Jeune Femme Avide De Sens (1 )
Jeune femme avide des sens
1 Je suis étonnée, mon père a cédé à la tentation. Même lhomme le plus vertueux ne peut résister à une femme qui le provoque ! Comme elle me la raconté, elle a eu beaucoup de mal pour le faire capituler. Pas facile le bonhomme ! Moi je ny suis pas arrivé ! Je crois quil ne se laissera plus prendre au piège si un jour elle a encore besoin de ses services. Elle est allée trop loin ! À moins quil nai apprécié sa prestation, il peut avoir envie de repiquer au truc ! Il ne sait pas que je suis au courant, cest mieux pour tout le monde.
Voilà Marc qui me rappelle, ma mère me le passe, je ny crois pas. Il ne ma pas oubliée, a envie de moi depuis trop longtemps. Jeudi, il a un gros contrat à négocier à Marseille. Il me demande de prendre le TGV, me donne lheure du train. Il mattendra à larrivée Gare St Charles. Juste une nuit, je repartirais le lendemain matin, lui rentrera plus tard dans la journée. Personne ne doit savoir que je lai rejoint. On est en semaine, il faut que je sèche les cours. Je décide de lui faire une surprise. Jen parle à Carole, demande si elle veut maccompagner.
- Juste un aller et retour, tu verras, une nuit avec lui cest sensas !
- Tu crois quil va accepter ?
- Je tavais promis de te le faire connaître, cest loccasion.
- Il va peut être le prendre mal ?
- On verra bien, ça fait plus de 8 mois quon a baisé dans son bureau. Je nose pas le joindre, jai peur de tout gâcher
- Cest risqué quand même, jhésite !
Je réussis à la convaincre, elle va maccompagner, lui donne rencard à la gare de Lyon, tour de lhorloge, pas beaucoup de temps, il faudra prendre les billets. Minimum de bagages, juste un petit baise en ville, chemise de nuit, nécessaire de toilette, un rechange. Je dis à ma mère :
- Je parts en province demain.
- Rejoindre Marc, bien sûr, quand rentres tu ?
- Vendredi soir !
Je prends quand même un risque en lui présentant Carole.
On arrive. Il est en bout de quai, mattend. Carole est derrière moi, il na pas fait attention à elle. Il membrasse sur la joue, je lui présente ma copine.
- Je te présente Carole, je lai invité à maccompagner, ça te dérange ?
- Je nai pas prévu, je voulais te sauter dès ton arrivée, pour ça jaurais aimé que tu sois seule !De toute manière il faut quon passe par lhôtel pour confirmer la réservation pour cette nuit. Je vais demander sil y a la possibilité davoir une chambre pour elle.
- On peut faire comme tas prévu. On la dépose, tu mbaises, y a urgence pour moi !
- - Non, si tes pressée, tattendra. Ma secrétaire a réservé une chambre dans un hôtel à la sortie de la ville. Jai loué une voiture, on dépose les valises, ensuite on ira faire un tour avant daller au resto. En route !
- Je vous dérange vraiment, je suis confuse, sil ny a plus de chambre disponible, je trouverais bien un pont pour cette nuit !
- Comprenez-moi, Aurélie me met devant le fait accompli, javais tout prévu, elle change mes plans, je naime pas ça !
- Excuse-moi, Marc, je nai pas osé tappeler au bureau pour demander ton avis, jai eu peur de te déranger, les mauvaises langues !
- Bon, affaire classée.
Le ton est sec, je ne sais pas ce quil pense de mon initiative, ça na pas lair de lui faire vraiment plaisir, il se montre plutôt froid. Je monte à côté de lui, ma copine est derrière. Il ne parle pas, à lair contrarié, jai dû faire une connerie. Je loblige à changer ses plans, il renonce à me sauter, que va-t-il faire ? Ma copine ne dit rien, elle semble gênée elle aussi, on le serait à moins vu laccueil !
- On ne connaît pas la ville, je voulais en profiter pour la visiter demain au lieu de rentrer direct, à deux cest plus agréable ! Cest pour ça que je lui ai demandé de maccompagner.
Il commence à sintéresser à moi.
- Ques tu devenue depuis notre dernière entrevue ?
- Jai poursuivi mes études, bientôt les examens, ensuite je compte bien trouver un emploi.
- Pas de petit copain ?
