Jocelyne Raconte Annick 1
Au fait, j'y songe
j'ai terminé mon dernier épisode en disant "Je n'avais qu'à pas lui raconter les exploits des autres
"
après tout et pourquoi pas ? Finalement, mes amies, mes chère et tendres amies m'en on raconté de bien belles. Car lorsque nous nous voyons "entre filles", certes, nous passons de chauds et sensuels moments, mais il y n'y a pas que cela. Comme toutes les femmes qui papotent, nous nous faisons des confidences et au point au nous en sommes je peux vous certifier qu'elles sont pour le moins très intimes. En fait nous nous révélons nos expériences et chacune un petit bout de notre vie. Ainsi, par exemple, Annick dont je vous ai déjà relaté notre rencontre, rappelez vous, la maîtresse de Fred. Que je vous la décrive un peu plus longuement : elle est assurément très "animale" dès qu'on la croise ont est impressionné et surtout subjugué pas sa sensualité. Elle doit être née pour baiser
Au moment ou j'écris elle a quarante deux et comme elle le dit elle même "elle est assez contente de d'elle-même". Elle est très brune, de teint pâle ce qui fait bien ressortir ses yeux bleus, un mètre soixante huit pour cinquante six kilos pas mal répartis du tout. Tour de poitrine ? Maintenant 95D, qui comme elle le précise :"avec l'âge, elle a pris du volume en contre partie elle tombe un peu plus qu'à vingt ans et malgré tout elle tient la route et je rivalise encore sans peine avec beaucoup. Sur la plage, il y en a pas mal qui m'envient". Pour terminer ma description elle a des fesses fermes et douces qui ravissent les hommes, entre autres
Eh bien, cette chère Annick, en voilà une qui eut un passé tumultueux, il faut bien le reconnaître. Lors de plusieurs et doux tête à tête, elle me raconta sa vie ainsi :
" Je me suis mariée tôt avec Benoît avec qui j'ai eu rapidement un fils. De plus rêvant de voyage, il s'est engagé très jeune dans l'armée et à choisis l'outre-mer. Tu sais, nous ne le voyons, hélas, pas souvent.
Comme cycliquement tous les commerciaux je fus envoyée en stage bien que je fus pas commerciales à cent pour cent puisque je m'occupais en même temps de centraliser tout ce qui concernait les véhicules et les frais de déplacement des commerciaux "nomades". Ce complément de tâches me valais de travailler en collaboration avec les Ressources Humaine et Financières, et j'ajouterais malheureusement
ou avantageusement
. Le centre de formation ne se trouvait pas au siège donc je fus obligée de m'absenter la semaine. Assez peu de femme dans cette cession de machos, donc très entourée
. Je ne sais pas si vous êtes comme moi, mesdames, mais vous avez sûrement remarqué qu'au bout de trois jours absent de chez eux, les hommes n'ont plus qu'un sujet de discussion : le sexe. Alors imaginez l'existence de deux ou trois pauvres femmes au milieu d'un groupe de commerciaux. Le jeudi fut pire encore et proclamèrent à qui veut l'entendre "qu'il avaient les bourses pleines", ou que "se serait à le fête à bobonne en rentrant" ou encore que "leur amie n'allait pas pouvoir s'asseoir pendant plusieurs jours"
certains ajoutant "qu'elle ne pourraient même plus marcher"
. Vantard va ! Paradoxalement le vendredi fut plus calme. Certains repartaient directement à près le cours et pensaient se mettre très vite à l'ouvrage.
Un autre tour ? Je m'entêtais
avoir tant gagné
.il était impensable que je perde encore une fois
et
je perdis mon slip
. Je voulus le retirer en restant assise. Ce ne fut pas de leur goût. Arguant que dans strip-poker, il y avait strip, comme dans striptease, il fallut que je me lève pour le quitter. Je fus immédiatement mois fière
mais devant leur encouragements, je me levais et en tentant d'y mettre le moins de sensualité je retirais mon slip. Je permettais ainsi pour la première fois (hormis corps médical) à d'autres hommes que mon époux de me voir nue. Ils insistèrent pour que je me tourne
. Ils voulaient absolument contempler mon postérieur. Résignée j'obtempérais. La bouteille fit encore un tour "pour fêter ça". Ils me proposèrent un dernier tour, histoire de reprendre tous mes vêtements d'un coup. Je posais la question d'une éventuelle défaite. Ils se "conteraient" d'un petit gage et me rendraient tout ! J'hésitais
et ils me firent un peu peur en disant que si ne n'acceptais pas ce dernier tout, il gardaient mes vêtements et que je devrais regagner ma chambre (située deux étages plus haut) dans le plus simple appareil.
