Séance Surprise Pour Une Soumise Très Amoureuse
Mardi 3 août, 11h43, je suis à mon travail. Je bosse sur des dossiers super ennuyants. Il fait beau. Cest lété. Jaurais préféré être dehors, à la terrasse de la brasserie du coin de la rue, à siroter un diabolo menthe
Soudain, le téléphone sonne.
- « Allô »
- « Salut ma puce, ça va la forme aujourdhui ? »
- « Oui. Je vais bien. Et toi, mon cur ?»
- « Et ben moi, tout est parfait. Je timagine, derrière ton bureau, téléphone à la main, certainement en pantalon jean, talons aiguilles, comme à ton habitude, avec un petit haut si moulant quil fait ressortir tes seins si merveilleux et à croquer
Hum
»
Sourire
- « Tu me manques, tu sais ! Cest terrible ! Je nen peux plus de cette distance qui nous sépare ! Je donnerais tout pour que tu sois auprès de moi en cet instant »
- « Il suffit de fermer les yeux et de souhaiter de toutes tes forces que ton vux se réalise, ma chérie»
- « Bien sur ! Si ça pouvait être si simple !!!
»
- « Mais ça lest, louloute ! Tourne un peu la tête sur ta gauche et jette un coup dil par la fenêtre »
Surprise ! Je narrivais pas à y croire ! Il était là, tout simplement en face de moi ! Cela faisait 7 semaines que nous ne nous étions pas vus. 7 longues et douloureuses semaines quil était parti, loin, si loin de moi. 3000 kilomètres sétaient mis entre nous. Il ne devait pas revenir avant encore 5 semaines. Javais le cur serré
Cétait très dur ! Il me manquait terriblement.
Aujourdhui, il ny avait plus quune vitre qui nous séparait.
Toujours aussi charmant, avec des yeux à me faire tourner la tête ! Il na pas pris une seule ride ! Il a quelque peu bronzé
il est beau et excitant tout simplement
Je me lève donc, les jambes un peu tremblantes, le cur battant à vive allure, très émue par cette surprise
je me dirige vers lui, et sans crier garde, je me jette dans ses bras et lembrasse fougueusement.
« Du calme, petite chienne ! » me dit-il, comme pour me rappeler mon statut. Je souris, et je me recule légèrement.
Nous discutons quelque peu
La mission quil devait accomplir a mis moins de temps que prévu. Il a voulu men faire la surprise
une très agréable surprise !
Cest lheure du déjeuner et il me demande daller récupérer mes affaires. Je mexécute sur le champ. Je récupère mon sac à main et ferme mon caisson. Je souhaite un bon appétit aux collègues. Je quitte le bureau puis, jembarque à bord de sa voiture.
Nous roulons, je suis sur un petit nuage, je nai dyeux que pour lui.
Câline, comme toujours, me voilà en train de lui caresser les cheveux, de lui faire des petites papouilles derrière le cou
il adore!!! Il fond littéralement sous la douceur de mes doigts
Taquine aussi, pendant quil conduit et que nous discutons de choses et autres, ses yeux se ferment par moment, son souffle presque coupé, il apprécie les caresses de ma main qui sest égarée et retrouvée à présent sur son sexe... Je le provoque
Il ne sen plaint pas
au contraire !
Nous sommes en plein Paris. Nous quittons le boulevard
il emprunte une petite rue et se gare juste en face dun sex-shop.
« Nous avons quelques emplettes à faire » me dit-il.
Je souris déjà
Nous rentrons donc dans la boutique
et nous commençons à scruter les rayons.
Très rapidement, il flash sur une magnifique tenue rouge et noire, en vinyle,
hyper sexy
mini jupe évasée taille basse, corset moulant avec un décolleté ultra plongeant à lacets
Il me lance un regard qui en dit déjà long sur ses intentions perverses. Juste à côté, des bottes noires magnifiques ! Je les trouve à mon goût. Il décide de me les offrir.