- Non, calme plat de ce côté là depuis plus de 6 mois.
Et sadressant à Carole
- Et vous, que faites-vous dans la vie ?
- Je suis à la Fac avec Aurélie, on suit le même programme. Pour moi aussi cest la dernière année.
- Vous êtes encore chez vos parents ?
- Non, ils louent pour moi un petit studio, ils habitent trop loin, je ne peux pas rentrer chaque soir. Jy vais quelque fois le week end.
Revenant à moi
- Je crois que tu es toujours chez tes parents ?
- Oui, mais je compte prendre mon indépendance quand jaurais un boulot !
On arrive sur le parking de lhôtel
- Je vais avec vous, je prends une chambre pour moi, je ne veux pas vous déranger !
- Non, jai pas besoin de vous, attendrez moi dans la voiture toutes les deux!
Merde, mon plan a foiré. Je dis à Carole :
- Désolée, ça ne se passe pas comme prévu. Je croyais quil accepterait que tu te joignes à nous, mais ça semble bien compromis !
Le revoilà, il a deux clés, en donne une à Carole. On descend de voiture, il sort les bagages du coffre.
Dès quil est dans la chambre, il pose ses affaires, moi ma valise. Le lit est là, je veux quil me baise. Je vais vers lui, me colle à lui, lembrasse, ma main cherche la braguette. Il me repousse sèchement.
- Reste tranquille, on verra ça plus tard !
Il quitte sa veste, téléphone à sa femme. Pendant ce temps, je vais me soulager. Jen profite pour faire une toilette intime. Je reviens dans la chambre, il termine. Il reprend le train demain en fin de matinée, le contrat sera prêt demain matin, il a rendez vous à 10 h, il ne restera plus quà le signer.
Je commence à mimpatienter, jai envie de sa queue, je veux quil me culbute, là, tout de suite. Je fais une autre tentative, sans succès. Il me dit :
- On prend ta copine au passage, il nous reste encore un peu de temps avant daller au resto, je vais vous montrer le vieux port, la Canebière.
On dépose les clés à la réception et nous voilà partis faire un tour en ville. On sinstalle à une terrasse sur le vieux port, il nous offre à boire. On avait soif. Il est 8 h, il nous mène dans un resto typique, cadre surprenant. Le menu nest pas terrible, avec bouillabaisse, mais on a faim, et puis je dois prendre des forces pour la nuit. Lune et lautre buvons de leau. Je sens quil cogite, il est perturbé, soucieux, est-ce la présence de Carole qui le rend presque agressif ? Cest loupé, je lai fait venir pour rien, la pauvre, je ne sais pas si moi-même jy aurais droit. Je ne sais pas comment je vais pouvoir rattr le coup. Il est 9 h ½, on rentre à lhôtel, on récupère les clés. Carole entre dans sa chambre. Il entre dans la sienne, je le suis, il me repousse.
- Va dormir avec elle !
- Non Marc, fait pas ça, jai trop envie de toi !
- Tu ne mérites pas que jte baise !
- Jten supplie, laisse moi dormir avec toi !
- Je vais pisser, me rince la moule.
- Laisse moi finir ça !
Jabandonne, massois au bord du lit. Il se lève, repousse la chaise, me fait face, me toise. Je tends la main, ouvre la braguette, cette fois il me laisse faire. Je sorts sa queue, ses couilles, cest pas facile, il bande dur, il en a envie autant que moi. Il me soulève, me retourne, me voilà dans les airs, je me retrouve à plat ventre sur le lit, il att mon jean, le descend sur le haut de mes cuisses, je nai que les fesses à lair, les jambes serrées. Il écarte ma culotte, me relève le cul, place ma fente devant sa bite, louvre, memmanche direct jusquà la garde.
- Oh oui, défonce-moi, depuis le temps que jen aie envie !
Trois coups de piston bien appuyés pour mouvrir, me dilater, métirer le vagin, je mouille terrible, il sort de moi, se lève.
- Je vais voir ce que fait lautre !
- Non, je veux ton premier jus, tas commencé, reviens dans moi !
- Non ! Jai envie de me lenvoyer maintenant !
- Fini de me baiser, elle peut attendre!
Il se dirige vers la porte de communication, mandrin à lhorizontal, ouvre le verrou.
