Elle Dors Ou Elle Dors Pas ? Va Savoir...
Après le déjeuner et le café pris en famille dans la cuisine, ma mère a tout bonnement décidé de but en blanc, daller rendre une petite visite à sa belle-sur habitant pas très loin de chez nous. Mais évidemment il nétait pas question quelle y aille seule, elle a assisté pour que toute la famille laccompagne. À lexception de Marianne ma belle-sur, souffrante. Qui sans manger, avait été rejoindre ma chambre pour sy allongé. Et bien sûr, comme il fallait quune personne se désigne pour rester pour la surveiller. Je me suis proposé. Prétendant des devoirs à terminer. Et cela tombé très bien, javais à regarder ma série préférée à la télé.
Après le feuilleton, jai décidé daller voir du côté de ma chambre, pour prendre des nouvelles sur la santé de ma belle-sur. Jai fait pivoter la porte sur ses gonds. Dans la chambre où il régnait une touffeur. Et tout de suite mes narines ont frémir, à lodeur aigre que seule une femme échauffée peu diffuser.
Dans la semi-pénombre jai pu apercevoir ma belle-sur profondément endormie en chien de fusil sur mon lit.
- Marianne tu dors, tu dors ? Ai-je Chuchoté. Espérant au plus profond de moi quelle ne réponde pas à mon appel.
Encouragé, je me suis approché du lit. Là je me suis agenouillé pour me trouver juste à la bonne hauteur. Celle-là même qui ma permis, dapercevoir que les boutons du haut de sa robe portefeuille avait été déboutonné sur le devant et cela jusquà son nombril. Entre les deux pans généreusement écartés, ses gros seins fermes tendaient le soutien-gorge en dentelle de couleur vert pomme, à en faire péter les coutures. De-même, le bas de sa robe était quant à elle, retroussée à mi-cuisse.
- Tu dors ? Ai-je répété, comme pour me réconforter.
Et bien sûr je nai reçu aucune réponse de sa part. Rien quune forte respiration. Les anges étaient vraiment de mon côté. Comme quoi, le sacrifice paye toujours.
Je me suis penché au-dessus de son pied droit et je lai humé.
Mais cette idée a fendu comme neige au soleil. À cause de mon éthique. Oui ! Ma morale, parce quà cette époque jen avais encore une. Et bien que ma verge mimplorait de moccuper delle, jai eu une pensé pour mon frère. Et cette seule image à fait tout basculer, assez pour me dissuader de sortir de cette chambre pour retourner devant la télé.
Mais au moment où je mapprêtais à passer la porte, Marianne sest agité dans son sommeil. Assez pour permettre à son décolleté de souvrir davantage. Et ainsi exhibait son soutien-gorge qui ne cacher plus rien de ses gros seins. Aux mamelons tendus. Plus bas, toujours suite à son agitation, sa robe a roulé jusquau niveau des hanches. Étalant une culotte rose, dont le cordon de tissu disparaissait entre les fesses pour réapparaître plus bas, gonflé par la chatte. Dont les lèvres étaient moulées par le tissu.
Puis jai centralisé mon regard sur son cul. Tout rond, dont la pâleur contrastait avec le rose de sa culotte. Son galbe était parfait. Deux demie-pastèques qui me donnaient envie de croquer dedans. Puis mon regard a coulé sur la couture de lempiècement rose, frontière avec la zone intime. Une indécence qui me laissait la gorge sèche. À men faire oublier pour un temps, toutes mes bonnes résolutions. À omettre même, quelle était la femme de mon frère.
À ne pas pouvoir me contenir de glisser deux doigts entre les cuisses de ma belle-sur et prendre le risque de lui caresser lentrejambe. Marianne a émit un gémissement et sest tournée pour se placer à plat ventre, les genoux écartés.
Jai attendu quelques secondes, et jai posé ma main entre les fesses nues. Que jai fait descendre jusquà ce quelle atteigne lempiècement chaud et moite de la culotte.
Pris de panique, je me suis couché à terre. Attendant patiemment quelle reste immobile pour refaire surface. À mon retour jai constaté quelle a fait retomber une de ses jambes sur le côté. À demi repliée, lautre était étendue devant elle. Me penchant au-dessus du fessier, jai distingué nettement les grosses lèvres mauves, légèrement fripées, qui bordaient la fente et le liseré rose vif de la muqueuse. Cétait bandant.
Dailleurs ma verge faisait des caprices au fond de mon slip. Je me suis approché au plus près delle avec la ferme intention den voir un peu plus. Surtout que la culotte ne cachait à cet instant plus rien. Comme si un ange le lui avait baissé pendant ma fuite. Jai laissé mon regard errer entre ses cuisses. Cela bâillait comme une huître. Les chairs molles sortaient. Mon cur sest semballé. Il battait si fort, que je lentendais résonner sous mon crâne. Je voyais tout, oui, absolument tout, même lintérieur.
Cétait bien la première fois que je pouvais à loisir regarder aussi tranquillement la chatte de ma belle-sur. Et javais bien lintention den profiter. De me gaver le cerveau de tous ce qui me passer devant les yeux. « Merci mon bon Dieu ! ». De me permettre de voir toute la moule de cette salope, absolument toute la chatte !
Jai porté ma main sur mon sexe dur. Avec deux doigts, jai massé mon gland. Et cela à travers létoffe de mon pantalon. Tout en fixant linsolite mollusque qui béait entre la forêt de poils. Jamais auparavant je navais éprouvé quelque chose daussi fort. À en vibrer dexcitation.
