Troisième Mi-Temps
Il y a de cela 35 ans, je m'occupais d'une équipe de handball. Après l'entraînement, je prenais ma douche avant de fermer la salle. Occupé à me frictionner avec le shampoing, j'ai eu l'impression d'un effleurement sur mes fesses. Je n'y prenais pas garde et continuais à me laver les cheveux. Là, on me colla une main au cul ; mais bien appliquée, le majeur dans la raie à me titiller l'anus. Je me rince les yeux et devant moi, j'aperçois un jeune de l'équipe. Il était à présent face à moi et un grand sourire illuminait son visage. En me fixant dans les yeux, il me mit la main au paquet. J'ai eu une érection quasi instantanée. Il s'est approché de moi, m'a embrassé sur la bouche, s'est agenouillé devant moi et a entrepris de me sucer. Je l'ai laissé faire une trentaine de secondes avant de lui dire : Tu es fou, pas ici, si quelqu'un venait? (mais Dieu que c'était bon !). Il me répondit aussitôt : Viens chez moi. Sans un mot, nous nous sommes sêchés et rhabillés rapidement pour nous retrouver chez lui dans les dix minutes qui suivaient.
A peine arrivés dans son studio, je me suis dévêtu pour me retrouver totalement nu, la queue fièrement dressée.Lui prenait son temps pour retirer ses vêtements. Quand il enleva son slip, je tombais littéralement en arrêt en voyant son sexe tendu. Il devait faire plus de vingt centimètres, je dirais vingt-deux ou vingt-trois et épais en proportion. Je n'en avais pas encore vu d'aussi imposant.
Abdel était magnifique, un corps d'athlète à la musculature fine, des abdominaux en relief. D'origine maghrébine, il avait une peau hâlée, des cheveux courts bouclés. On aurait dit une statue de dieu grec.
Nous nous sommes embrassés fougueusement et nos mains partaient à la découverte de nos corps. Lui me caressait le dos , les fesses ; mes doigts s'emparaient de sa queue tendue, lui enserraient les couilles. Il me donna son doigt à sucer, puis, m'écartant les fesses à deux mains, il m'enfonça son doigt couvert de salive dans l'anus.
Lui, pendant ce temps, ne restait pas inactif. Il m'avait bien écarté les fesses et me bouffait le cul avec ardeur. Je sentais sa langue me parcourir tout le sillon puis venir s'activer sur ma rondelle. Sa langue dardée me fouillait l'anus. C'était divin. Il enfonça facilement deux doigts dans mon cul déjà bien lubrifié et les faisait aller et venir tout en les écartant comme des lames de ciseaux de façon à bien élargir mon orifice. Lorsqu'il jugea que ma rosette était suffisament dilatée, il me dit : Viens, j'ai trop envie de toi, je vais t'aimer.
Je capturais ses lèvres pour un baiser fougueux puis je m'allongeais sur le dos. Il me glissa un gros coussin sous les reins.
J'écartais les cuisses pour lui offrir ma rondelle. Il me pressa le gland pour recueillir du jus de mouille et en enduit mon anus.Il positionna sa queue contre mon anus, posa mes jambes sur ses épaules et commença à pousser. Je sentais mes sphincters, pourtant déjà bien assouplis, s'écarter encore d'avantage. Il s'enfonçait en moi lentement, mais inexorablement. J'essayais de me relâcher un maximum pour ne pas ressentir trop la douleur. A chaque mouvement, je sentais son piston remonter au fond de moi. Après quelques instants destinés à m'habi à la présence de cette hampe énorme, il commença à s'activer.
"A présent que tu es bien ouvert, je vais te prendre en levrette" me dit-il. Je m'installais immédiatement à quatre pattes sur le lit, m'inclinais en avant, lui tendant mon cul ouvert à deux mains. Il s'installa derrière moi, me saisit par les hanches et s'introduisit de toute sa longueur. Je tressautais sous ses assauts. Comme j'avais tendance à avancer sous ses coups de boutoir, il me maintint par les épauleset continua à m'enfiler son chibre. Il ressortait totalement et m'enculait à nouveau de toute sa longueur. Je sentais ses couilles battre mon cul à chaque pénêtration. Malgré cette douleur voluptueuse, mon plaisir montait. J'ondulais du bassin pour venir à la rencontre de son pieux de chair qui me taraudait le boyau. Bientôt, le plaisir m'envahit et je jouis en libérant une coulée continue de sperme.
J'étais heureux, mais lui, endurant, n'avait toujours pris son plaisir. Il était toujours raide et dur. Je lui demandais de s'allonger sur le dos. Je m'installais à genoux, au-dessus de son sexe, lui faisant face, ses jambes entre les miennes. Je m'écartais les fesses et lentement, je m'empalais sur sa tige toujours dressée. Là, c'était moi qui dirigeait la manoeuvre. J'allais et venais, ondulant des hanches, serrant mes sphincters pour mieux lui enserrer la bite. Lui me serrait les couilles et me branlait doucement. C'était hyper excitant. J'accélérais le mouvement, m'empalant bien profondément. Sa respiration s'accéléra soudain. Il me souleva littéralement en s'enfonçant une dernière fois et explosa en longues giclées chaudes. Je restai un moment cloué sur son ventre, prenant sa bouche pour partager de longs baisers sensuels.
Je me dégageais enfin, ma rondelle dévastée laissant échapper son sperme le long de mes cuisses.Je lui tendis ma queue qu'il commença à sucer tout en continuant à me branler.
Inutile de vous dire que les entraînements de handball se terminèrent tard bien des fois pour cause de troisième mi-temps particulière. A ce jour, je n'ai pas trouvé de sexe si imposant ni d'amant aussi craquant qu'Abdel.
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