Si j'avais lu le témoignage d'une femme racontant cette histoire, j'aurais immédiatement pensé que c'était une gourde qui ne voyait pas plus loin que le bout de son nez. J'aurais du les voir venir beaucoup plus tôt et même refuser de les accompagner. Mais prise dans l'ambiance je ne suis jamais rendu compte de rien
. Et toi, tu te serais méfiée ?"
Non, enfin c'est difficile à dire je ne sais pas trop
. En attendant ils t'avaient bien manuvré. Elle continua.
"Dois-je préciser que je perdis ? La question du gage se posa. Mal à l'aise, je les vis faire semblant de se concerter. Un sourire égrillard les anima. Celui qui faisait office de leader réclama que je fasse une pipe à chacun
. Je crus avoir mal compris ! Mais non
. Il énonça derechef le prix de ma défaite, ajoutant "dette de jeu
dette d'honneur
". Après avoir inutilement tenté de négocier je me rendis à l'évidence j'allais devoir les satisfaire. J'acceptais donc finalement de me libérer de ma dette. Ils furent radieux et celui qui était le plus habillé, se mit nu et s'assit sur le lit, jambes écartées. Cela me fit tout drôle, depuis mon mariage, je n'avais (sauf en film) vu d'autres hommes nus. Celui-ci avait un membre à peu près de la taille de mon mari (que je pensais être bien pourvu) et il était déjà en érection. Je me levais de ma chaise et, ouuuuhhh la tête me tournait un peu
, je m'agenouillais. Un peu timidement je pris le sexe entre mes mains comme pour faire connaissance. J'approchais ma bouche et risquait un bout de langue sur le gland que j'avais décalotté. Il n'avait pas la même saveur que celui de Benoît. Je le léchais attentivement, puis devant ses directives je l'absorbais. Il gémit d'aise informant les autres que "c'était bon". Je me mis donc à le pomper activement à sa grande satisfaction. Autour de moi les deux autres se déshabillèrent. A un moment donné lorsque j'avais la verge bien enfoncée dans la bouche un éclair zébra la pièce. Je voulus protester, mais le pénis dont je m'occupais me réduisait au silence. Le photographe s'était servi de son téléphone portable pour faire un cliché et me dit :
"Ne soit pas inquiète c'est juste une photo souvenir !"
Comme s'il s'impatientait, le dernier s'approcha de moi sur le côté, se baissa légèrement, me pris une main et la porta à son sexe. J'en suçais une, et en caressait une autre, comme dans les films pornos.
"Occupe toi un peu de mon camarade" me demanda celui que j'avais entrepris.
Sans trop savoir pourquoi, j'obéis et pris l'autre en bouche. Celui qui était assis, se leva "pour plus de commodité". Je les avais désormais tous les deux en face de moi. Ils me firent passer d'une verge à l'autre sans oublier de me faire lécher leurs testicules gonflés. Il y eu encore quelques photos souvenir y compris en train de lécher les deux gland simultanément. Finalement, le troisième homme s'agenouilla derrière moi et me prit les seins. Je les ai très sensible en général, mais là cela me fit un bien fou. Ils étaient gonflés et durs comme quand je suis très excitée. Mais qu'est ce que je raconte
. J'étais excitée, peut être à cause de l'alcool, mais aussi à cause de ce qu'ils me forçaient à faire. Etais-je beaucoup e ? Honnêtement, avec un peu de fermeté et d'assurance, je serais au fond mon lit
seule et tranquille. Qu'était-il en train de se passer ?
Une main lâcha un sein, descendit au long mon ventre. Inutile de se leurrer sur sa destination
. Elle atteignit ma toison soigneusement entretenue en joli petit triangle très court (slip échancrés et string obligent). Un doigt s'immisça entre les lèvres de mon sexe et parvint à l'orée de ma grotte.
"Oh les gars, la vache! Elle est trempée
!"
"Tu vois ! Je te l'avais bien dit
. C'était sûr qu'elle était chaude
. J'ai l'il !"
"Attend ma belle on va faire quelque chose pour toi !"
