Jeune Femme Avide De Sens ( 2 )
2 Je passe dans la salle de bains, fait une petite toilette intime pour la nuit. Il met son pyjama sans la veste, moi ma nuisette. On se recouche, il est tard, bisous, je mendors dans ses bras, heureuse, le ventre plein de lui.
Il fait encore nuit, nous sommes à la fin du printemps. Je suis dans un demi-sommeil, je sens que le lit bouge, je suis bercée, je rêve. Je suis sur le côté, change de position, passe sur le dos. Mais ça bouge vraiment, je me réveille, cherche à comprendre, je suis à lair libre, jai un peu froid, je remonte la couverture sur moi. Un tremblement de terre, pas par ici quand même ! Je me redresse, allume, nen crois pas mes yeux. Comment a-t-elle fait ? Carole est nue, à cheval sur Marc, face à lui. La queue sort par louverture du pyjama. Elle sest encastrée sur la bite, monte et descend. Il donne des coups de reins, laide à mieux sembrocher, la pénètre à fond. Voyant que je me suis réveillée, elle accélère le mouvement. Elle tombe sur le côté, il roule sur elle, la pistonne dur, elle gémit, subit ses assauts, il se déchaîne, la défonce. Un long râle de mâle, quelques secousses, il gicle en elle, à chaque jet elle pousse des petits cris, jouit. Il reste sur elle, récupère, laisse ressortir sa queue doucement. Il la quitte, retombe entre nous deux. Je la regarde, elle ne bouge plus, na pas refermé ses cuisses, a lair dattendre quil lui en remette un coup. Sa queue est molle, je lui prends les couilles, les caresses doucement. Hier soir jai eu ce que je voulais, la première giclée. Elle a profité de mon sommeil, cest de bonne guerre, je ne lui en veux pas. Jaurais dû me réveiller avant elle, cest de ma faute si je nai pas eu droit à la deuxième cuvée ! Elle se redresse, le prend en bouche, pompe. Il la laisse faire, ne réagit pas. Je lui dis :
- Tu vois bien quil est vide, laisse le dormir !
- Jai encore envie !
Elle se blottit contre lui, je décide den faire autant, éteint, on se rendort serrés à trois dans le même lit.
Le jour est levé, la chambre est dans la pénombre. Cette fois je me réveille la première, soulève un peu la couverture, glisse doucement ma main vers lentrejambe de Marc. Il dort profondément. De lautre côté, Carole a lair den écraser elle aussi. Je passe ma main dans louverture du pyjama. La queue est molle, au repos, pendouille sur une cuisse. Elle me fait pitié, elle ne peut pas rester dans cet état ! Alors je commence à la caresser doucement, cajole le bout du gland, prends délicatement les couilles. Il ne faut pas longtemps pour quelle réagisse ! Elle se redresse, enfle, durcit, rien que de la sentir dans ma main, je mouille. Avec mon autre main, je glisse deux doigts dans mon trou, les active, me prépare à grimper dessus. Elle est raide comme un morceau de bois, droite comme un piquet, cest le moment. Je descends du lit, vire drap et couverture, tire sur le pyjama, lenlève. Je passe sur lui, il grogne, a lair de sortir du brouillard !
- Quest ce que tu fous, laisse moi dormir, je suis crevé !
Avant quil ne réagisse, je saute sur le lit, me met à genoux au-dessus de lui, prends la queue, la plante dans moi, lencastre à fond. Je monte et descends sur ce pieu qui memmanche. Il ne dort plus maintenant, accompagne mon action. Je roule sur le côté, je suis en chien de fusil, cuisses fermées, présente mes fesses à sa bite. Il se place derrière moi, appuie son gland sur ma fente, un coup de rein, elle souvre, il est au fond de moi. Il me pilonne avec ardeur, entre et sort, je couine de plus en plus. Carole sest réveillée, regarde :
- Hé, je suis là, jen veux !
Elle lui tourne le dos, présente ses fesses dans la même position que moi. Il sort de moi, pivote, elle se retrouve embrochée vite fait. Il y va bon train, passe de lune à lautre, on a pas le temps de souffler. La cadence est élevée, on couine toutes les deux sous les coups de piston. Et ça dure, quelle énergie. Il a bien récupéré pendant son sommeil. On passe tour à tour en levrette, sur le dos, sur le ventre.
- Tas eu ce que tu veux ?
- Oui, ça fait longtemps que je navais pas été ramonée comme ça !
- Jai rencard à 10 h, faut quon se grouille
Il passe dans la salle de bain, je le suis, Carole rentre dans sa chambre. Je le regarde, cest vraiment un bel homme, belle queue, belles couilles velues !
- Jaime pas quon me regarde pisser !