« Reste à trouver le collier de petite chienne qui va avec » poursuit-il !
Bientôt, son panier se remplira dobjets divers et variés, de tailles, de formes et de couleurs différentes
Il continue davancer.
Subitement, je ressens une vive douleur au niveau de mon crane. Il mavait attrapée par les cheveux et tirée vers lui
« Tu nen auras pas besoin, salope ! Avance !!! » sécrit-il. Je ne savais plus où me mettre, surtout que trois autres clients se trouvant dans le rayon, avaient assisté à la scène.
Nous passons donc en caisse, jose à peine lever les yeux vers lui. Il paye les achats, récupère les sacs quil tient dans sa main droite.
Là, il me prend par la main et me donne un doux baiser dans le cou. Jadore.
Instantanément, je retrouve le sourire et jai déjà oublié la petite humiliation quil venait de me faire subir.
Nous nous redirigeons vers sa voiture et là, il me demande de me changer et denfiler la tenue quil venait de macheter.
Je suis surprise. Je ne comprends pas. Le temps passe, nous navons pas déjeuné et ma pause est bientôt terminée. Je lui exprime mon étonnement
« Mais, tu nas donc rien compris, ma chérie ? Tu vas me consacrer ton après-midi toute entière ! » mimpose-t-il dun air amusé.
A ce moment, tout se chamboule dans ma tête et en quelques secondes, je sors mon téléphone portable de mon sac et je compose le numéro de ma supérieure.
Elle décroche après deux sonneries. Jadopte un ton souffrant, et je lui explique que je me suis sentie mal pendant le repas, et que par conséquent, je prenais mon après-midi.
Elle sinquiète quelque peu de mon état, mais jessaie tout de même de la rassurer plus ou moins. Elle acquiesce et me souhaite de me rétablir vite !
Je raccroche. Je me retourne vers lui pour lui annoncer que je me suis arrangée pour être disponible. Il a lair plutôt fier et satisfait de moi.
« Allez maintenant, habille toi ! » me dit-il gentiment, le sourire aux lèvres, « et tu ne portes que ce que je tai acheté » ajoute-t-il.
La voiture est très spacieuse donc cest sans mal que je change dhabits.
Me voilà donc, vêtue telle une petite pute
sans dessous
le « minou » à lair libre
Cette sensation de nudité mexcite
il le sait
Il est assis derrière son volant et moi je reprends ma place, côté passager, à lavant du véhicule.
Il marque un temps darrêt pour bien me reluquer
« Tu es très belle !» -me complimente-t-il.
Là, il se rapproche tout doucement, jen fais de même instinctivement.
Nous commençons à nous embrasser tendrement, de plus en plus intensément et soudainement, il me plaque contre le dossier de mon siège, sa main gauche me serrant le cou
Je ne peux plus bouger.
Jadore cette emprise quil a sur moi, ça mexcite davantage
Nous continuons à nous embrasser langoureusement
je commence à mouiller considérablement
Ensuite, il sinterrompt et de sa main droite, il me montre un objet « tu as oublié ceci » me fait il remarquer. Cétait mon collier en vinyle noir. Il me le met en mindiquant « maintenant, tu es parfaite ! ».
Nous reprenons la route
Nous quittons Paris
direction sud Ile-de-France.
Cette fois, cest lui qui a la main baladeuse pendant le trajet !
Tout en conduisant dune seule main, il parcourt les courbes de mon corps, avec tendresse et délicatesse.
Bientôt, il passe la main sous ma jupe pour samuser avec mon clitoris déjà bien dur et tout gonflé.
Il me titille lentement,
très lentement
La conversation sarrête. Je me laisse aller à ses excitantes caresses... Il fait de plus en plus chaud dans la voiture. Pourtant, le chauffage nest pas allumé.
Petit-à petit, jécarte les jambes un peu plus pour permettre à ses doigts de glisser dans ma fente et datteindre mes profondeurs.
Hhhhhhhhhhhhhhhhhhmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmm
Comme cest bon de sentir bouger ses doigts à lintérieur de moi !
