Femme Blanche À La Poitrine Très Généreuse.

Je suis un jeune homme de couleur, j'aime le sport et je travail comme responsable informatique dans une multi national en Afrique.
Un jour alors que je travaillais à remettre en service l'ordinateur de mon directeur (un européen qui avait dépassé la soixantaine), la porte s'ouvrit et je vis entrer une femme blanche aux rondeurs et à la poitrine très généreuse. même notre secretaire qui de temps à autre alimentait mes fantasmes avait sur le coup perdu sa couronne.
- Bonjour madame!
- Bonjour jeune Homme ! la secretaire m'a fait comprendre que monsieur Robert était dans son bureau...
- en effet, il est tout à côté. Prennez place il ne tardera pas à revenir.
Soulagée, elle me gratifia un sourire qui me permit de mieux m'attarder sur sa tenue très aguichante. Elle avait une mini robe moulante qui donnait de la valeur à ses formes.
Angeline (car c'est comme cela que le directeur l'appela à peine avait il franchi le pas de la porte) avait pris place sur l'un des fauteuil juste devant le bureau et d'un coup d'œil je compris que la vu devait certainement être meilleur pour qui se trouverait sous ce meuble en face d'elle. Alors je prétextai qu'il me fallait continuer mon travail mais cette fois si sous le bureau car c'est à cet endroit que se trouvait l'unité centrale de l'ordinateur.
En effet, la vue était imprenable. Je pouvais voir de plus prêt ses jambes croisées à la peau bien bronzée et sentir ce parfum envoûtant. J’avais perdu le nord et toute mon attention était portée sur ce spectacle. Des images commencèrent à alimenter ma pensé et bientôt une bosse se dessina sous mon bas ventre.
Le bureau de mon directeur, était considérablement large au point où quand mon directeur vint s'installer pour s'entretenir avec la dame, je ne fus pas gêné d'y rester.
La présence de mon patron freina un peu mes élans. Mais une pensé me vin aussi tôt << tu risque ne plus jamais avoir une telle occasion >>.