Dès quil a fini, je massois, écarte bien les jambes et me soulage à mon tour, jai pas honte devant lui. Du foutre coule de mon vagin et le long de mes cuisses, il ma bien servi. On prend la douche ensemble, on se savonne lun lautre en insistant chacun sur les parties intimes de lautre. Comme il rebande et que je mouille, il me la remet, debout, sous la douche, mains en appui sur le mur. Que cest bon de le sentir aller et venir dans moi. Jen veux encore, mais il na plus rien, il faut quil recharge. Dès quon en sort, on se sèche, il se rase. Je suis à côté, tente deffacer les excès de la nuit, sans trop de succès. Carole a fini, elle est habillée, ouvre la porte de la salle de bain:
- Alors, quest ce que vous foutez, je suis prête, je vous attends.
Elle entre, tend la main, sa queue pendouille, elle la prend, caresse les couilles.
- Fout moi la paix, je risque de me couper. Dites donc les filles, je vous ai baisé sans capote, vous prenez la pilule au moins !
Carole lui répond :
- Bien sûr, tu penses bien que je la prends, sinon je taurais prévenu !
- Pas dembrouille.
- Ca fait 6 mois que je nai pas baisé, jai arrêté, mais je ne risque rien, jaurais mes règles dans 2 jours !
On commence à shabiller, je remets un peu dordre sur le lit et dans la chambre. Il est 9 h passé.
- Y a plus de temps à perdre, allez prendre votre petit déjeuner, jai encore quelques coups de fil à donner, je vous rejoins dans 10 minutes !
Carole est sortie dans le couloir, je suis prête à la suivre, il me retient par le bras.
- Je te file 500 balles en liquide, tu iras payer la chambre et vos 2 petits déjeuners. Moi je paye à part avec ma carte bancaire. Tu sais, hier je nétais pas content après toi. Non seulement tamènes une copine, ce qui nétait pas prévu, mais en plus tu viens minterrompre quand je la baise. Pour te punir, javais envie de dormir avec elle, de ne pas te baiser, tant pis pour toi ! Taurais pu attendre que je la finisse, après on avait toute la nuit à nous!
- Oui, mais mets toi à ma place. Tu commences par me lintroduire, tu sais que je suis en manque, je te lai dit. Tu mouvres et ensuite tu me quittes pour aller lenfiler, cest pas juste, cétait à elle dattendre. En plus elle nest pas venue avec moi pour que tu la sautes, alors !
- Là, je ne te crois pas, cest plutôt un coup monté, avoue-le ! Tu las amené pour quon dorme à trois dans le même lit, nest-ce- pas ?
- Cest vrai, je me suis dis que tu accepterais de nous baiser toutes les deux.
- Bon, vas la rejoindre, grouillez-vous !
Je récupère ma valise, mon sac, elle attend dans le couloir, on descend. On prend un sérieux petit déjeuner, on a la dalle en pente vue les efforts fournis pendant la nuit. Le voilà, il sinstalle à la table à côté, ne sintéresse pas à nous, dévore, lui aussi a la dent creuse ! On a fini, je passe payer à la réception, rends la clé. Je dois rajouter 50 balles, javais pas assez. Cest vachement cher pour une nuit. On sort prendre lair sur le parking en lattendant.
- Dis donc, cest lui qui ta filé tout ce pognon pour la piaule ?
- Ben oui, jai pas les moyens de prendre une chambre dhôtel à ce prix, tu penses bien.
Le voilà. Il nous ouvre la voiture, on monte. Tout en roulant, je lui fais une proposition :
- On aimerait bien te revoir de temps en temps. Si tu veux, Carole a un studio. Cest limmeuble au fond de la cour, au 4èmedroite. On peut entrer par la porte cochère, ou pour plus de discrétion passer par le café à côté. Tu bois un coup, il y a une sortie à côté des toilettes qui donne dans la cour. Ni vu, ni connu, la discrétion est assurée. Mais elle na pas le téléphone. Tu peux mappeler, vers 6 h je suis toujours chez moi, je lui transmettrais, tu pourras en avoir une ou deux gratis, cest selon nos disponibilités. Je me retourne :
- Carole, est ce que tu veux bien quon sarrange comme ça ?
- Oui, si ça intéresse Marc, quand il est disponible, ça me ferait plaisir de laccueillir chez moi, surtout dans moi !
- Marc, que penses tu de cette proposition ?
- Je vais y réfléchir, mais ça ne peut être que dans la journée, et vous nêtes pas ment disponibles quand je peux lêtre !
- Lune ou lautre sarrangera pour lêtre, ten fait pas, à toi de voir ! Tiens, je te donne ladresse, apprends la puis jette le papier, il ne faudrait pas que ta femme tombe dessus. Nattends plus 8 mois pour mappeler, on a trop envie de ta bite, elle et moi ! Dès que mes règles sont finies, je reprends la pilule ! Jai faim de toi !
- OK, je vous dépose à un arrêt de bus. Je vais être en retard, je file à mon rendez-vous.
Il nous dépose vite fait. Je ne sais pas si on le reverra un jour, on lespère, il est tellement un bon baiseur !
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!