Mamie Berthe, Une Femme Mature Qui En Voulait Encore...
14 - MAMIE BERTHE
Bonjour,
Lhistoire que vous allez lire est la quatorzième que je publie. Comme les autres, elle est réelle. Seuls les noms des personnes et des lieux ont été changés ou imaginés.
Au début des années soixante, je suis militaire dans le sud de la France. Au cours dune permission chez mes parents, je rencontre Aline, une ancienne complice de mes premières expériences sexuelles. Elle poursuit ses études à lécole normale, elle veut enseigner lhistoire. Je linvite à boire un café. Notre conversation porte sur nos activités professionnelles ou estudiantines. Aline me parle de son école, de son logement sur place et surtout de sa logeuse.
- « Cest une veuve, âgée de soixante trois ans et quelques mois, bien conservée, lesprit ouvert, tellement gentille que je la considère comme ma grand-mère. Je lappelle mamie Berthe. Elle ne sait pas quoi faire pour mon plaisir et me rendre service.
- Si je comprends bien, cest une perle rare ?
- Tu peux le dire. Cest elle qui prépare les repas, en y mettant tout son coeur. Elle fait le ménage dans ma chambre, lave mon linge. Je suis chez elle comme chez moi... Cest dommage que tu ne la connaisses pas. Je suis certain que toi aussi, tu en serais amoureux.
- Nexagère pas, jaime bien les femmes, mais les grands-mères ne mattirent pas spécialement. Je suis toujours célibataire et compte bien le rester encore longtemps.
- Ne te trompes pas, si je te dis que tu en serais amoureux, cest en tout bien et tout honneur... Jaurais un service à te demander : Nous voudrions changer la télévision de place mais il manque une prise de courrant pour la brancher. Je sais que tu es bon bricoleur... tu pourrais nous faire ce travail ?... Tu ferais connaissance de mamie Berthe...Tu verrais ou je loge...
- Je ne te promets rien. Il ne me reste quelques jours de permission à prendre, si vous nêtes pas trop pressées, je verrais le mois prochain.
Cest ainsi quun samedi après-midi, je sonne à la grille dune petite maison, entourée dun jardinet clos, dans un quartier résidentiel.
Cest Aline, prévenue de ma visite, qui vient mouvrir. Nous entrons au salon ou se trouve une dame âgée mais coquette. Elle se lève, de taille moyenne, cheveux bruns grisonnants, légèrement frisés, une poitrine généreuse et bien maintenue, des yeux foncés lui donnant un regard doux et rieur, figure légèrement bronzée, très peu ridée, légèrement maquillée. Je pense que cest Berthe, la logeuse dAline. Elle est vêtue dune robe à fleurs boutonnée sur le devant, pieds nus dans des sandales dintérieur.
- « Mamie Berthe, je vous présente Eros, le copain dont je vous ais parlé. Il va nous placer la prise de courant pour la télé dit Aline-. Eros, je te présente Madame Berthe, ma logeuse. Comme je te lai dit, cest une dame très gentille ne sois pas étonné de mentendre lappeler Mamie.
- Enfin, je fais votre connaissance me dit Berthe, dune voix douce-, Aline ma tellement parlé de vous. Vous êtes quelquun quelle aime beaucoup, comme un frère... Je vous remercie davance pour le travail que vous allez faire.
- Madame, je suis également enchanté de vous connaître. Aline me parle de vous avec une telle admiration, que je vais me permettre de vous appeler aussi Mamie, si vous êtes daccord. »
Après ces banalités nous partageons une petite collation ce qui nous permet de faire plus ample connaissance. Aline et Berthe me font visiter la maison et me font voir lendroit où elles souhaitent la nouvelle prise électrique.
Je vais chercher dans ma voiture une caisse à outils et le matériel nécessaire. Je commence à prendre des mesures, trace des repères et me met au travail. Berthe reste à me regarder, Aline est dans sa chambre. Elle revient pour nous dire quelle doit aller en ville rendre des livres à la bibliothèque et passer chez une copine se faire expliquer quelques devoirs scolaires.
Comme cette prise est placée à hauteur de la plainte, à quelques centimètres du plancher, je travaille allongé. Certaines positions ou certains mouvements me font approcher des pieds de Berthe. Il marrive ainsi davoir une vue « montante » sous ses vêtements et apercevoir ses cuisses et sa culotte... Un peu gêné, sessaye déviter cette « indiscrétion » quand je réalise que Berthe semble prendre un certain « plaisir » à me faire voir ses dessous...
