La Suite Des Aventure De Muriel La Prof De Math, Retour À La Maison
Voici la suite des aventures de Muriel la prof de math.
Quand je suis rentré à la maison il devait être 19h, Muriel était assise sur le canapé du salon. Même si la télé était allumée, je voyais que Muriel semblait songeuse
Je me suis assis à coté delle et lui demandé comment cétait passée sa journée.
Elle commença à rougir et me raconta son aventure avec Hichame et Pierre.
Comment ils lont coincé dans les toilettes, la taille de la verge dHichame, le contraste avec celle de Pierre, la sensation quelle avait ressenti quand Hichame la pénétra, la double pénétration avec Pierre. Jétais dans une excitation folle, elle fini avec lhistoire du téléphone portable
Jaime bien nous filmer quand on fait lamour, elle connaît mon excitation de la voir se faire prendre par des inconnues et surtout de la voir se faire prendre par un gros sexe.
Jétais donc persuadé quelle avait inventé cette histoire pour mexciter, ce qui était le cas.
Il était 19 h 30 environ, je mapproché delle et lui dit :
- « Je vais vite préparer à manger, on grignote et après je vais bien te baiser en re-pensant à ta jolie petite histoire
»
- « Cest pas une histoire » me dit elle ...
Mon cur se mis à battre de plus en plus vite, les images de Muriel en train de se faire baiser par ces élèves se bousculées dans ma tête. Jenvoyais ma main vers sa chatte, je défis le bouton de son jeans et glissai ma main vers sa culotte, elle était complètement trempée
Elle était devenue toute rouge et moi jétais devenu fou dexcitation, je lattrapai, la conduisit vers la chambre et lui dit.
- « Je vais te baiser comme une grosse salope que tu es, et je veux que tu me racontes encore ce quils tont fait !!! »
Je nétais plus moi, jenlevai ces vêtements assez brutalement, elle protesta, mais je ne pouvais pas marrêter, en deux seconde elle était complètement nue devant moi.
Sa chatte était toute gonflée et humide.
Je décider de la baiser sans préliminaire, mon sexe entra comme dans du beurre. Je nen revenais pas, dhabitude il fallait toujours un petit coup de langue sur la chatte ou quelques préliminaires, mais là nuls besoins !!!
- « Tes complètement éclaté ma salope, il devait avoir une bite énorme ce salaud !!! » lui dis-je.
- « Oh oui, il ma bien défoncé, jen pouvais plus, jarrivai pas à marrêter de monter et descendre sur sa bite
» me répondit elle.
Ces mots mexcitaient terriblement, javais pris ses jambes et les avais mis au dessus de mes épaules afin de la baiser le plus profondément possible, mais rien ny faisait
- « Cest pas possible, tas chatte est un gouffre !!! »
- « Oui, je ne suis faite baisé comme une chienne
» me dit elle.
Lentendre dire ça me rendait fou.
- « Ha il ta bien défoncé, tu vas voire
» lui dis-je.
Je me levais et me dirigeais vers la cuisine, on aime bien les jeux coquins, je glisse des bougies dans sa chatte ou des légumes
La veille on avait acheté un kilo et demi de courgette, je les attrapais et je retournais vers la chambre. Muriel cétait retournée et cétait mise sur le ventre, je voyais son beau petit cul, elle se cambra un peu quand je reviens vers la chambre. Je vis son anus qui semblait tout dilaté
Mais là javais envie de défoncer sa petite chatte. Je pris une courgette et enfilai une capote dessus et je lui mis dans la chatte sans ménagement. La courgette était bien plus grosse que ma bite, mais le légume senfourna dans sa chatte comme un rien.
Elle était toujours sur le ventre avec son petit cul en laire, et je mefforçai de la défoncer avec cette courgette. Je pensais que la taille de la courgette aller la faire gémir, mais rien
Je décidai donc de prendre une plus grosse, celle la était vraiment énorme !!!
Jessayai de mettre une capote sur la courgette mais rien à faire, après plusieurs efforts, jarrivai enfin à mettre le préservatif sur la courgette.
Jenlevai la première courgette et la remplaçai par la plus grosse. Japprochaais le légume de sa chatte et une fois collée à sa vulve, je me dis quelle ne rentrerai jamais. Je forçai quand même sur lentrée de son vagin pour glisser le légume.
- « Attend, cest trop gros !!! » me dit elle.
- « Sûrement pas, avec ce que tu as pris cet après midi, je vais pas marrêter là
» lui dis-je.
Je forçais une dernière fois et la courgette entra dans sa chatte. Elle ne pu retenir un petit cris suivi de gémissement. Elle était là devant moi et je lui dilater la chatte à lextrême avec ce légume énorme. A chaque va et vient la courgette rentrai un peu plus, sa chatte continuait à ce distendre et jadorai ça !!!
Une mouille blanche exquise enrobait la courgette, elle jouissait en levant de plus en plus ces fesses.
Cétait à moi de jouir maintenant, jenlevai donc la courgette, sa chatte était complètement ouverte, béante, mais son petit anus aussi était bien dilaté. Je décidai donc de lenculer, surtout après ce quelle mavait raconté. Je récupérai un peu de mouille de sa chatte pour lappliquer sur son anus. Dhabitude il nest pas facile de la sodomiser, mais là je plaçais mon sexe à lentrée de son anus et elle ne protesta pas. Je poussais un peu et je senti mon sexe rentrer dans son cul
- « Putain, mais tu es ouverte de partout !!! » lui dis-je
- « Oui, mais va doucement
» répondit elle.
Le ralenti un peu le mouvement et je rentrai mon sexe entièrement dans son cul, chose que nous navions jamais réussi à faire
Je me remis à accélérer le mouvement.
- « Doucement !!! » me dit elle.
- « Avec tout ce que tu as pris, je vais sûrement pas ralentir
» lui répondis-je.
Jétais en train de lui pilonner lanus. Elle gémissait et essayer de se dégager, mais rien ny faisait, je défonçais son cul.
- « Tu aimes ça, jai toujours su que tu aimerais te faire enculer comme une chienne !!! »
A ces mots je jouis abondamment dans son anus, on navait jamais baisé comme ça avant !!!
Je retirai mon sexe et regardai mon sperme sortir de son cul complètement ouvert, comme sa chatte. Jétais repu de sexe et comme souvent après un tel orgasme, je me sentais un peu honteux. Est-ce que je nétais pas aller un peu trop loin. Muriel ne bougeait plus, elle était là, dégoulinante de sperme et liquide séminale. Je mallongeai à coté delle, un peu inquiet. Elle se retourna et membrassa goulûment, je compris à ce moment que le plaisir avait était partagé.
La faim commençait à venir, je regardais lhorloge de la chambre, 21 h 45, je lavais défoncé pendant plus de deux heures, je me dis que de belles cochonneries restaient à venir
(à suivre)
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