Je n'eus pas l'impression de leur faciliter la tâche, mais encore moins celle d'avoir résisté. Je me retrouvais allongée sur le dos en travers du lit, jambes écartées avec un homme qui goûtait mon sexe. J'aurais bien aimé, qu'il le goûte plus longtemps, mai il avait autre chose en tête. Il s'agenouilla devant moi, me tira au rebord du lit, me caressa la vulve de son membre puis l'engagea dans mon vagin. Oooohhh ! C'est le bruit que j'émis quand je le sentis se frayer un passage entre mes muqueuses. Et en disant "et voilà, c'est pas plus difficile que ça !" il se mit à aller et venir en moi. Ce n'est même pas que je me laissais faire
j'accompagnais de coup de bassin son intense pénétration. Les deux autres me tirèrent les bras au dessus de la tête et me mirent leur vit dans en mains. Si bien que je me retrouvais en train de les masturber au rythme des coups de rein du troisième qui se faisaient de plus en plus forts et de plus en plus rapides. Je le sentais de plus en plus raide et
ooohhhhhh non ! il se déversa en moi en brusques saccades. Ooohh s'il avait tenu un peu plus longtemps il allait me faire jouir
. L'un des deux autres me fit lâcher son sexe, fit le tour du lit, me retourna et me fit mettre à quatre pattes en disant : "A moi maintenant !". J'avais tellement envie de jouir que je m'offris du mieux que je pus. L'autre entendait toujours se faire sucer et se mit devant moi. Comme dans les vidéos je me faisais prendre et chaque coup de rein me projetait au-devant du sexe du deuxième. C'était la première fois que je trompais mon mari et en plus je m'offrais à deux hommes. C'était étrange, je ne devais pas être dans mon état normal
mais cela m'excitait prodigieusement. Tellement qu'enfin je jouis brusquement bien qu'un peu étouffée par le mandrin du type. J'étais comme enfiévrée et je savais qu'il me ferait encore prendre mon pied. Celui qui me sautait ralenti son rythme. L'autre avait du lui faire signe. Ce dernier me pris la tête
pas de danger que je m'échappe
. Il émis une sorte de couinement rauque et je reçu trois ou quatre jet de foutre qui me remplirent la bouche.
"Avale Annick ! Avale tout ! Aaaaarrrggghh !"
Bien maintenue je ne puis faire autrement que d'absorber ce jus abondant. Je ne faisais pas toujours cela de gaîté de cur, juste pour faire plaisir à mon époux, mais là, bizarrement, cela me parut naturel
. Il acheva en me badigeonnant les lèvres. Cela fut encore l'occasion d'une photo en gros plan et l'autre se remit à me besogner. C'était bon
je me mit à l'encourager :
"Vas-y ! Encore
encore
c'est boooonn
.!!!
Mon ventre étai devenu un brasier j'éclatais
ma jouissance éclata
intense
.
Et il accéléra
encore
.
Il se raidit, se mit à trembler et me rejoint dans l'orgasme. A nouveau la sensation de salves brûlantes au fond de moi huuuummm ! Je m'effondrais sur le lit brisée de plaisir. Si j'avais pensé qu'ils se satisferaient d'avoir abusé de moi une seule fois, je me serais trompée. Ils m'entourèrent, leurs bouches s'emparaient de la mienne, leurs langues la fouillaient. Et moi
je leur rendais fiévreusement leurs baisers. Leurs mains étaient sur moi soupesant mes seins gonflés par le désir, en étirant les pointes, en les léchant, les suçant
. Leurs mains me flattaient tour le corps faisant renaître le désir, ils me caressaient les cuisses, le ventre, le dos, les hanches
. Des doigts se glissaient dans mon vagin. Parfois des doigts qui n'appartenaient pas à la même personne
. Moi aussi je caressais ces trois hommes, leurs corps se frottaient au mien
. J'allais dire "tout naturellement" une main caressa mes fesses, puis les palpa. Pourquoi cela ne surprit-il pas
? Des doigts vinrent fureter dans leur sillon. Un doigt humide vint forcer l'ouverture de mon orifice le plus intime. Il résista un peu, l'autre insista
avec raison
deux phalanges m'avait pénétrée. Je protestais un peu
un peu trop mollement peut-être.
"Allons, laisses-toi faire ! Tu nous as allumé pendant tout le stage
maintenant il faut que y passe ! De toute façon tu ne peux pas faire autrement
. On vas te démonter le cul, salope !"
