement,
mais qui me plaisait énormément.
- Approchez vous, et montrez moi donc si jai raison.
Elle vint timidement près de moi, et releva à peine sa jupe.
- Si vous navez pas mis de dessous cest uniquement pour me faire plaisir, ne vous arrêtez pas en si bon chemin et dévoilez moi
donc ce que vous cachez.
Elle la retroussa entièrement cette fois, rouge de honte, en regardant ses pieds.
- Vous êtes très attirante, mais mon bonheur serait encore plus complet si vous vous tourniez pour que je puisse admirer
également le reste de votre corps.
Jeus alors le plaisir de contempler son côté pile, qui navait rien à envier au côté face.
Vous êtes vraiment magnifique, mais il y a malheureusement une petite chose qui trouble lharmonie de votre corps si
magnifique, ce sont tous ces poils disgracieux, vous seriez encore plus désirable si vous étiez intégralement épilée.
Nous nétions quà quelques jours des congés, et je voulais absolument finir cette petite initiation en beauté avant la fermeture de
lentreprise. Il était temps que je passe la vitesse supérieure en exigeant, et non plus en souhaitant.
- Quand vous viendrez dans mon bureau à présent, vous vous présenterez toujours uniquement vêtue de votre corsage, sans
rien dautre.
Ne layant pas revue dans laprès-midi, cest le lendemain quelle me surprit agréablement. Elle arriva dans mon bureau
uniquement vêtu dun chemisier assez court, le bas de son corps entièrement visible, et le sexe totalement glabre.
- Mademoiselle Aménia vous avez fait de nombreux efforts depuis quelques semaines pour mêtre agréable. Il ne reste que
quelques jours avant les congés d Eté, vous souvenez vous de la dernière visite de mon amie Nat ?
- Oui Monsieur.
- Elle était venue pour signer son contrat avec moi, cest vous qui laviez tapé et contresigné. Je pense quil est temps pour vous
de me prouver les sentiments que vous ressentez pour moi. Avec tout ce que vous avez fait, je pense que vous néprouvez pas
uniquement pour moi que du respect professionnel, je suis sûr que vous êtes amoureuse de moi.
- Cest vrai Monsieur, mavoua telle après quelques instants.
- Alors il est temps de concrétisez cette passion. Vous préparerez le même contrat à votre nom, avec Mademoiselle Nat pour
témoin. Vous la convoquerez pour vendredi matin et vous signerez ce contrat avant de partir en congé.
Le vendredi veille des congés, Nat arriva vers 11 h00 à mon bureau, et comme je le lui avais appris elle se mit entièrement nue à
peine la porte franchie. Aménia arriva quelques instants après dans une tenue qui lui était maintenant devenue familière,
uniquement vêtue dun chemisier largement ouvert. Elle tenait à la main plusieurs feuillets dactylographiés.
- Mademoiselle Aménia, vous mapportez votre contrat ?
- Oui Monsieur.
- Avez vous bien réfléchi, il est encore temps de renoncer.
- Je vous remercie Monsieur pour mavoir ouvert les yeux sur mon corps, et libéré ma timidité. Jespère être aussi forte que Nat, et
que je ne vous décevrez jamais.
- Bien, Nat tu vas finir de dévêtir Aménia, elle doit être entièrement nue pour lire et signer. Aménia vous vous mettrez en position,
c'est-à-dire les jambes écartées et les mains derrière la tête.
Aménia prit position, et lu avec quelques troubles les différentes clauses qui allaient maintenant gérer sa vie. Elle signa ensuite le
texte et présenta le stylo à Nat qui en fit de même.
- Jaimerais te remercier pour ce pacte et la nouvelle vie qui tattend, dis-je en adoptant maintenant le tutoiement, quaimerais-tu ?
- Jaimerais que vous me fassiez lamour Monsieur.
- Je vois que tu nas pas bien compris ce pacte qui te lie à moi désormais, tu nas rien à souhaiter, mais tout à mapporter. La
bonne réponse aurait été : « Faire tout ce que vous désirez Monsieur. », mais je ne ten veux pas pour cette fois, tâche de ten
souvenir à lavenir, sinon je serai obliger de te punir.
- Comme ce sont tes premières minutes, je vais tout de même répondre partiellement à ton désir.
- Nat, je pense que notre nouvelle amie Aménia mérite une récompense, occupe toi delle.
Etant sensiblement de la même taille, Nat sapprocha dAménia et se colla à elle, seins contre seins. Elle commença par se
déhancher souplement pour frotter la pointe de ses seins sur ceux dAménia. Les quatre tétons durcirent à vue dil, et Aménia
commença à être agitée de légers soubresauts. Après avoir embrassé fougueusement Aménia, les lèvres de Nat descendirent
ensuite en direction des seins qui soffraient à elle, Aménia affichait à présent un sourire des plus heureux. La langue caressante
de Nat arriva enfin à la fourche des cuisses de sa compagne, en très peu de temps Aménia arriva à lextase ultime. Il sembla quil y
ait longtemps quelle neut connu un tel orgasme.
- Tu vois Aménia ce que va tapporter ta nouvelle vie, que du bonheur et du plaisir. Pour commencer, tu vas rentrer chez tes
parents et préparer tes affaires. Tu emménageras dès aujourdhui chez Nat, lappartement nest pas très grand, mais le lit est
immense. Tu leur expliqueras que tu vas habiter en colocation avec une collègue qui demeure tout près de lentreprise, et que ce
sera plus aisé pour toi. Nat tu laccompagneras, et dès ce soir je veux que tu linities à mes préférences, je passerai vous voir dès
demain matin.
Jétais enfin arrivé à mes fins, jallais avoir 2 magnifiques créatures pour qui le but principal de leur vie nétait que de se préoccuper
de mon plaisir. Les vacances sannonçaient sous les meilleurs augures.
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