Fabienne L'Anal Et Le Miel

Il y a quelques jours, je vous comptais la découverte du plaisir anal par mon épouse et par la même, la révélation d’une « véritable chienne en chaleur » qui du haut de ses 45 ans laissait éclater ce que je n’avais pas su révéler plus tôt et qui relança complètement notre vie sexuelle.

Mon épouse avait rejoint notre domicile familial en Province le dimanche soir et je ne la retrouverai que le vendredi suivant après une….longue semaine de plaisir individuel activé par mes fantasmes et la toute nouvelle découverte de la douceur anale de mon épouse.

Ce vendredi je rentrai plein de désirs et dès mon arrivée, j’embrassais goulûment ma maîtresse, je soulevais rapidement son chandail pour découvrir ses petits seins tous durs, elle avait pris soin de ne pas mettre de soutien-gorge et enfiler ma main dans son pantalon…..direction sa culotte !!
Et là coup d’arrêt, mon épouse était indisposée et la forme rebondie qui remplissait sa culotte ne laissait aucun doute sur son état qui habituellement ne favorisait pas nos ébats.

Elle ne me découragea pas du tout dans mes initiatives et elle m’indiqua que l’autre voie découverte depuis une semaine serait un excellent palliatif à un coït vaginal pas si satisfaisant que cela d’ailleurs habituellement, et une érection monta immédiatement dans mon boxer.
Elle s’empara de mon sexe en glissant à son tour sa main dans mon pantalon, et le frotta énergiquement comme pour le défier et lui fixer le rendez-vous de notre deuxième partie de soirée.

Quelques heures plus tard, quand nous nous retrouvâmes tous les deux dans l’intimité, j’entamais un déshabillage en règle, en sollicitant toutes ces zones érogènes que je connaissais finalement parfaitement et qui déclenchèrent une envie d’en découdre décuplée chez mon épouse.
Elle me présenta sa croupe, et comme j’abaissais sa culotte, en prenant soin de ne pas laisser échapper la protection présente, je retrouvais ce petit anneau serré que j’avais visité pour la première fois une semaine plutôt et qui semblait apprêté pour un nouvel assaut en règle, ma petite pute avait déjà lubrifié son conduit, elle se pencha au maximum tendant ses deux petites pommes et écartant parfaitement cet anus qu’elle me présentait maintenant comme une offrande au plaisir partagé.



J’approchais mon gland et en petits mouvements circulaires, j’engageais progressivement ma bite dans son petit cul toujours serré.
Au moment ou la moitié de mon sexe entra sans résistance dans son fondement, elle poussa un long râle qui oscillait entre la douleur et le plaisir, et il lui fallut 5 à 10 secondes pour reprendre ses esprits et commencer à apprécier cette présence habituellement complètement étrangère. Rapidement elle imprima le rythme et je m’enfonçais jusqu’à la garde, mes couilles battant sur le bord de ses fesses et le plaisir devenant un but partagé.

Alors que je m’abandonnais en elle, pendant qu’elle se caressait le petit bouton, nous perdîmes rapidement tout discernement par rapport à son état.
Je m’écroulais sur elle, les couilles vidées et ma bite ramollissante, je restais de longues minutes à lui embrasser la nuque et à caresser ses épaules jusqu’à ce je sorte naturellement de son conduit tout lubrifié de sperme. Son petit trou imprimait des mouvements comme s’il appelait une nouvelle visite, c’étaient en réalité des spasmes de plaisir qui continuaient à irradier le cul de ma femme.

Après ce premier épisode, elle me fit part de son souhait de prendre à nouveau mon sexe en bouche, mais avec du miel cette fois-ci !

Il me fallait récupérer et nous décidâmes d’une petite collation réparatrice qui nous permettrait d’aller chercher l’accessoire indispensable à cette petite expérience sucrée.

Revenus dans notre salle de détente, je lui demandais de se placer face à moi sur le lit à genoux et j’enduisais ma bite de miel. Elle empoigna délicatement ma verge de sa main droite, se mit à masser mes couilles généreusement avec sa main gauche, comme si elle voulait s’assurer qu’il me restait de quoi éjaculer, puis elle se mit à pomper mon gland. Je ne pus m’empêcher de prendre sa tête à deux mains et cette fois ci, c’est moi qui imprimait les va et vient dans cette bouche soumise, douce et finalement très habile.
Un peu fatigué par le premier round il me fallut trois à quatre minutes pour arriver au bord du plaisir et au moment où j’allais m’abandonner elle se mit à masser le bord de mon anus. Ce qui fut une découverte déclencha immédiatement un long jet de liquide séminal qu’elle avala pour la première fois et certainement pas pour la dernière.

Je m’écroulais à ses côtés, soufflant d’une façon saccadée en raison de ce pied extraordinaire que je venais de prendre, de nouvelles voies s’offraient à nous…….

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