D'abord, ce n'était pas vrai ! Je ne les avais pas allumés ! Ou du moins je ne l'avais pas fait intentionnellement. Ensuite, c'est vrai, je n'allais pas pouvoir faire autrement que de me laisser faire, je ne pouvais plus ameuter l'hôtel en faisant croire que j'avais été violée. E puis c'était sûr mon derrière allait faire les frais de l'opération. De toute façon ceux qui me pelotaient n'auraient aucun mal à me contraindre à me laisser faire. Pour preuve, le doigt était maintenant profondément enfoncé dans mon rectum. Et pour finir
salope ! Oui je me conduisais ainsi pour la première fois. Je n'avais pas l'occasion de me faire insulter pendant l'acte mais il faut en toute honnêteté reconnaître que c'était vrai. Une femme se laissant faire avec tant de facilité par trois hommes ne pouvait être qu'une salope
. La preuve
presque machinalement je me penchais pour engloutir le sexe qui se redressait devant moi. J'entendis "elle en veux hein !" puis "t'inquiètes, elle va en avoir !". Je fus remise en levrette. En même temps, deux mains écartèrent mes fesses et un second doigt vint seconder le premier dans son entreprise d'élargissement. D'une main, celui que je suçais, appuyait sur ma tête pour me faire adopter la bonne cadence, et de l'autre il me caressait la poitrine. Les doigts qui m'amadouaient se retirèrent, je sentis quelque chose de plus chaud peser sur mon anus élargis et s'y introduire. J'allais me faire sodomiser par quelqu'un que je ne connaissais pas trois jours auparavant
. Je sentis bien glisser le membre entre mes muqueuses lentement, très lentement et me remplir complètement à mesure que mon anus s'ouvrait. L'autre lâcha mes fesses, il avait mieux à faire
. Une série de flashes balayèrent la pièce. Parfois en gros plan, parfois en plan d'ensemble sa collection augmentait
. Je me laissais très rarement faire d'habitude par mon mari sauf, vraiment de temps à autres et surtout pour lui faire plaisir. Sans doute me restait-il quelques réminiscences de ma bonne éducation un peu coincée. Mais ce soir, sans doute prise dans un tourbillon infernal, cela me faisait plaisir à moi
VRAIMENT plaisir. Je ne parle même pas de mon partenaire qui vanta à ses amis les "délices de mon cul".
Je sentais son membre s'enfoncer et me procurer un plaisir nouveau dont je n'avais pas idée. Il activait son sexe dans le puits et pouvait maintenant me pénétrer sans résistance jusqu'au couilles et sentir les vibrations de sensuelles qu'il ma procurait. Je ne pus pas me retenir et je poussais un grand cri, j'allais jouir par derrière. Sans doute à cause de la contraction de mes muscles, il enfla et explosa en s'écoulant généreusement en convulsions enflammées. Aussi lentement qu'il avait pris possession du lieu, il le quitta. Ce lieu si intime ne resta pas longtemps vacant car celui qui tout à l'heure me maintenait les fesses ouvertes n'attendait que cela. Il prit place
et la place
. L'autre "avait fait" le passage, heureusement, il n'avait pu qu'à s'y engouffrer. C'est exactement ce qu'il fit et avec moins de délicatesse. Il est vrai qu'il bénéficiait de l'abondante éjaculation du précédent servant de lubrifiant. Il me la mit d'une seule poussée, ne s'arrêtant que ses testicules vinrent s'écraser contre mon sexe. Pourtant il était un peu plus gros que l'autre
. il se mit à me limer le boyau accentuant à la fois la cadence et la force de ses coups de reins qui me propulsaient vers la verge que j'avais en bouche. J'avais du mal à bien assurer ma fellation. Pourtant cela semblait plaire à l'homme qui ne tarda pas à se tendre. Pour la première fois (et croyez pas la dernière) j'entendis :
"Suce salope
.allez ! Suce salooooope
. Comme çaaaaaaaaaaa
ouiiiii !"