- Range ta queue ! Tu ne vas pas te présenter comme ça devant elle!
- Je sais bien pourquoi tu las amené !
La porte nest pas fermée de lautre côté, il entre. Je remonte mon jean, reboutonne la ceinture, le suis. Carole est en nuisette, a gardé string et soutien gorge. Elle est adossée à la tête du lit, appuyée sur un oreiller, jambes serrées, pieds croisés, regarde la télé. Elle ne sattendait pas à nous voir, rougit lorsquelle voit lengin quil a en main, dressé hors du pantalon, et lénorme gland violacé pointé vers elle. Elle me regarde et me demande :
- Il te la déjà enfilé ?
- Trois coups, jen voulais plus !
Elle sadresse à Marc
- Vous venez me la mettre ?
Il lui répond :
- Vous êtes là pour ça !
Il est au pied du lit, latt aux chevilles, tire. Elle glisse sur le lit, la nuisette remonte, découvre son ventre, il lui écarte les cuisses en grand. Il tire sur le string, remonte ses jambes, son sexe soffre à lui. Il ouvre les lèvres avec ses doigts, plaque sa bouche dessus, sa langue titille le clito, entre dans le trou. Il fourre ses doigts dans le vagin, les activent, lélargit. La voilà partie, elle couine, gémis, pousse des petits cris, heureusement quil y a la télé. Et moi qui regarde, mouille ma culotte, glisse ma main dedans, la passe entre mes cuisses, me doigte doucement. Il lui bouffe la chatte, son bas ventre ondule, il remonte les mains vers sa poitrine, dégage les seins, les pétrit, roule les tétons entre ses doigts. Il sallonge sur elle, sa queue appuie sur le clito, progresse au fond de la fente, elle est au bord du trou. Un coup de reins, il lembroche, la queue disparaît dedans, elle crie :
- Oh oui !
Il la pilonne, elle participe, son ventre va au devant des coups de bite, ses cris sont de plus en plus forts. Je magenouille sur le lit, mets une main sur sa bouche pour les . Elle se cambre, crie, jouit, retombe. Je ne veux pas quil continue, elle va le vider, cest pas juste. Ca mapprendra, je naurais pas dû lamener avec moi, elle va me le prendre! Je le pousse brusquement à deux mains, il se redresse, sort delle, la queue est raide comme du bois, luisante de cyprine, le gland est dilaté, rouge violet. Je la saisis, je vois à sa tête quil nest pas content davoir été interrompu dans son coït.
- Elle en a eu assez, à moi maintenant.
- Tu vas attendre que je la finisse, non! .
Carole reste allongée, pantelante, offerte, cuisses toujours largement ouvertes, sa respiration sapaise lentement, elle a eu un orgasme, cest sûr. Il est toujours entre ses jambes, se penche, se remet en position, sa queue est dans la fente, le gland commence à la pénétrer. Je glisse précipitamment la main entre elle et lui, att la partie de la hampe qui nest pas encore rentrée en elle, tire dun coup sec, elle ressort du vagin, je ne veux pas quil la lui enfile de nouveau. Je descends du lit, serre la bite dune main et de lautre le tire par le bras.
- Lâche ça !
- Alors tu viens ?
- Cest fini, elle a joui !
- Elle peut-être, moi pas !
- Cest à mon tour, je ne tiens plus !
Je le secoue, tire sur la queue, la tient fermement derrière le gland, loblige à descendre du lit, ce quil fait de mauvaise grâce.
- Lâche-moi, tu mfais mal !
Je le ramène dans notre chambre en le poussant dans le dos. En sortant il se retourne, la regarde, labandonne à regrets. Il me dit :
- Je naime pas tes façons, tu vas mle payer !
Sa queue est toujours dressée hors du pantalon, raide, longue, luisante, collante, rouge. Je le déshabille, il ne maide pas, a lair de men vouloir.
- Je retourne finir de la baiser !
- Non, laisse là, jai trop envie de ta queue !
Maintenant quil est nu, je maccroupis, prends son gland en bouche, le goutte, passe ma langue sur le méat, il na pas joui, pas le goût du foutre, je suis rassurée. Jallais me relever quand soudain il me prend la tête à deux mains, tire, me fourre sa pine en fond de gorge, je suffoque, il relâche, recommence, je bave, jai chaud, manque dair.