Moins de deux heures après, jai fini. Mes outils sont rangés, je demande à me laver les mains. Berthe me conduit à la cuisine. A ma grande surprise, elle me demande : « Dites-moi jeune homme, cest vous qui avez initié Aline aux choses de lamour ? »
Une telle question, venant dune femme si respectable, me laisse sans voix, il me semble que je rougis jusquau bout des oreilles.
-« Ne vous gênez pas avec moi, je sais ce quest la vie. Jai été jeune aussi. Aline ma fait quelques confidences. Je suis une vieille dame ; veuve depuis des années, sans avoir connu dhommes depuis la mort de mon mari...
- Vous nêtes pas une vieille dame mais une personne âgée... Vous êtes encore désirable... Vous pourriez faire le bonheur dun compagnon et le votre en même temps...
- Vous me dites les mêmes choses quAline... Elle ma même confié que, peut-être, vous me donneriez un peu de plaisir...
- Sacré Aline, elle aurait pu me prévenir... Je suis très surpris par votre demande... Vous me prenez à froid...
- Je ne demande quà vous réchauffer. »
Tout en parlant, elle sétait approchée... Sa poitrine frôle mon bras... Elle me fixe droit dans les yeux... Elle avance sa bouche vers la mienne... Nous nous embrassons dun long baiser passionnel... Je ne reste pas insensible, je sens une érection monter dans mon pantalon.
Quand elle ralentit pour reprendre son souffle, je la fais relever et, à mon tour, je descends sa culotte en me baissant, dans lintention de goutter sa vulve. Quelle surprise quand je découvre un triangle de fourrure, frisée, bien brun, avec quelques poils grisonnants, qui me cache lentrée de sa grotte. Cest en voyant cette « fourrure » que je comprends pourquoi on appelle le sexe des femmes « une chatte ». Jécarte les grandes lèvres pour en découvrir les petites, roses, en haut desquelles dépasse un clitoris déjà bien gonflé. Aussitôt la cyprine se met à couler. Je me précipite, langue tendue, pour ne rien perdre de ce nectar délicieux. Je lèche de bas en haut. Jen ai plein la bouche. A chaque passage, jaspire son bouton qui se dresse tout gonflé de reconnaissance.
-« Oui ! Suce moi bien ! Continue ! Cest si bon ! » gémit-elle.
Jintroduis deux doigts, bien à fond, dans ce vagin qui, contre toute attente est encore bien serré. Dune main jexplore cette grotte. Deux doigts de lautre main soccupent du bouton qui gonfle de plus en plus et sallonge. Berthe gémie, râle, tremble sur ses jambes. Elle prend appuis sur ma tête en la maintenant entre ses cuisses. Jai du mal à respirer. Je sens que lorgasme nest pas loin déclater. Je mactive plus vite. Cest un petit torrent de mouille qui coule en permanence. Jai du mal à tout récupérer et avaler. Quand enfin lorage éclate, Berthe ne peut retenir un long cri de plaisir. Je sens tout son bassin secoué de spasmes violents. Je lève les yeux pour voir quelle a de la peine à respirer, la bouche ouverte, les joues rouges. Je me lève, passe un bras sous les siens et la guide vers le divan ou je la fait asseoir.
-« Merci, oh merci - me murmure-t-elle à loreille- Il y a longtemps que je nai pas joui si fort. Même en me caressant je ny suis pas arrivée. Merci encore.
- Ce nest quun début Mamie berthe. Reprenez vos esprits. Nous allons recommencer car moi je nai pas craché mon venin.
- Oui, allons dans ma chambre. Tu feras doucement. Mon coeur nest plus habitué à un tel effort. Je ne voudrais pas quil me lâche.
- Vous ne risquez rien. Faire lamour na jamais tué personne. Je vous promets que nous prendrons notre temps. »
Allongés sur le lit, nous nous embrassons à pleine bouche. Nous goûtons le mélange de nos salives. Jai deux doigts qui se promènent dans sa vulve. Elle tient mon membre et le masturbe doucement. Je décide de moccuper de ses tétons en les léchant, en les suçant. Elle murmure : « cest bon, depuis que jattends, quel bonheur, tu vas bien me faire jouir, tu va me défoncer la chatte, tu vas la remplir de sperme, je veux te sentir, sentir tes secousses, oh oui » et bien dautres phrase plus salaces les unes que les autres.