Soudain, les voitures devant nous ralentissent. Il ôte rapidement sa main de sous ma jupe pour mieux pouvoir rétrograder.
Nous recommençons à discuter. Il refuse de me dire où nous allons. Nous roulons encore une quinzaine de minutes.
Nous arrivons finalement dans un petit village, et il sarrête à une grande maison devant laquelle il se gare. Puis, il me demande de descendre de voiture. Le coin semble tranquille. Il ny a pas un chat qui traine !
Il récupère ses affaires et me fait signe de le suivre. Pas à pas, je reste collée à lui. Chez qui sommes nous ? Je nen ai pas la moindre idée. Mais, visiblement, il a les clés.
Il mouvre le portail et me laisse passer devant lui. Nous arrivons à la porte dentrée, et tout dun coup, il me demande de marrêter et de fermer les yeux !
Là, il me murmure à loreille :
« A partir de cet instant, je serai tes yeux, tu ne maîtriseras plus rien, je moccuperai de tout ».
Je lui fais un « oui » de la tête et au même moment, il me pose un bandeau sur les yeux.
Nous rentrons donc à lintérieur de la maison, je ne vois rien, mon cur bat si fort
je ne sais pas où je suis, ni ce qui mattend
mais je suis avec lui, en sécurité, et cest tout ce qui compte. Jai confiance en lui.
Il accroche une laisse à mon collier et je me laisse entraîner lentement dans une pièce. .. Laquelle ? Je ne sais pas
Cest très étrange comme sensation ; cest à la fois excitant et carrément flippant de ne pas savoir à quelle sauce on va être mangé. Alors je suis tentée de lui demander ce quil est en train de fabriquer ! Je mapprête à ouvrir la bouche et
« cchhhhuuuutttttt !!!! » me souffle t-il. A ce moment là, il me pose un bâillon-boule pour que je me taise.
Me voilà, je suis privée de la vue et de la parole
Ensuite, il me fait asseoir sur une chaise à laquelle il mattache, cuisses écartées. Je suis maintenant pieds et mains liés.
Je ne maîtrise vraiment rien. Il s'occupe de tout...
Alors, il commence par môter les bottes, puis il me lèche les jambes... calmement... Il me fait des petits bisous par endroit
Il me caresse... me mordille mon entre cuisse... je mouille de plus en plus
Il remonte tout en douceur... en faisant exprès de contourner mon petit abricot, sans y toucher.
Il me fait frémir
Ma respiration augmente
Il sait très bien me faire languir.
Tranquille, lui est déjà bien « armé pour la bataille ». Je ne suis pas censée le savoir parce que je ne vois rien, mais le connaissant si bien, je peux déjà le deviner.
Jai toujours les yeux bandés et les mains attachées......
Il se relève
et vient maintenant me faire sentir, ce que javais déjà compris, son sexe bien dur dans son jean
en le frottant contre mon visage
puis sur ma bouche
Il arrête ensuite. Toutefois, je lentends défaire son pantalon.
Il revient vers moi, me tient la tête fermement et se colle à nouveau, nu, sur mon visage, me faisant sentir la raideur de sa verge à la fois si douce.
Moi, jai très envie de lavoir en bouche et de la sucer, mais jai toujours le bâillon- boule. Il le sait bien donc, il en joue pour me frustrer encore plus.
Il disparaît à nouveau. Mais cette fois, son absence semble plus longue. Je nentends plus aucun bruit dans la pièce et je ne vois toujours rien. Je ne sais pas où il est. Je ne peux pas parler, jai envie de crier. Où est-il ? Que prépare-t-il ? Je commence presque à paniquer. Je ne sais pas ce qui se passe.
Je suis attachée très solidement, je narrive pas à me défaire des liens, donc je ne peux rien faire
si ce nest dattendre.
En vérité, il nétait pas loin. Il est juste derrière moi. Son manche est dur comme de l'acier et il la pose juste sur mon épaule. Je sursaute. Je ne my attendais pas. Mais en même temps, je suis si heureuse et rassurée de le savoir tout prêt.