- Tu n vas pas ten tirer comme ça !, jvais t faire bouffer mon foutre! Je sais qutaimes pas !
Je ne peux pas protester, sa queue me remplit la bouche ! Il me prend sous les bras, me relève. Heureusement quil sest retenu, na pas giclé !
- Tas compris jespère. Tu viens memmerder quand je baise ta copine, jaime pas. Jte pardonne pour cette fois, on passe à autre chose !
Sa mauvaise humeur est passée. Il prend son temps pour me déshabiller, caresse tout mon corps, me bisoute partout, de face et de dos, sarrête sur ma poitrine, elle durcit, il aspire mes tétons, descends sa main dans ma culotte, la tire, elle tombe à mes pieds.
- Ta culotte est trempée, tas pissé dedans, ma parole !
- Non, cest tellement je mouille !
- Tas pris du rechange ?
- Oui, bien sûr !
Il ouvre ma fente, introduit deux doigts tout en mordillant mes tétons. Jen profite pour le branler, sa queue, qui commence à retomber, redevient énorme et dure comme un bâton, le gland violacé augmente de volume. Je ne tiens plus, jai envie quil me la rentre, monte sur le lit, mallonge, ouvre et remonte mes cuisses, lui offre mon sexe ruisselant. Il est debout au pied du lit, admire ma chatte :
- Bon sang, c que tas une belle toison !
Il passe au-dessus de moi, me fourre sa queue dans la bouche, sallonge, écarte les poils, ouvre ma fente, aspire mon clito, tire sur mes nymphes, entre sa langue dans mon trou, boit ma mouille, mouvre avec ses doigts. Je suce le gland avec application, tient la hampe, la sert à la base pour quil ne gicle pas dans ma bouche, surveille ses réactions. Il se retourne, passe entre mes jambes, les relève sur ses bras et les écarte au maximum, senfile dune seule traite jusquau plus profond de moi. Que cest bon de le sentir là, à lintérieur de mon ventre, aller et venir. Il me burine dabord doucement, mais ses coups deviennent de plus en plus rudes, rapides et profonds. Je suis la cadence, me cambre pour quil aille encore plus loin en moi, sert mon vagin pour bien le sentir, halète, gémis, ça y est, jai limpression que mon cur sarrête, je chavire, perds tout contrôle, ferme les yeux, défaille. Oh là, quest ce qui marrive ? Jai le cul en lair, je suis sur les épaules, mes jambes retombent vers moi. Il est debout, me tourne le dos, memmanche à la verticale. Je vois ses couilles frotter ma chatte, appuyer sur mon bouton damour en érection, jai du mal à respirer dans cette position. Il me ramone sauvage, entre, sort, senfonce comme jamais au plus profond de moi. Il me redépose doucement, se remet sur moi, sencastre à fond, butte, recule, remet ça, je souffle de plus en plus fort tellement jai chaud. Il me sent partie, profite de cet instant pour menvoyer ses jets de foutre. Je sens sa queue vivre en moi, se contracter, le gland enfler, je resserre mon vagin encore plus, quelques spasmes, il se vide dans moi, je sens ses jets chauds et puissants menvahir le ventre. Je nen peux plus, jai chaud, je respire trop vite, je perds la tête, crie, jouis pendant quil décharge. Il est aplati sur moi, mécrase, je suis bien sous lui ! Je sorts de mon petit nuage doucement, sa queue diminue, ressort lentement de mon vagin, entraîne son sperme qui maintenant coule dans ma fente. Je suis heureuse, depuis le temps que jattends cet instant !
Je ne men suis pas rendu compte, mais Carole est dans la chambre, nue, nous regarde baiser. Marc sallonge à côté de moi, épuisé. Elle monte sur le lit, prend sa queue, la suce, absorbe le gland, passe sa langue sur le méat, lèche la tige, caresse les couilles. Elle passe entre mes jambes, colle sa bouche sur ma moule, passe sa langue dans la fente, récupère le foutre. On ne ma jamais fait ça, je la repousse, lui dis :
- Retourne dans ta chambre !
- Laisse le venir dans mon lit.
- Non, il est à moi pour cette nuit !
- Tu mavais promit!
Elle se lève, roule un patin à Marc (elle est gonflée quand même) membrasse, : rentre dans sa chambre à reculons, me regarde, déçue.
- Tes vache quand même !
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