Alors j'entrepris une légère caresse sur ce pied sur élevé m'attendant à une réaction. Il n'en fut rien alors j'insista tout en montant vers sa cuisse. Elle ne manifesta aucune réaction. Je compris qu'elle approuvait.
Alors j'enleva l'une de ses chaussures en commença à embrasser son pied puis à téter ses phalanges. De l'autre main je la caressais en montant vers son entre cuisse. Au moment où ma main sollicita l'accès vers son intimité, elle m'enleva le pied de la bouche, le posa au sol et croisa l'autre. Je ne me décourageais pas et repris mon initiative cette fois sur l'autre pied mais avec un peu plus de douceur. Je ne me limitais plus aux caresses mais je l'embrassais les pieds en progressant vers ses magnifiques jambes. Cette dernière trouvaille ne la laissa pas indifférente. Elle se mis à tousser et demanda à mon directeur si elle pouvait avoir un verre d'eau. Ce dernier se leva pour se diriger vers ce petit réfrigérateur qui était derrière lui. Au moment où il tourna le dos, ANGEL INA rapprocha sa chaise pour avoir le bas ventre légèrement en dessous du bureau et elle décroisa ses jambes pour me faire son entre cuisse. Je pu alors remonter un peu plus proche de son intimité avec mes câlins et mes caresses. Je compris à ce moment qu'elle aimait et que je pouvais oser. J’entrepris alors d'écarter cette fine étoffe jaune qui se perdait entre ses grandes lèvres tel un train dans un tunnel et d'y envoyer un doigt en explorateur. Je la sentis se cambrer le bas du ventre. Elle était mouillée la chaude et même un peu trop mouillé. Je décidais alors de goûter la saveur de ces secrétions abondante et de la lécher. Je me plaçais alors entre ses jambes et commençais par caresser à laide du pouce ce sexe délicatement épilé.
J’étais très excité et rien ne pouvait m’arracher du milieu de cet entrejambe. Non rien ! Encouragé comme je l’étais par ses petits coups de rein irréguliers on aurait dit que quelque chose la démangeait.
Alors le téléphone sonna. C’était une urgence et mon directeur devait se rendre sur un chantier à plusieurs kilomètres.
Tout désolé, je compris qu’il fallait mettre fin aux hostilités car mon directeur n’allait pas tarder à prendre congé d’elle. Elle de son côté se rechaussa rapidement et redescendit robe que j’avais auparavant monter jusqu’au cuisse.
Très rapidement mon directeur s’excusa du fait qu’il fallait qu’il parte. La femme insista sur l’objet de sa visite à savoir obtenir un emploi pour l’une de ses connaissances. Alors embarrassé et ne voulant la décevoir, il lui demanda de lui faire parvenir une demande d’emploi. Sautant sur cette occasion, elle proposa à mon directeur de la lui laisser sur sa table avant de s’en aller. Sans réfléchir, il dit oui et se souvint que j’étais encore sous cette table.
- Hé M. Grégoire ! vous avez bientôt fini ?
- Non monsieur. La tête à peine visible. Redoutant le regard de celle dont l’entrejambe m’était devenu familier.
- Alors je te confis Madame. Veille à ce qu’elle ne manque de rien !
- D’accord monsieur. Soyez rassuré.
Aussi tôt dis, aussi tôt il franchis le pas de la porte et referma derrière lui. De mon côté, redoutant ce face à face devenu inévitable, j’entrai précipitamment sous la table et devenais très affairé à retrouver la panne dans cette unité centrale ouverte à présent.
Sans rien dire, Mme ANGEL INA revint prendre place au même endroit et j’entendis un stylo parcourir la feuille. Elle avait écarté ses jambes et avait retiré ses chaussures.
Je fis semblant de n’avoir rien vu et remonta l’unité centrale de l’ordinateur. Soudain je sentis son pied qui s’était tendu, me frôler à la recherche de mon bas ventre. Le message était clair.
Alors je guidais ce pied maladroit et la laissa me caresser. La bosse qui tantôt avait pris forme ne tarda pas à réapparaître cette fois avec plus de vigueur. Elle le senti et insistait de plus belle avec ses caresses. Alors laissant ma besogne, je me tournais vers son entrecuisse, et sans hésitation prenait son clitoris pour le téter goulûment. Elle ne manqua pas de libérer des gémissements à peine audibles puis elle décolla son siége du fauteuil pour bien me l’offrir.
Sa position adossée au fauteuil et presque accroupie m’excita davantage et je lui mis un doigt dans le vagin pour la pilonner. Elle était mouillé et coulais sur ma main comme un torrent. Sûre de l’effet que je lui faisait ressentir, j’introduis un deuxième doigt puis un troisième et enfin un quatrième. Elle ne pouvait plus se contenir et elle se précipita sur moi sous le bureau comme une dévergondé et brutalement baissa mon pantalon puis ma culotte au niveau des genoux et se mi a me sucer avec brutalité en murmurant des choses que je ne comprenais pas. Pour ne pas perdre le bonheur que je lui offrais elle s’installa sur moi ; son sexe au dessus de ma bouche. Je senti le plaisir monter de mes entrailles et je me dis qu’il fallait que je l’arrête. La seule solution à cette heure était de l’amener à atteindre l’orgasme la première. Alors je me mis à téter son clitoris encore avec plus de vigueur et la pilonnais à quatre doigts tout en caressant son petit trou. Elle se mi à hurler au risque d’être entendu par mes collègues. Je sentis que c’était la délivrance qui s’annonçait. Ce qui arriva quelque minutes plus tard presque au même moment que moi tout au fond de sa gorge.
A cet instant la secrétaire ouvrit la porte et la referma aussi tôt. Certainement éberlué par ce qu’elle avait vu sous le bureau du directeur.


La suite prochainement…..

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