Jenifer La Coquine

Cette histoire véridique s’est passée l’été dernier en Bretagne, à l’occasion de vacances avec mes parents et ma cousine. On venait d’avoir tous les deux notre bac, le permis, enfin bref tout ce qu’on peut faire à dix huit ans révolus. Ses parents (mon oncle et ma tante, donc) rénovaient leur maison et ne pouvaient pas partir.

Ca me faisait un peu bizarre de passer un mois avec Jennifer dans la promiscuité d’un camping. En effet, disons les choses clairement : c’est vraiment un pétard, la cousine. A peu près 1m65, cheveux brun frisés qui lui arrivent en bas du dos et qui sentent toujours bon, les yeux verts profonds, la peau mate de ses souches italiennes, dont elle a aussi gardé les formes. Un cul rebondi tout à fait exceptionnel entouré d’un baggy, taille basse, en haut duquel on voit son string quand elle se penche, et une paire de seins superbes, volumineux mais fermes, qu’elle s’amuse à mettre en relief avec un petit débardeur échancré (je précise qu’elle met rarement de soutiens gorges, on a donc un relief absolument délicieux sur ces courbes et ces tetons pointés, de même qu’avec son bikini, d’ailleurs). Autant vous dire que quand elle allait à la piscine du camping se faire dorer en bikini, on pouvait constater une bosse dans quasiment tous les sous vêtements masculins. Certains étaient obligés de plonger pour effacer cette preuve irréfutable de désir sexuel devant leur copine, voire leur femme.

Jennifer respirait le sexe. Ses jambes, son petit cul bien bombé, ses gros seins et sa bouille de petite fille sage avec des lèvres pulpeuses, tout ceci réuni faisait fantasmer beaucoup de monde, et moi le premier. J’avais vraiment du mal à la regarder dans les yeux sans loucher sur sa poitrine ou son popotin dans lequel j’aurais volontiers glissé mon mandrin. Par conséquent, j’ai souvent eu la gaule ces vacances.

Mes érections peu discrètes étaient attendues du coin de l’œil par Jen’ qui prenait un malin plaisir à m’allumer de plus belle.

Elle se mettait nue dans la cabine de douche ouverte du mobile-home, et plus les jours passaient, plus j’essayais de l’espionner en cachette. Au début c’était furtif, mais au bout de trois jours, j’ai craqué.

Pendant toute la journée, j’avais subi les règles tacites d’un petit jeu sexuel qui m’excitaient intensément. Elle m’avait demandé, entre autres, de lui passer de la crème sur le corps. Je me suis régalé à lui peloter les seins et les fesses, et j’ai tout de suite remarqué son regard lubrique de faire dresser tant de queues sur son chemin.

Puis, en sortant de la douche, elle a entrepris de se raser le maillot, en prenant grand soin de laisser la porte entrouverte. Ce qui fait que, regardant la télé dans le canap’, j’avais en enfilade la cramouille grande ouverte de Jennifer, qui se déhanchait tant qu’elle pouvait, ce qui me donnait une vue imprenable sur sa grotte d’amour que je devine douce comme du satin.

Les toilettes étant dans la salle de bain, je ne pouvais même pas foncer m’y astiquer le manche, dur comme du granit de voir comme ma cousine est coquine. J’entreprends donc de me masturber discrètement dans mon slip de bain, ce qui est absolument impossible surtout que les va et viens de ma main sur mon sexe deviennent incontrôlables, de plus en plus rapides, et font vibrer le mobile-home sensiblement.

Ma respiration devient rauque et je sens que je vais lâcher tout le sperme accumulé dans les couilles au cours de la journée, quand Jen’ sort de la salle de bain juste au mauvais moment en string dentelle blanc. Elle ne me voit pas enlever la main de mon slip mais se plante devant moi en écartant les cuisses et me demande le résultat, vu qu’elle a compris mon petit manège dont la preuve irréfutable était mon slip de bain prêt à craquer, qu’elle faisait semblant d’éviter du regard.

Mais j’avais arrêté de me caresser le braquemart trop tard ! J’avais passé le point de non retour et ma cousine regardait mon sourire niais et mon regard braqué sur sa chatte a peine dissimulé par un bout de tissu lui séparant les deux lèvres. A partir de la, je ne contrôle plus rien. Mon sexe explosa en de longs spasmes qui n’échappèrent pas à Jen’, a travers un slip de bain de plus en plus imbibé des longues décharges. Mon sexe collait encore plus au slip de bain maintenant qu’il baignait dans ma semence.

Je n’ai pu dissimuler un soufflement de jouissance, et mes abdos se contractent de façon désordonnée. Elle, alumeuse jusqu’au bout, fait mine de rien alors qu’elle s’était rincé l’œil comme une vicieuse. Attends un peu, toi, tu t’es foutu de ma gueule mais je te promets que je vais te l’enfoncer jusqu'à la garde, celui la, et tu vas voir si tu ne vas pas jouir ma chérie, pensais-je en m’enfermant dans la salle de bain pour me débarbouiller.
J’enlève mon slip, et je constate que je bande encore, je prends son string qui trainait et l’apporte sous mon nez. Il est trempé ! Ma cousine a mouillé comme une salope de me voir m’éjaculer dessus.

Première vengeance qui me vient à l’idée, c’est de prendre sa tenue de nuit composée d’une culotte en coton et d’un tee-shirt ample, et de m’essuyer avec, et je commence à m’astiquer le manche dedans tout en me nettoyant. Ma bite explose une autre fois dans son pyjama qui est bien mouillé et gluant à certains endroits, puis je termine en frottant mon slip dessus pour finir.

Mademoiselle s’amuse à me faire puis me voir jouir, et bien soit, mais elle en assume les conséquences.

Nous passons chacun la soirée de notre coté, et comme nous ne voyions pas les parents souvent (rythme vacancier différent oblige), nous déjeunions ensemble le matin. Quelle ne fut pas ma surprise en me levant de la voir attablée devant un thé avec sa tenue de nuit maculée se sperme sec et me souriant innocemment.

C’est la que j’ai réalisé a quel point ces vacances allaient être chaudes et surtout très très sex !!!

Ceci fut l’introduction à des vacances bretonnes totalement débridées : comment ma cousine m’a enseigné les raffinements du sexe, vous le saurez bientôt, et croyez moi c‘est chaud !!! Bisous coquins et a plus