Mme Rodriguez Et Son Jardin Secret.

Voilà comment s’est déroulé ma première baise.

J’étais un étudiant assez séducteur en terminale et pour payer mes études je m’occupais des jardins de mes voisins. Ceci me permettait aussi de faire des rencontres très agréables et à développer ma maturité sociale.

Ce jour la je revenais de mon cours de philo dont je n’avais pas réussi à capter une miette. J’étais loin dans mes pensées. À vrai dire j’étais fasciné par une jeune étudiante qui était dans ma classe. C’était une femme aux cheveux bruns mi-longs et aux seins incroyable. De plus elle possédait le regard le plus aguicheur que j’avais vu dans ma vie, et je dois me confesser, j’étais adepte des films trois x.

Elle s’appelait Tina. Elle était magnifique. C’est pourquoi une érection fit apparition dans mon short de jardinage. Je revenais de mon cour de philo et je devais jardiner pendant quelques heures. Je devais faire Mr. Tyun et Mme. Rodriguez dans la même soirée et j’avais une tonne de devoirs à faire. N’empêche que lorsque je sonnai chez Mme. Rodriguez, bien qu’ayant passé 90 minutes avec les mauvaises herbes de Mr. Tyun, mes pensées étaient restées sur le décolleté de Tina.

Perdu dans ma tête, je marmonnais le nom de Tina quand Mme. Rodriguez, ouvrit la porte! Je devins alors tout rouge mais je savais que je me faisais du souci pour rien. Mme. Rodriguez n’avait sûrement pas entendu. Mais il lui vint le sourire et elle dit:
« Je ne savais pas que tu connaissais ma fille», avec son si jolie accent espagnol. Cela devenait clair dans mon esprit. Mme. Rodriguez ressemblait beaucoup à Tina et était magnifiquement conservée pour une femme dans la fin de trentaine. Pris d’un malaise soudain , je bégayai, puis je fus interrompu par elle qui m’interrogea: «Malheureusement elle est absente, je suis dés...»

Elle s’interrompu.

Elle venait de le découvrir. Le bout de mon gland était tellement rempli de sang qu'il dépassait de mes short ample que je prenais pour jardiner.

Je me dépêchai de le rentrer mais en le touchant j’éjaculai. Le premier jet frôla les pieds de la mère de Tina, mais les autres se perdirent dans mes culottes.

Ahuri je tournai les talons et je partis chez moi. Mais Mme. Rodriguez me retint. Cela était compréhensible, elle était offusqué et voulait des excuses. Elle me demanda donc de nettoyer ses sandales. Elle m’Accompagna jusque dans la cuisine pour me montrer le lavabo. Un peu dépassé par les événement je me retournai et me penchai pour enlever sa sandale! Mais elle sétait rapproché de moi et en me penchant mon front vint se frotter contre l’endroit où sa vulve devait être sous ses jeans moulants.

Au même moment que je réalisais que son jeans était légèrement humide, elle me poussa du pieds ce qui me fit m’allonger sur le sol. Sidéré, je remarquai que le regard coquin de Tina lui venait de sa mère.

Elle s’assit alors sur moi, les jambes me serrant les os iliaque( je suis en médecine!). Comme une bête, elle m’arracha mon pantalon et fut émerveillé de revoir le casque de mon soldat. Elle le mit alors dans sa bouche et me suça comme une déchaîné. J’en était émerveillé. Elle suçait longuement lubrifiant chaque centimètres, étant bien nombreux, sans m’en venter!

Ayant terminé, elle enleva sa camisole découvrant deux seins parfaits. Taille D, avec deux petits mamelons bandés. Sans hésitations, ses seins étaient faux! Puis elle dézippa son jeans et me confirma qu’elle ne faisait pas son âge. Sa vulve toute rasée était toute mouillé. Je voulu tout d’abord la léché mais, n’ayant aucune expérience, je décidai que je devais mieux m’abstenir. Après tout, l’agressé ne doit pas sucer son agresseur s’il ne lui force pas.

Effrénée, elle s’empala sur mon pénis et cria en jouissant des paroles espagnoles. Elle mouillait tellement que cela s’entendait dans le bruit que faisait la pénétration. Plus endurant que je le croyais, cela dura des minutes et des minutes, mais nous fument interrompu par un bruit de pas.
Tina venait d’entrer dans la cuisine.

Mais au lieu de crier et de s’enfuir, elle demanda à sa mère:« Est-ce que tu m’en à laissé un peu?»

Alors elle s’approcha, se déshabilla et quand je vis ses seins je déclarai intérieurement m’être trompé sur la provenance des seins de Mme. Rodriguez. Puis, Tina écarta à 90 degrés ses jambes et s’accota sur le comptoir de la cuisine. Sa mère me fit un signe et je me dégageai de son vagin brûlant. Puis je marchai sur les pieds fins de la jeune collégienne et appuyai mon gland sur ses lèvres légèrement duveteuses. Jappuyai d’un coup et Tina jouit aussitôt. Sa mère m’avertit que son point G était énorme. Alors, excité à fond, je me retirai et, mon galnd lubrifié à fond, je pénétrai son anus vierge. Mme. Rodriguez, qui se doigtait plus loin, nous rejoint et elle se mit entre nos jambes pour lécher le clitoris de la belle.

Je commençai un va-et-vient violent ce qui fit crier Tina. Elle me regarda suppliante alors je lui en redonnai un et flancha dans une giclée de sécrétion vaginale. Épuisée elle s’assit sur le lavabo pour se branler avec le jet du lavabo.

Mme. Rodriguez reprit ma bite et me la reçussa en se délectant des fluide de sa fille. J’empoignai sa tête et je défonçai sa gorge à coup de bite. C’était tellement bon que je lui déversai tout mon foutre dans sa trachée ( et oui, n’oubliez pas que je suis médecin!) La cochonne qui en redemandait licha ma culotte, dans laquelle j’étais venu. Tina me sourit en me disant à demain, puis me fit un clin d’oeil.

Le lendemain je vis que Mme. Rodriguez avait engagé un nouveau jardinier...

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