Leslie Re09

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Leslie RE09 – Les récits érotiques
Les moments d’égarement de Shanna - Seule, chez Serge et Carla, drôle d’expérience, suite

Aïcha a quitté ma chambre peu de temps avant le diner et pour ne pas éveiller de soupçon, je me suis maquillée afin d’être prête quand on viendrait me chercher ou si j’avais encore une nouvelle visite.
Peut-être une heure plus-tard, Aïcha est revenue pour m’emmener diner avec Serge et Carla, mais, alors que nous étions encore dans le couloir, elle n’a pas oublié de me féliciter de ma beauté, en me disant à voix basse :
- On va y arriver !
Un diner tranquille et une fin de soirée sans sexe, cela fait du bien un petit moment de repos, mon anus j’en suis certaine ne dirait pas le contraire.

Le lendemain matin, donc jeudi, réveillée de bonne heure, petit déjeuner dans la salle à manger et retour dans ma chambre…
Vers dix heures Serge surgit dans la chambre, accompagné d’un homme en peignoir, que Serge me présente :
- Voici Jacques et je te confie à lui, tu lui obéis en silence !
Et sur ce il me laisse seule avec Jacques qui me<dit :
- Tu te positionne sur le bureau, me dit-il en le désignant du doigt !
J’obtempère aussitôt sans un mot, et me place debout, penchée buste en avant plaqué sur le bureau, bras allongés de manière que mes mains agrippent le rebord opposé de celui-ci, avec l’interdiction formelle de lâcher prise.
- Écarte tes jambes au maximum, m’ordonne Jacques, et ne bouge plus.
Indécemment positionnée, j’offre indécemment mes fesses aux volontés de Jacques, avec une certaine appréhension de ce qui va se passer et une boule au creux de l’estomac mais ce qui est incroyable, alors que rien n’a commencé, c’est que je sens ma verge qui pèse entre mes cuisses prête à se redresser, en fait une certaine s’empare de moi en étant dans la position dans laquelle je suis…
- Bien, dit jacques, reste en position, je veux profiter de ton petit cul tout chaud…

Je le vois dans le grand miroir en face, ouvrir le peignoir, il est nu dessous et sa queue est bandée… Aussitôt une de ses mains m’agrippe à la hanche d’un geste ferme, tandis que l’autre guide son membre entre mes fesses.


Je sens la tête de son gros gland humide caresser mon anus, je ferme les yeux quand je sens mon sphincter qui résiste à cet assaut contre nature, mais je bande dur et ce presque malgré moi. Il pousse lentement et, sous la pression, mon fondement cède d’un coup.
Je pousse un gémissement de douleur en même temps que Jacques qui lui-même a gémi, mais de satisfaction d’avoir vaincu la résistance de mon muscla anal et d’avoir pris place au creux de mes reins…
Alors, il m’étreint les hanches de ses deux mains et m’attire lentement contre lui pour que sa queue entière me pénètre…
J’ai l’impression d’être investi par un pieu énorme et brulant jusqu’au plus profond de moi-même.
Il a fait une pause alors qu’il est complètement enfoncé en moi et cela me permet de m’habi à cette présence incongrue dans mes reins.

Cette pause en fait donne le temps, à celui qui sodomise de savourer la sensation si particulière de « posséder » le partenaire.
Son ventre est plaqué contre mes fesses et son membre tendu m’envahit totalement, mon anus est resserré autour de sa hampe et je sais combien il est bon de sentir les contractions du sphincter autour de la queue qui sodomise…
Ses mains fermes me tiennent aux hanches m’empêchant tout mouvement de fuite en avant…

Je ne peux que me résoudre à une fois de plus recevoir une sodomie non consentie, alors vient le moment où lentement il se retire de moi, je sens glisser son membre, il va sortir mais replonge pour aller fouiller mes profondeurs.
Peu à peu, le mouvement de va-et-vient prend son rythme, les coups de reins de Jacques se succèdent, il me laboure les reins de toute la longueur de son membre, chaque élan me projette en avant contre le rebord de la table et mon sexe, un instant débandé par la vive douleur de la pénétration, s’est de nouveau durci

Mais Jacques n’est guère d’humeur sensuelle, maintenant il me bourre de coups de queue rageurs et rapides, sa verge, dure comme un morceau de bois témoigne de son excitation.
Je sens son empressement d’en finir et soudain il pousse un râle, se plaque contre mes fesses, et libère son foutre dans mes entrailles.
Son sperme fuse avec force et abondance, je sens nettement la puissance au fond de moi, Jacques me laboure encore quelques instants pour achever de se vider et enfin, il se retire de moi.

Serge et Aïcha sont revenues et Aïcha a pris soin de le nettoyer, puis les deux hommes sont partis me laissant avec Aïcha.
- Aïcha, tu la lave, nous déjeunons dans vingt minutes ! A dit Serge en sortant.
- Oui, Maître ! Répond Aïcha

Sitôt la porte fermée, Aïcha est venue près de moi et m’a dit :
- Il faut que tu prennes une douche, avant d’aller déjeuner.
Pendant que je prenais ma douche, Aïcha près de moi à continuer de me parler :
- Tu sais, je pense que mon maître était content, tu as été docile et soumise et il a pris beaucoup de plaisir à t’observer, peut-être que ce soir tu auras une récompense.
- Observer ?
- Bien-sûr, il y a des caméras que tu ne peux voir, mais eux t’observent !
- Une récompense ? Dis-je.
- Oui, parfois quand nous sommes sages nous avons le droit de nous retrouver entre soumises et de nous donner du plaisir dans l’intimité de nos chambres sans que nos maîtres interviennent, tu vois il y a une jeune fille, qui s’appelle Maude, et nous nous retrouvons parfois pour nous aimer, c’est notre récompense quand nos maîtres sont satisfaits et cela nous donne un moment d’évasion.
Bon, je verrais bien, toujours est-il que vingt minutes plus tard, je me retrouvais dans la salle à manger, toujours nue avec mon collier autour du cou et, peut-être pour Serge et Carla, prête pour d’éventuels moments lubriques.
Il faut que je parte rapidement de ce traquenard…

A suivre…

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