C'est ainsi que j'eux ma deuxième rasade de semence à ingérer. C'était comme tout à l'heure les triques, leur foutre avait un goût différent. Dans ma hâte, j'avais fait tomber sur le lit une ou deux goutte de sperme et de salive. Il me dit que j'était sale
il les nettoya avec le doigt et se l'essuya sur mes joues. Le dernier avait enfin les mains libres, enfin si l'on peut dire car pour l'instant c'était mes hanches qu'il tenait fermement en m'investissant puissamment le fondement. Ses coups de boutoirs, de plus en plus fort me faisaient balancer mes gros seins. Ce fut l'occasion de clichés supplémentaire. Par moment ce diable d'homme me quittait complètement me laissant quelques seconds vides et l'anus ouvert. L'instant d'après il me replongeais impitoyablement sa lance entre les reins m'arrachant des plaintes sourdes. Benoît ne m'avait jamais fait cela
. Je sentais des vagues de plaisir partir de mon rectum, remonter le long de ma colonne vertébrale et m'irradier totalement. Ces vagues montaient
montaient
. Il s'en rendait compte :
"T'aimes ça la bite hein !"
"
"
"C'est sûr quelle aime cela vu comme elle gigote ! "
"T'aimes ça la bite hein ! Réponds !"
"Oui
. Oui j'aime ça
. Ooooh !"
"Vous voyez
. Ça ne doit pas lui arriver tous les jours se faire ramoner comme ça !"
"En attendant, il en y a un qui ne doit pas s'ennuyer avec
c'est son mari !"
"Ou alors c'est un imbécile
un coup pareil ! Il mérite d'être cocu !"
Leurs grossièretés, enfin je le crois, étaient un plus
je me laissais aller
lançant mes fesses vers le membre qui me pourfendait et en l'encourageant à me prendre vigoureusement. C'est sous le regard lubrique des deux autres que mon amant et moi jouirent en haletant de plaisir (en cet instant, je lui fus reconnaissant de m'avoir attendue). Je restais affalée sur le lit. Tout le monde avait l'air fatigué. Les hommes aussi écroulés dans le fauteuil ou sur le lit. Cela me faisait une impression étrange de sentir mon cul grand ouvert se resserrer lentement tandis que le liquide des hommes s'écoulait lentement, mouillant mes fesses
.
Il y eut un instant de gêne, comme si brutalement tout le monde était dégrisé. Les mâles étaient repus. Je profitais de cet instant pour m'éclipser. Je repassais à la hâte mon chemisier et ma jupe. Je négligeais les sous-vêtements tant j'avais hâte de rejoindre ma chambre et d'y prendre une bonne douche pour me laver de l'odeur et des souillures de mes suborneurs. Ouuuuuh ! J'avais mal aux reins, l'anus me brûlait un peu et j'avais une tête à faire peur
. Pourtant mes "collègues" m'embrassèrent encore avant de me laisser partir en m'assurant que j'avais été à la hauteur et que par avance, ils étaient impatients d'envisager d'autres cessions de formation. Je me promis d'éviter ces stages désormais. Ils me précisèrent quand même que dès qu'ils m'avaient vue, et comme j'étais "la mieux roulée" des deux femmes présentes, ils avaient tout manigancés pour me faire tomber dans leur piège diabolique. Rien n'avait été laissé au hasard
et comme la première bécasse venue, j'étais tombée dans le panneau. Pour l'instant, finalement, la femme comblée que j'étais ne regrettait pas trop.
Celui qui logeait au même étage que moi me raccompagna. Un dernier baiser et j'ouvris ma porte. Sans rien comprendre, je fus propulsée à l'intérieur de la pièce. Je me retrouvais plaquée contre le mur avec un homme qui cherchait ma bouche et qui avait déjà partiellement retroussé ma jupe. Je le conjurais de me laisser prétextant ma fatigue. Sans doute ne mis-je pas assez de conviction dans mes propos, il resta sourd à ma prière et disant "ça a été trop vite tout à l'heure
. Je vais t'en remettre un petit coup !" il prit ma bouche. J'aurais pu, j'aurais du me raidir comme un morceau de bois, ou devenir inerte et sans réaction. En fait, je passais mes bras autour de son cou et lui rendis son baiser avide.
Une de ses mains avait mis à mal le boutonnage de mon chemisier. Mes seins étaient à l'air
. Son autre main avait remonté le long du haut de mes cuisses et fourrageait entre celles-ci. Je me faisais branler debout
. Il extirpa son membre de son pantalon. Je ne put balbutier que :
"Non
non
. Pas debout !"