Je descends entre ses seins encore bien fermes pour une sexagénaire. Quelques suçons au passage et jarrive sur son ventre toujours plat et sans le début dun bourrelet. Je me retrouve vite dans à la naissance de son triangle poilu. Il sent bon, je suis persuadé quelle le parfume après chaque toilettage. Mes mains, qui étaient restées à masser ses seins, viennent mouvrir la porte de son puit de jouissance, plein de liqueur intime, ou ma langue lape à petits coups. Je vois son bourgeon épanoui. Je lui fais lhonneur dun baiser en laspirant entièrement entre mes lèvres. Ma langue en chatouille le bout. Berthe vibre à chaque fois, comme si elle recevait une décharge électrique. Elle me prend la tête et me fait remonter vers elle. « Viens, enfile-moi, je ne peux plus tenir. »
Elle écarte les cuisses pour bien me recevoir. Quel merveilleux spectacle de voir cette chatte angora bien ouverte, bien mouillée, qui semble ronronner dimpatience. Je lui prends les jambes, les lèves, les cales sur mes épaules. Javance doucement mon chibre jusquà ce que le gland touche cette porte du paradis. Je fais quelques vas et viens entre ses petites lèvres, quelques massage sur le clitoris. Berthe vibre autant de plaisir que dimpatience. Je menfonce doucement. Elle vient à ma rencontre en se cabrant. Je la sens tendue comme et ressort. Jarrive au fond de son ampoule. Je force un peu pour bien sentir lentrée de lutérus.
« Oui, ça y est, tu touches, cest bon. Ne bouche plus, tu vas ma dire ce que tu ressens. »
Je me concentre un peu... Je sens les mouvements de son vagin autour de mon sexe. Tantôt comprimé, tantôt relâché, cest une masturbation nouvelle très agréable.
-« Tu sens comme je peux te serrer la queue ? Il ma fallu un long entraînement avant dy arriver. Ça te fait du bien ? Je te sens grossir. Vas-y lime moi, je te sens bien » me murmure Berthe. Je commence mes vas et viens, elle maccompagne en ondulant du bassin. Sa tête roule de droite à gauche sur loreiller. Yeux fermés, bouche entrouverte, un râle continu sort de sa gorge. Elle se mord les lèvres pour ne pas crier. Jaccélère les mouvements. Elle suit la cadence. Je sens mon membre grossir. Jentends ses râles se transformer en petits cris chaque fois que je touche au fond de son vagin. Soudain jéjacule... longuement... il me semble ne jamais marrêter... les spasmes sont longs. Berthe se fige, le corps raide, le souffle coupé. Son cri de jouissance est profond, long, puissant, grave. Elle reste quelques secondes le souffle coupé, comateuse.
Quand elle revient, elle semble égarée, perdue, ailleurs.
-« Ce nest pas possible davoir tant joui. Ce nest pas possible davoir un tel plaisir, à mon age. Ce nest pas possible ... Je ny croyais plus... Merci...Merci -me dit-elle en me serrant dans ses bras et en membrassant passionnément - Je suis la plus heureuse des femmes. Je peux mourir demain, jaurai connu une dernière fois le paradis sur terre ».
Nous prenons une douche et nous habillons avant de partager un bon café régénérateur.
Nous sommes encore à la cuisine à discuter quand Aline arrive. Elle nous tient compagnie en nous racontant son après-midi studieuse. Elle vérifie linstallation de la prise et demande, dun air innocent :
«Mamie Berthe, ça cest bien passé ? Vous avez essayé ? Le courrant est bien passé ? Le branchement est bon ? Berthe répond par des hochements de tête Vous voyez, je vous lavais dit que mon copain était super gentil et très compétant... Je parle de la télévision bien sur » dit Aline en faisant un clin doeil à Berthe...
Avant de partir, jembrasse les deux femmes. Berthe me glisse à loreille : «Revenez quand vous voulez, ma porte vous sera toujours ouverte. »
Je pense que jai quelques bons moments à passer dans cette maison.
Sacrée Aline, quelle cachottière...
A la prochaine...
PETIKOKIN
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