Maintenant, il me retire le bâillon-boule. Je lui demande déviter de me faire si peur la prochaine fois. Jai à peine finit ma phrase, quà la place du bâillon, il vient introduire son sexe dans ma bouche !
Je suis aux anges ! Elle est si bonne ! Jadore lorsque ma langue fait le tour de son gland et parcours sa verge, en long, en large et de travers ! Un vrai régal pour moi, mais aussi pour lui, à en juger les bruissements qui sortent du plus profond de lui. Il me présente ses coucougnettes bien lisses et je prends un malin plaisir à les lécher, dabord du bout de la langue, puis plus franchement, à les aspirer
Là, il sarrête pour me libérer de cette position. Je me lève de la chaise. Je suis maintenant debout. Il me demande des lui présenter mes mains. Il joint mes poignets quil attache et me fait lever les bras. Je suis maintenant accrochée à je ne sais quoi mais, jai les jambes libres.
Alors, il me pelote un peu les seins qui sont bien en évidence. Puis, il défait les lacets du corset quil finit par marracher.
Je suis à présent, torse nu. Il me caresse
et sattarde un instant sur mes tétons quil suce
lèche
mordille
En même temps, il enfonce ses doigts dans ma petite chatte toute dégoulinante, en effectuant des va-et-vient de plus en plus rapides, de plus en plus violents. Je menflamme
Je gesticule
Cest si bon !!!
Il me dit a l'oreille « tu aimes ça, ma petite salope, ça te plait, hein ? »
Je réponds « oui », mais il me gifle. Je nai pas parlé assez fort selon lui
Il reprend donc « ça texcite hein, petite chienne ?! »
Je réponds plus fort « oui », et là, il me gifle à nouveau, cette fois, pour son plaisir personnel, je pense, et aussi le mien, car jadore !
Et là, il membrasse goulûment
puis il me déclare :
« Je vais te baiser. Je vais te prendre comme une pute, jai envie de te défoncer les trous. Je vais te faire la misère».
Il me déshabille complètement. Il détache mes mains et me fait allonger sur le dos sur une table. Jai toujours le bandeau sur les yeux...
Là, il écarte mes jambes et commence à me lécher la moule. Cest trop trop bon, jen veux encore. Je le crie haut et fort ! Je ne contrôle absolument plus rien, il contrôle tout. Jarrive à atteindre son sexe avec mes pieds, jai envie de le sentir à ma façon et je le branle comme ça
Je nen peux plus, je deviens comme folle, je lui demande de me baiser tout de suite. Jen ai trop envie. Cest un véritable supplice.
« Comment crois-tu pouvoir mindiquer ce que jai à faire ? » me rétorque-t-il. Pour la peine, il décide de me punir. Il se munie dun long et gros bâton et la sanction ne se fait pas attendre
Il me fait sortir de table et me jette par terre. Je ne me fais pas très mal ; jatterris sur de la moquette et elle est suffisamment épaisse pour amortir ma chute. Il me donne quelques coups, assez sévères, je dois dire, sur les fesses, puis, pendant que je gesticule au sol, il menfonce cette chose énorme, froide et sensiblement recouverte de latex à lintérieur de moi
Je suis très surprise, je me sens mélargir
et bien remplie
Il fait opère des va-et-vient plutôt violents en moi
Va-t-il me déchirer ? Jessaie de me concentrer sur mon excitation pour oublier quil me fait mal
Cest horrible
ou horriblement bon
je ne sais pas
tout se mélange !
Ensuite, il mordonne de me mettre à quatre pattes. Me voilà bien cambrée. Il se met à genoux derrière moi et commence à se frotte à mes fesses, sans me pénétrer ! Cela lamuse
je mouille en abondance
il sait que je nen peux plus. Il frotte son gland contre mon petit trou puis il décide de le lécher. Il le fait si bien. Jadore ! Il alterne et lèche aussi mes lèvres toutes mouillées
Mon corps brûle denvie de le recevoir enfin, quil me délivre ! Jai envie quil me prenne, tout de suite, quil machève !