Je fus presque catapultée sur le lit. Me troussant, il s'abattit sur moi comme un affamé. On aurait pu le croire inassouvi. Il avait pourtant éjaculé deux fois. Il se mit à me faire l'amour
non ce n'est pas tout à fait cela. Il se mit à me baiser farouchement
oui, c'est plus près de la réalité. C'était terriblement efficace, c'était très bon. Pour me transpercer davantage, il mit mes jambes sur ses épaules. La pénétration est encore plus profonde et son gland vint presque heurter ma matrice. Il me défonçât comme un taureau en rut. Après un quart d'heure à ce rythme, j'étais sur le point de jouir. L'orgasme violent arriva. Je gémis mon plaisir avec peu de retenue
"Oh c'est bon ! Continue ! Oui ! Oui ! Plus fort !"
Mes vagin était trempés et mon jus qui n'arrête pas de couler. Je jouis sans arrêts. Il sorti de moi et me releva les jambes encore un peu plus haut en me priant :
"Ecartes tes fesses, je vais finir dans ton petit trou de balle !"
Encore une fois sans savoir pourquoi j'obéis. Je pris une fesse dans chaque main et les ouvrit pour lui faciliter l'accès. Je me faisais honte, j'agissais comme une femelle en chaleur mais j'aimais cela
. Il geint en me sodomisant pourtant vu ce que j'avais déjà pris il n'eut aucune difficulté. Son sexe luisant de cyprine rentra à nouveau jusqu'au fond de mes entrailles. Il releva mes jambes encore plus haut sur ses épaules. Je m'offris à cette troisième pénétration anale en fermant les yeux. J'entendais le bruit cadencé, sa respiration haletante, les mots crus qu'il me dédiait. Il sortit d'un coup de mon anus et me prévint qu'il était sur le point de gicler. Il me releva prestement pour que je sois assise au bord du lit et se présenta face à mon visage. Il se branla avant de me dire d'ouvrir la bouche. Je m'exécutais pour recevoir le jet dru qu'il m'adressa. Il en coula même sur mes seins.
Cette fois ci nous n'en pouvions plus. A regret, je crois il me quitta, déplorant que nous n'habitions pas la même ville car dit-il :
"Tu es une sacré baiseuse !"
On m'avait déjà fais pas mal de compliments mais celui-là jamais. Je m'endormis comme une masse omettant même de retire mon chemisier. Le réveil fut plus difficile
. Endolorie de partout je me sentais comme si j'étais passée dans une essoreuse. Quand à la tête
j'avais du pain sur la planche pour me rendre potable. D'ailleurs il me semblait avoir encore le goût du sperme sur la langue. Discrètement, je quittais hôtel, d'abord pour ne pas rencontrer mes amants d'un jour, et aussi parce que je me sentais un peu consternée de laisser ma chambre dans cet état. Pendant la nuit, mes orifices avaient rejetés ce dont ils avaient été remplis
. Les draps en formaient une preuve pitoyable.
Ce fut lorsque je fus dans le train que le manège arrêta de tourner. Le manège n'était plus enchanté du tout ! Atrocement la vraie vie me revenait en pleine face. Dans quelques heures, j'allais faire face à mon Benoît, l'homme de ma vie que je venais de cocufier comme il n'était pas permis. Qu'est ce que j'avais fait
. Je ne m'accordais aucune circonstance atténuante. Stupide, j'avais été stupide et sans discernement. Tout doucement je m'étais laissé glisser inconsciemment dans le guet-apens. Mais où ma culpabilité atteignait le summum c'est lorsque je dus reconnaître qu'une fois dans le piège, je n'avais rien fait pour en sortir. Pire j'en avait éprouvé un plaisir malsain mais exquis comme une confiserie interdite. Ils m'avaient traité de salope
. Ils devaient avoir raison ! La question qui revenait sans cesse depuis le début du voyage revint. Qu'est ce que cela te fait ma pauvre Annick d'avoir fait ta salope pendant toute une soirée ? La même question trouvait les même réponse : honte et trouble
. Et puis, Benoît allait-il lire dans mes yeux ma déchéance ? Pourtant, pourtant je l'aimais
. Comment avais-je pu
. Une chose était certaine, je ne recommencerais jamais de telles sottises. Et puis
et puis ma décision était prise ! J'allais tout lui raconter. J'implorerai son pardon ! Il était si gentil que peut être il comprendrait et serait magnanime
.".
A ce moment de son récit, je me jetais sur elle pour l'embrasser sauvagement et nous fîmes l'amour comme deux furies déchaînées. Elle me promit de me raconter la suite, j'y comptais bien
. Et vous ?.
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