Dans les chairs visqueuses de Marianne sest produit comme un spasme. Une larme claire a coulé hors du vagin et elle a glissé sur le drap. Jen ai frissonné. Cétait vivant, ça bougeait, ça sexcitait tout seul, et tout ça pendant son sommeil. Sans doute rêvait-elle de cul ?
En gémissant, la cochonne a creusé le ventre et a soulevé son entrejambe.
Je nen pouvais plus. Mais très vite une interrogation est venue chatouillée mon esprit. Me demandant si ma belle-sur nétait pas en train de feinter un semblant de sommeil. De profiter de loccasion qui lui était alloué pour sexhiber à mes yeux. De men mettre plein la vue. Cela expliqué pourquoi son sexe réagissait ainsi. Que faire ? Le plus sage serait que je quitte la pièce, avant de faire quelque chose que je regretterais plus tard. Une fois lexcitation retombée.
Et alors que je me redressais, jai vu Marianne tressaillir, déplacer sa main en direction de son sexe. Avec minutie je me suis reculé jusquà la porte. Alors que je mapprêtais à refermé cette dernière, Marianne sest redressée, frustrée, les yeux arrondit.
- Quest-ce que tu fais ici, Alain ?
- Je suis venu prendre de tes nouvelles.
- Pourquoi toi ?
- Ils sont tous parti chez la tante.
Elle a froncé les sourcils. Coupant le silence jai ajouté, fièrement :
- Jai préféré rester ici pour veiller sur toi.
- Cest bien gentille de ta part. Je ne suis pas plus étonné que ça. Cétait plutôt à ton frère de faire ça, non à toi ! Tu tapprêtais à aller où comme ça ?
- Comme
comme tout avait lair daller bien pour toi, je mapprêtais de retourner devant la télé.
- Approche ! Me fit-elle.
- Cest que
ai-je bafouillé.
- Approche je te dis
a-t-elle insisté, en déboutonnant les quelques boutons qui restaient. Avant de se mettre à tortiller du bassin avec un entrain.
- Cela te dit de regarder ma chatte ? Regarde-la bien ! Bande bien en la voyant.
Elle a fait onduler sa chatte. La faisant balancer de gauche à droite et inversement.
- Ça texcite ? A-t-elle fait dune voix rauque. Hein dis-moi, de voir ma chatte ? Elle texcite la chatte de ta belle-sur ? Ah ! Je suis sûr que tout ça fait grossir, ton gourdin dans ton slip.
Marianne était déchaînée. Je ne la reconnaissais plus. Puis elle sest tournée avec des minauderies de salope, métalant son postérieur.
- Regarde, petit pervers, regarde mon cul, regarde-le de près.
Elle a couiné de satisfaction tout en accentuant le roulis de son bassin. Elle avait tellement mouillé, que la cyprine scintillait jusquentre ses fesses. Ma belle-sur était au paroxysme du rut. Elle a prit ses fesses à deux mains et les a écarté au maximum, découvrant le froncement brunâtre de lanus et les replis roses de la fente qui souvrait au-dessus, béait, bâillait, transpirait.
Comme pour me narguer, elle sest approchée si près de moi quelle a pu se frotter à mon sexe bandé. Elle a tressaillit au contact de la bosse que faisait mon érection sous mon pantalon. Elle a poussé un cri. Comme si ce simple contact lavait électrisé.
Elle a secoué frénétiquement la tête. Ses yeux se sont révulsés, son visage est devenu écarlate et les lèvres tremblantes, elle haletait. Donnant désormais libre cours à sa lubricité. Elle sest mise à carrément lustrer sa croupe contre mon sexe. Elle a eut un feulement et elle a accentué la pression de ses fesses sur mon bâton de chair.
- Défroque-toi ! A-t-elle lâché.
- Mais
mais
- Défroque-toi putain ! Jai trop envie !
À force de sêtre excité à ma bosse, elle en avait perdu la boule. Sitôt ma queue à lair, elle a pointé ma verge entre ses deux fesses, elle ny tenait plus et elle a donné un violent coup de cul en arrière. Elle sest empalée dun seul élan sur ma queue dont le gland fut happé, englouti, avalé par son sexe béant et ruisselant.
- Le salaud ! A-t-elle beuglé. Il ma prise ! Il a réussi à pénétré en moi !
Et tout en gueulant, elle sest tortillée de plus belle, plaquée ses fesses à mon ventre, semmanchant à fond. Elle sest mise à agiter, me branlant, se branlant. Le cri de Marianne a résonné dans mes oreilles, alors quelle simmobilisa. Prenant le relai, jai agité énergiquement mon bassin davant en arrière.
Je nai pas mis longtemps pour éjaculer, en grognant mon plaisir, alors que ma belle-sur gémissait sous les impacts de mes épaisses giclées blanches. Avec damples mouvements de reins, je me suis vidé jusquà la dernière goutte. Puis je me suis retiré. Linstant daprès, Marianne a éclaté en sanglots.
- Je ne voulais pas
me fit-elle, alors que de grosses coulaient sur ses joues.
Elle avait honte davoir été excitée. De sêtres laissé aller. Il lui fallait trouver un responsable pour pouvoir dire quelle nétait pas coupable. Sans prendre la peine de la réconforté, je suis sorti de ma chambre.
Pas une seule fois avec ma belle-sur, même quand nous étions isoler, nous sommes revenu à parler de cet péripétie. Comme si tout bonnement, cela navait jamais exister.
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