Ca y est, linstant tant attendu va enfin arriver
!!!
Il entre en moi, commence ses va-et-vient, doucement pour que je le sente bien pénétrer dans mon antre et va bien profondément
Hhhhhhhhhhhmmmmmmmmmmmmmmmmmm
Comme cest bon de le sentir en moi
!
Peu à peu, il accélère ses mouvements, il me baise tout simplement, en levrette. Il me prend comme une chienne, comme sa petite chienne
Je crie de plaisir, jaime ça, jen veux encore et encore et encore
La pression monte, mon souffle saccélère, mon cur bat de plus en plus vite, de plus en plus fort, jai chaud, je ne vais plus pouvoir me retenir
Cest trop bon
« Ca vient
Oh oui
oh oui
chéri
oui
chéri
OUI, ça vient
Je JJJOOOOUUUUUUUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIISSSSSSSS !!! »
Je suis en sueur
essoufflée
je peine à respirer
Mais la pression nest pas retombée et il me voit tellement excitée quil décide maintenant de soccuper de mon petit trou bien offert à lui.
Alors, il entre en moi, sans aucune lubrification
Il accélère précipitamment mais jai mal
je fais la grimace et je hurle ma douleur
il faut dire quil ny va pas doucement du tout
Il me défonce carément
jai le feu au postérieur
Alors, il décide de sortir pour me soulager
Oh la la
Jarrive à peine à contracter mon petit trou tout déchiré
Il récupère du lubrifiant dans le sac et va se mettre sur une chaise. Il est assis et me tire vers lui par la laisse. Il enduit mon petit trou, matt par la taille et me fait assoir sur lui, mais bizarrement, il ne mencule pas.
Cette fois, cest moi qui gère les coups de reins. Je prends appui sur ses épaules pour garder le rythme
Je lui demande de retirer le bandeau pour le voir mais il refuse.
Subitement, une deuxième verge toute chaude, vient sintroduire en moi
par larrière... Je ne comprends pas ce qui se passe
Je panique ! Alors il maintient mes mains fermement sur ses épaules, il membrasse pour détourner mon attention puis il me murmure à loreille « aie confiance en moi, laisse toi faire ».
Cétait son pote, qui avait assisté à une bonne partie de la scène très discrètement. Ils avaient convenu tous les deux quil intervienne. Je me dis quil a bien dû se branler pendant ce temps là.
Jai maintenant deux sexes bien chauds au plus profond de moi. Cest exquis !
Ils me prennent tous les deux, de plus en plus ardemment et bien profondément
Ensuite, le copain se retire
Ils me font mettre à genou
me demandent de garder la bouche ouverte
quelques secondes plus tard, un premier jet chaud vient couler sur mon nez, puis un second sur ma joue et enfin un troisième rapidement dans ma bouche
ils méjaculent en pleine face tous les deux.
Au final, jen ai partout sur le visage, surtout sur la langue, mais je navale pas et il le sait. Je recrache tout mais je sais quil est content de voir dégouliner sa semence, mélangée à celle de son pote, de mes lèvres.
Le copain sen va. Je me retrouve à nouveau seule avec mon chéri après cette expérience intense...
Il me demande si ça va. Je suis toute retournée... Cest alors quil menlève mon bandeau. Il me prend dans ses bras très délicatement... Nous partageons un petit moment de calme et de tendresse. Nous nous serrons très fort
Ensuite, il mallonge sur le sol et vient se mettre sur moi
Il me caresse tendrement. Nous nous embrassons, nous entremêlons nos langues encore chaudes
La pression remonte.
Il me pénètre à nouveau... tout doucement
Nous faisons lamour
simplement
seulement, ce coup ci, cest pour que nous jouissions une deuxième fois, mais ensemble et les yeux dans les yeux...
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